+1 VDD de mon VDD
Et k2 on sais déjà que la sweet avant la rentrée après demain, on peut se la mettre ou je pense
Je vien de commencer et sweet
Omg
DEPECHE TOI D'ECRIRE !
50% du chap 13 actuellement
et ouais je vais essayer de passer le 14 et le 15 demain pour compenser... enfin bref on verra bien.
Essaie pas
Mieux vaux prendre de l'avance, pour pouvoir nous balancer un chap même si tu es dans la galère...
Et donne nous un bon 13 alors ^^
On peut tous allez se suicide
arrêtez de polluer la fic avec vos monosmileys
c'est trop dur d'attendre une suite quelques jours ?
vous avez jamais suivi de fic de votre vie putain, le rythme est rapide là
C'est officiel l'auteur à disparu...Ils disparaissent vite ses temps si
J'ai terminé les chapitres 13, 14 et presque le 15. Je poste le 13 dans quelques minutes, le 14 demain et le 15 dans la foulée pour me faire pardonner
Si je ne me dépêchais pas, les deux filles allaient participer à leur réunion secrète sans que je n’aie le temps de les filer. Je n’ai pas pu entendre le lieu du rendez-vous à cause de Louise, j’étais donc obligé de les suivre sans les perdre de vue.
Je sortais du vestiaire puis du gymnase. En retournant d’où j’étais venu, dans la grande cour, je vis les deux filles marcher côte à côte d’un pas rapide, à une cinquantaine de mètres devant moi.
- Ah super les voilà !
J’empruntais le même chemin qu’elles tout en jouant la carte de la discrétion. Même en les guettant du coin de l’œil, je ne pouvais pas rater la chevelure rousse de Nina. Elles traversèrent la cour en direction du département scientifique, se mêlant à la foule d’étudiants. Il y avait tellement de monde… une aubaine pour moi qui ne voulais pas me faire repérer. Il me semblait avoir lu quelque part que ce jeudi était le jour de la rentrée des 3èmes années et des classes de master.
Arrivées dans le hall du bâtiment S (S comme Sciences ), elles s’arrêtèrent devant l’ascenseur et attendirent. Je m’étais trop rapproché et peu de monde passait dans ce lieu. Il suffisait qu’elles se retournent pour me griller. Je partis donc en direction des escaliers, à l’opposé, tout en jetant un œil au cadrant numérique situé en haut des portes de l’ascenseur.
Les portes métalliques s’ouvrirent. Quelques personnes descendaient, après quoi les filles entraient et les portent se refermaient derrière elles. La flèche du cadran pointait vers le haut : elles montaient vers les étages supérieurs.
J’ai donc escaladé les marches à toute vitesse. La cage d’escalier, à chaque étage, débouchait sur une vaste pièce vide traversée de couloirs et desservie par les ascenseurs. A chaque étage, je jetais donc un œil aux cadrans. L’ascenseur ne s’arrêtait toujours pas et malheureusement pour moi, il était plutôt rapide et finirait pas me distancer. Au sixième étage, j’arrivais juste pour voir les portes se refermer et les deux filles entrer dans un couloir à l’opposé d’où j’étais.
Epuisé, je traversais lentement la grande salle pour reprendre mon souffle. J’attendis quelques secondes à côté du couloir avant de regarder à l’intérieur. Elles étaient tout au fond. Le couloir faisait bien dans les 80 mètres de long. Il tournait à droite et bientôt les filles disparurent à l’angle.
Vite, je ne devais absolument pas me faire larguer. Je couru le plus silencieusement possible jusqu’au fond. Arrivé à l’angle, je pris encore une fois d’infimes précautions en ne passant ma tête que légèrement sur le côté. Il donnait sur un autre couloir, plus large et plus petit. Il y avait plusieurs portes sur les côtés donnant sur des salles de classes et tout au fond, en face, un grand escalier qui montait et dont on ne voyait pas la fin.
Il n’y avait personne et tout était silencieux. Des bruits de pas au loin qui diminuaient de volume m’indiquèrent que les filles étaient en train d’emprunter l’escalier. Ouf, je ne les ai toujours pas perdus. Au moment où j’avançais vers l’escalier, des bruits de pas venant de l’autre couloir que je venais de quitter me glacèrent le sang.
Merde, d’un instant à l’autre quelqu’un arriverait ici.
Pris sur le court, je n’avais d’autres solutions que de me cacher momentanément dans une des salles de classe à proximité. J’ouvris la première porte qui me tombais sous la main et la referma aussi sec sans un bruit. Un large carreau au milieu de la porte me permettait de guetter le couloir.
Trois personnes portant de larges capes noires à capuchon passèrent. Elles portaient toutes des masques étranges qui leur assuraient l’anonymat le plus parfait. Quelques minutes plus tard, je vis un groupe de deux personnes encore encapuchonnées passer, puis encore un autre groupe de deux justes après. Leur petite réunion allait commencer d’ici peu, et je devais coûte que coûte les espionner. Ça ne serait pas facile… comment faire ?
Nina savait pour moi. Cette réunion de crise n’avait probablement pas d’autre sujet de conversation que Matt le petit rebelle. Elles se mettront d’accord sur la manière la plus rapide de m’exterminer :peur :
C’est parce que j’avais cet état d’esprit que je pris la décision la plus risqué de la semaine. Etant persuadé que j’allais y passer tôt ou tard et que je n’avais rien à perdre, je n’eus pas besoin d’une grande dose de sang froid pour passer à l’action :
Une sorcière de petite taille, passa seule dans le couloir d’un pas pressé. Elle avait bien une ou deux minute de retard par rapport au dernier groupe que j’avais vu passer. Sans réfléchir plus longtemps je pris un pied de table que trainait près de moi puis je sortis de la pièce et couru derrière la sorcière en brandissant mon arme improvisée.
Elle ne se rendit même pas compte de ma présence et quand elle ralentissait enfin, arrivée devant l’escalier, je lui assénai un gros coup, bien placé sur l’arrière du crâne.
- Hop, dans ta gueule.
* BAM *
J’enfilais le masque et la tenue noire, qui me permettront d’assister à la réunion des sorcières sans me faire prendre. Quelle idée de génie
J’ai déplaçais la jeune fille assommée dans la salle de classe où j’étais tout à l’heure.
- Mouais… si elle se réveille et qu’elle appelle les autres je suis dans la merde.
Je l’ai donc enfermée dans un placard puis j’ai poussé une table devant. Elle ne me gênerait plus. Ensuite, je suis monté par le grand escalier, bien rassuré sous ce déguisement. En haut, tout semblait abandonné. Il n’y avait qu’une petite salle sans fenêtre, telle une mezzanine ou un grenier, plongée dans la pénombre.
Au fond se trouvait une petite porte et des voix en sortaient.
- Ah, ça doit être ici.
* Toc Toc Toc*
Une sorcière masquée m’ouvrit.
- Toujours en retard toi, comme d’habitude !
Mince, je ne connais même pas le nom de celle dont j’ai pris la place et je ne sais pas imiter les voix féminines, j’avance en terrain dangereux. Le moindre faux pas me coûterait la vie.
La salle était spacieuse, très longue, en forme de rectangle. Il y avait beaucoup d’armoires, de tables et de chaises empilées. Au centre de la pièce, on avait aménagé une grande table en en collant plusieurs côte à côte. Des chaises avaient été disposées tout autour. Une des sorcières, qui semblait organiser l’évènement en plaçant les autres à des places bien définies, prit la parole en demandant le silence :
- S’il vous plait ! Du calme, du calme, notre chef est absente… mais elle est déjà au courant du sujet de notre réunion. Nous pouvons donc commencer sans elle.
Tout le monde s’assit autour de la table. La même sorcière reprit :
- Bien. Mes sœurs, l’heure est grave. Certaines d’entre vous sont probablement au courant de ce qui se passe mais…
Etonnées, toutes les sorcières se mirent à se tourner les unes vers les autres pour discuter et bientôt un brouhaha général couvrait la voix de l’autre sorcière. On entendait des « qu’est-ce qu’il se passe ? », des « noooon, sérieux ? », des « vas-y raconte » ou encore des « je comprends rien expliquez-moi ! ».
L’annonce avait agité le petit groupe. La sorcière interrompue se leva :
- Silence !! Silence bon sang !!!
Le calme retomba aussi sec.
- Nina, raconte donc à tout le monde ce que tu sais s’il te plait.
Nina était assise juste à ma gauche.
Elle se raclait la gorge et dit d’une faible voix :
- Mon colocataire nous a découvertes.
A peine eu-t-elle prononcé ces mots que le vacarme repris de plus belle.
- Sileeeeence ! hurla l’autre sorcière, qui semblait décidemment présider en l’absence de la chef.
Ce fut de nouveau le calme dans la salle. Nina continua son récit. Je commençais, pour ne pas mentir, à stresser comme un petit porcinet
- Ça a commencé par un refus d’échanger nos corps… Comme je vous l’ai déjà dit ce mec est sûrement le pire pervers sur lequel nous ne sommes jamais tombées… et pourtant il refuse l’échange de corps. Bon… ça ne veut rien dire mais ce n’est pas tout. Je sentais que sa façon de me parler avait changé, qu’il ne me perlait plus comme avant… et puis il y a surtout cette preuve irréfutable…
A ces mots, la sorcière autoritaire claqua des doigts et deux filles se levèrent et partirent au fond de la pièce, derrière moi. Quand elles revirent, elles tenaient par les bras deux prisonnières ficelées et bâillonnées. La première était une petite fille au visage d’ange, cheveux châtains, revêtant une drôle de tenue blanche. L’autre fille était une grande brune aux… bordel ! C’était Lorène
A sa vue tout le monde applaudit de joie. Une sorcière cria :
- Super ! Vous l’avez enfin attrapée cette petite fouineuse !
La fille qui tenait fermement Lorène par les épaules lui retira le chiffon qu’elle avait dans la bouche et lui donna une légère claque derrière la nuque :
- Parle, sauvageonne !
Lorène semblait mal en point. Elle avait du mal à ouvrir les yeux et à relever la tête. Comme si… elle avait été droguée !
- Hein… de quoi… ?
La sorcière autoritaire se précipita à côté d’elle et lui pinça l’oreille.
- Ré-pè-te-ce-que-tu-nous-a-dit-tout-à-l’heure ! Et plus vite que ça, non mais !
Quoi ?! Lorène avait parlé de moi ?! Pas de doute, on a dû la droguer… jamais elle n’aurait fait quelque chose pareil en temps normal, vu sa détermination à anéantir ces maudites sorcières
- Eh bien… euh… je… j’ai rencontré Matt hier et… nous nous sommes alliés contre vous…
La sorcière lui lâcha l’oreille.
- Bien, et raconte nous TOUT ce qu’il t’a dit au sujet de Nina. Rentre dans les détails.
Lorène roula sa tête sur ses épaules et grimaça.
- Ouille… quelle migraine…
- On se dépêche ! Aller ! lui cria la sorcière à quelques centimètres des oreilles.
Lorène déglutit et continua :
- Il m’a dit qu’il… que… oh et puis allez vous faire foutre !
Les sorcières poussèrent toutes en même temps un cri d’étonnement. L’autre leva son doigt vers le ciel et hurla :
- C’est… c’est… c’est un scandale !!!!
Ha ha, je me demande si Lorène était bien consciente à ce moment-là ou si elle était encore shootée par la drogue. La petite fille en tenue blanche se mit à rire sans retenue.
La sorcière qui se prenait pour la chef pointa du doigt une de ses consœurs masquées et dit :
- Emilie, ta potion de vérité ne marche qu’à moitié ! En plus de ça tu as perdu tes pouvoirs comme une débutante, tu ne sers vraiment à rien !
Quoi ?? Ai-je bien entendu ? Emilie a perdu ses pouvoirs ?
Une discussion envenimée débuta entre Emilie (qui devait se sentir outrée) et celle qui l’accusait d’avoir raté la potion. Nina participa au débat, tentant de défendre Emilie. Je n’écoutais qu’à moitié, perdu dans mes pensées.
Savoir qu’Emilie avait perdu ses pouvoirs me faisait réfléchir… hum… comment cela s’était-il passé ? Est-ce que ça datait d’avant mon arrivée ou bien… était-ce survenu il y a peu ? Se pourrait-il que ce soit moi qui… non… ce n’est pas possible mais c’est très étrange.
Le vacarme reprit de plus belle et j’en profitais pour aller parler à Lorène. Une fois à ses côtés, je lui chuchotais :
- Pssst. Lorène. C’est moi, Matt.
Elle vérifia d’un coup d’œil qu’aucune sorcière ne nous écoutait.
- Matt ? Désolée, je me suis fait attrapée comme une débutante. C’est foutu… à cause de moi !
- Non ne t’en fait pas, je vais nous sortir de là.
La chef se pointa juste devant nous. Un instant, j’ai eu peur qu’elle ne nous ait surpris en train de discuter.
- Toi ! dit-elle en me pointant du doigt.
J’essayais de prendre l’intonation la plus féminine possible :
- Euh… oui ?
- Cette garce refuse de parler. Elle a donc opté pour la torture par l’humiliation !
Toutes les sorcières stoppèrent net leur discussion et se retournèrent dans notre direction. Plusieurs d’entre elles dirent en cœur :
- Ooooooh ! La Grande Humiliation !
Une autre s’adressa à la chef :
- N’êtes-vous pas trop dure avec elle mademoiselle ? Je vous rappelle que nos ennemis sur cette Terre sont les hommes pervertis jusqu’à la moelle, et non les jeunes filles pures !
- Rien à foutre ! Elle est de mèche avec un pervers de la pire espèce, contre nous ! cria la sorcière.
Oh non, quel cauchemar… je devais torturer Lorène devant toute le monde ! Je refuse… je… tant pis, je me dénoncerais et me laisserais capturer… hors de question que je fasse souffrir une…
- Comme d’habitude, la Grande Humiliation consiste en un malaxage intensif des protubérances mammaires, et à l’attouchement sensuel interdit des choses-du-dessous !
Des choses du dessous ?
Je me penchais à l’oreille de Lorène, qui était encore sous le choc de la terrible sentence, et lui chuchotais :
- Je n’ai pas le choix Lorène, soit forte, je me souviendrais de ton sacrifice pour la bonne cause.
- Si on sort de là je te tue, Matt.
Pauvre de moi. On m’avait désigné comme bourreau. C’est donc avec le cœur lourd que je m’apprêtais à exécuter la sale besogne… Non, sincèrement… ça ne m’enchantais pas tant que ça vous savez ? C’est juste qu’à la guerre, il faut faire des sacrifices, on en sort pas toujours indemne
Prépare-toi, Lorène
Hésitez pas à critiquer hein, parce que personnellement je sais plus trop où je vais
Mais bon je me suis bien amusé dans le chapitre suivant, vous allez voir
ahahahah wtf
sweet
Pour une fois que je poste pas tard
Hahaha c'est hilarant
Sweet : )