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Sujet : Le bilan de Poutine

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Kikoolol-XD-mdr Kikoolol-XD-mdr
MP
Niveau 9
19 mars 2021 à 02:47:52

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/4/1616082950-eww1k-hw8aa2e2l.png

Difficile de faire pire dira t-on et que la situation économique ne pouvait qu'evoluer. Mais qu'à t-il réellement fait pour redresser le pays ? Et sur sa politique économique est-il un bon exemple ? Poutine est quoi ? Un libéral ? Un socialiste ? Il est casé où ?

MontezBalzac MontezBalzac
MP
Niveau 7
19 mars 2021 à 07:06:04

Difficile de savoir vu que l'occident fait du poutine bashing en permanence, bien orchestré par les USA. Il faudrait des analyses en dehors de ce carcan, pas évident.

Ensuite, je ne connais que le pays dans les 90's: c'était une catastrophe pour les Russes (Alexievitch dans la fin de l'homme rouge le raconte bien). Quand Poutine arrive, il remet de l'ordre et, de mon avis, sauve la Russie (kaléidoscope ethnique, religieux...) de son implosion totale en de multiples entités indépendantes. C'était p-être le plan occidental après tout, contre-carré par poutine.

C'est une démocratie autoritaire d'après la dernière doc photo consacrée à ce pays qui ne peut être soupçonnée d'être russophile. Poutine demeure populaire et l'aurait été encore plus sans les incursions occidentales (ce faux progressisme qui tue les nations). Poutine peut sans doute être qualifié de libéral mais, à mon sens, il a compris que la mondialisation type européiste allait mener tout droit à la fin de son pays, donc il fait ce que tous les pays auraient dû faire: il prend ce qui sert ses intérêts (+spécificité russe: avec de multiples accords avec des oligarques russes). La France elle plonge dans le néo-libéralisme pour servir l'Allemagne et les usa.

A mon sens, c'est un vrai patriote. Je ne pense pas qu'il considère mieux le peuple qu'un autre forcément, mais il appartient (et là je rejoins la thèse zemmourienne) au XIXe siècle dans son approche du peuple, de la nation, de la guerre. D'ailleurs, il se moque ouvertement des pays de l'UE, de macron, de biden et autre. Il sait que ce sont des marionnettes instables. Lui demeure en bon tsar.

LatreMacro LatreMacro
MP
Niveau 6
19 mars 2021 à 09:39:58

Poutine n'est ni libéral, ni non-libéral.

Il a toujours été au centre. Sa politique est marquée par la renationalisation de toutes les entreprises clefs de l'économie russe. Et pour reprendre ses mots, il considère le libéralisme comme idéologie dépassée. Mais même si sa politique économique est très interventionniste, il laisse quand même une certaine marge de manœuvre aux entreprises afin de permettre aux pays d'avoir une économie de marché.
D'un point de vu rouge bien sûr que c'est un libéral, tout ce qui n'est pas rouge est libéral, mais dans le réel il ne l'est pas à fond.

C'est un keynesien

Message édité le 19 mars 2021 à 09:43:21 par LatreMacro
Sexter Sexter
MP
Niveau 10
19 mars 2021 à 09:46:42

Quand il a repris le Pays, la Russie était encore au fond du trou suite à l’éclatement de l’URSS. Et vu qu’ils ont beaucoup de pétrole et de gaz naturel, ça ne pouvait que monter.

LatreMacro LatreMacro
MP
Niveau 6
19 mars 2021 à 09:51:22

Le 19 mars 2021 à 09:46:42 Sexter a écrit :
Quand il a repris le Pays, la Russie était encore au fond du trou suite à l’éclatement de l’URSS. Et vu qu’ils ont beaucoup de pétrole et de gaz naturel, ça ne pouvait que monter.

Les entreprises d'exploitation étaient dans les mains de capitalistes étrangers dans les années noires, essentiellement dans les mains américaines.

Tout était dépecé par la privatisation sauvage qui a conduit le pays au fiasco total

Message édité le 19 mars 2021 à 09:52:16 par LatreMacro
AlienVsRobocop2 AlienVsRobocop2
MP
Niveau 6
19 mars 2021 à 15:42:09

Poutine a un assez mauvais bilan. Il a juste été efficace lors son premier mandat (jusqu'en 2008).

Depuis 2012 il a fait quoi de bien ?

MontezBalzac MontezBalzac
MP
Niveau 7
19 mars 2021 à 19:52:52

Le 19 mars 2021 à 15:42:09 AlienVsRobocop2 a écrit :
Poutine a un assez mauvais bilan. Il a juste été efficace lors son premier mandat (jusqu'en 2008).

Depuis 2012 il a fait quoi de bien ?

Il ne faut pas avoir de logique comptables avec les nations. Ce ne sont pas des boutiquiers ou des traders. La Russie conserve son aura internationale grâce à Poutine, voilà tout.

Le peuple est pas en grande forme (pb éco, crises multiples, addictions...) mais l'''homo sovieticus ''est résistant crois-moi. Le moscovite mondialisé lui a tout ce qu'une ville mondialisée a (tu vas à Moscou, tu te crois dans une mégapole lambda).

Il a toujours été au centre. Sa politique est marquée par la renationalisation de toutes les entreprises clefs de l'économie russe. Et pour reprendre ses mots, il considère le libéralisme comme idéologie dépassée. Mais même si sa politique économique est très interventionniste, il laisse quand même une certaine marge de manœuvre aux entreprises afin de permettre aux pays d'avoir une économie de marché.

D'un point de vu rouge bien sûr que c'est un libéral, tout ce qui n'est pas rouge est libéral, mais dans le réel il ne l'est pas à fond.
C'est un keynesien

D'accord sur des points, mais là selon moi des termes contraires sont utilisés... Tu peux développer sur le keynésien centriste qui n'a rien à voir avec le libéralisme?

Hystoryx Hystoryx
MP
Niveau 7
19 mars 2021 à 20:06:13

Poutine a sauvé son pays de la ruine.

Dans l'histoire il restera un des plus grands leaders :ok:

Coucou_Cest_Moi Coucou_Cest_Moi
MP
Niveau 6
19 mars 2021 à 21:13:25

Le 19 mars 2021 à 19:52:52 MontezBalzac a écrit :

Le 19 mars 2021 à 15:42:09 AlienVsRobocop2 a écrit :
Poutine a un assez mauvais bilan. Il a juste été efficace lors son premier mandat (jusqu'en 2008).

Depuis 2012 il a fait quoi de bien ?

Il ne faut pas avoir de logique comptables avec les nations. Ce ne sont pas des boutiquiers ou des traders. La Russie conserve son aura internationale grâce à Poutine, voilà tout.

Le peuple est pas en grande forme (pb éco, crises multiples, addictions...) mais l'''homo sovieticus ''est résistant crois-moi. Le moscovite mondialisé lui a tout ce qu'une ville mondialisée a (tu vas à Moscou, tu te crois dans une mégapole lambda).

Il a toujours été au centre. Sa politique est marquée par la renationalisation de toutes les entreprises clefs de l'économie russe. Et pour reprendre ses mots, il considère le libéralisme comme idéologie dépassée. Mais même si sa politique économique est très interventionniste, il laisse quand même une certaine marge de manœuvre aux entreprises afin de permettre aux pays d'avoir une économie de marché.

D'un point de vu rouge bien sûr que c'est un libéral, tout ce qui n'est pas rouge est libéral, mais dans le réel il ne l'est pas à fond.
C'est un keynesien

D'accord sur des points, mais là selon moi des termes contraires sont utilisés... Tu peux développer sur le keynésien centriste qui n'a rien à voir avec le libéralisme?

Il a raison, Poutine n'a rien de libéral économiquement parlant.

Ce n'est pas parce qu'il est capitaliste qu'il est libéral. Le Keynesianisme est une doctrine prône une forte intervention de l'Etat dans l'économie pour la réguler.
Tu confonds avec Hayek

Message édité le 19 mars 2021 à 21:14:10 par Coucou_Cest_Moi
Coucou_Cest_Moi Coucou_Cest_Moi
MP
Niveau 6
19 mars 2021 à 21:22:54

Idéologie de Poutine

Économie

En 1999, il annonce sa volonté de structurer l'économie russe par un réseau de PME-PMI : « L'État doit agir où et quand on a besoin de lui ; la liberté doit exister où et quand elle est requise »129. Le journaliste Frédéric Pons affirme que Vladimir Poutine est « libéral en économie »129. Durant ses deux premiers mandats présidentiels, Poutine s'entoure de ministres et de conseillers libéraux, dont Andreï Illarionov.

Ce dernier estime toutefois que Vladimir Poutine ne peut pas être qualifié de libéral ni sur le plan économique — « il a adopté à l'époque une forme économique neutre, répandue en Occident, ni de gauche ni libérale au sens classique » —, ni sur le plan politique — « ayant développé ses vues au sein du KGB, il a initié une politique qui n'a absolument rien à voir avec le libéralisme » ; il résume le projet de Vladimir Poutine dans la volonté de « construire un système impérial efficace et contemporain, fondé sur une économie de marché ». Pour Alexandre Morozov, « il ne promeut [à cette époque] aucune « voie russe » spécifique, mais une philosophie politique tout à fait européenne ». Plus globalement, il juge que « la philosophie fondamentale de Poutine demeure économico-centriste. Il veut gagner des ressources pour participer au capitalisme mondial avec de nouvelles forces. Mais il ne propose pas de doctrine alternative par rapport au capitalisme financier global. Il ne veut pas le détruire ni proposer autre chose »130.

Durant ses deux premiers mandats, le gouvernement russe replace des secteurs économiques stratégiques accaparés par des oligarques, notamment les hydrocarbures, sous le contrôle de l'État. Il entreprend par ailleurs de réduire les dépenses sociales et d'instaurer une fiscalité favorable aux entreprises et aux hauts revenus. Un taux unique d'imposition sur le revenu (13 %) est mis en place en 2001, et un nouveau code du travail plus favorable au patronat est adopté en 2002. Les autorités ajoutent au système de retraite un système par capitalisation obligatoire ; 6 % des cotisations retraite sont ainsi dirigées non vers le financement des retraites en cours, mais vers des intermédiaires financiers ou des fonds de pension privés131.

En 2005, à la suite d'un mouvement de protestation sans précédent depuis le début des années 1990 , le gouvernement est amené à introduire certaines réformes sociales, dont notamment le renforcement des allocations familiales. Après la crise économique de 2008, puis les sanctions imposées par les Etats-Unis et l'Union européenne en 2014 qui font entrer la Russie en récession, le gouvernement relance sa politique d'austérité en réduisant certaines dépenses sociales. En matière fiscale, les autorités choisissent d'augmenter les taxes et impôts sur le travail (élévation du taux de l’impôt sur le revenu et de la TVA) et de réduire ceux sur le capital. De nombreuses aides et crédits d’impôt sont octroyés aux grandes entreprises, y compris les plus rentables. D'après la Cour des comptes, ces avantages fiscaux se sont traduits par un manque à gagner de 11 000 milliards de roubles (145 milliards d'euros) pour le budget de l'État131.

Attitude à l'égard de l'URSS

Dès son arrivée à la présidence, Vladimir Poutine rétablit l'hymne de l'Union soviétique, contre l'opinion d'une partie significative de son administration, en faisant changer les paroles. En 2005, il déclare que la « désintégration de l'URSS a été la plus grande catastrophe géopolitique du xxe siècle »10, mais également : « Celui qui ne regrette pas la dissolution de l’Union soviétique n’a pas de cœur ; celui qui veut ressusciter l’Union soviétique n’a pas de cerveau »132. Lors de son discours du 18 mars 2014, prononcé à l'occasion de l'annexion de la Crimée, il persiste : « Ce qui semblait impensable, malheureusement, est devenu réel. L'URSS s'est désintégrée », soutenant ainsi la reconquête de l'ancien territoire soviétique10.

En janvier 2016, il accuse Lénine d'avoir fait « exploser la Russie » : « Il faut que les idées aboutissent à de bons résultats, et non pas comme cela a été le cas avec Vladimir Ilitch. »133. Partisan d'un État fort, il lui reproche d'avoir imposé le fédéralisme ayant conduit plus de 80 ans après à la dislocation de l'ensemble134.

D'après Alexander Morozov, rédacteur en chef du quotidien en ligne Russki Journal, le « schéma cognitif du soviétisme tardif est manifeste dans sa manière d'envisager l'Occident, de mépriser les organisations internationales, d'avoir une attitude méprisante à l'endroit des « petits peuples » voisins de la Russie »10.

Slavophilisme

Également inspiré par Ivan Iline, Vladimir Poutine se veut résolument slavophile après son retour à la présidence en 2012. Lors de son discours de victoire, il déclare : « La politique d'endiguement de la Russie, qui a continué au xviiie siècle, xixe siècle et au xxe siècle, se poursuit aujourd'hui. On essaie toujours de nous repousser dans un coin parce que nous avons une position indépendante ». Alexandre Morozov souligne que depuis cette date sont apparues dans le langage de Vladimir Poutine les expressions de « civilisation russe » et de « code civilisationnel ». Alexandre Prokhanov, journaliste et écrivain russe d'extrême droite et anti-occidental, considère quant à lui, en 2014, que ses idées « commencent à avoir de l'effectivité » parmi les conseillers de Vladimir Poutine, et que ce dernier « restaure, en lui rendant sa forme impériale originelle, l'État sabordé par Boris Eltsine après la chute de l'URSS »135.

Conservatisme

Les journalistes Vincent Jauvert et Frédéric Pons sont en désaccord sur le fait que Vladimir Poutine aurait renforcé son positionnement conservateur après son retour à la présidence en 2012136,129. Le 12 décembre 2013, Vladimir Poutine appelle, devant l'ensemble des représentants de la nation, à la « défense des valeurs traditionnelles », et qualifie sa position de « conservatrice ». Par ailleurs, il mobilise régulièrement la pensée d'Ivan Iline, dont il a fait rapatrier les restes137. Dans cette perspective, l'État russe a implanté à New York et à Paris des « Instituts de la démocratie et de la coopération ». Après des premiers contacts noués par l'Église orthodoxe via les groupes anti-avortement en Europe136, il tisse également des liens étroits avec des mouvements populistes de droite, dont le Front national en France138, notamment dans la perspective de « déstabiliser la scène politique européenne » et d'« affaiblir le lien transatlantique »136.

Lors du sommet du G20 de 2019, Vladimir Poutine déclare que « le libéralisme est obsolète » et que les valeurs libérales entrent « en conflit avec l'intérêt de la majorité écrasante de la population », développant son propos en particulier sur le thème des migrants.139,140

Eurasisme

À la fin des années 1990, Vladimir Poutine fréquente un cercle d'études consacré à Lev Goumilev, l'un des derniers représentants historiques de l'eurasisme141. S'il tente de se rapprocher de l'Otan dans les années 2000, proposant notamment une grande alliance aux États-Unis au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, l’intégration dans l'OTAN de pays de l'ancien bloc de l'Est le pousse à abandonner cette intention et explique notamment sa réaction face aux tentatives d'intégrer la Géorgie et l'Ukraine dans l'Otan129,142. Lors de son discours du 12 décembre 2013, il cite Lev Goumilev en évoquant son concept de « passionarité » ou « énergie intérieure » du peuple russe, et qualifie le développement de la Sibérie et de l'Extrême-Orient russe de « priorité nationale pour tout le xxie siècle ». Le projet d'« Union économique eurasiatique », qui naîtra en 2015, s'inscrit dans cette perspective141. Il s'explique également par le désintérêt de l'Europe occidentale pour sa proposition d’une « Europe de Lisbonne à Vladivostok ». Pour Frédéric Pons, « ces immenses marchés offrent à la Russie des relais de croissance et une intéressante profondeur stratégique »129. D'après Alexandre Terletzski, « le nouveau Tsar, comme on aime à l’appeler, se veut le grand défenseur d’un monde multipolaire encore rejeté par les États-Unis »132.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Poutine

MontezBalzac MontezBalzac
MP
Niveau 7
19 mars 2021 à 22:02:32

Il a raison, Poutine n'a rien de libéral économiquement parlant.

Ce n'est pas parce qu'il est capitaliste qu'il est libéral. Le Keynesianisme est une doctrine prône une forte intervention de l'Etat dans l'économie pour la réguler.
Tu confonds avec Hayek

Sur Poutine je suis sceptique, avec wiki ou pas. D'où ma remarque. Concernant keynes et ce [insérer insulte] d'hayek, oui je connais bien. Mais sur le keynesianisme et le libéralisme suis pas chaud. je m'interroge.

GuyDuSud GuyDuSud
MP
Niveau 6
20 mars 2021 à 01:15:29

Comment ça se fait que la dette publique russe est aussi basse ?

Rakl9 Rakl9
MP
Niveau 8
20 mars 2021 à 05:39:03

Pétrole et gaz.

Fut un temps il se payait même le luxe d'éponger les dettes d'autres Etats.

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