Exa exa l'OP
C'est comme le pain, c'est une invention française du 12ème siècle
Tout comme le pot-au-feu, il n'y a qu'un génie français pour voir l'idée de mettre des légumes dans de l'eau et de chauffer le tout
4 pages à débattre de l'origine du couscous
Non mais vous êtes sérieux ??
Le 14 novembre 2024 à 09:33:21 ObjectifPazz a écrit :
Après, sans pour autant être d'accord avec les délires racialistes, il est indéniable que la culture peut finir par affecter la génétique (qui elle même affecte le comportement).
Notamment au travers de la récurrence des unions consanguines.Le mariage entre cousin c'est plus par soucis pratique que par culture. D'ailleurs ça n'a rien de délétère. On parle pas de baiser sa sœur ou sa mère comme dans les Hauts-de-France.
"D'ailleurs ça n'a rien de délétère"
https://youtu.be/GE75TSSxaQc
https://youtu.be/vB7dvm9-Sg4?t=47
Le 14 novembre 2024 à 09:48:03 :
Le 14 novembre 2024 à 09:33:21 ObjectifPazz a écrit :
Après, sans pour autant être d'accord avec les délires racialistes, il est indéniable que la culture peut finir par affecter la génétique (qui elle même affecte le comportement).
Notamment au travers de la récurrence des unions consanguines.Le mariage entre cousin c'est plus par soucis pratique que par culture. D'ailleurs ça n'a rien de délétère. On parle pas de baiser sa sœur ou sa mère comme dans les Hauts-de-France.
"D'ailleurs ça n'a rien de délétère"
https://youtu.be/GE75TSSxaQc
https://youtu.be/vB7dvm9-Sg4?t=47
Ah oui, ça n'existe pas en Europe c'est ça ?
Le 14 novembre 2024 à 09:33:21 :
Après, sans pour autant être d'accord avec les délires racialistes, il est indéniable que la culture peut finir par affecter la génétique (qui elle même affecte le comportement).
Notamment au travers de la récurrence des unions consanguines.Le mariage entre cousin c'est plus par soucis pratique que par culture. D'ailleurs ça n'a rien de délétère. On parle pas de baiser sa sœur ou sa mère comme dans les Hauts-de-France.
C’est faux, c’est très problématique. Et c’est aussi le signe d’une société malade qui va vers la désintégration, car au-delà de l’aspect médical (hausse des problèmes de santé, baisse du QI moyen…) des taux importants de consanguinité illustrent un déficit de confiance entre citoyens de même pays, on se marie dans sa famille car on considère que toutes les autres sont de potentielles mauvaises familles…
[09:44:07] <Se1ferGaMeR57>
4 pages à débattre de l'origine du couscousNon mais vous êtes sérieux ??
La qualité du forum se dégrade
GG OP, t'as réussi à faire rager les couscoussiers du forum
Le 14 novembre 2024 à 09:27:14 :
Description des Algériens et de leur pays en 1830 par un officier de l'armée française, décoré de la légion d'honneur:
Il n'y a aucun debunk quelconque de ce qui a été dit précedement ici.
Regardons points par points ces divers extraits
Oui, les algériens avaient une "puissante" marine (bâtiment armés = navires de guerre, au cas où).
Tout le monde le sait, ils ont terrorisé les côtes européennes avec leurs raids esclavagistes pendant 3 siècles.
Cela n'a pas empêché la PLS de 1830.
Ok y'avait à Torre Chica un potager qui servait à nourrir l'imam du coin....passionnant
On voit juste que tu n'a pas les capacité pour appréhender un récit militaire du 19eme siècle.
Déjà en ce qui concerne la "supériorité" des fusils algériens, c'est juste qu'ils utilisaient des fusils de remparts alors que les français utilisaient de base des fusils de munitions, plus adaptés aux combats de ligne en Europe à l'époque.
https://www.musee-du-genie-angers.fr/fpdb/20121112-9-fusilderempartxviiesiecle.pdf
Comme le cite ton extrait, les français possedaient eux aussi des fusils de rempart et n'eurent nulle difficulté à contrer les algériens avec ceux ci.
Les tentes des généraux algériens étaient opulentes....ok
Y'a des ruisseaux et la nature est belle....ok cool
Maintenant regardons d'autres extraits du même livre par le même auteur
Sur la sauvagerie des locaux
Sur l'incompétence militaire des algériens On rappellera que la force expéditionnaire a pris Alger en seulement deux semaines, dont une consacrée à attendre le débarquement des chevaux pour transporter le materiel
Sa description d'Alger (Elle rejoint assez les descriptions d'une ville étroite et peu impressionnante citées précedemment, même s'il ne s'attarde pas sur les détails dégueu comme les cadavres d'animaux et la puanteur )
Description de la société multiculturelle algérienne en 1830
WE wuz the kangz
Bordel ça les rameute tous
Le 14 novembre 2024 à 08:13:35 :
Le 14 novembre 2024 à 08:08:54 :
Manu qui distribue les redpills au petit déjVous distribuez rien du tout. Tu compares 20 faits divers aux milliers de choses affreuses que les pieds noirs ont fait en Algérie. Pleure Corentin. Ton pays n'a RIEN apporté à l'algérie qui avait déjà tout ce qu'il fallait. Les sources sont pas de ton côté.
Ah on comprends mieux votre relativisme constant
Le 14 novembre 2024 à 07:22:07 :
+ les fameux portugais plus "blancs" que les berbèresTa vision raciale du monde n'a aucun sens frère
Croire à l'existence des blancs
Tu te sens proche d'un lituanien toi ?
"Occidental" si tu prefères
Le 14 novembre 2024 à 09:33:21 :
Après, sans pour autant être d'accord avec les délires racialistes, il est indéniable que la culture peut finir par affecter la génétique (qui elle même affecte le comportement).
Notamment au travers de la récurrence des unions consanguines.Le mariage entre cousin c'est plus par soucis pratique que par culture. D'ailleurs ça n'a rien de délétère. On parle pas de baiser sa sœur ou sa mère comme dans les Hauts-de-France.
Rien de délétère il a dit..
https://www.algeriepatriotique.com/2018/08/27/la-consanguinite-en-algerie-un-facteur-de-vulnerabilite-et-de-sous-developpement/
Et ridicule de comparer les cas d'inceste rarissimes en Occident avec l'inceste normalisé au Maghreb et Moyen-Orient qui cause un niveau de consanguinité stratospherique:
https://en.wikipedia.org/wiki/Inbreeding#Humans
Le 14 novembre 2024 à 08:06:40 :
L'impulsivité criminelle chez les maghrébins est étudiée depuis au moins les années 30:
24 pages de cette étude sont disponibles ici en pdf:
https://www.docdroid.net/oz44Mm7/l-impulsivite-criminelle-chez-l-indigene-algerien-annas-archive-pdf"gneugneugneu c d conneries racistes des méchants français colonialistes envers les pauvres indigènes opprimés dépeints en affreux sauvages à civiliser
En parcourant ce site répertoriant les condamnés à mort en France ( https://laveuveguillotine.pagesperso-orange.fr/Palmares1871_1977.html ), j'ai été choqué de la surreprésentation des condamnés maghrébins déjà à cette époque . C’était en plus avec les mêmes objectifs et méthodes qu’actuellement.
Petit florilège:
1) 16 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Ahmed ben el Kefi.
« Marocain, assassine de trois coups de couteau à Versailles dans la nuit du 15 au 16 septembre 1918 François Ollier, 45 ans, pour lui voler son portefeuille et sa montre. »
2) 2 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Allah.
« Marocain, travailleur colonial aux chantiers de Saint-Cyr. Tue à coups de revolver à Versailles le 17 mai 1919 son ami Somanet pour lui voler 237 francs 50.
3) 1er mai 1920, Pamiers.
Bezouani Bouzid ben Younes.
« 21 ans, Kabyle, manœuvre aux Usines de Pamiers. Assassine à Pamiers sa propriétaire, Madeleine Danis, 72 ans, tenancière du café de l'Union, qu'il assomme à coups de barre de fer avant de la décapiter avec un couteau, pour la voler ».
4) 30 avril 1921, Bordeaux.
Ahmed ben Mohamed "Kouri" et Ali ben Mohamed.
« Algériens. Assassinent à coups de couteau les époux Grenier pour cambrioler leur propriété, le château de Bellevue, à Cussac (commune dont M.Grenier avait été maire) dans la nuit du 24 au 25 mars 1920. »
5) 11 juin 1921, Bordeaux.
5) Boularik Amokrane ben Saïd.
« 34 ans, Algérien, ouvrier charpentier. Assassine Marie Poirier, veuve Mathieu, 65 ans, tenancière du bar du 5, place de la Bourse à Bordeaux, en l'égorgeant avec un couteau à cran d'arrêt le 10 février 1921. Butin : 340 francs. »
6) 13 juin 1921, Épinal.
6) Mohamed ben Ali ben Salah.
« 21 ans. Ouvrier marocain dans une usine de blanchisserie de Thaon, fractura avec une lourde pierre le crâne de son compagnon de baraquement, Joseph Lamaze, 56 ans, le 21 janvier 1921 pour lui voler son porte-monnaie, et jeta le corps dans un fossé qu'il recouvre de feuilles. »
7) 19 janvier 1923, Saint Milhiel.
Belkacem Mohamed ben Amour.
« Algérien. Cafetier à Clermont-Ferrand. Etrangla à mains nues le 20 mars 1922 à Verdun, Mme Bertrand, 70 ans, propriétaire du café "A la Fraternité", rue Chaussée, pour voler le contenu de sa caisse et de son coffre-fort. »
8) 27 février 1923, Metz.
Mohamed "Lebekacha Badri" ben Abdelkader ben M'Barek.
« 23 ans, tirailleur Algérien, caserné à Morhange.
Commit un double crime à Pevange. Assassine à coups de fusil Albert Pouillon, domestique, 24 ans et sa fiancée Jeanne Souchon, 20 ans, et les achève à coups de couteau. Dérobe 600 francs, la montre du garçon et le sac de la demoiselle. »
« Prétendit que, quelques jours plus tôt, Souchon l'avait insulté et traité de "sale bic*t". »
9) 21 mai 1924, Paris.
Mohamed Ousliman Khémilé.
« 36 ans, Algérien. Amoureux d'une femme mariée, Mme Billard, épicière rue Fondary, ne supporte pas ses incessants refus. Il l'attrape dans son magasin, la traîne dans la rue et la tue de quatre coups de couteau de cuisine.
Pris d'une fureur homicide, frappe les passants au hasard dans la rue : tue Mme Fougère, 60 ans, qui ramenait son petit-fils de l'école, blesse au ventre Mme Raymonde Brunet et Mme Gisèle Hescu à l'aine, avant d'être mis hors d'état de nuire par des policiers. »
10) 10 janvier 1925, Paris.
Loucief Lakdar.
« 33 ans, Algérien, ouvrier. »
« Hébergé le 28 février 1924 dans une cabane proche de la gare de St-Denis par trois ouvriers portugais. A coups de barre de fer, frappa dans leur sommeil Juan Vieira, Antonio Ferreira et Francisco Mendès pour leur voler 5.500 francs. Mendès parvint à s'enfuir pour donner l'alerte. Ferreira eut la mâchoire brisée mais survécut, pas Vieira, qui eut la gorge tranchée à coups de couteau. »
11) 29 mai 1926, Alfortville.
Mohamed Raïb.
« 29 ans, Algérien, manœuvre d'usine, déjà condamné deux fois pour tentative de meurtre. »
« Tombé amoureux de Marie, 15 ans, domestique et fille de ses logeurs, les Lenoir, et n'acceptant pas d'être repoussé, tire 6 balles de pistolet sur elle dans un café d'Alfortville, la tuant net.
12) 26 octobre 1927, Douai.
Ousaïd Kacé Boudjema.
« Algérien. Le 05 mars 1927, tente d'assommer avec une bouteille la veuve Delfosse, 68 ans, cabaretière au faubourg des Battières, à Neuf-Mesnil, pour la voler, avant de la jeter dans sa cave. »
13) 21 janvier 1928, Nancy.
Embareck "Barka" ben Bled.
« 33 ans, Marocain. Tue le 26 juin 1927, au passage à niveau de Gouraincourt, le douanier Claude qui venait l'arrêter suite à toute une série de vols commis dans les environs. »
14) 22 octobre 1930, Hautmont.
Brahim ben Kenfer, dit "Saïd ben Mohamed".
« Algérien, tua à Hautmont le 23 novembre 1927 Ernest Velgracht, un vieil homme, pour lui voler 83 francs. »
15) 21 mai 1931, Paris.
Mohamed Ben Driss.
« 38 ans, Marocain. Le 19 novembre 1930 au 40 rue de Ponthieu, assomme dans sa cuisine à coups de siphon Mme Juliette Delaure, 25 ans, jeune épouse d'un restaurateur, pour lui voler 6.300 francs. Sa victime meurt le lendemain. »
16) 26 août 1931, Lyon.
Ahmed ben Mohamed.
Caporal au 5e régiment de tirailleurs marocains. Abat à coups de revolver, le 7 décembre 1930 au camp de la Valbonne (Ain) l'adjudant Lavague et Mme Cartier, épouse d'un sergent, non sans tenter de la violer. En fuite, essaie de se suicider le lendemain. »
17) 7 juillet 1932, Caen.
Rabah Betra.
« 23 ans, Algérien, manoeuvre. Egorge de trois coups de rasoir Clotilde Grignola, 33 ans, mère de deux enfants, fermière à Breuil-en-Auge, dans l'après-midi du 26 janvier 1932, et lui vole 750 francs. »
18) 11 avril 1935, Paris.
Mohamed Chaker.
« Algérien, colporteur. Assomme d'un coup de barre de fer M.Leminor, veilleur de nuit, lors du cambriolage de la sucrerie Dufour, rue de Tolbiac, dans la nuit du 25 au 26 août 1934, avant de l'égorger à coups de couteau et de lui voler sa paie, soit 200 francs. Avait déjà tenté de cambrioler l'endroit dans la nuit du 13 au 14 août 1934, où il avait travaillé par le passé. »
19) 26 novembre 1935, Lyon.
Brahim Rabah.
« Ancien spahi, cantonné au 9e régiment algérien de Vienne. Puni de deux jours de consigne par le brigadier Robert Saladin pour une absence à son poste de garde d'écurie, attend qu'il dorme dans la nuit du 04 au 05 septembre 1935 dans l'écurie pour lui broyer la tête avec une masse de 5 kilos, puis le décapite au rasoir. »
20) 27 janvier 1937, Saint Milhiel.
Abdelkader Yahia.
« 30 ans, tirailleur algérien au 122e régiment de Toul. Abat le 02 septembre 1936 à Vignot Marcel Chabourelle, 68 ans, ouvrier aux carrières d'Euville, de trois balles de revolver avant de l'achever d'un coup de poignard dans le coeur, et de lui voler 500 francs et sa musette, contenant du pain, du jambon et une bouteille de vin. »
21) 5 novembre 1938, Lyon.
Abdelkader "Saada" Rakida.
28 ans, Algérien. Interdit de séjour à Paris, auteur d'un meurtre au cours d'une bagarre, le 21 septembre 1937, tenta de forcer le passage dans une maison close de Lyon, à tel point que la tenancière, menacée d'un revolver, appella la police. Dès l'arrivée des forces de l'ordre, Rakida leur tira dessus, blessant gravement les gardiens de la paix Perret et Dusserre.
22) 7 décembre 1939, Metz.
Belaïd Ben Aïssa et Ammar Bouaita.
« 28 et 25 ans, caporal tunisien et soldat algérien au 23e régiment de tirailleurs algériens. En avril 1939, tendent un guet-apens au jeune soldat Louis Weiss, entre Puttelange et Diding. Ben Aïssa le viole, puis l'étrangle pour l'empêcher de parler, puis ils volent son argent. Avant le procès, essayent de s'évader et tentent d'étrangler un gardien. »
23) 16 avril 1942, Paris.
Bachir Aït Cherif.
« 43 ans, journalier, Algérien. Poignarde le 14 juillet 1941 à Pantin Mlle Renault, cafetière, pour voler sa caisse. »
24) 18 mai 1945, Paris.
Akli Soualmi.
« 33 ans, Algérien, manoeuvre. Le 31 mars 1943, durant un cambriolage dans un hôtel de Puteaux, 11, rue Roque-de-Filiol, étrangle la patronne Catherine Oliver, 57 ans, puis dérobe 20.000 francs en numéraire et 60.000 francs de bijoux. »
25) 23 décembre 1945, Gourdon.
Mohamed ben Amar ben Ali, Belkacem ben Amar ben Hacine et Rahar ben Dadjouche.
« Algériens de 31 ans, 30 ans et 27 ans. A Gourdon, dans la nuit du 22 au 23 décembre 1945, attaquent les époux Rhodes, Edouard, 35 ans, cordonnier, avec lequel ils étaient en affaire, et sa femme Danielle, 21 ans. Danielle a la tête fendue à coups de hache, pendant que Rhodes est ligoté et torturé, la plante des pieds brûlée avec une lampe à pétrole, pour révéler où il cache des économies. Les bandits l'achèvent en lui fracassant la tête avec un pied de travail en fer.
Le petit Jean-Michel, quinze mois, qui pleurait dans son berceau, est tué de deux coups de hache et survit une heure à ses blessures. »
Par contre j'ai pas compris comment ce pavé a pu être approuvé par la modération alors que des postes bien plus soft ont été effacés...
arrêter de les faire pleurer le topic va être lock
4 pages de rage algérienne
trop de sel on se croirait à bruxelles en 2018 lors du match france belgique en quart de finale
arrêter tout ce sel et ces larmes les gars sinon une partie du pays va devenir la mer morte
AAAAAAAAAYYYYYYAAAAA
Le 14 novembre 2024 à 19:50:37 :
Le 14 novembre 2024 à 09:27:14 :
Description des Algériens et de leur pays en 1830 par un officier de l'armée française, décoré de la légion d'honneur:
Il n'y a aucun debunk quelconque de ce qui a été dit précedement ici.
Regardons points par points ces divers extraitsOui, les algériens avaient une "puissante" marine (bâtiment armés = navires de guerre, au cas où).
Tout le monde le sait, ils ont terrorisé les côtes européennes avec leurs raids esclavagistes pendant 3 siècles.
Cela n'a pas empêché la PLS de 1830.Ok y'avait à Torre Chica un potager qui servait à nourrir l'imam du coin....passionnant
On voit juste que tu n'a pas les capacité pour appréhender un récit militaire du 19eme siècle.
Déjà en ce qui concerne la "supériorité" des fusils algériens, c'est juste qu'ils utilisaient des fusils de remparts alors que les français utilisaient de base des fusils de munitions, plus adaptés aux combats de ligne en Europe à l'époque.
https://www.musee-du-genie-angers.fr/fpdb/20121112-9-fusilderempartxviiesiecle.pdf
Comme le cite ton extrait, les français possedaient eux aussi des fusils de rempart et n'eurent nulle difficulté à contrer les algériens avec ceux ci.Les tentes des généraux algériens étaient opulentes....ok
Y'a des ruisseaux et la nature est belle....ok cool
Maintenant regardons d'autres extraits du même livre par le même auteur
Sur la sauvagerie des locaux
Sur l'incompétence militaire des algériens On rappellera que la force expéditionnaire a pris Alger en seulement deux semaines, dont une consacrée à attendre le débarquement des chevaux pour transporter le materiel
Sa description d'Alger (Elle rejoint assez les descriptions d'une ville étroite et peu impressionnante citées précedemment, même s'il ne s'attarde pas sur les détails dégueu comme les cadavres d'animaux et la puanteur )
Description de la société multiculturelle algérienne en 1830
Intéressant merci, et ça remet les points sur les i.
Le 14 novembre 2024 à 20:09:49 TouaregDu97 a écrit :
Le 14 novembre 2024 à 08:06:40 :
L'impulsivité criminelle chez les maghrébins est étudiée depuis au moins les années 30:
24 pages de cette étude sont disponibles ici en pdf:
https://www.docdroid.net/oz44Mm7/l-impulsivite-criminelle-chez-l-indigene-algerien-annas-archive-pdf"gneugneugneu c d conneries racistes des méchants français colonialistes envers les pauvres indigènes opprimés dépeints en affreux sauvages à civiliser
En parcourant ce site répertoriant les condamnés à mort en France ( https://laveuveguillotine.pagesperso-orange.fr/Palmares1871_1977.html ), j'ai été choqué de la surreprésentation des condamnés maghrébins déjà à cette époque . C’était en plus avec les mêmes objectifs et méthodes qu’actuellement.
Petit florilège:
1) 16 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Ahmed ben el Kefi.
« Marocain, assassine de trois coups de couteau à Versailles dans la nuit du 15 au 16 septembre 1918 François Ollier, 45 ans, pour lui voler son portefeuille et sa montre. »
2) 2 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Allah.
« Marocain, travailleur colonial aux chantiers de Saint-Cyr. Tue à coups de revolver à Versailles le 17 mai 1919 son ami Somanet pour lui voler 237 francs 50.
3) 1er mai 1920, Pamiers.
Bezouani Bouzid ben Younes.
« 21 ans, Kabyle, manœuvre aux Usines de Pamiers. Assassine à Pamiers sa propriétaire, Madeleine Danis, 72 ans, tenancière du café de l'Union, qu'il assomme à coups de barre de fer avant de la décapiter avec un couteau, pour la voler ».
4) 30 avril 1921, Bordeaux.
Ahmed ben Mohamed "Kouri" et Ali ben Mohamed.
« Algériens. Assassinent à coups de couteau les époux Grenier pour cambrioler leur propriété, le château de Bellevue, à Cussac (commune dont M.Grenier avait été maire) dans la nuit du 24 au 25 mars 1920. »
5) 11 juin 1921, Bordeaux.
5) Boularik Amokrane ben Saïd.
« 34 ans, Algérien, ouvrier charpentier. Assassine Marie Poirier, veuve Mathieu, 65 ans, tenancière du bar du 5, place de la Bourse à Bordeaux, en l'égorgeant avec un couteau à cran d'arrêt le 10 février 1921. Butin : 340 francs. »
6) 13 juin 1921, Épinal.
6) Mohamed ben Ali ben Salah.
« 21 ans. Ouvrier marocain dans une usine de blanchisserie de Thaon, fractura avec une lourde pierre le crâne de son compagnon de baraquement, Joseph Lamaze, 56 ans, le 21 janvier 1921 pour lui voler son porte-monnaie, et jeta le corps dans un fossé qu'il recouvre de feuilles. »
7) 19 janvier 1923, Saint Milhiel.
Belkacem Mohamed ben Amour.
« Algérien. Cafetier à Clermont-Ferrand. Etrangla à mains nues le 20 mars 1922 à Verdun, Mme Bertrand, 70 ans, propriétaire du café "A la Fraternité", rue Chaussée, pour voler le contenu de sa caisse et de son coffre-fort. »
8) 27 février 1923, Metz.
Mohamed "Lebekacha Badri" ben Abdelkader ben M'Barek.
« 23 ans, tirailleur Algérien, caserné à Morhange.
Commit un double crime à Pevange. Assassine à coups de fusil Albert Pouillon, domestique, 24 ans et sa fiancée Jeanne Souchon, 20 ans, et les achève à coups de couteau. Dérobe 600 francs, la montre du garçon et le sac de la demoiselle. »
« Prétendit que, quelques jours plus tôt, Souchon l'avait insulté et traité de "sale bic*t". »
9) 21 mai 1924, Paris.
Mohamed Ousliman Khémilé.
« 36 ans, Algérien. Amoureux d'une femme mariée, Mme Billard, épicière rue Fondary, ne supporte pas ses incessants refus. Il l'attrape dans son magasin, la traîne dans la rue et la tue de quatre coups de couteau de cuisine.
Pris d'une fureur homicide, frappe les passants au hasard dans la rue : tue Mme Fougère, 60 ans, qui ramenait son petit-fils de l'école, blesse au ventre Mme Raymonde Brunet et Mme Gisèle Hescu à l'aine, avant d'être mis hors d'état de nuire par des policiers. »
10) 10 janvier 1925, Paris.
Loucief Lakdar.
« 33 ans, Algérien, ouvrier. »
« Hébergé le 28 février 1924 dans une cabane proche de la gare de St-Denis par trois ouvriers portugais. A coups de barre de fer, frappa dans leur sommeil Juan Vieira, Antonio Ferreira et Francisco Mendès pour leur voler 5.500 francs. Mendès parvint à s'enfuir pour donner l'alerte. Ferreira eut la mâchoire brisée mais survécut, pas Vieira, qui eut la gorge tranchée à coups de couteau. »
11) 29 mai 1926, Alfortville.
Mohamed Raïb.
« 29 ans, Algérien, manœuvre d'usine, déjà condamné deux fois pour tentative de meurtre. »
« Tombé amoureux de Marie, 15 ans, domestique et fille de ses logeurs, les Lenoir, et n'acceptant pas d'être repoussé, tire 6 balles de pistolet sur elle dans un café d'Alfortville, la tuant net.
12) 26 octobre 1927, Douai.
Ousaïd Kacé Boudjema.
« Algérien. Le 05 mars 1927, tente d'assommer avec une bouteille la veuve Delfosse, 68 ans, cabaretière au faubourg des Battières, à Neuf-Mesnil, pour la voler, avant de la jeter dans sa cave. »
13) 21 janvier 1928, Nancy.
Embareck "Barka" ben Bled.
« 33 ans, Marocain. Tue le 26 juin 1927, au passage à niveau de Gouraincourt, le douanier Claude qui venait l'arrêter suite à toute une série de vols commis dans les environs. »
14) 22 octobre 1930, Hautmont.
Brahim ben Kenfer, dit "Saïd ben Mohamed".
« Algérien, tua à Hautmont le 23 novembre 1927 Ernest Velgracht, un vieil homme, pour lui voler 83 francs. »
15) 21 mai 1931, Paris.
Mohamed Ben Driss.
« 38 ans, Marocain. Le 19 novembre 1930 au 40 rue de Ponthieu, assomme dans sa cuisine à coups de siphon Mme Juliette Delaure, 25 ans, jeune épouse d'un restaurateur, pour lui voler 6.300 francs. Sa victime meurt le lendemain. »
16) 26 août 1931, Lyon.
Ahmed ben Mohamed.
Caporal au 5e régiment de tirailleurs marocains. Abat à coups de revolver, le 7 décembre 1930 au camp de la Valbonne (Ain) l'adjudant Lavague et Mme Cartier, épouse d'un sergent, non sans tenter de la violer. En fuite, essaie de se suicider le lendemain. »
17) 7 juillet 1932, Caen.
Rabah Betra.
« 23 ans, Algérien, manoeuvre. Egorge de trois coups de rasoir Clotilde Grignola, 33 ans, mère de deux enfants, fermière à Breuil-en-Auge, dans l'après-midi du 26 janvier 1932, et lui vole 750 francs. »
18) 11 avril 1935, Paris.
Mohamed Chaker.
« Algérien, colporteur. Assomme d'un coup de barre de fer M, veilleur de nuit, lors du cambriolage de la sucrerie Dufour, rue de Tolbiac, dans la nuit du 25 au 26 août 1934, avant de l'égorger à coups de couteau et de lui voler sa paie, soit 200 francs. Avait déjà tenté de cambrioler l'endroit dans la nuit du 13 au 14 août 1934, où il avait travaillé par le passé. »
19) 26 novembre 1935, Lyon.
Brahim Rabah.
« Ancien spahi, cantonné au 9e régiment algérien de Vienne. Puni de deux jours de consigne par le brigadier Robert Saladin pour une absence à son poste de garde d'écurie, attend qu'il dorme dans la nuit du 04 au 05 septembre 1935 dans l'écurie pour lui broyer la tête avec une masse de 5 kilos, puis le décapite au rasoir. »
20) 27 janvier 1937, Saint Milhiel.
Abdelkader Yahia.
« 30 ans, tirailleur algérien au 122e régiment de Toul. Abat le 02 septembre 1936 à Vignot Marcel Chabourelle, 68 ans, ouvrier aux carrières d'Euville, de trois balles de revolver avant de l'achever d'un coup de poignard dans le coeur, et de lui voler 500 francs et sa musette, contenant du pain, du jambon et une bouteille de vin. »
21) 5 novembre 1938, Lyon.
Abdelkader "Saada" Rakida.
28 ans, Algérien. Interdit de séjour à Paris, auteur d'un meurtre au cours d'une bagarre, le 21 septembre 1937, tenta de forcer le passage dans une maison close de Lyon, à tel point que la tenancière, menacée d'un revolver, appella la police. Dès l'arrivée des forces de l'ordre, Rakida leur tira dessus, blessant gravement les gardiens de la paix Perret et Dusserre.
22) 7 décembre 1939, Metz.
Belaïd Ben Aïssa et Ammar Bouaita.
« 28 et 25 ans, caporal tunisien et soldat algérien au 23e régiment de tirailleurs algériens. En avril 1939, tendent un guet-apens au jeune soldat Louis Weiss, entre Puttelange et Diding. Ben Aïssa le viole, puis l'étrangle pour l'empêcher de parler, puis ils volent son argent. Avant le procès, essayent de s'évader et tentent d'étrangler un gardien. »
23) 16 avril 1942, Paris.
Bachir Aït Cherif.
« 43 ans, journalier, Algérien. Poignarde le 14 juillet 1941 à Pantin Mlle Renault, cafetière, pour voler sa caisse. »
24) 18 mai 1945, Paris.
Akli Soualmi.
« 33 ans, Algérien, manoeuvre. Le 31 mars 1943, durant un cambriolage dans un hôtel de Puteaux, 11, rue Roque-de-Filiol, étrangle la patronne Catherine Oliver, 57 ans, puis dérobe 20.000 francs en numéraire et 60.000 francs de bijoux. »
25) 23 décembre 1945, Gourdon.
Mohamed ben Amar ben Ali, Belkacem ben Amar ben Hacine et Rahar ben Dadjouche.
« Algériens de 31 ans, 30 ans et 27 ans. A Gourdon, dans la nuit du 22 au 23 décembre 1945, attaquent les époux Rhodes, Edouard, 35 ans, cordonnier, avec lequel ils étaient en affaire, et sa femme Danielle, 21 ans. Danielle a la tête fendue à coups de hache, pendant que Rhodes est ligoté et torturé, la plante des pieds brûlée avec une lampe à pétrole, pour révéler où il cache des économies. Les bandits l'achèvent en lui fracassant la tête avec un pied de travail en fer.
Le petit Jean-Michel, quinze mois, qui pleurait dans son berceau, est tué de deux coups de hache et survit une heure à ses blessures. »
Par contre j'ai pas compris comment ce pavé a pu être approuvé par la modération alors que des postes bien plus soft ont été effacés...
La chance