ECOUTE MOI TOUS, TOUS CE QUI VEULEUT AIDER QUILS ECRIVENT TOUTES LEUR ASTUCES LEUR SOLUCES ET LEUR CODES ( DETAILLe le maximome pour que les autres conprene ! ! !!!!!!!!!!!:):) )
aider nous et nous vous aiderons
PS: ci vos codes marche BIEN
NICOLAS
allos
Munitions infinies
Mettez le jeu en pause et appuyez sur L1, L2, R1, R2, , , .
Niveau spécial
Terminez le scénario A Paris avec n´importe quel niveau de difficulté. Vous aurez des munitions infinies dans le niveau spécial.
Passage au niveau suivant
Faites une pause au cours du jeu, puis : L1, R1, , , .
Arrivée à l'endroit, je voyais de la lumière à l'intérieur de sa petite tente deux places.
Je tapota la toile pour attirer son attention.
"Oui ?"
Il dézippa la fermeture éclair, laissant apparaître sa tête. Il avait l'air étonné de me voir ici.
Je lui demandais si je pouvais rester un peu, après lui avoir raconté l'histoire.
Il recula sa tête et agrandi l'ouverture pour me laisser passer.
J'enleva mes chaussures et je me glissa dans sa tente.
Malgré sa petite taille, l'endroit était chaleureux : Il y avait une grande couverture et 3 coussins étaient éparpillés un peu partout. Une lampe torche pendait au plafond, illuminant l'espace. J'ai dû le déranger en lecture car un livre ouvert traînait dans un coin. Il me demandait si je voulais du chocolat chaud qu'il avait préparé en me présentant un thermos. J'accepta.
On a discuté, il tentait de me réconforter et de me rassurer tandis que la pluie se fracassait sur la toile de sa tente. Il caressait doucement mon bras, je sentais à nouveaux ses mains chaudes sur ma peau.
Il ne semblait pas indifférent à mon corps, son regard s'attardant brièvement sur ma poitrine. Je ne lui en voulait pas, au contraire ça me troublait. J'imaginais comme je devais être appétissante pour ce gros monsieur aux cheveux gris. Un silence s'installa.
Au boût d'un moment, il regarda le haut de sa tente, qui frémissait sous les martèlements de la pluie.
"Je n'arriverai pas à dormir, je te propose de jouer à un petit jeu pour passer le temps"
Il réfléchit un instant, c'est moi qui a proposé ceci :
"Action ou vérité ?"
Il sourit : "Tu commences alors, je choisi vérité"
Beaucoup de vérité au départ, on se posait des questions sur nos goûts, nos activités.
Préférant choisir "action", il me fit boire une bière à chaque fois.
Peut-être ne se rappelait-il pas que je lui avais dire ne pas bien tenir l'alcool plus tôt dans l'après midi ?
Lui, préférait opter pour "vérité", me révélant qu'il avait voté pour moi à Miss Camping, qu'il m'avait laissé gagner avec ses vieux amis à la pétanque...
Ayant peur de ne plus pouvoir repartir en état, je changeais un peu pour des "vérités" et avoua d'abord m'être retrouvée là après avoir été éconduite par un ami qui ne voulait pas tromper sa copine alors que je lui avais fait comprendre vouloir passer la nuit avec lui. Ensuite, je dû répondre que oui, je m'étais habillée sexy pour ce copain (et compris qu'il appréciait en effet bien ma tenue, faite d'un petit débardeur mettant en avant mes gros seins et d'un legging laissant apparaitre mon string). Voyant que le jeu m'amusait de plus en plus, sous l'effet certain de l'alcool et choisissant "vérité", il osa me demander si mes seins étaient des vrais. Étonnée, je rougis d'abord avant d'affirmer que oui, ils étaient naturels.
Je sentais qu'il ne fallait peut-être pas m'éterniser mais l'alcool me faisait quelque peu tourner la tête et la pluie tombait à grosses gouttes dehors. Il remarqua mon regard et me dit qu'il valait mieux pour moi rester encore un peu, qu'il y avait même assez de place pour deux et que je devrais rester.
J'étais fatiguée mais l'idée que demain, Peter serait peut-être jaloux de ne pas savoir où j'avais dormi (et avec qui) me plaisait.
Il se rapprocha de moi et choisissant "vérité" je dû lui avouer que oui, j'étais déçue de ne pas avoir pu coucher ce soir avec cet ami. Il me déshabillait du regard de plus en plus, pensant peut-être que je ne le verrais pas avec autant d'alcool imbibé.
Me pressant pour jouer, il m'obligea à répondre rapidement "action".
Il en profita pour me dire de venir s'asseoir devant lui en lui tournant le dos, et qu'il allait masser mon dos.
En fermant les yeux, je céda et j'allais me réfugier contre son torse.
Tout de suite, ses mains glissaient dans mon dos, soulevant petit à petit mon débardeur, je me laissais faire. Il opte pour vérité, et doit me répondre que oui, il pensait que mes seins étaient faux.
Je lui dis alors que l'alcool me tournait la tête et que peut-être devions nous arrêter là.
Il me dit de me laisser faire, me laisser aller mais que oui je devrais arrêter.
Mais qu'il allait continuer lui, et que je devais suivre tous les "actions".
Je ne mis pas beaucoup de temps à comprendre...
Choisissant action, il osa me demander de le laisser toucher mes seins et sans attendre, ses deux mains atteignirent rapidement mes seins, qu'il pressa allègrement.
Je prononça un "non" faiblement, tentant de résister au désir qui commençait à venir.
Il approcha son visage du mien et me dit "ouvre la bouche" en s'empressant de m'embrasser.
Déconnectée de toute raison, j'entrouvris mes lèvres et il y faufila sa langue, allant rejoindre la mienne. On est resté une trentaine de seconde dans cette étreinte, mélangeant nos salives.
Je sentais une érection se former, au contact de mes fesses.
J'étais presque saoule et sentait bien que ses gestes à lui étaient assurés, qu'il me tenait fermement.
Je pensais devoir m'en aller, fuir des mains de ce vieux profiteur qui n'avait attendu que ça.
Mais j'étais trop faible et quelque part frustrée de ma soirée, cédant aux pressions de ce vieux cochon.
En souriant, il enleva son pantalon, sous la couverture. Une bosse se formait à l'endroit où était son sexe.
"Va sous la couverture". J'ai fermé les yeux une nouvelle fois, puis je me glissa toute entière dans la couverture, je remontais le long de ses genoux, dans le noir absolu et je m'arrêtais à ses cuisses.
Je ne voyais rien, mais je sentais sa bite, son odeur et sa chaleur. Tout près.
J'avança une main, lentement, et je saisis sa hampe noueuse, imposante. Je sentais le relief des veines dans ma main, je le branlais doucement, hypnotisée. Je l'entendais gémir faiblement.
Je ne voulais pas aller plus loin mais ayant déjà accepté de le branler et comme il avait le dessus physiquement...il empoigna l'arrière de mon crâne et l'approcha de son sexe, mis mon visage au dessus de son gland qui s'écrasa sur mes lèvres.
"Ouvre ta bouche".
J'ouvris lentement mes lèvres, logeant le gland à l'entrée de ma bouche sans plus progresser.
"Appuie ..."
Poussée par les mains, ma tête descendit. Sa bite glissa sur ma langue.
Je commença à faire des va et viens avec ma bouche, enroulant son sexe avec ma langue.
Je le sentais se contracter à chaque vague de plaisir.
Il donna des petits coups de hanches, pénétrant de plus en plus profondément, s'insérant dans ma gorge. Je sentais ses doigts s'aventurer sur tout mon corps puis me déshabiller.
Je l'aidais en me trémoussant, puis j'écarta mes jambes pour laisser sa main me posséder.
Une caresse sur mon clitoris trempé me fit presque jouir, et je le suçais avec plus d'ardeur, envahie par le plaisir.
Après avoir longuement maltraité mon clitoris, il introduisit un, puis deux doigts dans ma fente.
Je marquais des pauses pour reprendre ma respiration, en gémissant, avant de gober sa bite à nouveau en y allant le plus profondément possible.
Des spasmes ont commencé à apparaître, signifiant qu'il allait jouir.
Sa main sur ma tête m'empêchait de me retirer. Il se mit à se cambrer, enfonçant son gland dans ma gorge et avant que je ne puisse réagir, se mis à éjaculer.
Je n'avais jamais bu le sperme de mon copain, et voilà le liquide chaud et gluant de ce gros dégueulasse couler dans ma gorge pour finir dans mon estomac.
Je le sentais gicler de grandes quantités dans mon oesophage.
Je ne pensais jamais pouvoir le faire un jour. Je ne me reconnaissais pas.
Lorsque le flot fût tari, je me retira, encore sous le choc et le goût du sperme dans la bouche.
Sans me laisser récupérer, il se glissa sous la couverture avec moi et écrasa ses lèvres sur les miennes. Sans volonté, je répondis à son baiser, totalement soumise à cet homme mature.
Il enleva mon haut, empoigna ma poitrine, la malaxant. Je soupirais de plaisir quand il descendit sa langue vers mes tétons. Il la glissait sur mes aréoles, envoyant des décharges dans ton mon corps.
Je me reposa sur le sol, gisante, terrassée. Je ne le sentis pas se glisser au dessus de moi et je répondis automatiquement à son baiser. Lorsque je sentis sa bite, de nouveau dur, sur ma chatte, je retins ma respiration.
Je ne prenais pas la pilule, mes coups portant toujours un préservatif. Je ne voulais pas tomber enceinte.
J'essayais d'ouvrir ma bouche pour lui demander d'arrêter, mais ma volonté se liquéfiait tandis qu'il frottait son gland sur mon vagin, se dirigeant de plus en plus profondément vers mon puits chaud et humide.
Je voulais être pénétrée, le sentir m'envahir, me posséder.
Je voulais me faire baiser par ce vieil homme mature.
Sans dire un mot, je le laissais me pénétrer avec son gland, se frayant un passage dans mon vagin.
Son sexe était démesuré dans ma chatte étroite, il dû se retirer, puis s'enfoncer de nouveau avant de pouvoir toucher le fond.
Sous l'emprise d'un immense plaisir, je verrouilla mes jambes autour de son dos, l'invitant à me baiser allègrement. D'abord doucement, il commença à me pistonner de plus en plus vite. Je sentais sa bite se frotter à l'intérieur de mon corps, tapant sur l'entrée de mon utérus, comme s'il voulait y entrer.
Je jouissais à répétition, malgré tout les dangers, je le voulais en moi.
Mon ventre était en feu, rempli par cet homme si imposant. Il soufflait dans mon cou, me rendant folle, j'entendais près de mon oreille ses gémissements saccadés. J'étais sienne. Je me sentais chienne.
Ses grosses mains étaient posés à côté de moi, son torse me surplombait, il dominait la frêle jeune femme dans son étreinte. Mes yeux s'étant habitué à l'ombre, je voyais la silhouette de son bassin faire des mouvements, et sa bite disparaitre en moi.
Ses coups se furent plus amples, plus brusques, je sentais qu'il allait venir. Ignorant le fait que j'étais sans protection, j’avançai ma chatte vers lui, pour qu'il me baise plus profondément. Il s'immobilisa en moi et je senti une chaleur exploser dans mon corps. Son sperme me remplissait, débordant même pour couler sur mes fesses. Une petite quantité pénétra dans mon utérus, et je jouis. Mon orgasme fut encore plus éclatant que le précédant, sous l'emprise de Patrick. Je me tortillais sous lui, sa grosse bite crachant son jus dans mon ventre fertile. Mon vagin se crispait autour de son mandrin.
Il se laissa tomber sur mon respirant fortement, puis sans un mot, se retira de moi, soulevant la couverture qui nous enveloppait. Il ralluma la lumière.
- Je suis vraiment navré, Claire. Je le signalerai à la direction…tu peux en être sûre !
Je hochai la tête sans savoir quoi lui répondre.
- Enfin, de toutes façons, ce n’est que pour une seule nuit.
Il se tût un moment puis reprit :
Tu vas prendre ta douche en premier ou bien j’y vais moi !
- Allez-y, je serais peut-être plus longue que vous !
Il me sourit et me fixa d’un air amical.
- Bon, si nous devons partager la même chambre, Claire , arrête plutôt ses formalités et tutoie-moi, ce sera plus simple pour nous deux.
- Très bien, lui souris-je.
- Parfait, alors j’y vais. A tout de suite…
Il s’éclipsa en emmenant sa valise avec lui dans la salle de bains puis referma la porte. Je patientai alors son retour.
Lorsque ma douche fût faite et après m’être préparée pour la nuit, je ressortis de la salle de bains pour trouver mon chef Christian déjà dans le lit. Il portait un t-shirt blanc et avait remonté la couverture jusqu’à son gros ventre. Il lisait un prospectus à l’adresse de l’entreprise que nous allions visiter le lendemain. Il se retourna et me découvrit dans une tenue que j'avais prévue de porter en étant seule un débardeur qui laissait trop entrevoir ma généreuse poitrine et un legging qui laissait apparaitre mon string et mes fesses rebondies. Je rougis de honte lorsqu’il me reluqua de haut en bas. Il devait apprécier la vue.
- Je pense que nous devrions nous coucher assez vite. Nous avons rendez-vous demain à 8h30 et nous devons encore prendre notre petit déjeuner avant.
- D’accord. De toute façon, je suis pour ma part, très fatiguée.
Je traînais ma valise pour la placer contre le mur puis contournais le lit à pas précipités pour glisser rapidement sous la couverture afin de ne pas trop le laisser en voir.
- Par contre, Claire, je crois que je ronfle la nuit. Si c’est comme ça, n’hésite pas à me réveiller.
- Ça ira je pense, dis-je d’un air poli. Loin de moi l’idée de réveiller mon chef en pleine nuit à cause de ses nuisances sonores. Je les supporterai.
- Bon… OK.
Je m’installai ensuite en position allongée sur le matelas et rabattit l’oreiller sous ma tête. Je m’écartai au mieux afin de ne pas trop le coller. De ma position, je sentais son déodorant masculin que je trouvai trop fort.
- C’est bon ? Je peux éteindre ?
- Oui, c’est bon !
Il se pencha alors du côté opposé et éteignit la lumière en agissant sur l’interrupteur situé à proximité du lit. Puis je le sentis bouger pour s’enfoncer dans les draps. Je n’osai bouger tandis que j’entendis sa lente respiration à mes côtés dans le noir de la chambre d’hôtel.
Au bout de cinq minutes, alors que je m’apaisai de la situation et que je sentais doucement le sommeil m’envelopper, je sentis Christian remuer dans le lit. Je devinai qu’il venait de se placer face à moi et je sentis sa main chaude me toucher le bras. En chuchotant, il m’appela :
- Claire ?
- Oui !
Il se mit à passer sa paume le long de mon bras.
- Ça...te dérange vraiment que nous soyons dans le même lit ?
- Euh… non ! lui répondis-je sans y croire vraiment. Tout ça pour ne pas le décevoir.
Je le sentis alors se rapprocher de moi en glissant sur le matelas. Il glissa son bras et m’attrapa la main. Il avait la peau quelques peu rugueuse.
- Qu’est-ce que vous… Qu’est-ce que tu fais ? m’enquis-je, perplexe.
- Je me disais que...en fait...c'était un plaisir de t'avoir à mes côtés aujourd'hui...j'étais fier d'avoir une jolie assistante comme toi avec moi...et me retrouver à tes côtés ce soir...partager le même lit...je suis trop excité ! Voilà ! ...Du coup...comme je sais que ça va m'empêcher de dormir...j'ai commencé à me caresser mais j'ai eu peur que tu t'en rendes compte et je préfère te l'avouer...voir si...tu ne voudrais pas m'aider un peu...juste frotter ta main et après on dormira et oubliera tout ça demain ?
Et sans m’en dire davantage, il se rapprocha encore et vint plaquer le dos de ma main fine contre lui. Je sentis, surprise, en contact direct contre ma peau, le tissu de son slip ainsi que la forme déjà bien allongée de son pénis à demi-dur. Il se frotta en remuant le bassin contre ma main. Tout se passait sous les draps. Je ne trouvai les mots pour exprimer ma gêne.
- J’en ai pas pour très longtemps, Claire, je te promets. J’en ai juste besoin.
Et en silence, il poursuivit activement à la recherche de son plaisir. Et tout cela à mes dépends.
Il glissa sa tête sur l’oreiller et se rapprocha toujours plus de moi.
- Voilà...hmmmmm...j'y suis presque...peut-être si...tu glisses ta main à l’intérieur dans slip ?
- Je… hésitai-je, tandis qu’il s’appuyait toujours plus l’entrejambe contre le dos de ma main.
- Je voudrais que tu me masturbes, Claire ! Personne n’en saura rien dans l’entreprise, je te le promets. Ils ne sauront même pas que nous avons partagé le même lit.
- D’accord, lui soufflais-je alors malgré la gêne certaine qu’il m’inspirait.
- Merci.
Il se remit en position allongé sur le dos tout en ne lâchant pas ma main de la sienne. Il se replaça à son aise et je le sentis lever mon bras avant de le déposer délicatement sur son torse. Puis il le fit descendre et mes doigts se glissèrent sous l’élastique de son slip qu’il avait soulevé pour m’accueillir. Je sentis d’abord son gland, bien gonflé sous l’envie qu’il ressentait. Puis il me fit glisser sur lui, jusqu’au fond, et ma paume se retrouva contre sa verge tendue. Elle était brûlante de son envie. Il relâcha l’élastique de son slip qui claqua, enfermant ma main à l’intérieur, tout contre son sexe, comme un piège. J’enveloppai alors mes doigts et sans plus réfléchir, je me mis à le caresser. J’avais tout juste 21 ans alors que lui devait bien avoir plus de la cinquantaine. Mon contact lui paraissait tant agréable. Je le masturbais directement dans son slip.
Je l’entendis gémir dans le noir, tandis qu’il relâcha mon bras et se laissa faire.
- Claire, c’est agréable ce que tu fais… c’est bien… continue.
Il gémit à nouveau alors que je le sentais se tortiller toujours plus sous les draps.
- Mais… vous ne direz rien hein ?
- Non ne t'inquiète pas, et puis tu ne le regretteras pas, je...hmmmm...je te récompenserai.
Je sentais au bout de mes doigts ses gros testicules tandis que ma paume, enroulée autour de son gros membre, faisait son travail. Malgré mes gestes quelques peu forcés, il semblait justement ressentir davantage de plaisir dans l'idée de me contraindre.
- Je...je validerai ton stage, tu auras la note maximale...ton dévouement n'est plus à prouver...tu trouveras un job rapidement...
- Ah ? Merci...mais...vous ne comptiez pas m'engager ?
- Hmmmmm...non, je ne peux pas...il n'y a pas de poste...
Le contact avec un pénis bien redressé dans l’obscurité me donnait des idées...il voulait négocier ?
Je me relevai donc de mon oreiller et la main gauche toujours dans son sous-vêtement, j’écartai les draps. Dans la pénombre, je le vis me regarder quelques peu étonné mais il garda le silence, déjà satisfait de la situation.
J’écartai alors son slip, faisant ressortir son long sexe à l’air libre et je me penchai timidement sur lui. Du bout des doigts, je redressai le gros pénis qui pourtant ne me faisait pas envie. Je savais qu’il me fixait dans la pénombre. Je me courbai alors, et du bout des lèvres, chercha le gland apparent. Je le trouvai et, toujours sans réelle envie, je le gratifiai de cinq baisers saliveux avant de le fourrer dans ma bouche étroite.
-Aaaah…. l’entendis-je gémir empreint d’un plaisir coupable.
- Je me disais que...vous pourriez m'engager comme...assistante ?
Je commençai alors à le sucer. Le bout de son gland, malgré ma salive déposée avait un petit goût acide, sans doute dû à son passage aux toilettes avant de venir se coucher.
C’était certainement si bon pour lui ! Sentir son gros sexe brûlant contre ma langue. Je lovai mes lèvres autour de lui et entreprit ma lente fellation.
- Claire, je t’en demandais pas tant, mais...proposé comme ça...c'est vrai que je pourrais...ohhh ...continue….
Je le sentis m’attraper de sa main droite mon crâne et ma chevelure. Il désirait ressentir les mouvements de ma tête tandis que je m’activais le long de son pénis tendu comme un pieu. Je faisais glisser la moitié de la longueur de son membre dans ma bouche, et je l’entendis, à de nombreuses reprises, gémir de plus en plus fort, suite au bonheur que ma bouche lui procurait.
- Hmm...si tu promets d'être une assistante aussi dévouée...comment refuser...je...je t'engage en CDI dès la fin du stage...mais laisse-moi allumer la lumière, Claire ! Je veux te voir me sucer ! Je veux te regarder faire !
Il se contorsionna alors que je faisais des efforts pour le conserver en bouche puis la lumière principale de la chambre s’alluma. Il se replaça à son aise, légèrement rehaussé sur son oreiller, et me contempla, sa grosse queue dans ma bouche déformée.
Il me sourit.
- Allez suce ! Ne t’arrête pas, tu fais ça si bien…
Il me fixait avec passion. Ma chevelure blonde penchée sur lui. Son slip rouge était baissé à mi-cuisse et je me retrouvai nez à nez avec ses poils pubiens de couleur noire odorants. Je repris alors la fellation que j’avais commencée dans l’obscurité. Il ferma les yeux, et poussa une nouvelle fois un petit cri de plaisir.
Il éleva encore la main pour me caresser les cheveux pendant que je remuai de haut en bas la tête sur lui et que je salivai bien sur son sexe bandant.
Il fixait également ma poitrine qui bougeait en parallèle de ma bouche, et comme il avait accès avec une main à mes fesses, il ne se gêna pas pour me les caresser.
- Tu as vraiment un cul de déesse Claire...tu es magnifique...enlève ton haut...je veux voir tes gros seins.
J’obtempère, et reprend ma fellation avec mes seins s'écrasant en rythme contre son corps.
Il maintient ma tête de plus en fermement sur son sexe, et se courbe davantage.
- Oh ça vient Claire, ça vient...
J'essaie de m'extirper mais il appuie son geste et se décharge dans ma bouche.
De gros jets de sperme m’inondent alors qu'il exulte et crie de plaisir.
- Oh putain oh putain quel pied...
Il me relâche finalement après quelques minutes, et qu'étouffant, j'ai bu son sperme.
- Tu vas vraiment au bout des choses Claire, il est clair que je ne vais plus pouvoir me passer de toi après ça.
J'ai envie de le traiter de gros porc, mais il ne fait pas tout gâcher.
Quitte à ce qu'il se soit déchargé en moi, autant que j'en profite un max derrière...
- Viens contre moi, je veux sentir ton corps chaud de déesse...
Il me palpe comme si il avait 8 mains, je suis pour cette nuit une poupée entre ses mains.
Demain...il verra qui tire les ficelles.
Curieux hasard aujourd'hui au travail, une jolie blonde participe à une opération ponctuelle et il me semble la connaître. Comme elle rejoint finalement la salle de repas du personnel, il me revient en tête d'où je la connais : elle était élève dans l'établissement où je travaillais avant.
Il faut dire que déjà à l'époque elle m'avait tapé dans l'oeil et pour cause : c'est une très jolie blonde aux yeux bleus, pétillante et porteuse d'une magnifique paire de seins. Elle était plutôt queue de cheval et blouson en cuir, mais la frange et la robe lui va aujourd'hui tout aussi bien, et à maintenant 25 ans elle est encore plus désirable qu'avant. Evidemment, il n'était pas question quand elle était mineur et sous mon autorité de faire davantage que de fantasmer sur elle...mais maintenant qu'elle est une femme indépendante ?
Après l'avoir approchée pour lui dire que j'avais cherché d'où l'on se connaissait, et échangé quelques politesses, elle me dit de l'ajouter sur Facebook ce soir si j'ai envie de prendre le temps de discuter un peu plus. Illico presto, je m'obtempère le soir même, découvrant en même temps de nombreuses photos qui font encore une fois honneur à son anatomie.
Comme elle a vu que dans mes contacts j'avais un ami à elle qu'elle devait voir (un ancien collègue) elle me proposa de prendre un verre tous les trois.
Arrivé dans le bar elle était en effet accompagnée par Thomas.
Après quelques échanges, elle s'absenta rapidement pour aller aux toilettes et je me retrouvai seule avec lui.
– Alors, comme ça, tu acceptes une invitation d'une de tes élèves ! me dit-il.
– D'une ancienne élève, précisai-je.
– Je te taquinais. Mais tu sais que tu lui as tapé dans l'oeil ?
– Ah oui ? Je suis flatté, elle était déjà jolie avant mais là...waouh, quelle bombe.
– C'est une super fille oui, magnifique, et elle était fine heureuse de te revoir et que tu acceptes de venir.
Nora revint.
– Tu devais pas aller à ton entrainement Thomas ?
– Si, je vais devoir vous laisser, à une prochaine en tout cas.
Sur ces mots, il prit son sac et partit, nous laissant seuls. Pendant plus d'une heure je discutai avec la belle de façon très spontanée. Pendant cette heure, elle ne me quittait pas de ses beaux yeux bleus. Elle m'apprit qu'elle m'avait reconnu cash quand on s'est croisé, et que je n'avais pas tellement changé. Que je devais encore bien plaire aux élèves comme c'était le cas avant. Etonné, elle me confirma que pas mal de filles me trouvaient mignon à l'époque, surtout qu'en général elles préféraient les vrais "mecs" que les garçons. Et que...pas mal de ses copines seraient jalouses de savoir qu'on a repris contact !
Le temps passait après autant de compliment et flatteries qui me confortaient assez dans l'idée de certainement pouvoir croquer cet ancien fruit défendu...
– Le temps passe vite avec toi, tu es attendu ?
– Non, pourquoi ?
- On pourrait manger ensemble ?
- Si tu veux oui.
– Il faut que je passe chez moi, car je n'ai pas eu le temps de me doucher après mon entraînement. Comme tu ne vas pas attendre tout seul, tu viens avec moi et on ira au resto après. D'accord ?
– Je crois que je n'ai pas le choix...
– Non ! me dit-elle avec un sourire.
La soirée s'annonçait des plus belles.
Elle habite un vieil immeuble haussmannien et, comme je m'y attendais, l'ascenseur y est tout petit. Nous nous retrouvons donc face à face, corps à corps même, et j'ai l'occasion de vérifier que ses seins n'ont pas changé ! Mes pensées divaguent et je sens une érection monter tranquillement dans mon caleçon. En mettant la main dans sa poche pour chercher ses clefs, elle effleure mon membre en croissance sans pour autant, semble-t-il, le remarquer. Mon excitation monte d'un cran supplémentaire.
Nous arrivons enfin au bout du voyage. Son appartement décoré sans fioritures est composé de deux pièces spacieuses. Après m'avoir présenté son antre, elle m'invite à boire un verre avant qu'elle aille se doucher.
Avec nos verres de Cuba Libre à la main, on va s'asseoir sur le canapé
Sa petite robe bustier m'offre une vue imprenable sur sa poitrine. Elle se penche par dessus l'accoudoir à côté d'elle me donnant l'occasion d'admirer sa chute de reins et ses fesses. Sublime !
- C'est pas comme à l'époque du bal, je peux boire maintenant monsieur le pion ? dit-elle en rigolant.
Alors...et toi y avait des élèves qui te plaisaient à l'époque ?
- Plus ou moins oui, quelques unes.
- Des noms des noms ! J'ai vu qu'Amélie était dans tes contacts...y a eu un truc entre vous ?
- Non non, on ne s'est pas revus, mais c'est vrai qu'elle me plaisait bien.
- Tu lui plaisais aussi tu sais, c'est avec elle que j'avais le plus parlé de toi.
- Vous parliez de moi ?
- Oui on te kiffait bien, mais on savait pas trop ce que tu pensais de nous...tu nous matais des fois ?
- Disons que.. vous me laissiez pas indifférents.
- On était jeune mais pas naïve tu sais, une fois je t'ai vue me mater en hauteur je m'en souviens.
- Ah oui, tu as rigolé en en parlant de tes seins qu'on pouvait voir depuis le haut.
- Tu les regardais hein ? J'en étais sûre...t'avais envie de...les toucher ?
- C'est vrai que....
Elle s'approche de moi et m'embrasse langoureusement.
- C'est ça que tu veux non ?
Je pose la main sur ses fesses et mon sexe s'enflamme. Je palpe à pleine main ses fesses callipyges pendant que nos langues s'emmêlent. De son côté, elle défait un à un les boutons de ma chemise et fait sauter le bouton de mon pantalon. Ainsi libérée, ma queue en érection jaillit de mon boxer qu'elle abaisse dans le même mouvement.
- J'étais sûre que tu en avais une grosse...
Elle laisse alors ma bouche, se tourne et commence à tortiller ses fesses contre mon membre tendu.
Je profite de cette position pour baisser son bustier et caresser ses gros seins, tendus par l'excitation.
- Fais toi plaisir, ils sont tout à toi maintenant...
Je l'embrasse dans le cou et lui pince doucement les tétons. Cette caresse lui tire ses premiers gémissements. Je la sens totalement à ma merci et lui dit :
– J'ai très envie que tu me suces
Elle se dégage de mon emprise, se tourne face à moi, prend mon sexe dans la main et susurre :
– et...j'ai très envie de te sucer...
Sur ces mots elle se met à genoux et, tout en continuant à me masturber, me lèche avidement le gland. Elle continue cette caresse pendant quelques secondes et gobe mon gland gorgé de sang. Elle me montre tous ses talents en matière de fellation. Elle me branle avec sa bouche, lèche mon sexe, mes couilles, mon gland pour récupérer les quelques gouttes qui perlent. Puis, prenant mon gland dans sa bouche, elle aspire puissamment, c'est divin. Je suis au comble de l'excitation.
J'avais imaginé ça tellement de fois à l'époque, fantasmé cela des années après sans encore l'avoir revue...
Elle me laisse alors quelques instants pour aller fouiller dans un tiroir. Elle en sort un tube de lubrifiant, revient s'agenouiller devant moi et verse une grosse giclée vers mon sexe tendu. Elle se relève un peu, prend ses seins dans ses mains, emprisonne ma queue et commence à me branler entre ses seins. Je suis au Paradis ! Grâce au lubrifiant, mon sexe glisse avec facilité entre ses seins.
- Tu les adores hein
- J'avoue, ils me faisaient déjà tellement envie...
- Tu...t'es touché en pensant à moi ? Parce que moi oui tu sais.
- Ah bon? C'est fou ça...mais...oui je me suis branlé quelque fois en pensant à toi.
- Hmm quel cochon...moi j'avais très envie que tu me baises sauvagement.
Petit à petit, mon étudiante élève le rythme et, sentant ma jouissance arriver, elle me reprend en bouche pour m'aspirer.
– Je vais...jouir.
– Vas-y...
Elle me reprend en bouche et je jouis. Elle avale les deux premières giclées, ressort ma queue de sa bouche et dirige les autres jets vers son visage et ses seins. Les jambes en coton, je tombe sur le canapé, impressionné autant par sa performance que d'avoir lâché autant de sperme. Ma belle, toujours souillée de ma semence, se lève pour prendre son verre. Elle finit d'un trait son verre et vient se placer devant moi. Je suis encore en érection. Elle recommence alors à me sucer. Je me dégage de sa bouche et lui propose de prendre une douche.
L'eau brûlante nous lave de nos péchés mais pas de nos ardeurs. Nos mains explorent nos corps, s'attardent sur les zones les plus sensibles. Mes mains et ma bouche s'occupent de sa poitrine, de son cou, de ses fesses qui m'obnubilent. Mon sexe a repris de la vigueur, je la retourne et commence un mouvement de va-et-vient dans sa raie. Elle gémit et me dit qu'elle ne veut pas de capote, elle veut me sentir m'épancher en elle. Je continue mes mouvements, et d'un coup je la pénètre jusqu'à la garde. Elle pousse un cri de plaisir et de surprise. Je me retire presque entièrement et, d'un coup puissant, je m'enfonce à nouveau au fond de son vagin. Elle feule de plaisir en poussant son corps sur mon pieu. Je l'attrape par la taille et la prends violemment pendant qu'elle-même s'empale sur moi. Elle crie maintenant, et chacun de nos mouvements augmente la puissance de sa jouissance. Elle augmente encore le rythme et soudain se fige, ma queue au fond de son corps. Son orgasme est très puissant, je sens son vagin palpiter autour de mon sexe. J'arrête de bouger, mais elle continue pour épuiser son orgasme jusqu'au bout.
– Je crois que je n'ai jamais joui aussi fort de ma vie !
– Tu le méritais bien, après ce que tu m'as fait tout à l'heure.
– Mais toi tu n'as pas joui et je veux te sentir couler en moi.
Nous sommes toujours mouillés, mais elle m'entraîne hors de la douche vers le séjour. Elle me pousse sur le canapé et entreprend de me sucer à nouveau. Puis, estimant que j'ai repris assez de vigueur, elle vient s'empaler d'une traite sur mon sexe qui n'attendait que ça. Je profite de cette position pour plaquer mes mains sur ses fesses qui me font rêver. J'ai envie de la sodomiser, mais je ne sais pas si elle apprécie cette pratique. Je décide de tenter ma chance...
Elle est toute à son plaisir, elle va et vient sur mon sexe avec entrain. Les mains toujours sur ses fesses, je rapproche lentement mes doigts de sa raie. Mon index passe doucement entre ses globes, en insistant sur son anus humidifié par la cyprine. Elle ne dit rien de mon manège, jusqu'à ce que mes caresses se précisent :
- Je ne l'ai jamais vraiment fait par là...
- Je vais y aller doucement.
Se sentant prête, elle se dégage, se met à genoux face au dossier du canapé et me dit :
- Je te veux dans mes fesses...encules-moi.
Sur ces mots, elle revient sur moi, prend ma queue gluante dans sa main et la présente à l'entrée de son cul. Puis, doucement, elle s'abaisse, jusqu'à ce que ses fesses s'appuient sur mes cuisses. Une douce et chaude pression s'exerce sur mon sexe. Son orifice est vierge et divin. Et je suis au Paradis quand elle commence un lent mouvement. Au bout d'une minute ou deux, elle amplifie ses mouvements et se met à crier.
Ne résistant plus au plaisir qui m'inonde, je plaque mes mains sur ses fesses pour accentuer encore plus ses mouvements de bassin, augmentant ainsi encore l'intensité de ses cris. Sentant notre plaisir imminent, je me mets moi-même à crier et me déverse au fond de ses fesses. Comme sous la douche tout à l'heure, elle reste coite, terrassée par l'orgasme qui submerge son esprit. Nous restons de longues minutes silencieux, mon sexe encore dur fiché en elle.
Quand nous émergeons, elle me sourit. Elle me dit qu'elle avait rarement joui aussi fort, et jamais par le cul. Puis elle me prend par la main et m'attire vers la douche. L'eau brûlante est comme tout à l'heure, mais la séance est cette fois-ci beaucoup plus sensuelle. Nous nous caressons, nous nous embrassons, nous sommes heureux d'avoir partagé ce moment de plaisir.