Le mouvement se fixe pour objectif de redonner à la France la capacité et les moyens de mener les politiques de son choix, le choix du peuple français. Il vise à rendre la République souveraine à l'extérieur – vis-à-vis des traités et instances transnationales sans légitimité démocratique – et à l’intérieur – vis-à-vis des intérêts particuliers, économiques ou communautaristes.
La souveraineté n’est pour nous ni un but en soi ni un fétiche, mais la condition incontournable pour donner vie à un programme social, démocratique, laïque, écologique et républicain.
Nous avons besoin de toutes les bonnes volontés, de tous les savoirs, de tous les savoir-faire. République souveraine est un mouvement et non un parti : tous ceux qui partagent nos objectifs et souhaitent travailler ensemble peuvent y adhérer, même en restant membres d’une autre formation politique.
Avec votre aide, avec votre implication, nous espérons grandir et nous développer pour fédérer toujours plus largement au service du bien commun.
Programme : https://www.republique-souveraine.fr/accueil/les-propositions/
Twitter : https://twitter.com/RSouveraine
Facebook : https://www.facebook.com/rsouveraine/
Djordje Kuzmanovic
https://www.facebook.com/com/DjordjeKuzmanovicOfficiel/
https://twitter.com/Vukuzman?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor
Le 15 mai 2019 à 05:57:54 Republiquesouv- a écrit :
Le mouvement se fixe pour objectif de redonner à la France la capacité et les moyens de mener les politiques de son choix, le choix du peuple français. Il vise à rendre la République souveraine à l'extérieur – vis-à-vis des traités et instances transnationales sans légitimité démocratique – et à l’intérieur – vis-à-vis des intérêts particuliers, économiques ou communautaristes.
La souveraineté n’est pour nous ni un but en soi ni un fétiche, mais la condition incontournable pour donner vie à un programme social, démocratique, laïque, écologique et républicain.
Nous avons besoin de toutes les bonnes volontés, de tous les savoirs, de tous les savoir-faire. République souveraine est un mouvement et non un parti : tous ceux qui partagent nos objectifs et souhaitent travailler ensemble peuvent y adhérer, même en restant membres d’une autre formation politique.
Avec votre aide, avec votre implication, nous espérons grandir et nous développer pour fédérer toujours plus largement au service du bien commun.
Programme : https://www.republique-souveraine.fr/accueil/les-propositions/
Twitter : https://twitter.com/RSouveraine
Facebook : https://www.facebook.com/rsouveraine/Djordje Kuzmanovic
https://www.facebook.com/com/DjordjeKuzmanovicOfficiel/
https://twitter.com/Vukuzman?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor
Vous êtes identitaires ?
La république c'est juste un régime, c'est pas elle qui est souveraine mais l'Etat ou le peuple.
Et RS ca fait renault sport, c'est pas brillant surtout avec le logo.
Le Figaro : Points de vue du 14 mai
Otages au Bénin : doit-on interdire certaines destinations ?
Steve Bannon est-il notre “ennemi” ?
Économie : Édouard Philippe a-t-il vraiment changé de politique ?
Vincent Lambert : vers la légalisation de l’euthanasie
https://www.republique-souveraine.fr/le-figaro-points-de-vue-du-14-mai/?fbclid=IwAR2G0yBip_vq56GLuN88VHMXmhtn_K8YFZHB8-YAaZMe9Ae_1AzDURxPuwI
Vous êtes identitaires ?
Contre l'immigration pas identitaire
A l’hôpital aujourd’hui en France, on ne soigne plus, on bricole
https://www.republique-souveraine.fr/a-lhopital-aujourdhui-en-france-on-ne-soigne-plus-on-bricole/
Le 15 mai 2019 à 06:01:17 Republiquesouv- a écrit :
Vous êtes identitaires ?
Contre l'immigration pas identitaire
C'est toujours ça. Je pense être identitaire.
Nous ne sommes pas en démocratie, le vote du peuple est trahi selon le but des élites.
Arriver au pouvoir est impossible donc par le vote.
Êtes vous prêts à prendre vos responsabilités pour redonner aux français la souveraineté sur leur pays ?
Auteur ?
Le 15 mai 2019 à 06:07:08 Abraracourcix-6 a écrit :
Le 15 mai 2019 à 06:01:17 Republiquesouv- a écrit :
Vous êtes identitaires ?
Contre l'immigration pas identitaire
C'est toujours ça. Je pense être identitaire.
Nous ne sommes pas en démocratie, le vote du peuple est trahi selon le but des élites.
Arriver au pouvoir est impossible donc par le vote.
Êtes vous prêts à prendre vos responsabilités pour redonner aux français la souveraineté sur leur pays ?
Je ne suis pas l'auteur. Par contre, ce que tu proposes, c'est un coup d'Etat ? Tu sais que répondre par l'affirmative seraitdangereux sur le plan judiciaire ?
Le 15 mai 2019 à 05:59:46 ForceVive a écrit :
La république c'est juste un régime, c'est pas elle qui est souveraine mais l'Etat ou le peuple.
Topic clos. L'auteur qui a séché le droit consti en L1
Topic clos. L'auteur qui a séché le droit consti en L1
Arrêter de jouer sur le nom du parti et je suis un prolo
À l'hôpital aujourd'hui en France, on ne soigne plus, on bricole.
S’il y a la grève, c’est parce qu’il y a le feu au quotidien. Il va bientôt devenir impossible de prendre en charge les patients dans les services d’hospitalisation en aval des urgences.
https://www.republique-souveraine.fr/a-lhopital-aujourdhui-en-france-on-ne-soigne-plus-on-bricole/
Les résultats des souverainistes et de ceux qui dénoncent les traités européens (Fi et DLF) ce soir démontrent que la souveraineté nationale et la démondialisation n'ont de sens pour les électeurs que si elle est mise au service d'une république sociale, écologiste et qui doit pousser ces mêmes exigences sur le plan international pour fixer les populations et donc réduire l'immigration.
Les électeurs de l'UPR, des Patriotes, de la France insoumise et de Debout La France doivent se rassembler autour de ce socle qui sera capable de déjouer le centrisme libéral et pro-mondialisation et son assurance-vie le Rassemblement National qui devrait s'appeler le Rassemblement pour faire réélire Macron.
Je n'ai pas vraiment l'impression que les scores de ce soir changent vraiment la donne en ce qui concerne les formations souverainistes. Le problème de la division, pointé par Sapir depuis longtemps par exemple, n'est que confirmé.
Le problème de la division, par ailleurs, se retrouve dans la société française tout entière. C'est un problème qui affecte tout l'échiquier politique : celui de la décomposition entamée à la fin du quinquennat Hollande.
Historiquement, les centristes étaient les plus concernés, coincés entre le PS et l'UMP. La situation n'a pas changé avec plusieurs partis et unions (UDI, Les Centristes, Parti Radical) qui se font toujours la guerre pour des dixièmes de pourcents.
Cela a ensuite frappé la gauche avec la décomposition du PS, qui a profité (au moins un temps) à la FI tout en provoquant une multiplication des formations à gauche (PCF, FI et ses composantes, PS, PP, ND, G.s, EELV...).
Les souverainistes n'y ont pas échappé, avec l'émergence de l'UPR, de DLF, de LP, de RS...
Enfin l'effondrement de LR devrait accélérer ce processus de décomposition à droite, qui pourrait avoir plus ou moins d'effet sur la situation des formations souverainistes. On peut se souvenir que certains comme Pécresse ou Estrosi avaient formé des courants internes, ça ne va qu'aller en se renforçant à mesure que le bateau LR coule.
Et si demain LREM coule à son tour, on pourra avoir une nouvelle explosion.
Or, si ce problème existe, aucune formation n'en a trouvé la solution, car aucune n'a réussi à rassembler et à reconstruire sur les ruines des anciens partis. De la décomposition n'est jusqu'ici née aucune recomposition solide.
LREM, malgré une victoire en 2017, dépasse péniblement les 20% d'exprimés et n'a pas réussi à absorber ses voisins (MoDem, petits partis centristes, voire sociaux-libéraux). Le RN non plus ne parvient pas à passer les 25%, subit toujours la concurrence de DLF et il est aussi concerné par les scissions, avec Philippot. Enfin la FI n'a pas réédité la performance de 2017 et n'a pas réussi à rassembler et à absorber ces voisins ni à créer une force solide.
Le problème des souverainistes est donc un cas particulier de toute la société française, et face auquel personne n'a trouvé de solution.
Il faut quand même se rendre compte de la situation particulièrement inquiétante de l'espace politique français. Sans le système à deux tours de la présidentielle et la logique majoritaire de la Ve République, on serait dans une sacrée mouise, vu l'éclatement des partis et l'impossible compromis entre la plupart des formations (certains pays comme les Pays-Bas voire la Belgique sont plus éclatés, mais généralement ils arrivent à trouver des arrangements qui semblent largement impossibles ici).
En Espagne et en Italie, ou cet éclatement a aussi eu lieu, le PS et la Ligue respectivement ont réussi à rassembler dans des proportions plus fortes qu'ici.
A cela s'ajoute les problèmes particuliers des souverainistes.
D'une part, toutes ces formations s'appuient sur un leader, ce qui empêche un rapprochement puisque par définition il ne peut y avoir qu'un leader par mouvement. Cela provoque une division prolongée entre des mouvements partis pour se battre durablement pour des miettes faute de pouvoir s'entendre (cf Asselineau et Philippot).
L'autre inconvénient, c'est le faible niveau de politisation d'une bonne partie de l'électorat. En effet, aux européennes, les trois partis en tête ont profité d'un vote utile, tactique (bénéfice du "duel" Macron/Le Pen qui a joué en faveur des deux listes) ou d'une bonne image (côté progressiste de EELV via la cause écologique, quand bien même ce parti est en vérité proche de Macron et pas franchement écolo) qui affecte les électeurs plus volatiles et moins engagés.
Or, les électeurs souverainistes sont généralement parmi les plus engagés, ceux avec les convictions les plus fortes. En effet il me semble qu'on entend peu de personnes peu politisées se dire contre l'UE, au plus elles diront que l'UE ne marche pas, qu'il faudra la changer etc. Si on regarde la FI par exemple, les militants sont plus souverainistes que l'électeur moyen qui sera plus tempéré sur cette question (en particulier en 2017, où JLM a attiré des anciens électeurs du PS).
Le problème, c'est qu'aux européennes il est très difficile de porter une réflexion politique profonde, de faire un vrai travail de conviction car la campagne est poussive et se joue beaucoup sur les apparences. C'est seulement à la présidentielle que cela est possible, un certain nombre d'électeurs pouvant changer d'opinion à ce moment-là et ayant un "choc" permettant les campagnes remarquées comme celles de Mélenchon en 2017 et qui sont impossibles aux européennes. Pour les partis souverainistes, il me semble donc impossible de percer sérieusement hors de la présidentielle.
Finalement, quelle est la solution ? Je ne l'ai pas, mais il faudra absolument dépasser les clivages pour qu'un candidat souverainiste puisse porter une candidature de rassemblement à la présidentielle, comme a pu le faire dans une certaine mesure Mélenchon. Il faudra toutefois s'appuyer sur une base minimale car tous les partis qui traînent autour de 1% seront incapables de créer une telle force. Mais vu qu'en même temps, toutes les grandes formations se détachent du souverainisme ou en incarnent une vision trop orientée à droite pour rassembler (NDA), il semble difficile de voir une solution de ce côté-là aujourd'hui...
Le 15 mai 2019 à 05:57:54 Republiquesouv- a écrit :
Tu m'as devancé camarade !
Can't stovic the Kuzmanovic