Je remarque que la licence aime, par moment, briser le 4e mur.
Si vous ne connaissez pas ce concept cinématographique (principalement), il consiste à faire en sorte que le personnage parle à son public, comme s'il était pleinement conscient de sa condition de simple personnage (exemple le plus récent : Deadpool).
Si on regarde alors les 2 jeux :
- bravely default : Introduction où Agnès vous demande de l'aide
- bravely second 1 : Lors de la première fin où Yew nous demande de les aider à changer les choses.
- bravely second 2 : Film RA où Agnès vous demande de l'aide alors qu'elle fuit le Kaiser.
D'ailleurs, j'ai souvent eu l'impression que le personnage nous parle comme s'il s'adressait à une divinité, ce qui est un peu vrai et pas mal (en tout cas pour l'égo).
Avec ça, il y a aussi les jeux de mots (ou de lettre) du sous-titre :
- Where the fairy flies devient Airy Lies (ou Flying Fairy devient Lying Airy)
- End Layer devient Send Player.
Outre le système du brave et du default, ces éléments servent également à l'identité de la série, et le fait de les utilisé avec parcimonie ne les rend que plus appréciable.
J'attends de finir le jeu voir s'il y en a d'autres, mais c'est vraiment génial d'utiliser ce genre de concept pour donner une identité en plus.