Un journaliste, objectic, caricatural, soudoyé ou m'en-fous-tiste ne saurait pas détruire une licence de jeux vidéos : ils critiquent le produit. Ceux qui le détruisent, ce sont ceux qui le construisent et le mettent en vente dans une chaîne cataclysmique d'erreurs et de timings mal dosés.