Le 24 décembre 2023 à 02:04:34 :
J'ai l'impression d'avoir posté il y a 5 minutes mais ce n'est pas le cas... où êtes vous tous parti

On a attends tous la sweet

Pas le choix l'auteur faut y'aller

Anthone était mal à l'aise entre ces bras. Il ne ferma pas l'œil de la nuit et avait le rectum contracté, anticipant un éventuel dérapage de Stone.

- ZzzzZZZZzzzZZZ

- Il ronfle comme un phoque

- Maman ! ZZZZzzzzZZZzzz

- Dans quelle merde je suis encore ...

- ZzzzZZZzzz Le directeur a été méchant avec moi !

Stone parlait en dormant.

- Anthone, serre les fesses, la nuit est bientôt terminée ... Enfin, j'espère

- ZZzzzzZZZ tu veux que je le tue ?

- Ça devient chaud pour mon cul

- Comment ça ... Il veut coucher avec Lise ? ZZZzzz Je vais lui tordre le cou

Stone commença à serrer le cou d'Anthone.

- (Tousse) I can't breathe ...

Anthone réussit à se dégager des bras de la brute.

- Enfin !

Sweet

- Bon, je fais quoi ? Je sors dans la nuit au risque de croiser les autres enfants prodiges ou je reste avec lui au risque de me faire décapsuler l'anus voir pire ...

- Dans tous les cas, on dirait bien que je suis baisé

Après une longue réflexion de dix secondes, Anthone décida de prendre son destin en main, en sortant de la caverne.

- Je ferais mieux de prendre sa lanterne ... J'espère qu'il ne sera pas trop furieux au réveil ...

Anthone s'enfonça dans la forêt pour retrouver le chemin menant vers l'asile.

- Je crois bien que je me suis perdu ...

- Il fait nuit comme dans un fion sur cette île

- Putain de ronces !

Anthone s'était prit dans des ronces acérées.

- Putain !

- Ce ne sont pas des ronces !

En essayant de se dégager, Anthone découvrit que ce n'était pas des ronces mais du fil de barbelé.

- Qui a pu mettre du barbelé ici ! Encore un taré ?

Le buisson à côté se mit à bouger.

- Stone ? C'est toi ?

Une voix roque et granuleuse répondit à Anthone.

- Non ...

- A l'aide ! Stone !

- Stone n'est pas gentil

Un homme avec un masque en peau, sortit du buisson.

- Salut ... Ça va ?

- Non ...

- Ah ... Qu'est-ce qui ne va pas ?

- Ils sont tous méchants avec moi ...

- Ah ... Qui ?

- Je dois te tuer

- Du calme ...

- Tu ne veux pas que je te tue ?

- Non ... Merci pour la proposition mais je préfère rester encore en vie

- Ok ... Je voulais seulement t'aider ...

- Je préfèrerais que tu m'aides à retirer mes entraves

- Je dois te tuer ...

- On ne s'est pas comprit

- Ils sont méchants

- T'as pas la lumière à tout les niveaux

- Quoi ?

- Laisse moi ! Je vais me débrouiller tout seul

L'homme regarda ses bottes et fit demi-tour en trainant des pieds.

- Tu vas où comme ça ?

Un autre homme surgit des buissons.

- Laisse moi ... Il m'a dit qu'il ne voulait pas que je le tue

- Ok donc il te dit qu'il ne veut pas que tu le tue et toi tu ne le tue pas ?

- Quoi ? Je n'ai pas compris

- T'es complètement débile

- Excusez moi ... Vous pouvez me libérer ?

- Oui mais avant je vais t'emprunter tes pieds

- Comment ça ?

- Regarde mes pieds

L'homme sortit ses pieds de ses bottes pourries. Il les tendit devant Anthone. L'odeur était ignoble. Ses pieds purulents et mycosés paraissaient gangrénés.

- L'odeur

- Donne moi la scie

- Oui

Il lui tendit une scie rouillé et tachés de vieux sang coagulé.

- Putain ! STONE ! A L'AIDE !

- Tu préfères que je commence par quel pied ?

- Aucun sale fou

- Fou ?

L'homme regarda tout autour de lui.

- Je n'en vois pas

L'homme retira les chaussures d'Anthone.

- Top qualité ces pieds ! Ce sont des pieds de voyageur !

L'homme commença a entamer avec sa scie le pied gauche d'Anthone.

- Aie !

Athone se débattait dans le barbelé.

- Tu pourrais avoir l'obligeance de rester immobile ? Je dois faire une coupure nette et sans bavure sinon je ne pourrais pas les recoller sur moi

- Réfléchie Anthone, réfléchie

- Pas besoin de réfléchir ... Reste seulement immobile !

- Attendez !

- Quoi encore ?

- Ce n'est pas comme cela qu'il faut procéder !

- Et alors ?

- Vous devriez couper vos pieds avant de couper les miens. Si vous coupez les miens en premier, le sang va coaguler le temps que vous coupiez les vôtres ! Par contre, si vous coupez les vôtres en premier, vous pourrez les remplacer tout de suite par les miens !

L'homme enleva sa scie du pied d'Anthone. Il se mit à réfléchir.

- Vous avez raison ...

L'homme prit la scie et se coupa les deux pieds sans broncher. L'hémorragie lui fit perdre rapidement connaissance.

- Il est mort ?

- Non, il dort

- Ah ok, j'ai eu peur

L'homme se pencha au dessus de son congénère.

- Il ne respire plus ... Tu mens !

- C'est normal, il doit se reposer ...

- Je dois te tuer

L'homme ramassa la scie à côté du cadavre de son congénère.

- Delphina ... Je pars te rejoindre

- Lâche cette scie Drayton !

Stone arriva en courant, en arrachant les arbrisseaux sur son passage.

- Je ne pensais pas être content de le revoir ...

- Je reviendrais !

L'homme partit dans l'obscurité de la forêt en hurlant.

- Te voilà

- Oui ... Tu peux me libérer ?

- Je pourrais profiter de ta situation

- Pour ?

- Te tuer

- ...

- Fait pas cette tête ! Je rigole !

Stone le libéra et l'emmena de nouveau à la caverne.

- Viens vite ! Il ne va pas tarder à arriver avec les autres enfants de maman !

- Je n'ai pas vraiment le choix

- Non

Stone alluma un feu à l'entrée de la caverne.

- Ça tombe bien j'avais froid

- T'as entendu ça maman ? Il croit que j'ai allumé un feu pour nous réchauffer ?

- C'est pour éloigner les autres ?

- Tu es perspicace

- Je sais

Stone se coucha sur sa peau.

- Allez ... Viens te blottir dans mes bras protecteurs

- Non

- Ce n'était pas une proposition

- Ah ...

Anthone se coucha, blottit dans ses bras. Stone ne tarda pas à s'endormir comme une marmotte.

- ZZZzzzZZZZ

- J'en ai marre

Des cris et des hurlements dérangés provinrent de l'extérieur de la caverne. Ils semblaient furieux. Cela dura toute la nuit. Anthone n'en ferma pas l'œil de la nuit. Ils s'estompèrent avec l'arrivée de l'aube.

- Cocorico !

Le jour venait de se lever.

- Tuez moi ...

- Attention à ce que tu dis ... Je pourrais te prendre au sérieux

- Je veux enfin trouver la paix ... Et ma Delphina ...

- Ne dis pas ça ! Je vais pouvoir t'emmener à l'asile ... Ils vont soigner ta vilaine petite dépression

- Let's go

- Allons y let's go ! C'est parti les amis ...

Les deux hommes se mirent en route pour l'asile.

- Tu me fatigues

- C'est ce que me disais aussi ma copine ... Lise

- Dans son état actuel, elle ne doit plus beaucoup être fatiguée

- C'est parce qu'elle est fatiguée, qu'elle dort depuis des années dans la caverne

- Ou peut être parce que vous l'avez tué ...

Stone ne répondit pas et devint encore une fois silencieux.

- On y est !

Les deux hommes étaient arrivé à l'asile. Stone frappa avec le heurtoir en acier sur l'énorme porte en chêne massif de l'entrée de l'asile.

- C'est pour ?

- Ouvrez ! J'ai un sujet pour vous !

- Sujet ?

- Reculez ... Je vais ouvrir la porte

L'infirmier ouvrit la porte.

- Je te laisse entre de bonnes mains ...

- Oui c'est ça ... Bon vent

Stone repartit sur le chemin.

- Suivez moi ... Je vais vous présenter au directeur

- Oui ...

L'infirmier l'emmena devant le bureau du directeur et toqua à la porte.

- Oui ?

- C'est moi Didier, j'ai un nouveau sujet

- Veuillez entrer je prie

L'infirmier ouvrit la porte.

- Bonjour Monsieur

- Bonjour, je souhaiterait être interné ici

- Pourquoi voudriez vous qu'on vous interne ici avec tous ces malades ?

- Ma Delphina ... Je veux la rejoindre

- Qui est cette Delphina ?

- Ma copine ... Elle a été assassinée ...

- Je vois ... Vous vous appelez comment ?

- Anthone et vous ?

- Ravie de faire votre connaissance Anthone. Je suis John Hammerberg, le directeur de cet hôpital

Le téléphone se mit à sonner.

- Excusez moi Anthone ... Infirmier ? Pourriez vous installer Anthone dans sa chambre ?

- Oui ... Venez avec moi

L'infirmier accompagna Anthone jusqu'à sa chambre.

Swid

UP

Ayaaaa MAMAN

Le 20 décembre 2023 à 19:00:33 :
Nouvelle arc : île de la Folie

Ça va être cordon bleu comme on disait dans le passé !

Hâte de voir ce que devient La machine !
Sweet chef !

- Réveil toi mon chou

Anthone était couché sur un lit confortable.

- Delphina ! C'est toi

Elle se tenait devant lui en petite tenue, portant dans sa main droite un plateau sur lequel se trouvait un porcelet rôti.

- Le diner est prêt

- Je te croyait morte !

- Il suffit que je m'absente quelques heures du lit pour aller cuisiner et tu me crois morte ... Décidément, tu ne peux plus te passer de moi mon chou

- Oui c'est vrais ... Viens la que je t'attrape

Anthone se leva du lit et prit le plateau de ses mains. Il le posa sur une table avant de prendre Delphina dans ses bras et l'embrasser.

- T'es trop mignon quand tu fais ça !

- J'ai envie de passer directement au dessert

Anthone la jeta sur le lit avant de la rejoindre. Elle se retourna et se plaça au dessus de lui. Elle enleva son haut, laissant apparaître sa douce poitrine.

- Je suis heureux d'être avec toi Delphina

- Moi aussi ...

Le plateau posé sur la table tomba soudainement sur le sol.

- Je crois que nos ébats font trop de vibrations

- Oui ...

- Qu'est-ce qui ne va pas Delphina ? Tu en fais une tête ?

Delphina devint pâle et inerte.

- Delphina répond moi !

Anthone la secoua mais elle ne répondit pas.

- Groin

La tête du cochon du plateau, dépassait du pied du lit.

- Delphina ? Le cochon !

- ...

Delphina inerte, s'écroula sur le lit.

- Delphina répond moi, je t'en supplie

- Elle est morte

- Non tait toi !

- Je l'ai tué

- Non !

- Ma pauvre sœur est morte

- Non !

Anhtone secoua le corps sans vie de Delphina, en pleurant.

- Taisez vous ! Sortez de ma tête !

- Tu dois la rejoindre

- Va t'en !

Un corps d'homme avec une chemise rouge remplaça le corps bestial du cochon qui conserva cependant sa tête d'animal.

- M'approche pas espèce d'immondice !

- Tu dois la rejoindre

La chimère mi homme mi cochon prit sa propre tête avec ses deux mains.

- Tu dois la rejoindre

Et d'un coup, la chimère se brisa la nuque.

- Rejoins moi !

Delphina se releva brutalement du lit.

- Delphina !

- Oui ! Rejoins la

Irina qui était derrière Delphina, saisit son cou et le brisa.

- NOOONNNNNN !

- Injectez lui 10 mg de valiumax

Une infirmière prit une seringue qu'elle piqua dans le bras d'Anthone.

- Tout va bien Anthone ... Tous va bien

L'infirmière caresserait la tête d'Anthone qui ne tarda pas à se calmer.

- Où ... Suis-je ?

- Vous êtes à l'hôpital de l'île de la Folie

- Delphina ? Où est-elle ?

- Le sujet souffre de délire paranoïaque ... Qui sont probablement causés par son état de profonde dépression chronique

- Elle était là !

- Qui ?

- Ma Delphina

- Nous n'avons pas de Delphina ici ...

- Mais je l'ai vu

- Vous êtes seul dans cette chambre. Alité depuis une semaine dans un état catatonique. Vous n'avez croisé personne à part mon infirmière Taylor

- Je ... Je ne sais pas ce qui m'arrive

- Vous souffrez d'une dépression sévère suite à un épisode traumatique

- Cela me semblait tellement réelle

- Vous avez besoin de repos. Je dois aller voir mes autres patients. Bipez sur ce bouton près de votre lit si vous avez besoin de quelque chose. Taylor s'occupera de vous.

Le médecin sortit de la chambre.

- Je repasse vous voir tout à l'heure. Vous pouvez sortir vous promener et rencontrer les autres résidents

L'infirmière Taylor sortit à son tour de la chambre.

- Je ... Je crois que je deviens fou ...

- Cet endroit ...

- Je dois faire quelque chose ... Je ne sais plus

Anthone sortit de sa chambre pour rejoindre la salle commune.

- Bonjour ...

- Je suis Gonara, fils du haut roi ... Qui est tu pauvre gueux ?

- Ta grand mère

- Impossible ! Je l'ai tué pour accéder au trône

- Pauvre taré ...

Anthone continua son chemin dans la salle remplie de malades.

- Hé ! Toi ?

- Oui ?

- Tu n'aurais pas vu mon précieux ?

- Non ...

- Ne l'écoutes pas. Ce pauvre fou pense être le nouveau messie

- Quand j'aurais l'anneau, je pourrais enfin te tuer Gonara l'usurpateur du trône

- Que trépasse si je faiblis !

Gonara sortit un glaive en mousse de son fourreau avec lequel il frappa avec violence son camarade.

- Je ... Je meurt ...

L'homme se laissa tomber par terre et se mit à baver.

- Minable ... Je vais te donner le coup de grâce

Un infirmier arriva rapidement sur les lieux.

- Combien de fois je t'ai dit de ne pas taper Fred avec ton épée ? La prochaine fois, je te la confisque !

- Non ! Didier ! Ne fait pas ça !

- Je veux bien être gentil mais faut pas me prendre pour un con

- Cette épée est le symbole de mon autorité sur ces terres ! Sans elle je ne suis plus rien ! Je peux te donner de l'or en échange de ton silence

- A part cette épée en mousse, tu n'as rien ...

- Balivernes !

- Bon, je n'ai pas le temps aujourd'hui pour tes gamineries. Le gardien Stone a trouvé des rôdeurs qui trainaient sur l'île

- Je peux vous aider

- Non tu vas rester bien sagement ici

L'infirmier sortit de la salle commune.

Ça commence déjà sur les chapeaux de roue !