Dans cette punchline profonde aussi bien sociologiquement que philosophiquement, le double rotor ne prend pas de pincettes et va droit au but. Kaaris avoue ainsi qu'il à choisit ce mode de vie et qu'il assume ses convictions. Le Talsadoum refuse catégoriquement de faire un choit entre sa religion et ses ambitions. Il explique ainsi que si il à réussit à s'extirpé du terter c'est à la fois en priant allah subbhan allah et en mettant les mains dans la merde, charbonnant en bas tours, ou imaginant toutes sortes de méfaits pour amasser l'oseil, quitte à créer des divergences avec ses principes. Cette phrase représente parfaitement la nouvelle génération d'immigrés issuent des quartier, qui se disent avant tout musulman, mais qui, pour nombre d'entre eux, accumulent les pécher pour s'élever socialement et gravir les échelons.

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