Dans une ville énigmatique où le temps semblait se tordre et se plier, un groupe diversifié de cinq personnages se tenait devant une porte scintillante, à la fois familière et mystérieuse. Leurs noms étaient Félix, Nil, Adrien, Paul, et une entité nommée X. Ensemble, ils s'engagèrent dans une odyssée à travers plusieurs "salles", chacune révélant des vérités profondes et des épreuves inattendues.

Félix est un adversaire du temps normal.

Nil vit le temps à l'envers.

Adrien vit le temps en boucle.

Paul vit le temps dans une étrange randomité.

X ne vit pas le temps.

Première Salle

Alors qu'ils franchissaient le seuil, un monde de miroirs déformants se déployait devant eux. Chaque mouvement qu'ils faisaient était reflété et multiplié par des reflets déformés, créant une cacophonie de gestes. Leurs rires et exclamations résonnaient sans fin dans l'espace, formant une boucle infinie de son.

X dit : le temps doit être vécu dans une boucle vécue dans le temps vécue dans une boucle.

Félix et Nil sont tous deux également déformés.

Adrien se sent normal et Paul s'en moque, il y a toujours des boucles dans la randomité, il est un peu irrité.

X conclut que pour avancer, ils doivent inventer de nouvelles actions qui ne peuvent pas être répétées, alors il commence simplement à réciter Pi, la salle commence à tourner et ils sont transportés à la deuxième salle.

Deuxième Salle

En entrant dans la salle, ils voient la porte de sortie, plus ils essaient d'atteindre la sortie, plus la porte s'éloigne.

X analyse la salle et conclut que c'est une sorte de salle à l'envers où l'on ne peut jamais atteindre son objectif. Ils décident soit de faire de la porte d'entrée leur nouvel objectif, soit de changer d'objectif pour quelque chose où franchir la porte n'est qu'une étape. Ils choisissent la première option, était-ce une bonne idée ? Ils commencent à marcher vers la porte d'ouverture et s'éloignent lentement de celle-ci vers la porte de sortie, ils atteignent la salle suivante.

Troisième Salle

La salle suivante révélait un monde chaotique rempli d'objets flottants défiant la gravité. Les murs changeaient de couleur en fonction des émotions des personnages, créant une atmosphère de merveille et de confusion.

X sait que c'est un mouvement absurde et aléatoire, alors ils commencent à créer une histoire à partir des objets aléatoires en utilisant des boucles, des choses à l'envers, etc.

Ils atteignent la salle suivante.

Quatrième Salle

Personne ne comprend ce qui se passe, même pas X. Ils concluent tous (sauf X) que cela doit être la salle créée pour la faiblesse de X qui ne peut pas être décrite. Il y a beaucoup de signes sur les murs : vous ne pouvez pas lire cette phrase. Cette phrase est fausse. Vous devriez comprendre ce que vous ne pouvez pas comprendre. Pour sortir, vous devez comprendre que vous ne pouvez pas sortir.

C'est un paradoxe, que se passerait-il s'ils étaient encore dans une boucle et qu'ils avaient fait cela sans se souvenir depuis l'infini ? Est-ce toujours la salle sans fin et n'ont-ils toujours pas trouvé la vraie sortie ? Et si c'était un monde où chacun d'eux avait créé une salle basée sur ses faiblesses ? Que se passerait-il si la création de la salle de X, l'incompréhension absolue, les avait mis dans une boucle qui les a amenés à la salle des boucles par une salle de téléportation qui se trouvait entre les salles ?

Réalité : ils ont toujours été dans la salle de faiblesse, l'incompréhension absolue qu'ils ont créée les a mis dans une boucle qui est absurde, ils ont commencé à répéter une randomité absolue. Ils ont décidé de continuer à imaginer retourner à la salle absurde parce qu'à un moment donné, cette imagination se produira puisque tout pourrait être aléatoire. Ils atteignent l'absurde et là, créent une chose absurde : des jumeaux, l'un avec toutes les faiblesses et l'autre sans faiblesses. Ils retournent ensuite à la salle de faiblesse, les jumeaux parviennent d'une manière ou d'une autre à vaincre la salle et ils atteignent une nouvelle salle. Écrit sur les murs : la salle d'Harmonie, ils doivent utiliser toutes les autres salles pour en sortir.

Que pensez-vous qu'ils feraient ? Ils ne savent même pas que le narrateur est coincé, ils sont tous prisonniers de la salle d'écriture et pour les libérer, je dois arrêter d'écrire.