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Sujet : Ce Pirate Corse qui à attaquer sa propre patrie !!!

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KunaaaaaWaraaa KunaaaaaWaraaa
MP
Niveau 7
27 avril 2017 à 20:25:42

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mami_Corso

"Fait prisonnier par des Maures, Philippo se convertis à l'islam et prend le nom de Mami Corso, et de ce fait retrouve sa liberté"

"Il sillonne la mer. Vers mai 1560, il est connu pour ses exactions dans le cap de Corse et notamment à Centuri (ses propres voisins), il y accosta pour y perpétrer un terrible attentat relayé par le chroniqueur Anto Pietro Filippini, le corsaire y détruisit les maisons et massacra les habitants du village, seul un homme fût épargné. Il se rend à Morsiglia, Ogliasatro et Minerbo, où il extermina tout ses habitants. Il fait des razzia tout en brûlant plusieurs maisons.

En 1563, Mami Corso débarque à Pino, sa ville d'origine, avec des barbaresques. Le supérieur du couvent, Saint-François le reconnut, car Mami fût son ancien élève. Il tenta de le raisonner, Mami fit mine de se repentir. '''En réalité, il continua ses massacres.

"En 1578,il attaque Ornano, patrie de ses amis les d’Ornano. Il continuera à ravager la Corse, sa patrie d’origine et qu’il n’a pas arrêté de la razzier depuis près d’un quart de siècle. En 1583, Mami Corso, à la tête d'une armée de Maures réalise un attentat sur la ville de Sartène qu'il incendia, où il capture de 400, à 500 habitants.

Et il était lui même d'origine Corse https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

Message édité le 27 avril 2017 à 20:27:27 par KunaaaaaWaraaa
KunaaaaaWaraaa KunaaaaaWaraaa
MP
Niveau 7
27 avril 2017 à 20:27:48

Les Corses en SUEUR https://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263674-jesus5.png

KunaaaaaWaraaa KunaaaaaWaraaa
MP
Niveau 7
27 avril 2017 à 22:49:39

:hap:

Pseudo supprimé
Niveau 7
27 avril 2017 à 22:56:08

Je feed mais bon....

LA GUERRE DE CHYPRE : 1570-1573

Chypre est une possession vénitienne depuis 1489. Au début de l'année 1570, le sultan Selim II décide de la conquérir. Le 28 mars, il envoie un ultimatum à Venise et séquestre ses navires. La Sérénissime obtient de Gênes l'autorisation d'enrôler 600 hommes.
Le 9 septembre 1570, les troupes de Lala Mustapha Pacha pénètrent dans Nicosie, avant que les vaisseaux de la Ligue menée par l'Espagne ne puissent se joindre à ceux de Venise pour intervenir. 20 000 habitants sont massacrés, les survivants sont vendus comme esclaves.

Le 5 août 1571, Famagouste est assiégée par les Turcs. Le commandant de la place, Marc Antonio BAGRADIN ne dispose que de quelques centaines de défenseurs dépourvus de poudre et de vivres. Dans l'impossibilité de tenir tête face à une armée de 250 000 hommes, il négocie une capitulation honorable.
La reddition obtenue, ses officiers sont exécutés, les hommes envoyés sur les galères, femmes et enfants vendus comme esclaves. BAGRADIN est atrocement supplicié. Son martyr va galvaniser l'ardeur des troupes embarquées sur les bâtiments rassemblés dans la rade de Messine.

Le dimanche 7 octobre 1571, s'engage au large de Lépante, le combat naval qui oppose la flotte de la Sainte Ligue, commandée par Don Juan d'Autriche. Cette flotte rassemblent des vaisseaux pontificaux, génois, espagnols, et vénitiens pour plus de la moitié, soit six galéasses et cent neuf galères où des fantassins Corses sont embarqués.
On compte également trois galères et une felouque commandée par Giovanni-Ambroggi de NEGRONI, un Cap-corsin, allié de Gênes. Cette petite flottille sert d'éclaireur à la flotte vénitienne.

Les Ottomans subissent une défaite historique. Les Corses ont fait montre de leur vaillance et de leur courage. La bataille a coûté 4 700 morts aux troupes vénitiennes. Venise doit combler les pertes par de nouvelles levées.

Pseudo supprimé
Niveau 7
27 avril 2017 à 22:59:36

LA GUERRE DE CANDIE - 1645 à 1669

Au début de l'année 1645, Candie (la Crète) est sous la menace turque. Venise y envoie des troupes, des vivres et de l'argent. Mais l'effectif des défenseurs ne dépassera pas le nombre de 3 500 hommes.
Le 24 juin 1645, 50 000 Turcs débarquent sur la plage de Gogna et enlèvent La Canée. Le siège de Candie commence, il va durer 24 ans.
La résistance des défenseurs de Candie est farouche. 130 000 assiégeants tombent sous les murs de la citadelle. Le siège constitue une terrible épreuve pour les défenseurs, moins nombreux, et exposés aux assauts des mines et aux bombardements. La défense de la place, les assauts et les sorties déciment les rangs des assiégés.
La guerre s'étend, et la flotte turque effectue des incursions jusque devant Venise. Le Sénat décide de bloquer les Turcs en coupant leur ligne de ravitaillement.
En 1655, Lozzaro MOCENIGO tente de forcer le détroit des Dardanelles pour attaquer Constantinople. Il embarque des soldats Corses. Cette opération est un échec, et ce malgré l'engouement des Corses à s'engager.
L'année suivante, à la prise d'Egine et de Volo, les Corses s'emparent d'une grande quantité d'artillerie et de munitions, permettant aux vénitiens de réapprovisionner leurs navires.
Le 12 janvier 1666, le Sénat accrédite le Capitaine Giulio MORATI Corse, de lever une compagnie Corse de 300 hommes.
Dans le même temps, le Colonel Cesare ORNANO rassemble en 17 jours une nouvelle compagnie de fantassins corses, qu'il met sous les ordres du sergent-major Silvestro GRIMALDI. Ces compagnies montent au front une fois rassemblée.
Le 17 avril 1666, une compagnie de soldats Corses commandée par Paulo PERA se rend à Brescia.
Ce même jour, plusieurs compagnies de Corses, venues de Vérone, sont dirigées vers le Lido, port d'embarquement vers le Levant.
Un autre capitaine Corse, Angelo CASABIANCA, parti de Bergame avec sa compagnie de fantassins, les y rejoint.
Au Lido, ils y retrouvent une compagnie de Corses, rassemblée sous les ordres du Lieutenant-colonel Obizzo MALASPINA.

Fantassins Corses au service de la Sérénissime - FAVALORO Francesco Paolo, L’Esercito Veneziana del 1700

Les Corses ne combattent pas seulement sur la terre ferme, on les retrouve également sur mer.
Les FRANCESCHI, corsaires du Cap, venus combattre les Turcs aux côtés de Venise.
Anton Paolo FRANCESCHI (v. 1540) est l'un d'eux, nommé "Gentilhomme d'honneur à Venise et autres Etats du sérénissime Duc".
Domenico FRANCESCHI qui commande en 1669 des galères vénitiennes venues au secours de Candie.
Pietro FRANCESCHI (v. 1633 - 1686), Chevalier de l'ordre de Saint Etienne de Toscane. Il repose dans l'église de Centuri sous une dalle armoriée, qui rappelle les services rendus à la Sérénissime, dont la prise d'un navire barbaresque transportant des miliciens d'élite aux assiégeants de Candie.

Giorgio Maria VITALI, (v. 1610, Cap Corse - 1668, Constantinople) corsaire, nommé Chevalier de Saint Marc, qui s'illustre dans l'archipel grec. Il s'établit à Tinos en Mer Égée où Venise le nomme Sergent-général de la flotte afin de défendre les parages contre les Turcs. Il est tué par les Turcs, et sa mort fut célébrée dans la capitale ottomane comme un événement.
Il laisse un parent à Tinos, Ange Maria VITALI, corsaire, et deux filles mariées en Corse.
Cette lutte que Venise mène seule contre les turcs épuise les caisses de l’État. La dernière année lui coûte à elle-seule 4 500 000 ducats, la Sérénissime est à bout de forces et de ressources.
Le 26 septembre 1669, Francesco MOROSINI, dit le Péloponnésiaque (Venise 1618 - Nauplie 1694), soucieux d'éviter la répétition des massacres de Chypre, décide de conclure la paix, ainsi que l'embarquement de la population de Candie en échange de la cession de l'île. Il sera élu doge en 1688. Amiral en Mer Égée, il combat les Turcs depuis 1651. Il sera rendu célèbre par sa défense de Candie (1667-1669).

Pseudo supprimé
Niveau 7
27 avril 2017 à 23:08:41

Cyrnorium fortia bello pectora
Les Corses au cœur intrépide au combat
(devise inscrite sur une fresque au Vatican)

LES ORIGINES

La présence de Corses dans l'entourage des Souverains Pontifes remonte au moins à l'époque où Pépin le Bref a attribué l'île au Pape Étienne II en 755, avant sa donation par Charlemagne en 774 à Adrien 1er. C'est en vertu de ces titres que la Papauté a rappelé périodiquement ses droits sur l'île, et a délégué ses pouvoirs en fief à quelques protecteurs qui se reconnaissaient vassal de Saint Pierre (Toscane, Pise, Aragon, Gênes). La papauté y envoya des légats pour manifester son autorité directe, et y mena parfois des expéditions militaires. La dernière expédition militaire envoyée vers 1445 par le Pape Eugène IV se solda par un échec.

A plusieurs reprises la Papauté usera de ce pouvoir auprès de Gênes pour faire cesser les maltraitances exercées sur les populations locales. Cette situation fut la cause d'une émigration vers Rome dès le haut moyen-age.
Ainsi la paroisse de San Grisogono est élevée au rang d'église nationale des Corses dès 1445 et fut le lieu de sépulture de nombreux officiers Corses au service du Saint-Siège.

Au XVI° siècle, une colonie Corse nombreuse et prospère, faite de commerçants, d'ecclésiastiques, d'étudiants y peuplent un quartier du port. On les trouve dans l'entourage immédiat ou dans la famille des papes, tant ecclésiastes que laïcs.

Le service des Corses remonte au règne de Léon IV qui régna de 847 à 855. Rome fut alors le refuge de nombreuses familles corses qui fuyaient les pillages barbaresques. Ce pape les utilisa pour le peuplement d'Ostie et pour la garde de l'enceinte ou "Mure di Leone IV".
Comme les troupes ne sont pas permanentes on en ignore le nombre.

En 1465, l'on ne compte pas moins de 23 capitaines ou connétables Corses dan les Etats de l'Eglise.
En 1475, Une bulle du pape Sixte IV exige de tous les Corses qui veulent résider à Rome ou occuper un garde dans l'armée une caution de 200 ducats.

Monument funéraire de Pasquino Corso, Colonel de la Garde en l'église de San Grisogno.
Originaire de Perugia. Il combat en 1514 aux côtés de Giovanni de Médicis dit Giovanni Delle Bandere Nere. En 1529 il commande 2.000 soldats corses au service de Florence. En 1530, il passe au service de la Papauté. Il décède dans le courant du mois de juillet 1532. Il repose dans l'église de San Grisogno.

Entre 1468 et 1471, quatre compagnies de gens d'armes (cavalerie lourde) Corses sont entretenues et soldées à Rome.
Sous les règnes des Papes Alexandre VI (1493-1503) et Jules II (1503-1513) ces compagnies sont multipliées. Sous le pontificat de Jules II, l'armée pontificale atteint le chiffre de 12 000 hommes de toutes provenances et de toutes nationalités, et pas nécessairement catholiques.

En 1502, en prévision d'une action contre les Turcs, une flotte de guerre forte de 13 galères est armée, les équipages sont recrutés sur toutes les côtes latines.

En 1517, il y a dans Rome, près de 3.000 soldats Corses commandés par 14 capitaines.

Après la déroute de Lautrec devant Naples en 1528, les débris de l'armée française remontent vers le nord à travers les États de l'Église. Parmi eux les bandes Corses au service de France, soit 3 000 hommes. 600 s'arrêtent à Rome, et y prennent du service à la solde de Clément VII (1523-1534). Parmi ces troupes, les compagnies des Capitaines Sampiero Corso et Raffaelo Corso.

Après le sac de Rome en 1527, par les troupes impériales, la Papauté prend de la distance et adopte une position de neutralité dans le conflit qui oppose François 1er et Charles Quint, et elle n'intervient plus.

Il faut attendre la bataille navale de Lépante le 7 octobre 1571 pour voir l'armée pontificale prendre part à la campagne navale de la Chrétienté contre les Turcs. Des équipages Corses montent les galères armées par l'Église.
Cette campagne navale sonne la fin des Papes guerriers. A partir de ce moment, les troupes vont devenir permanentes. Un service régulier est créé. La Garde Corse est organisée.

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