Dommage, la droite a tellement matrixé les gens avec le RSA, que même si il faut travailler 20h pour le toucher MTN, les gens au RSA sont vu comme des feneants

Alors qu'ils travaillent autant que les gens en temps partiels, et gagnent moins qu'eux

Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Le 28 septembre 2024 à 11:17:11 :
Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

N'importe quoi.

Le 28 septembre 2024 à 11:17:11 :
Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

Le 28 septembre 2024 à 11:46:17 :

Le 28 septembre 2024 à 11:17:11 :
Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

Tiens le desco, il parle bien évidement des RSA-assistés de son temps. Et il aurait eu la même opinion des cas sociaux qui ne travaillent pas et se complaisent dans leur indigence en demandant des sous aux autres sans contribuer eux-mêmes à la production. Il est question des chomeurs de longue durée, non pas de ceux qui sont entre deux contrat temporaires, mais plutôt de cette catégorie qui refusent de travailler même à des jobs sous qualifiés, comme les étudiants tout justes diplômés qui se font redpill par la vraie vie une fois sortis de leur cocon familial et universitaire. Un Sociologue devrait accepter l'éboueur-dream, mais c'est une faignace arrogante qui croit que son diplôme en vaut de l'or.

Le 28 septembre 2024 à 13:15:25 :

Le 28 septembre 2024 à 11:46:17 :

Le 28 septembre 2024 à 11:17:11 :
Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

Tiens le desco, il parle bien évidement des RSA-assistés de son temps. Et il aurait eu la même opinion des cas sociaux qui ne travaillent pas et se complaisent dans leur indigence en demandant des sous aux autres sans contribuer eux-mêmes à la production. Il est question des chomeurs de longue durée, non pas de ceux qui sont entre deux contrat temporaires, mais plutôt de cette catégorie qui refusent de travailler même à des jobs sous qualifiés, comme les étudiants tout justes diplômés qui se font redpill par la vraie vie une fois sortis de leur cocon familial et universitaire. Un Sociologue devrait accepter l'éboueur-dream, mais c'est une faignace arrogante qui croit que son diplôme en vaut de l'or.

Le rsa à l'époque de Marx.
Il n'y avait ni indemnités chômage ni rsa à son époque. Et ils étaient tout, sauf des assistés.

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

en un mot : les pauvres

Le 28 septembre 2024 à 13:23:27 :

Le 28 septembre 2024 à 13:15:25 :

Le 28 septembre 2024 à 11:46:17 :

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Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

Tiens le desco, il parle bien évidement des RSA-assistés de son temps. Et il aurait eu la même opinion des cas sociaux qui ne travaillent pas et se complaisent dans leur indigence en demandant des sous aux autres sans contribuer eux-mêmes à la production. Il est question des chomeurs de longue durée, non pas de ceux qui sont entre deux contrat temporaires, mais plutôt de cette catégorie qui refusent de travailler même à des jobs sous qualifiés, comme les étudiants tout justes diplômés qui se font redpill par la vraie vie une fois sortis de leur cocon familial et universitaire. Un Sociologue devrait accepter l'éboueur-dream, mais c'est une faignace arrogante qui croit que son diplôme en vaut de l'or.

Le rsa à l'époque de Marx.
Il n'y avait ni indemnités chômage ni rsa à son époque. Et ils étaient tout, sauf des assistés.

Un RSA-ïste est par définition un mendiant puisqu'il mendie le fruit du travail des autres.

Le 28 septembre 2024 à 13:41:33 :

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

en un mot : les pauvres

Ceux qui vivent sans travailler, c'est-à-dire les parasites d'en bas.

Le 28 septembre 2024 à 13:54:55 :

Le 28 septembre 2024 à 13:23:27 :

Le 28 septembre 2024 à 13:15:25 :

Le 28 septembre 2024 à 11:46:17 :

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Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

Tiens le desco, il parle bien évidement des RSA-assistés de son temps. Et il aurait eu la même opinion des cas sociaux qui ne travaillent pas et se complaisent dans leur indigence en demandant des sous aux autres sans contribuer eux-mêmes à la production. Il est question des chomeurs de longue durée, non pas de ceux qui sont entre deux contrat temporaires, mais plutôt de cette catégorie qui refusent de travailler même à des jobs sous qualifiés, comme les étudiants tout justes diplômés qui se font redpill par la vraie vie une fois sortis de leur cocon familial et universitaire. Un Sociologue devrait accepter l'éboueur-dream, mais c'est une faignace arrogante qui croit que son diplôme en vaut de l'or.

Le rsa à l'époque de Marx.
Il n'y avait ni indemnités chômage ni rsa à son époque. Et ils étaient tout, sauf des assistés.

Un RSA-ïste est par définition un mendiant puisqu'il mendie le fruit du travail des autres.

Belle mentalité qui ne tient pas compte des réalités

Le 28 septembre 2024 à 13:55:53 :

Le 28 septembre 2024 à 13:41:33 :

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

en un mot : les pauvres

Ceux qui vivent sans travailler, c'est-à-dire les parasites d'en bas.

4 millions de chômeurs, 10x moins d'emplois disponibles...

Belle mentalité qui ne tient pas compte des réalités

BAh un RSAïste c'est celui qui réclame de l'argent de la part des autres sans travailler. Ca s'appelle "de la mendicité". Moi je n'y peux rien si c'est la définition.

4 millions de chômeurs, 10x moins d'emplois disponibles...

Normal, même l'emploi il le mendient. Les gens respectables ne sont pas ceux qui ne travaillent pas, ou qui le cherchent, mais ceux qui le créent par leurs propres initiatives. Des gens qui se disent: « j'ai des projets » et qui les mettent en oeuvre. Ce sont des gens entreprenants, maîtres de leur vie, et qui la prennent en main car ils sont poussés de leur for intérieur à réaliser de belles choses et qui n'attendent pas à ce que les choses leurs tombent du ciel, en attendant des autres ce qu'ils devraient faire eux-mêmes.

Le 28 septembre 2024 à 16:46:01 :

Belle mentalité qui ne tient pas compte des réalités

BAh un RSAïste c'est celui qui réclame de l'argent de la part des autres sans travailler. Ca s'appelle "de la mendicité". Moi je n'y peux rien si c'est la définition.

60% des bénéficiaires sont dans une situation d'inemployabilité. Et la moitié des rsa ne sont pas réclamés.

4 millions de chômeurs, 10x moins d'emplois disponibles...

Normal, même l'emploi il le mendient. Les gens respectables ne sont pas ceux qui ne travaillent pas, ou qui le cherchent, mais ceux qui le créent par leurs propres initiatives. Des gens qui se disent: « j'ai des projets » et qui les mettent en oeuvre. Ce sont des gens entreprenants, maîtres de leur vie, et qui la prennent en main car ils sont poussés de leur for intérieur à réaliser de belles choses et qui n'attendent pas à ce que les choses leurs tombent du ciel, en attendant des autres ce qu'ils devraient faire eux-mêmes.

Avec ce raisonnement il y a très peu de personnes respectables

Parce que la droite déteste les pauvres, et croit en sa "méritocratie", qui relève du fantasme.

60% des bénéficiaires sont dans une situation d'inemployabilité. Et la moitié des rsa ne sont pas réclamés.

S'ils ne vivent pas du RSA, ils vivent aux crochets de la famille, des passants, des associations, des autres etc. Ou compensent par des manœuvres dont la légalité peut être discutée, telles que la délinquance, les petits trafics ou la prostitution.

Avec ce raisonnement il y a très peu de personnes respectables

Un salarié a par nature une valeur humaine inférieure à celle d'un patron. Pourquoi ? Parce qu'il y en a un qui commande, et l'autre qui se plie au bon vouloir de l'homme qui entreprend et qui crée des emplois. C'est un prolongement du corps de l'autre. Un peu comme un esclave, mais le salariat lui permet de choisir son propre maître. Au lieu d'en devenir un, il préfère suivre les autres, en gros béni-oui-oui.

Le 28 septembre 2024 à 13:54:55 :

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Les RSAïstes ont toujours été perçus comme des larves. Même Marx les associe à des larves puisqu'ils ne travaillent pas et vivent aux crochets des autres, grâce aux miettes d'une richesse qui ne leur appartient pas. Attali en a parlé dans son livre à travers le concept de "résignés-réclamants" c'est-à-dire une couche de population qui s'est résigné à vivre autonomement à cause de l'Etat-Providence français. Souvent racistes, antisémites, homophobes et xénophobes.
Ils peuvent estimer heureux qu'il n'y ait pas de lois antivagabonages comme au 19e siècle et avant. Ce qu'il faudrait rétablir.

Marx et le rsa, son meilleur texte

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

Tiens le desco, il parle bien évidement des RSA-assistés de son temps. Et il aurait eu la même opinion des cas sociaux qui ne travaillent pas et se complaisent dans leur indigence en demandant des sous aux autres sans contribuer eux-mêmes à la production. Il est question des chomeurs de longue durée, non pas de ceux qui sont entre deux contrat temporaires, mais plutôt de cette catégorie qui refusent de travailler même à des jobs sous qualifiés, comme les étudiants tout justes diplômés qui se font redpill par la vraie vie une fois sortis de leur cocon familial et universitaire. Un Sociologue devrait accepter l'éboueur-dream, mais c'est une faignace arrogante qui croit que son diplôme en vaut de l'or.

Le rsa à l'époque de Marx.
Il n'y avait ni indemnités chômage ni rsa à son époque. Et ils étaient tout, sauf des assistés.

Un RSA-ïste est par définition un mendiant puisqu'il mendie le fruit du travail des autres.

Si tu t'en prenais avec autant de hargne aux bourgeois qu'aux RSAistes tu serais presque crédible

Le 28 septembre 2024 à 13:55:53 :

Le 28 septembre 2024 à 13:41:33 :

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

en un mot : les pauvres

Ceux qui vivent sans travailler, c'est-à-dire les parasites d'en bas.

Vivre avec le RSA
Tant qu'il y aura des gogos comme toi, les seigneurs n'ont pas de souci à se faire

Le 28 septembre 2024 à 16:46:01 :

Belle mentalité qui ne tient pas compte des réalités

BAh un RSAïste c'est celui qui réclame de l'argent de la part des autres sans travailler. Ca s'appelle "de la mendicité". Moi je n'y peux rien si c'est la définition.

4 millions de chômeurs, 10x moins d'emplois disponibles...

Normal, même l'emploi il le mendient. Les gens respectables ne sont pas ceux qui ne travaillent pas, ou qui le cherchent, mais ceux qui le créent par leurs propres initiatives. Des gens qui se disent: « j'ai des projets » et qui les mettent en oeuvre. Ce sont des gens entreprenants, maîtres de leur vie, et qui la prennent en main car ils sont poussés de leur for intérieur à réaliser de belles choses et qui n'attendent pas à ce que les choses leurs tombent du ciel, en attendant des autres ce qu'ils devraient faire eux-mêmes.

Bientôt tu vas nous expliquer qu'un travailleur est un mendiant qui mendie du travail...
Bientôt tu nous expliquer qu'un salarié est un mendiant qui mendie un salarie...

Le 28 septembre 2024 à 21:42:43 :

Le 28 septembre 2024 à 13:55:53 :

Le 28 septembre 2024 à 13:41:33 :

« avec des roués ruinés n'ayant ni ressources ni origine connues… […] les rebuts et laissés pour compte de toutes les classes sociales, vagabonds, soldats renvoyés de l'armée, échappés des casernes et des bagnes, escrocs, voleurs à la roulotte, saltimbanques, escamoteurs et pickpockets, joueurs, maquereaux, patrons de bordels, portefaix, écrivassiers, joueurs d'orgue de barbarie, chiffonniers, soulographes sordides, rémouleurs, rétameurs, mendiants, en un mot toute cette masse errante, fluctuante et allant de ci-de là que les Français appellent « la bohème ». »

en un mot : les pauvres

Ceux qui vivent sans travailler, c'est-à-dire les parasites d'en bas.

Vivre avec le RSA
Tant qu'il y aura des gogos comme toi, les seigneurs n'ont pas de souci à se faire

Ah, pour une fois que je suis d'accord avec Ottomoteur ! On voit où sont les intérêts de classe avec makrolatre, pour sûr ! Un bourgeois qui vante le système actuel, et croit en sa méritocratie, bien à droite, avec le mépris des prolétaires, ainsi que des minorités opprimées.

Bientôt tu vas nous expliquer qu'un travailleur est un mendiant qui mendie du travail...

Nan par contre celui qui s'inscrit chez France Travail, et qui attend qu'on lui propose un boulot sans sortir les doigts du cul, lui il est mendiant. Doublement mendiant d'ailleurs, parce qu'il touche le RSA, et parce qu'il réclame qu'on lui aide à trouver un boulot.

Bientôt tu nous expliquer qu'un salarié est un mendiant qui mendie un salarie...

Nan il échange sa force de travail contre un salaire. Mais le cas décrit plus haut n'échange rien du tout mais attend la grâce du ciel en réclamant des autres ce qu'il ne veut pas faire lui-même.