Mais pourquoi, Maria, quand elle marche l'insolente
Ses yeux de feu m'embrasent et me hantent
Quelle brûlure, quelle torture, les flammes de toutes ses courbures
Dévorent mon corps d'obscènes flétrissures
Infernale, bacchanale, l'Enfer noircît ma chair
Du pêché, de désir, le Ciel doit me punir