Le 15 mai 2019 à 01:48:56 Toshirodu34 a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:45:10 larsonneur a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:41:29 Toshirodu34 a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:37:00 Celtissou40 a écrit :
un noir ultra républicain est plus français qu'un déchet royaliste pour moi
hé ben, c'est chaud à ce niveau là
ça rage comme je dis souvent aux petites merdes communautaristes de gauche gnagnagna blanchitude racisme systémique, je ne suis pas blanc, je suis Français
"être plus français" n'a aucun sens pas plus que de lier l'identité nationale avec les opinions politiques...
certes je me suis mal exprimé, il n'y a pas de hiérarchie de "francité", c'est une erreur de ma part
en revanche identité politique et identité nationale en France sont plus liées que nul part ailleurs puis-qu’à l'inverse de ses voisins européens, la France est avant tout une nation politique
C’est faux puisque le constitution de la France comme nation est bien antérieure à toute forme de polarisation politique. On parle de nation chez Furetière, chez Montesquieu. Louis XIV, Louis XV et Louis XVI parlent de nation et de patrie dans leurs discours. La nation, c’est là où l’on est né ; la patrie, c’est là où est né notre père. La révérence que l’on doit à cette terre n’est pas le patriotisme, mais la pietas, qui est à la fois le respect de la religion, le respect dû à nos aînés, celui donc qui est dû à notre père, et, par-là, cette terre où il est né.
Donc la nation est antérieure à la constitution d’identités politiques en France (les « identités » protestantes, libertines, jansénistes, n’y changent rien, puisque même en exil ils se qualifient toujours de Français). L’amour qu’on doit à la patrie est à la fois l’amour filial et le respect de la religion. Trois raisons pour lesquelles vous les socialistes n’êtes ni nationalistes, ni patriotes. Vous êtes des idéologues et c’est pour cela que nous continuons à vous détruire
10%, la fin est proche
Le 15 mai 2019 à 02:10:46 ConstanceChlore a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:48:56 Toshirodu34 a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:45:10 larsonneur a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:41:29 Toshirodu34 a écrit :
Le 15 mai 2019 à 01:37:00 Celtissou40 a écrit :
> un noir ultra républicain est plus français qu'un déchet royaliste pour moi
hé ben, c'est chaud à ce niveau là
ça rage comme je dis souvent aux petites merdes communautaristes de gauche gnagnagna blanchitude racisme systémique, je ne suis pas blanc, je suis Français
"être plus français" n'a aucun sens pas plus que de lier l'identité nationale avec les opinions politiques...
certes je me suis mal exprimé, il n'y a pas de hiérarchie de "francité", c'est une erreur de ma part
en revanche identité politique et identité nationale en France sont plus liées que nul part ailleurs puis-qu’à l'inverse de ses voisins européens, la France est avant tout une nation politiqueC’est faux puisque le constitution de la France comme nation est bien antérieure à toute forme de polarisation politique. On parle de nation chez Furetière, chez Montesquieu. Louis XIV, Louis XV et Louis XVI parlent de nation et de patrie dans leurs discours. La nation, c’est là où l’on est né ; la patrie, c’est là où est né notre père. La révérence que l’on doit à cette terre n’est pas le patriotisme, mais la pietas, qui est à la fois le respect de la religion, le respect dû à nos aînés, celui donc qui est dû à notre père, et, par-là, cette terre où il est né.
Donc la nation est antérieure à la constitution d’identités politiques en France (les « identités » protestantes, libertines, jansénistes, n’y changent rien, puisque même en exil ils se qualifient toujours de Français). L’amour qu’on doit à la patrie est à la fois l’amour filial et le respect de la religion. Trois raisons pour lesquelles vous les socialistes n’êtes ni nationalistes, ni patriotes. Vous êtes des idéologues et c’est pour cela que nous continuons à vous détruire
10%, la fin est proche
je suis tout à fait d'accord sur la partie historique, bien qu'on puisse encore ajouter d'autres éléments comme la centralité de la figure royale comme socle de l'état dans la conception de la nation sous l'ancien régime (cf la "dynamique de l'occident" d'Elias). Seulement à partir du 18 ème puis du 19 ème la manière qu'a le peuple Français de s'envisager en tant que tel change progressivement, et le paradigme identitaire fait de même, si bien que la nation comme considérée sous l'ancien régime n'a plus rien à voir avec la nation au sens moderne du terme, celle de Renan, qui devient ultra majoritaire à la fin du 19 ème (suffit de voir l'effondrement des voix royalistes aux elections sur la fin de siecle)
garde tes 10% je vote pas FI
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.
exactement, un culture politique aussi
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.
Sophisme, outre que c’est parfaitement faux, tout ou partie de ces choses est exclusivement due à la religion.
La nation française, de votre propre aveu, s’est constituée avant que d’avoir une langue commune. En sens contraire, l’Allemagne et l’Autriche ont toujours été deux nations différentes en dépit du fait qu’elles ont une langue commune. La langue ne suffit pas à définir la nation.
L’histoire commune non plus, puisque par exemple les Corses et les Normands n’avaient aucune histoire commune avant que de faire partie de la même nation. L’histoire commune est à la fois le produit et le producteur des unités nationales.
Les identités nationales persistent en dépit des annexions. D’ailleurs les mouvements nationaux sont souvent des mouvements sécessionnistes, qui veulent bien redéfinir un territoire donné pour le rendre compatible avec un peuple, suivant la dichotomie classique entre nationalisme d’existence (comme le nationalisme magyar) et le nationaliste de domination (le « grand espace » schmittien)
Une mentalité partagée, cela ne veut rien dire. Sans doute une resucée mal apprise de la définition que Renan donne à la nation, qui est logiquement fausse, puisqu’il est impossible, comme pour l’histoire commune, de dire si la mentalité partagée et au principe ou à la conséquence de la constitution de la nation.
Par ailleurs, il n’est pas une seule nation sur Terre qui ne s’est pas constituée autour d’une religion. La religion définit la nation parce qu’elle définit la culture ; elle est au cœur du « nomos » d’un peuple, ce qui est bien rendu par le verbe « colo, as, are, ui, cultum ». L’acte définissant la constitution première d’une nation (la prise de terre), c’est-à-dire la colonisation, par exemple la colonisation du Latium par les compagnons d’Énée, fait partie de la famille de mots suivante : colonie, culture, agriculture, cultivation, culte.
Le 15 mai 2019 à 02:33:57 ConstanceChlore a écrit :
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.Sophisme, outre que c’est parfaitement faux, tout ou partie de ces choses est exclusivement due à la religion.
La nation française, de votre propre aveu, s’est constituée avant que d’avoir une langue commune. En sens contraire, l’Allemagne et l’Autriche ont toujours été deux nations différentes en dépit du fait qu’elles ont une langue commune. La langue ne suffit pas à définir la nation.
La langue ne suffit pas mais est nécessaire. D'un bout à l'autre du territoire, les hommes doivent se comprendre. Ça n'exclue pas nécessairement les dialectes ou les patois.
L’histoire commune non plus, puisque par exemple les Corses et les Normands n’avaient aucune histoire commune avant que de faire partie de la même nation. L’histoire commune est à la fois le produit et le producteur des unités nationales.
Bah justement, ils se sont intégrés à la Nation grâce au temps - donc à l'histoire commune - et à la généralisation du français.
Les identités nationales persistent en dépit des annexions. D’ailleurs les mouvements nationaux sont souvent des mouvements sécessionnistes, qui veulent bien redéfinir un territoire donné pour le rendre compatible avec un peuple, suivant la dichotomie classique entre nationalisme d’existence (comme le nationalisme magyar) et le nationaliste de domination (le « grand espace » schmittien)
Bah bien sûr. Par exemple l'Empire Napoléonien était, pour reprendre Staline, "unconglomérat de groupes accidentels et peu liés entre eux", donc pas une nation.
Une mentalité partagée, cela ne veut rien dire. Sans doute une resucée mal apprise de la définition que Renan donne à la nation, qui est logiquement fausse, puisqu’il est impossible, comme pour l’histoire commune, de dire si la mentalité partagée et au principe ou à la conséquence de la constitution de la nation.
C'est surtout une manière de parler de communauté de culture. L'esprit français, ce n'est pas la même chose que le flegme britannique.
Par ailleurs, il n’est pas une seule nation sur Terre qui ne s’est pas constituée autour d’une religion. La religion définit la nation parce qu’elle définit la culture ; elle est au cœur du « nomos » d’un peuple, ce qui est bien rendu par le verbe « colo, as, are, ui, cultum ». L’acte définissant la constitution première d’une nation (la prise de terre), c’est-à-dire la colonisation, par exemple la colonisation du Latium par les compagnons d’Énée, fait partie de la famille de mots suivante : colonie, culture, agriculture, cultivation, culte.
Tu vois bien que si tu retires Dieu de l'équation cela ne change strictement rien à partir du moment où il y a de la culture.
On vote tous PCF le 26 mai pour faire bouger Mélenchon
On doit lancer le #jevotePCF
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-59668594-1-0-1-0-officiel-republique-souveraine.htm
J'ai créer un topic la republique-souveraine si vous voulez
Le 14 mai 2019 à 21:50:09 MikhailKalinine a écrit :
la religion quelle qu'elle soit c'est de la merde pour la France
Même le culte de l'être suprême prôné par l'incoruptible Maximilien de Robespierre ?
Le 15 mai 2019 à 06:02:37 Republiquesouv- a écrit :
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-59668594-1-0-1-0-officiel-republique-souveraine.htm
J'ai créer un topic la republique-souveraine si vous voulez
Premier bide
Le 15 mai 2019 à 01:03:13 ABenalla a écrit :
Voila ce qui se passe quand Mélenchon ne tient pas son parti d'une main de fer
Les trotskos qui ont pris le contrôle de la FI
L'avenir c'est Philippot désormais
Quel idiot l'autre élu FI qui rejoint le RN alors que ce dernier a abandonné la ligne sociale
Philippot est un troll opportuniste qui n'a fondé son parti que le jour où il a compris qu'il ne serait pas premier ministre.
C'est incroyable ce topic ya plus de gens qui postent qui ne sont pas pour la fi que l'inverse , bordel allez créer vos propres topics au lieu de venir polluer le nôtre avec vos élucubrations religieuses ethniques, quant au fan club de Kuzma allez bider ailleurs svp.
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.
C'est marrant d'avancer avec autant de certitude une théorie qui est en désaccord avec absolument tout ce qui peut être observé autour de nous. Nombre de pays cohérents culturellement et n'ayant pas eu de religion d'état, ou du moins majoritaire? Bonne chance pour trouver.
L'approche intégralement matérialiste vous conduit a dire de sacrés conneries sérieux. Il est evident qu'une nation/pays/peuple a besoin d'un socle spirituel commun. D'ailleurs c'est marrant que tu te permettes ce genre d'insertion alors qu'une écrasante part des grands penseurs Français sont en strict désaccords avec.
Et va falloir m'expliquer ce qu'est une "mentalité partagée", comment y accéder sans religion commune.
Le 15 mai 2019 à 02:33:57 ConstanceChlore a écrit :
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.Sophisme, outre que c’est parfaitement faux, tout ou partie de ces choses est exclusivement due à la religion.
La nation française, de votre propre aveu, s’est constituée avant que d’avoir une langue commune. En sens contraire, l’Allemagne et l’Autriche ont toujours été deux nations différentes en dépit du fait qu’elles ont une langue commune. La langue ne suffit pas à définir la nation.
L’histoire commune non plus, puisque par exemple les Corses et les Normands n’avaient aucune histoire commune avant que de faire partie de la même nation. L’histoire commune est à la fois le produit et le producteur des unités nationales.
Les identités nationales persistent en dépit des annexions. D’ailleurs les mouvements nationaux sont souvent des mouvements sécessionnistes, qui veulent bien redéfinir un territoire donné pour le rendre compatible avec un peuple, suivant la dichotomie classique entre nationalisme d’existence (comme le nationalisme magyar) et le nationaliste de domination (le « grand espace » schmittien)
Une mentalité partagée, cela ne veut rien dire. Sans doute une resucée mal apprise de la définition que Renan donne à la nation, qui est logiquement fausse, puisqu’il est impossible, comme pour l’histoire commune, de dire si la mentalité partagée et au principe ou à la conséquence de la constitution de la nation.
Par ailleurs, il n’est pas une seule nation sur Terre qui ne s’est pas constituée autour d’une religion. La religion définit la nation parce qu’elle définit la culture ; elle est au cœur du « nomos » d’un peuple, ce qui est bien rendu par le verbe « colo, as, are, ui, cultum ». L’acte définissant la constitution première d’une nation (la prise de terre), c’est-à-dire la colonisation, par exemple la colonisation du Latium par les compagnons d’Énée, fait partie de la famille de mots suivante : colonie, culture, agriculture, cultivation, culte.
Ah beh merde, tout avait déjà été dit.
Le 15 mai 2019 à 09:50:53 Auteur blacklisté a écrit :
Le 15 mai 2019 à 02:22:07 RepSouv a écrit :
La nation c'est un peuple avec une histoire commune, une langue, un territoire, une cohésion économique, et une mentalité partagée. La religion est totalement accessoire dans la constitution d'une Nation.C'est marrant d'avancer avec autant de certitude une théorie qui est en désaccord avec absolument tout ce qui peut être observé autour de nous. Nombre de pays cohérents culturellement et n'ayant pas eu de religion d'état, ou du moins majoritaire? Bonne chance pour trouver.
La France, l'Espagne...
Jean Branque explique pourquoi il votera pas pour notre liste https://twitter.com/anatolium/status/1128585708325756928
[11:29:36] <flo132700>
Jean Branque explique pourquoi il votera pas pour notre liste https://twitter.com/anatolium/status/1128585708325756928
Elle a juste pas eu le temps de lire son bouquin(c'est pas comme si il était en campagne hein) et Branco en déduit une soumission à l'oligarchie Il est parano
Sinon https://twitter.com/Melusine_2/status/1128553460692082690?s=09 Exaspérant ce type de Tweet qui traîne Kuzmanovic dans la boue
Elections européennes : Fronde d’anciens ministres socialistes après des sorties de Glucksmann sur le Rwanda
Ils s’y émeuvent de deux déclarations de Raphaël Glucksmann. La première aurait été prononcée en janvier : « François Mitterrand a porté de la manière la plus radicale et la plus abjecte la politique de la France au Rwanda. » La seconde, le 6 avril, aurait été dite en marge de son meeting à Toulouse : l’ancien président aurait été, selon le fondateur de Place publique, « complice du génocide au Rwanda » perpétré par les Hutus et qui a fait environ 800.000 morts parmi les Tutsis entre avril et juillet 1994.
« Comment peut-on porter un tel jugement, alors que la France a été (…) le seul pays, dès le feu vert donné par l’ONU, à mener une opération humanitaire en 1994, pendant le génocide, pour sauver des vies, pendant que le monde entier restait indifférent ? », écrivent les ex-ministres. La politique française au Rwanda « peut être critiquée » mais « rien, absolument rien, ne peut justifier les accusations de "complicité de génocide" relayées par M. Glucksmann, alors qu’il s’exprime aujourd’hui au nom des socialistes », poursuit le courrier.
https://www.20minutes.fr/politique/2518279-20190515-elections-europeennes-fronde-anciens-ministres-socialistes-apres-sorties-glucksmann-rwanda?utm_medium=Social&xtref=facebook.com&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0xSSTO-8X8YISmYsF8ehbh4uFZU6Nznr8HmYW8sMCw6JIfYRtg1oHfcAw#Echobox=1557906992
Faut dire que Glucksmann n'a pas tort sur ce coup
Le plus drôle c'est les socialistes qui assument toujours pas leur histoire. Au PS on dirait que critiquer Mitterrand relève encore du blasphème.
Sinon LCI BFM CNews qui parlent encore de Kotarac