https://fr.wikipedia.org/rg/wiki/Fusillade_de_Winnenden
La fusillade de Winnenden, qui s'est déroulée le 11 mars 2009 au collège Albertville Realschule, à Winnenden dans le Bade Wurtemberg en Allemagne, a fait seize morts dont l'auteur des coups de feu. Cet événement est une des plus meurtrières tueries en milieu scolaire de l'histoire de l'Allemagne.
Déroulement des faits
Tim Kretschmer, l'auteur de la fusillade de Winnenden, est âgé de dix-sept ans, à la date des faits. Le 11 mars 2009, il se rend armé dans le collège Albertville-Realschule école qu'il a fréquentée jusqu'à l'été 2008. Les premiers coups de feu sont tirés vers 9 h 30 du matin. La police reçoit un premier appel d'urgence à 9 h 33. Le meurtrier s'enfuit et prend de force une voiture dans laquelle il se barricade. Il est finalement retrouvé, puis blessé par les forces de police à quarante kilomètres de là, à Wendlingen am Neckar, à la suite de quoi il se suicide1. Le bilan final était de quinze morts : neuf élèves (huit filles et un garçon), trois institutrices, un passant et deux vendeurs d'une concession automobile.
Les motivations de l'auteur, décrit par ses proches comme un garçon « normal et discret », restent inconnues. Il était suivi par un psychothérapeute pour dépression, même s'il avait cessé de se rendre aux séances depuis septembre 20082.
La police et les médias envisagent rapidement l'existence d'un testament vidéo, comme ce fut le cas lors de la fusillade de l’école d’Emsdetten du 20 novembre 2006 à Emsdetten, où l'auteur avait diffusé une vidéo avant de passer à l'acte. Le lendemain de la fusillade, un message prétendument posté par Tim Kretschmer est retrouvé sur un forum Internet : il y prévient qu'il « en a assez, qu'on ne le prend pas au sérieux » et qu'il projette de se rendre armé dans son ancienne école, en indiquant toutefois qu'il « trolle seulement » et que ce n'est pas la peine de prévenir la police3. Alors que cette dernière confirme dans un premier temps l'authenticité du message, le ministre de l'intérieur du Bade Wurtemberg indique, le 13 mars au Süddeutsche Zeitung, qu'il s'agissait en réalité d'un faux grossier4.
L'arme du crime, un pistolet semi-automatique 9mm Beretta, appartient au père de Tim Kretschmer, membre d'un club de tir sportif, qui possède dix-huit pistolets et carabines enfermés dans un coffre de sa cave. L'arme utilisée lors de la fusillade aurait toutefois été conservée dans la chambre à coucher, et une procédure judiciaire est lancée contre le père de Tim Kretschmer pour négligence dans la garde de son arme5.
Conséquences et débats
Cierges déposés devant le collège après la tuerie.
Comme lors des précédentes tueries du même type, la fusillade de Winnenden a suscité des réactions passionnées dans les médias et relancé deux débats : principalement celui sur le contrôle des armes à feu, mais aussi celui de la possible mauvaise influence des jeux vidéo violents sur les adolescents. Mais certains, comme le professeur Walter Hollstein, estiment cette dernière thèse erronée6.
Concernant le contrôle des armes, différents articles de presse ont réclamé un durcissement de la réglementation, un collectif de chanteurs appelant même à un boycott des écoles jusqu'à leur interdiction totale. Ce boycott fut cependant très peu suivi. Le nombre d'armes à feu légalement détenues par la population allemande est évaluée à dix millions. Ce nombre élevé s'explique moins par la chasse que par la grande popularité des clubs de tir (Schutzenverein), en particulier au sud du pays. La principale fédération allemande de tir sportif, la Fédération allemande de tir (de), revendique ainsi 1,4 million de membres, auxquels s'ajoutent ceux d'autres fédérations mineures. Les estimations du nombre d'armes illégalement détenues oscillent quant à elles de vingt à trente millions. Dans un premier temps, la classe politique s'est généralement opposée à un durcissement de la législation7, estimant qu'il convient plutôt d'assurer le respect des dispositions déjà existantes (dans le cas présent, le père du jeune criminel a fait preuve de négligence). La chancelière Angela Merkel a aussi proposé d'instaurer des contrôles inopinés chez les détenteurs d'armes. Les voix les plus critiques ont soulevé les difficultés pratiques d'un tel encadrement ; d'autres en ont souligné les risques d'anticonstitutionnalité (atteinte au respect de la vie privée). Cependant, après plusieurs semaines de débats, une réforme du droit des armes a finalement été annoncée par le gouvernement fin mai. La nouvelle loi devrait notamment faciliter les contrôles et permettre la création d'un registre national des armes (actuellement, les armes sont enregistrées au niveau des Lander). Une interdiction du Paintball a été évoquée, le gouvernement estimant que ce type de jeu porte atteinte au respect de la dignité humaine, mais ne sera finalement pas mise en place. La réforme est jugée insuffisante par ceux qui militaient depuis la fusillade pour un durcissement de la législation et est dans le même temps accueillie avec méfiance par les tireurs et chasseurs.
Comme fréquemment en cas de massacre scolaire, le sujet des jeux vidéo violents a également été abordé. L'auteur des faits en était, en l'espèce, grand consommateur. Une interdiction de ce type de jeu a été proposée fin mai par les ministres de l'intérieur des Lander.
Le magazine politique féminin EMMA8 a enfin dénoncé la violence pornographique, estimant que la misogynie était une des motivations du tueur (la majorité de ses victimes était des femmes). Cette analyse, peu reprise par la presse généraliste, a toutefois indirectement soulevé la question de savoir pourquoi ces massacres étaient quasi exclusivement le fait de jeunes hommes. Différentes études pointent du doigt une frustration plus grande chez les jeunes garçons que chez les jeunes filles
La fusillade de Tucson, dans l'État américain de l'Arizona, a eu lieu le 8 janvier 2011 lorsqu'un homme ouvre le feu lors d'une rencontre entre une parlementaire fédérale démocrate, Gabrielle Giffords, et ses administrés, tuant et blessant de nombreuses personnes. La fusillade a lieu à Casas Adobes, dans la banlieue de Tucson.
Bilan
Gabrielle Giffords.
18 personnes sont atteintes par les coups de feu, six sont mortes, notamment le juge John McCarthy Roll Chief Judge de la cour fédérale du ressort de l'Arizona ainsi qu'une enfant de neuf ans1.
La représentante Gabrielle Giffords, élue de l'Arizona à la Chambre des représentants des États-Unis, qui est vraisemblablement la cible de l'assaillant, est très grièvement blessée à la tête2.
Morts
Six personnes ont été tuées. Toutes, sauf Christina Green, sont mortes durant l'attaque3.
Dorothy Murray, 76 ans
John McCarthy Roll, 63 ans
Phyllis Scheck, 79 ans
Dorwin Stoddard, 76 ans
Gabriel Zimmerman, 30 ans, assistant parlementaire de Gabrielle Giffords
Christina Taylor Green, 9 ans, de Tucson. Christina Green était accompagnée à ce meeting par un voisin. Elle meurt par la suite à l'University Medical Center. Elle était la fille de John Green et la cousine de l'actrice Sophia Bush. Comme l'ont rappelé de nombreux médias, Christina était née le 11 septembre 2001. L'enfant avait figuré dans un livre de photographie intitulé Faces of Hope ("Visages de l'espoir"), représentant des bébés originaires des 50 États américains, tous nés le jour des attaques terroristes sur les États-Unis4.
Blessés
Les douze blessés incluent Giffords et deux des membres de son équipe de campagne, Pam Simon et le directeur adjoint Ron Barber5.
Le tireur
Jared Lee Loughner.
L'auteur de la fusillade, appréhendé peu après son acte, est un homme de 22 ans, nommé Jared Lee Loughner. Connu des services de police, il possède des antécédents judiciaires pour de multiples infractions6. Le motif de la fusillade reste actuellement inconnu, et les médias rapportent que l'auteur serait mentalement déséquilibré6,7.
L'assassin présumé, Jared Lee Loughner, est interrogé par le Federal Bureau of Investigation (FBI). Le 7 août 2012, l'audience de la compétence de Loughner commence avec le témoignage du docteur Christina Pietz, psychologue médico-légal, qui témoigne croire Loughner apte à être jugé. Après avoir entendu la preuve, le juge Burns statue également que Loughner est apte à être jugé, après quoi Loughner plaide coupable des 19 chefs d'accusation, s'épargnant ainsi la peine de mort8.
Le 8 novembre 2012, Loughner comparaît pour la peine, avec plusieurs de ses victimes ainsi que les proches de ceux qu'il a tué présents. Le juge Burns condamne Loughner à sept peines de prison à perpétuité réelle incompressibles, ainsi qu'à 140 ans de prison sans possibilité de libération9,10,11.
Suites politiques
Les responsables politiques américains ont unanimement condamné l'événement. Le massacre pourrait témoigner d'un climat politique très tendu et d'une polarisation politique extrême
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Tucson#Le_tireur
Kumataro Kido c.1857-1893) et Yagoro Tani) sont des tueurs à la chaîne japonais, assassins de 11 personnes dont un nourrisson, le 25 mai 1893, à Chihaya Akasaka (nom du lieu depuis la deuxième moitié du 20e siècle), tuerie appelée Kawachi Juningiri ) en japonais. Les raisons de ces meurtres sont à la fois affectives et financières. L'épouse de Kido l'a quitté pour un nommé Torajiro Matsunaga, dont le frère, Denjiro, l'a escroqué et agressé. En compagnie d'un élève nommé Tani Yagoro, Kido décide de tuer la famille Matsunaga. Ils préparent fusils et sabres et le 25 mai 1893 attaquent la maison de Denjiro et tuent quatre personnes. Ils attaquent ensuite la maison du fils de Denjiro et tuent cinq personnes. Ils tuent aussi son ancienne conjointe et sa mère. Cependant, ils ne sont pas en mesure de tuer Torajiro Matsunaga. Ils se suicident après les meurtres et leurs restes sont découverts le 7 juin.
Le roman Kokuhaku du chanteur punk rock japonais Ko Machida, est basé sur cette affaire
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kumatar%C5%8D_Kido_et_Yagor%C5%8D_Tani
Richard Speck, né le 6 décembre 1941 à Kirkwood (Illinois) et mort le 5 décembre 1991 à Joliet (Illinois), est un tueur de masse américain.
Présentation
Dans la nuit du 14 juillet 1966, il commet un massacre dans un immeuble où vivaient plusieurs jeunes femmes. Il assassine cinq étudiantes infirmières et trois autres déjà diplômées en stage de perfectionnement au South Chicago Community Hospital de Chicago dans l'Illinois1. Les victimes ont été poignardées ou étranglées. Une seule, alors cachée sous le lit, survit à ce massacre et donne l'alerte. Retrouvé 5 jours plus tard par la police, Richard Speck est arrêté, jugé en 1967 et condamné à mort. Un second procès en 1971 le reconnaît à nouveau coupable mais cette fois la Cour suprême des États-Unis annule la condamnation à la mort. L'affaire est renvoyée en 1972 devant la Cour suprême de l'Illinois qui le condamne à plus de 400 ans de prison.
Entre 1976 et 1990, Speck demandera sa libération conditionnelle pas moins de sept fois. Elles lui seront toutes refusées.
Dans la nuit du 4 au 5 décembre 1991, Speck est acheminé à l'hôpital Silver Cross de Joliet après avoir ressenti une vive douleur à la poitrine. Il meurt au petit matin la veille de ses 50 ans des suites d'une crise cardiaque liée selon le coroner à une malformation du cœur ainsi qu'à une BPCO.
À la demande de sa sœur, le corps de Speck est incinéré et ses cendres sont dispersées dans un endroit tenu secret aux alentours de Joliet.
La police le soupçonne également d'avoir commis trois autres meurtres, dont il ne sera jamais inculpé faute de preuves.
Dans la culture populaire
Dans la saison 5 épisode 4 de la série Mad Men, Rendez-vous mystère, l'affaire est relatée par l'équipe de publicitaires, dont l'un dira qu'il trouve l'affaire horrible.
Dans la saison 1 de la série télévisée d'anthologie américaine American Horror Story, les meurtres commis par un des personnages sont similaires à ceux de Richard Speck.
Dans l’épisode 9 de la saison 1, de la série Mindhunter, les profilers rencontrent Richard Speck dans sa cellule de Joliet dans l’Illinois, afin de mieux comprendre ses crimes.
Dans l'épisode 19 de la saison 11 d'Esprits criminels, un tueur imite les meurtres de Richard Speck.
Dans le film Chicago Massacre de 2007, qui relate la vie de Speck, son rôle est joué par l'acteur Corin Nemec.
Dans le film Serial mother de 1994, une photo de Richard Speck en culturiste est découverte par le mari de Beverly.
Dans le film 100 Ghost Street: The Return of Richard Speck de 2012, le fantôme de Richard Speck hante le South Chicago Community Hospital et assassine les enquêteurs paranormaux qui s'y aventurent.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Speck
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ronald_DeFeo_Jr.
Ronald Joseph DeFeo Jr., né le 26 septembre 1951 et mort le 12 mars 2021, est un criminel américain à l'origine de l'affaire d'Amityville qui a inspiré une série de livres et de films d'horreur américains.
Biographie
Dans la nuit du 13 novembre 1974, à 3 h 15, Ronald DeFeo assassine son père, Ronald DeFeo Sr., 43 ans, sa mère Louise DeFeo, 42 ans, et ses quatre frères et sœurs : Dawn, 18 ans, Allison, 13 ans, Marc, 12 ans, et John Matthew, 9 ans. Il se serait servi d'une carabine Marlin Model 336 de calibre .35. Ronald DeFeo Jr. était l’aîné de la famille.
Il ne s'accuse pas immédiatement des meurtres mais sa version des faits comporte de telles incohérences qu'il avoue dès le lendemain. Il dit aux inspecteurs : « Once I started, I just couldn’t stop. It went so fast. » (« Une fois que j'avais commencé, il m'était simplement impossible de m'arrêter. Ça s'est passé si vite. »), et il affirme aussi avoir été comme manipulé par une entité qu'il appelle « Le Diable ».
Le 21 novembre 1975, Ronald DeFeo Jr est déclaré coupable des six meurtres. Le 4 décembre 1975, le juge Thomas Stark le condamne à six peines consécutives d'emprisonnement allant de 25 ans à la perpétuité. L'hypothèse de la folie plaidée par la défense n'est pas retenue. DeFeo est détenu dans la prison de Green Haven à East Fishkill, puis au centre pénitentiaire de Sullivan (en) à Fallsburg.
Il meurt le 12 mars 20211.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_Lortie
Denis Lortie (né en 19592), dit caporal Lortie, est un tueur canadien, auteur de la tuerie du 8 mai 1984 à l'hôtel du Parlement du Québec.
Tuerie du 8 mai 1984
Article détaillé : Fusillade du 8 mai 1984 à l'hôtel du Parlement du Québec.
À Québec, le 8 mai 1984, il s'introduit armé et en uniforme militaire dans l'hôtel du Parlement du Québec, dans le but avoué d'assassiner René Lévesque et ses députés du Parti québécois, tuant sur son passage trois personnes et en blessant treize autres, avant de se laisser capturer le jour même sans avoir pu réaliser son dessein, n'ayant atteint aucun député1.
Évaluation psychiatrique
Selon le psychiatre Pierre Mailloux, un des experts au dossier, devant la Cour, Denis Lortie souffrait alors de schizophrénie paranoïde. Il aurait donc organisé son crime à la suite d'un délire psychotique. Lortie croyait agir selon la volonté de Dieu et il disait suivre une lumière3,4.
Condamnation
Le 11 mai 1987, après l'invalidation du procès et la tenue d'un autre, il est reconnu coupable de meurtres au deuxième degré et condamné à la prison à perpétuité, soit à un minimum de dix ans, depuis son arrestation, avant une possible libération conditionnelle5.
Libération
Denis Lortie est libéré sous conditions en 1995, puis sans aucune condition à compter du 24 mai 20076. Il vit actuellement à Cantley où il est propriétaire d'un dépanneur.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Colin_Ferguson_(tueur_de_masse)
Colin Ferguson est un tueur de masse américain d'origine jamaïcaine condamné en 1995 pour le « Massacre du Long Island Railroad » à la station du train de l'Avenue Merillon dans Garden City à Long Island, en banlieue new-yorkaise.
Le 7 décembre 1993, au moment où le train entrait en gare, Ferguson sortit un pistolet Ruger P-89 de calibre 9 mm et se mit à faire feu sur les passagers. Au total, 6 personnes décèdent des suites de leurs blessures et 19 autres sont blessées avant que le tireur ne soit maîtrisé par trois citoyens.
Ferguson purge présentement une sentence à vie de 315 ans et 8 mois au Centre correctionnel d'Attica dans l'État de New York. Il est éligible à une libération conditionnelle le 6 août 2309.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_Saint-And%C3%A9ol
La tuerie de Saint-Andéol, également connue sous le nom de l'affaire Éric Bruyas, est une affaire criminelle française qui s'est déroulée dans le département du Rhône à Saint-Andéol, le 30 mai 1995.
Les faits
Quatre des membres de la famille Bébien, composée du père Vincent, 47 ans, de la mère Odette, 46 ans et de deux des trois enfants, de leur fils Vincent, vingt et un ans et de leur fille Aline, seize ans ont été assassinés avec une carabine 22 long rifle dans leur maison de Saint-Andéol-le-Château le 30 mai 19951. Puis, leur assassin a mis le feu à la maison d'un étage à l'aide de bougies et de jerricans d'essence pour faire croire à un drame familial, l'explosion soufflant la maison2.
Arrestation et mise en examen
Éric Bruyas, le gendre de la famille Bébien, né le 10 janvier 1968, a nié au cours de sa garde à vue être l'auteur de la tuerie, prétendant que les assassins étaient des hommes cagoulés qui en avaient après sa belle-famille, mais a reconnu avoir mis le feu à la maison pour « préserver son épouse d'un choc psychologique »3.
Le 16 juin 19951, Éric Bruyas est mis en examen pour quadruple assassinat et destruction volontaire de preuves et est écroué. Samantha Bébien Bruyas, née en 1970, fille aînée de la famille Bébien, et femme d'Éric Bruyas à l'époque, est un temps suspectée de complicité, mais est rapidement innocentée.
Jugement et condamnation
En octobre 1999, les jurés de la cour d'assises du Rhône, estimant qu'Éric Bruyas a tué la belle-famille pour toucher l'héritage, le condamnent à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté de vingt-deux ans. En 2011, il demande la révision de son procès, mais sa demande est rejetée, faute d'éléments nouveaux. Libérable à partir de 2017, Éric Bruyas après de multiples demandes de libération conditionnelle toutes refusées s’est finalement vu accorder une suspension de peine le lundi 25 octobre 2021 pour des raisons liées à son état de santé4. Éric Bruyas meurt à 54 ans d'un cancer du poumon, le 12 janvier 2022 à Saint-Chamond (Loire) 5.
VDD, C'est le topic du glauque, pas le topic qui répertorie toutes les fusillades des usa des trentes dernière années
+ au pire envoie directement les liens des wikipedia sur un seul post au lieu de tout recopier messages par messages
De Lucy à soeur Godfrieda
Le procès Malèvre rappelle d'autres affaires impliquant des infirmiers ou des infirmières ces cinq dernières années. PAYS-BAS. La prison a vie a été requise à La Haye contre Lucy de Berk, 40 ans, accusée de 13 meurtres et cinq tentatives. Le procès a été suspendu en octobre pour des analyses psychiatriques. HONGRIE. Timea Faludi, 25 ans, infirmière à Budapest et surnommée `l'ange noir´, a été condamnée en décembre à 9 ans de prison pour des injections mortelles sur ses patients. SUISSE. Un infirmier d'une maison de retraite de Lucerne a été arrêté en juin 2001 pour avoir `aidé à mourir´ au moins neuf patientes depuis 2000. Il est soupçonné d'en avoir tué 18 autres.
Rappelons, s'agissant de la Belgique, le cas de soeur Godfrieda, infirmière dans une maison de retraite près de Gand, accusée en 78 d'avoir assassiné une trentaine de vieillards par des injections d'insuline. Elle a reconnu trois meurtres et a été internée pour démence.
https://www.lalibre.be/international/2003/01/21/de-lucy-a-soeur-godfrieda-JSTFJXRMBFFDBMGK2L3VAFVM3Q/
Crime de Simonetta Cesaroni, un nouveau témoin rouvre le mystère de la Via Poma : ce qu’il a dit
Demain, 7 aoûtça fera 33 ans du meurtre de Simonetta Cesaronile “cold case” italien également connu sous le nom de jaune de via Poma. UN nouveau témoin il affirme que si les enquêteurs l’avaient interrogé dans les années 1990, le mystère entourant la mort de la jeune femme aurait déjà été résolu.
Qui est le nouveau témoin possible du jaune de la Via Poma
En exclusivité pour TgCom24, il a parlé Giuseppe Macinatiun nouveau nom dans le cadre d’enquête complexe qui a entouré l’affaire du 20 ans tué dans les bureaux de via Poma 2.
Il s’agit de fils de Mario Macinatimémoire d’avocat Francesco Caracciolo de Sarnoou le président régional des Auberges de Jeunesse pour lesquelles la femme travaillait massacré avec 29 coups de couteau.
L’ex-petit ami Raniero Busco, d’abord reconnu coupable du meurtre puis définitivement acquitté
L’homme affirme que les informations en sa possession auraient pu changer le cours de l’enquête, qui s’est d’abord concentrée sur les gardien Pietro Vanacore puis sur petit ami Raniero Buscosans toutefois trouver de confirmation judiciaire.
Ce que Macinati a révélé sur le crime de Simonetta Cesaroni
Dans le journal, Macinati a d’abord admis qu’il ne se souvenait pas exactement de tous les détails, mais il est sûr que le 7 août 1990 à son domicile est venu deux appels de quelqu’un qui cherchait Caracciolo di Sarno.
Il n’était pas rare que le factotum reçoive des appels téléphoniques de ceux qui cherchaient le président régional, surtout les jours fériés ou en été. Ce qui rend les événements suspects, c’est le fait que ces appels téléphoniques, pris de la mère, sont arrivés le premier vers 17h30 et le second à 20h30.
Le 09 octobre 2023 à 21:35:51 :
Quelques heures avant que le corps ne soit retrouvé de Simonetta Cesaroni. « Ce n’est que le lendemain que j’ai appris aux informations qu’une fille avait été tuée dans les foyers. J’ai pensé ainsi c’est pourquoi ils ont appelé“, a déclaré l’homme.
Macinati dit qu’il ne sait pas ce qu’ils ont dit dans les appels téléphoniques, mais aussi que “s’ils m’avaient demandé avantdans l’imminence des faits, le tueur ne serait pas libre“.
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Crime via Poma, le meurtre de Simonetta Cesaroni reste un mystère: personne n’est coupable après plus de 30 ans
L’anti-mafia veut toujours enquêter sur la trace de sang inconnu
Depuis l’acquittement en cassation de son petit ami Raniero Busco, datant de février 2014, le front judiciaire s’est pratiquement arrêté. Dans un rapport du Commission parlementaire anti-mafia menés ces derniers mois, les points à partir desquels il faut repartir sont indiqués.
L’élément principal est le trace de sang encore inconnue trouvé sur la poignée d’une porte des bureaux de via Poma 2 et jamais pris en considération. Le le groupe est A positif et peut-être que là pourrait être contenue la réponse du jaune.
En mars 2022, les investigations ont frôlé un nouveau suspect possible. Il s’agirait d’une personne déjà attentive au moment des faits, dont l’alibi serait démenti par de nouveaux éléments
https://fr.italy24.press/local/799241.html
Ce topic =
J'aime trop les histoire glauque comme ça, je me met dans mon ptit lit douillet et à moi la lecture
up
Le 06 octobre 2023 à 16:48:09 :
Melania Rea, c'est la fille de Vittoria : elle a maintenant 13 ans et a toujours le nom du père Parolisi. Lo zio: «Era il suo desiderio più grande»
La fille a seulement 18 mois quand la maman Melania Rea est brutalement sucée par son pèreVittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, quand le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».
Vittoria a déjà dit qu'elle était seule, dans l'automobile, lorsque le père Salvatore Parolisi a réussi avec 32 collègues de sa mère Melania Rea. C'était le 18 avril 2011. Et dans une première journée, la vie de cette fille changeait pour lui-même: elle était sans mère et père, la mère et le père creusaient avec les autres mères et avec Michele Rea. Oggi Vittoria a 13 ans. Et non plus le nom du père, Parolisi, qui est la patrie la plus puissante. En 2020, il a été libéré pour vendre Vittoria Rea et porté così per semper avec lei un morceau de cette maman qui est portata via così brutalement. Nous allons annuler quel cognome diventato troppo ingombrante: il cognome di un assassino. «Era il suo desiderio più grand - raccontò lo zio Michele - Anche a scuola, quando facevano l'appello, lei ne sentiva suo quel suo cognome et ne fut pas giusto che fosse lei à porter le poids de quel cognome. Ora la bambina a acquis sa sérénité et sa sente ancora plus forte le jeu avec la famille de la maman colombe vive et le crescendo circondata dell'amore di tutti».
Le 18 avril 2011, Melania et Salvatore, respectivement 29 et 30 ans, ont décidé de porter la petite fille de Vittoria, en solo, en voyageant une nuit à Colle San Marco, avec quelques kilomètres d'Ascoli. Dopo essere andata in bagno, della donna si persero le trace. Divers témoignages racontent que vous n'avez pas la meilleure vue possible à l'entrée du restaurant « Le cacciatore » comme si vous aviez toujours soutenu le mari. Après une minute de vent, Parolisi lance l'alarme : Melania était comparée. Da lì iniziarono le ricerche. Le 20 avril, le commandant de la police de Teramo a reçu un téléphone anonyme d'une personne qui a signalé la présence d'un cadavre dans le bois des Casermette, à Ripe di Civitella, dans la localité Chiosco della Pineta. La notification des données de l’homme a été vérifiée.
Dans le cadre des diverses activités, de nombreux éléments sont utilisés pour développer la dynamique de l'omicidio et pour comprendre le mouvement. Melania est devenue l'épouse de son mari parce qu'elle a déjà exploré sa «double vie» et sa relation extraconiugale avec une jeune alliée de l'Esercito, Ludovica. Le jour même de la comparaison de Melania, Salvatore a aimé l'amour pour annuler tous les messages du cellulaire. Le rapport avec l’autre femme est en train de considérer le mouvement de l’omicidio. Parolisi est état condamné au premier degré de l'ergastolo, pena ridotta en Appello à 30 ans et infine la Cassazione l'a définitivement fissata à 20 ans, rimuovendo l'aggravante de la crudeltà.
https://www.ilmattino.it/primopiano/cronaca/melania_rea_figlia_vittoria_rea_oggi_quanti_anni_ha_cognome_dove_vive_salvatore_parolisi_news-7359443.html?refresh_ce
C'est bien de vouloir faire vivre ce topic mais ce n'est plus glauque avec ce genre de post .
C'est juste hilarant
Relis la traduction bordel
[20:02:34] <Pseud001>
Le 10 octobre 2023 à 22:03:34 :
Ce topic =c'est qui ce type?
Le dentiste de l'horreur qui torture les enfants
Un dentiste qui aurait fait vivre l'horreur à des enfants sans défense qu'il aurait pourtant dû soigner n'a jamais été arrêté ou même accusé. Pire encore, il peut continuer de pratiquer sans problème.
Le réseau CNN a mis la main sur une vidéo enregistrée secrètement dans le bureau du Dr Howard Schneider, un dentiste de Jacksonville, en Floride.
Les images sont terrifiantes. On y voit l'homme de 78 ans intervenir dans la bouche d'un enfant. Celui-ci est attaché sur la chaise de traitement, et on l'entend hurler de douleur. On le voit également se débattre, mais il est incapable de se libérer de ses liens.
Son histoire n'est pas unique.
Des dizaines de parents qui ont emmené leurs enfants pour les faire soigner par le Dr Schneider, ont découvert trop tard le traitement «choc» qui était réservé aux petits.
En plus de faire souffrir atrocement ses patients, le dentiste aurait réclamé auprès des assurances dentaires des millions de dollars pour des procédures dont les patients ne voulaient pas ou n'avaient pas de besoin, rapporte CNN.
Un patient furieux a même été vu en train d'agresser physiquement le médecin. Le Dr Schneider affirme pour sa part n'avoir jamais rien fait de mal.
DÉNONCIATION SUR FACEBOOK
Les dénonciations ont commencé lorsqu'une mère de famille, Brandi Motley, a raconté qu'elle avait amené sa fille de 6 ans chez le Dr Schneider pour lui faire enlever une dent.
Le jour de la procédure, le dentiste lui a dit qu'elle ne pouvait pas s'asseoir avec sa fille dans la salle d'opération. «L'infirmière m'a dit que c'était mieux ainsi, que les enfants réagissent mieux quand les parents ne sont pas dans la salle. « Nous n'aimons pas que les parents soient présents», lui aurait-on dit.
La mère était assise depuis trois heures dans la salle d'attente lorsqu'une infirmière a surgi subitement. «Elle m'a dit qu'il y avait eu un incident. Elle hyperventilait. Elle avait du sang partout sur elle», a expliqué la maman.
En colère, Brandi Motley, n'a jamais été capable d'obtenir des explications de la part de l'équipe, mais surtout du dentiste. Elle a choisi d'amener sa fille aux urgences sur-le-champ.
«Une fois dans le stationnement je lui ai retiré les tampons de gaze, et j'ai vu que toutes ses dents avaient été retirées».
Au lieu d'extraire une seule dent à la fillette, le dentiste lui en avait retiré sept.
Dans tous ses états, Brandi a raconté son histoire sur Facebook et son texte est devenu viral, incitant ainsi d'autres parents à raconter le drame qu'ils avaient également vécu.
En plus de nombreuses poursuites au civil entamées par les parents, l'État de Floride poursuit également le dentiste pour fraude.
PLUSIEURS POURSUITES
D'autres poursuites plus anciennes avaient également été engagées contre le Dr Schneider. En 1995, il a été poursuivi pour avoir placé 16 couronnes dans la bouche d'un bambin de 3 ans, ce qui n'était évidemment pas nécessaire. Une entente de 7500$ est survenue entre la famille et le médecin.
Le dentiste a toujours nié les accusations à son endroit, et n'a jamais été arrêté. Malgré tous les soupçons et les doutes, le médecin a toujours sa licence et peut pratiquer sans problème.
https://www.tvanouvelles.ca/2015/05/22/le-dentiste-de-lhorreur-qui-torture-les-enfants
La disparition de Brianna Maitland est l’un des mystères les plus troublants et déconcertants de ces dernières années. Le 19 mars 2004, cette jeune femme de 17 ans a mystérieusement disparu après avoir quitté son lieu de travail dans un restaurant à Montgomery, dans le Vermont.
Malgré les efforts soutenus des enquêteurs et des proches de Brianna, son sort reste inconnu à ce jour. Cette affaire a captivé l’attention du public et est devenue un symbole des nombreuses disparitions non résolues qui continuent de hanter les communautés à travers le pays.
Brianna Maitland était une adolescente enjouée et ambitieuse qui aspirait à une carrière dans la musique. Le soir de sa disparition, elle avait quitté son lieu de travail après minuit et a été aperçue pour la dernière fois alors qu’elle conduisait sa voiture dans la nuit. Quelques heures plus tard, son véhicule a été retrouvé abandonné dans une position étrange à environ 1,5 kilomètre du restaurant où elle travaillait. Les phares étaient allumés et il semblait avoir été embouti par le mur d’un vieux hangar désaffecté.
Dès le début de l’enquête, les autorités ont envisagé différentes hypothèses, y compris celle d’une simple fuite volontaire. Cependant, la famille et les amis de Brianna ont toujours soutenu qu’elle ne serait jamais partie volontairement sans donner de nouvelles. Des recherches intensives ont été menées dans les environs, mais elles n’ont donné que peu d’indices sur la disparition de la jeune femme.
De nombreuses théories ont émergé au fil des années pour expliquer la disparition de Brianna. Certaines suggèrent qu’elle aurait été victime d’un crime violent, tandis que d’autres évoquent la possibilité d’un accident ou même d’une fugue planifiée. Malgré ces spéculations, aucune piste solide n’a pu être confirmée.
La disparition de Brianna Maitland a laissé un vide douloureux dans la vie de ses proches et dans la communauté de Montgomery. Sa famille a créé une fondation en son honneur pour aider à sensibiliser le public aux disparitions non résolues et pour soutenir les familles qui vivent des situations similaires.
La disparition de Brianna a également mis en lumière les défis auxquels sont confrontés les enquêteurs lorsqu’ils tentent de résoudre de tels cas. Malgré les avancées technologiques et les efforts continus des forces de l’ordre, il reste encore de nombreuses personnes disparues non retrouvées dans le pays.
La disparition de Brianna Maitland continue de hanter les esprits et d’évoquer un sentiment de frustration et d’impuissance. Bien que de nombreuses années se soient écoulées depuis ce triste événement, l’espoir de résoudre ce mystère persiste. La famille de Brianna et les enquêteurs ne cessent de lutter pour obtenir des réponses et trouver la vérité sur ce qui est arrivé à cette jeune femme pleine de vie. Espérons qu’un jour, la vérité émergera et que justice sera rendue à Brianna Maitland et à sa famille.
https://mysterium-incognita.com/2023/07/29/la-mysterieuse-disparition-de-brianna-maitland/
Une jeune fille de 9 ans est kidnappée devant chez elle en plein milieu de la nuit. Mais où est-elle donc ? Et que lui est-il arrivé ?
Aujourd’hui, nous allons parler de l’incroyable histoire d’Anthonette Cayedito.
Les faits
Le 6 avril 1986, Penny, la mère d’Anthonette est une mère célibataire et part réveiller ses 3 trois filles. Cependant, Anthonette, la plus grande n’est pas là. Penny ne s’alarme pas et se dit qu’elle est sans doute partie chez un voisin. La porte principale, habituellement fermée est ouverte, signe qu’Anthonette a ouvert la porte.
À Galup, où vit une petite communauté de 18.000 habitants, la violence n’existe pas et les habitants se sentent en sécurité. De plus, beaucoup d’entre eux ne verrouillent même pas leur porte et ils se font tous confiance.
Penny part à la recherche de sa fille, mais aucun des voisins ne l’a vus. Ainsi, c’est tous le quartier qui part à sa recherche. Très vite, ils comprennent que quelque chose de grave vient d’arriver et signale sa disparition à 11 h. Malheureusement, les policiers lui disent de patienter et le lendemain, les recherches commencent.
Les enquêteurs pensent rapidement à la piste de l’enlèvement. Mais que s’est-il passé ? Penny dit que la veille de la disparition d’Anthonette Cayedito, elle est partie boire un verre avec des amis et une nounou était chargée de garder les fillettes. Enfin, c’est à minuit que Penny a rejoint son domicile, les filles étaient là et étaient toutes les 3 couchées dans la même chambre, celle de Penny.
Cependant, Saddie, la jeune sœur d’Anthonette dit avoir entendu en pleine nuit quelqu’un frapper à la porte. De plus, elles entendent un homme et une femme dire « dépêche toi d’ouvrir, il fait froid dehors ». Ne reconnaissant pas les voix, elles ont attendues que les personnes partent avant de retourner se coucher.
L’étrange appel qui va mener d’Anthonette Cayedito
Les policiers reçoivent un appel 1 an plus tard. Une jeune fille prétend être Anthonette Cayedito. Cependant, Anthonette a à peine le temps le dire de dire qui elle est qu’un homme l’empêche de continuer la conversation. Malheureusement, l’appel sera trop court pour être retracé. Penny, sa mère reconnaît sa fille.
Un appel à témoin est lancée et ne mène à rien
4 ans plus tard, une serveuse rapporte un incident. Elle a servi un couple négligé qui étaient accompagnés d’une jeune fille qui essayait d’attirer son attention par tous les moyens. La fille prenait sa main. Enfin, au moment de débarrasser, la jeune fille laissa un mot « aidez-moi, appelez la police ».
Enfin, Saddie, la jeune sœur d’Anthonette Cayedito se rappelle qu’un certain « oncle Jo » a demandé a demandé à ce qu’on lui ouvre la porte. A peine ouverte, il força Anthonette à monter dans sa camionnette. Effrayée, la jeune fille n’a pas osé en parler avant de longues années.
Malheureusement, les parents d’Anthonette meurent avant d’avoir revu leur fille. Les théories les plus répondues sont qu’un proche de la famille l’aurait kidnappé et qu’elle ne cherche plus à retrouver ses parents par lavage de cerveau ou parce qu’elle est morte.
Et vous, que pensez-vous qu’il est arrivé à Anthonette ?
https://lecoinducrime.com/le-kidnapping-irresolu-anthonette-cayedito/