C

A

C

ça part pour la C

CHAPITRE 5. Red dingue

C) Se diriger vers la ville la plus proche

Ils décident de prendre la route vers la ville pour trouver essence et nourriture.
La campagne défile à travers le parebrise du camion blanc.

Au bord de la route, ils aperçoivent une silhouette vêtu de rouge et portant un étrange matériel. Ils s'arrêtent au niveau de l'étrange personnage qui lève le pouce pour faire du stop.

- Salut les routards, je descend vers la ville vous pouvez m'emmener ?

- Allez monte

- Ah yes !

Le stoppeur s'installe à coté de Fred et s'empare d'une canette à Marcel qu'il ouvre en foutant de la mousse partout.

- En tout cas on est bien reçu ici

La petite troupe continu son voyage. Alors que les derniers rayons du soleil empourprent l'horizon, ils aperçoivent les lumières de la ville.

Ils arrivent dans une banlieue morne et grise et décident de s'arrêter pour manger.

A) Aller au Kebab
B) Aller dans un boui-boui Mexicain
C) Aller dans un snack Russe
D) Aller dans une Pizzeria
E) Aller au buffet Chinois

Vote ou fin du Kali-Yuga

E

E

B

E

En route pour la E

E) Aller au buffet Chinois

La petite bande pousse la porte d'un buffet chinois pittoresque et vide de toute clientèle.

- Konichiwa les grains de riz ! Vos meilleurs sushis et que ça saute !

Ils remplissent leurs plateaux de nourriture et s'installent à une table.

- Bon les copains, j'ai pas de quoi payer mais je peux faire de la musique en soufflant dans mes mains

- Pfiou, pfiouuuu, pfiouuu

Fred est à deux doigts de lui enfoncer la tête dans la table, mais en voyant Jamy rire d'émerveillement il se retient.

- Garçon ! J'ai un chien dans ma soupe ! Haha je plaisante

Derrière le comptoir, les employés se regardent en silence.

Antoine se dirige vers eux pour discuter.

- Very bioutifoul the restaurant

- Merci monsieur

- Sauriz I not comprendo

- Very bioutiful la madame ici aussi

- ...

- I want to slip chez vous

- Parle pas à ma sœur

Antoine pousse la porte des cuisines.

- Je pose mon sac de couchage par là et ....

Il s'arrête stupéfait. Devant lui, des dizaines de chinois enchainées assemblent des porte-clés tour Eiffel.

C'en est trop pour les employés qui dégainent des armes en braquant les quatre clients.

- Oups

Ils sont escorté à travers un long couloir sous-terrain avant d'arriver dans un imposant bureau.

- Vous avez franchi les limites les bouffons, vous allez regretter votre manque de respect

- Cependant je suis bon joueur, je vous laisse une chance. Affronter mon champion en duel. Si vous gagnez, je vous laisse repartir, sinon vous finissez dans nos rouleaux de printemps

- Je vous laisse choisir qui combattra mon meilleur homme de mains, "Petit Panda".

A) Fred
B) Jamy
C) Marcel
D) Antoine

A

C

C

D

C) Marcel

Marcel s'avance l'air grave en levant la main. Les autres n'ont pas le temps de réagir.

- Très bien, ce sera donc "Petit Panda" contre "Gros Cochon de lait"

Ils sont emmenés dans une grande cave avec une arène en son centre, entourée de gradins de bois.
Une foule agitée y est installée, les paris fusent dans une joyeuse cacophonie. La côte est de 200 contre 1 en faveur de "Petit Panda".

Marcel s'avance en slip dans l'arène de terre battue. Face à lui, "Petit Panda" fait son entrée sous les acclamations.

Assis sur une estrade, le chef s'adresse à la foule.

- Que le combat commence

"Petit Panda" tourne autour du corps massif de Marcel, le jaugeant du regard. Dans un cris perçant il se jette sur lui, mitraillant son bide à bière de ses poings en furies.
Marcel encaisse les coups en grimaçant, il balance ses grosses paluches sur son adversaire, mais celui-ci rapide comme l'éclair les esquives sans difficultés.

Marcel recule en se tenant douloureusement le ventre. Puis dans un geste de rage et de désespoir il se lance tête baissée comme un boulet de canon sur son ennemi.
Sans bouger, celui-ci l'attends puis lui décoche un puissant coup de pied retourné dans la tête.

Le lourd corps de Marcel s'envol à travers l'arène, le temps se suspend, le public retient son souffle, Jamy se cache le visage pour ne par regarder. Marcel fini par s'écraser avec fracas contre les gradins en bois, brisant les piliers.

- Ah Yes !

Les gradins tremblent puis s'écroulent en dominos dans une panique totale.

- C'est le moment les gars !

Profitant de la soudaine confusion, les trois compères soulèvent Marcel puis se précipitent vers la sortie.
Au milieu des décombres, le chef des chinois les pointe du doigt.

- Attrapez-les, ils s'échappent !

Ils traversent un long couloir, les hommes de main à leur trousse.

- ça va faire un super épisode ça !

Ils débouchent sur la salle-usine où les chinois enchainés les regardent traverser bouches-bée.

Les truands sont sur leurs talons, se rapprochant dangereusement.

Le cerveau de Jamy entre en transe mathématique, il parcourt la salle du regard, les calculs défilent dans sa tête.

Une lumière s'allume dans son esprit. Il appuie sur le levier d'une énorme machine, elle se mets à trembler puis à cracher des milliers de porte-clés tour Eiffel qui engloutissent les mafieux.

Les fuyards se retrouvent dehors et s'élancent vers le camion.

A) Foncer hors de la ville
B) Se cacher quelque part
C) Ligoter Antoine et le laisser là en espérant calmer les chinois

B

A

B