l'Evangile comme tout livre sacré réside essentiellement dans le coeur de l'homme et du monde or ce qui est écrit dans le coeur des choses ne peut faire l'objet de falsification si bien qu'en son essence l'Evangile est infalsifiable.
Et l'on peut rajouter que les contingences extérieurs sont proprement nul relativement à l'Essence. Si bien que ceux qui se concentrent sur l'extérieur ainsi qu'on le fait ordinairement passe proprement à côté de l'essentiel et ne font en cela que témoigner de leur ignorance.
Le 26 juillet 2019 à 14:08:19 sisiizi a écrit :
Pour alimenter l idéologie tout simplement.
Alimenter ou influencer ?
Darky : je parle pas en tant que chrétiens obéissant dogmatiquement au texte.
Mathieu qui probablement à la même tradition oral que marc ne stipule pas vraiment la même chose c'est un fait.
Sinouh Marc est probablement écrit à Rome ville des païens Après je ne sais pas...
https://youtu.be/nlf1n0Gy94E
A partir de 6:50, après j’ai pas vérifié plus loin
C'est Dieu qui contrôle tout, même les falsificateurs ou copistes sont soumis à sa volonté malgré eux
Le 26 juillet 2019 à 14:46:27 Airbus380 a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 14:36:23 BALAVO3 a écrit :
C'est Dieu qui contrôle tout, même les falsificateurs ou copistes sont soumis à sa volonté malgré euxah mais tu dis des trucs sensés des fois
Oui Hamdulilah
Le 26 juillet 2019 à 14:40:48 ishtabah a écrit :
Pour moi le passage de la femme adultère est une pure invention.
Dans le judaïsme pharisien, la tradition veut que la femme adultère sois puni par strangulation et non par lapidation.
Le simple fait que le texte dit que les pharisiens disent "dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là", montre qu'il ne s'agissait pas d'une retranscription d'un fait qui s'est réellement déroulé...
Le ou les auteurs de ce passage ne connaissaient pas la loi pharisienne.Sans compter qu'ils appellent Jésus "maître", mais qu'ils veulent le mettre en déroute? Ca n'a pas vraiment de sens...
Surtout que ce n'est pas comme ça que ça se passe, si une femme est pris en flagrant délit d'adultere c'est au tribunal que l'on va. L'histoire se veut épique: Jésus se trouve au temple, on lui demande conseil alors qu'au temple se trouve les plus pieux et eminants juifs mais c'est lui qu'on va voit, et personne n'est là pour lui dire quoi que ce sois? Ça sent le Fake..
Je pense que ce rajout a été la uniquement parce que c'est une belle histoire et que ça allait dans le sens de la philosophie de jesus.
Non tu n'as pas compris l'Evangile
7Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier?
8Il leur répondit: C'est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n'en était pas ainsi.
Quand tu dis que c'est un rajout car c'est contraire à la loi Juive
Jesus répond à ça même si ça concerne un autre passage, ça va dans la même logique
Après tu fais comme si les Juifs respectaient tous la loi parfaitement et emmenaient au temple, mais regarde d'autres passages ils lapident eux mêmes, en fait n'oublie pas que la majorité des gens n'étaient pas des bons suiveurs de la loi Juive, il y avait des cailloux par terre donc ils les prenaient directement, c'est tout
Le 26 juillet 2019 à 15:02:25 ishtabah a écrit :
Non mais je peux très bien imaginer que beaucoup de juifs voir la majorité ne connaissait pas la loi, mais la c'est des pharisiens dans le temple qui lui parlent.
Les pharisiens du temple n'auraient jamais dit "Moïse nous dit de lapider la femme adultère" puisque pour eux Moïse a dit qu'il faut tuer la femme adultère par strangulation.
La lapidation existait comme châtiment avant que le Code d’Alliance ne soit donné par Dieu à Moïse au Sinaï, mais elle fut intégrée dans ce Code par la suite et elle est restée au fil du temps le mode d’exécution privilégié des Israélites [4] sanctionnant des crimes considérés comme des offenses d’ordre public comme : le meurtre, l’apostasie, l’idolâtrie, le blasphème, la violation du sabbat, l’adultère, l’inceste etc. C'était un geste de rupture, une sanction collective, exécutée collectivement contre un membre de sa communauté.
http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2009/clb_090515.html
Le passage sur la femme adultère est authentique (bien qu'incomplet) mais très gênant effectivement pour certains auteurs juifs et autres ... d'où les tentatives de suppression.
La 5ème révélation rétablit l'intégralité des faits:
(1792.5) Ce fut durant cette visite à Jérusalem que Jésus s’occupa du cas d’une femme de mauvaise réputation, amenée en sa présence par les accusateurs de cette femme et par des ennemis du Maitre. Le récit déformé que vous possédez de cet épisode laisse entendre que cette femme avait été amenée devant Jésus par les scribes et les pharisiens, et que Jésus les traita comme s’il voulait faire ressortir que ces chefs religieux des Juifs auraient pu eux-mêmes avoir été coupables d’immoralité. Or, Jésus savait bien que ces scribes et ces pharisiens étaient bien spirituellement aveugles et intellectuellement remplis de préjugés par leur fidélité à la tradition, mais qu’ils devaient être comptés parmi les hommes les plus complètement moraux de cette époque et de cette génération.
162:3.2 (1793.1) Voici, en réalité, comment les choses se sont passées. De bonne heure le troisième matin de la fête, tandis que Jésus approchait du temple, vint à sa rencontre un groupe de mercenaires du sanhédrin qui trainaient avec eux une femme. Lorsqu’ils croisèrent Jésus, le porte-parole du groupe dit : « Maitre, cette femme a été surprise en adultère – en flagrant délit. Or, la loi de Moïse ordonne qu’une telle femme soit lapidée. D’après toi, que devons-nous faire d’elle ? »
162:3.3 (1793.2) Le plan des ennemis de Jésus était le suivant : S’il entérinait la loi de Moïse ordonnant que la pécheresse se reconnaissant coupable soit lapidée, ils impliqueraient le Maitre dans des difficultés avec les dirigeants romains, qui avaient refusé aux Juifs le droit d’infliger la peine de mort sans l’approbation d’un tribunal romain. Si Jésus interdisait de lapider la femme, ils l’accuseraient devant le sanhédrin de se placer au-dessus de Moïse et de la loi juive. S’il gardait le silence, ils l’accuseraient de lâcheté. Mais le Maitre prit la situation en mains de telle manière que le complot s’écroula sous le propre poids de sa vilénie.
162:3.4 (1793.3) Cette femme, jadis avenante, était la femme d’un habitant de bas étage de Nazareth, qui avait causé des difficultés à Jésus durant toute sa jeunesse. Après avoir épousé cette femme, il la força honteusement à gagner la vie du ménage en faisant commerce de son corps. Il était venu à la fête des Tabernacles à Jérusalem pour que sa femme puisse y prostituer ses charmes physiques afin d’en tirer un profit financier. Il avait conclu un accord avec les mercenaires des dirigeants juifs pour trahir ainsi sa propre femme dans le commerce de son vice. Ces mercenaires venaient donc avec la femme et son complice dans l’adultère, afin de prendre Jésus au piège en lui faisant émettre une opinion qu’ils pourraient ensuite utiliser contre lui s’il était arrêté.
162:3.5 (1793.4) Promenant son regard au-dessus de l’attroupement, Jésus vit le mari debout derrière les autres. Il savait de quel genre d’homme il s’agissait et perçut qu’il était intéressé dans cette méprisable opération. Jésus commença par contourner l’attroupement pour s’approcher de ce mari dégénéré, puis il écrivit sur le sable quelques mots qui le firent partir précipitamment. Il revint ensuite devant la femme et écrivit de nouveau sur le sol un message destiné à ses prétendus accusateurs. Quand ils eurent lu les mots du Maitre, eux aussi s’en allèrent un par un. Quand le Maitre eut écrit une troisième fois sur le sable, le complice de la femme partit à son tour, de sorte qu’au moment où le Maitre se releva en ayant fini d’écrire, il ne vit plus que la femme debout et seule devant lui. Il lui dit : « Femme, où sont tes accusateurs ? N’est-il resté personne pour te lapider ? » La femme leva les yeux et répondit : « Personne, mon Seigneur. » Alors Jésus dit : « Je connais ton cas, et je ne te condamne pas non plus. Va ton chemin en paix. » Et cette femme, nommée Hildana, abandonna son mari pervers pour se joindre aux disciples du royaume.
Le 26 juillet 2019 à 14:33:16 guigs27 a écrit :
https://youtu.be/nlf1n0Gy94E
A partir de 6:50, après j’ai pas vérifié plus loin
C'est pas le verset "puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments" qui est remis en doute mais celui la :
"Ainsi Jésus déclarait purs tous les aliments".
L'auteur de la video ne parle que de la premiere traduction et effectivement celui la semble être la traduction la plus correcte.
Le 26 juillet 2019 à 14:40:48 ishtabah a écrit :
Pour moi le passage de la femme adultère est une pure invention.
Dans le judaïsme pharisien, la tradition veut que la femme adultère sois puni par strangulation et non par lapidation.
Le simple fait que le texte dit que les pharisiens disent "dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là", montre qu'il ne s'agissait pas d'une retranscription d'un fait qui s'est réellement déroulé...
Le ou les auteurs de ce passage ne connaissaient pas la loi pharisienne.
Assez d'accord avec toi. Meme si cette scène est présentée comme étant un piege tendu par les scribes et les pharisiens à Jesus, le deroulement de la scène n'est pas crédible avec la facon de faire des juifs du premier siècle pour juger une femme adultère. Ca fait d'ailleurs passer ces derniers pour des animaux qui seraient pret à lapider n'importe qui sans procès.
Donc soit le récit de la scène est abrégé pour en faire quelque chose de succinct, littéraire et compréhensible par tout le monde, même les non-juifs. Soit c'est un rajout tardif par un auteur non juif.
Je pense que ce rajout a été la uniquement parce que c'est une belle histoire
Ichatabah qui complimente de plus en plus le Messie et les evangiles
Vous surestimez l'humanité, les cons qui appliquent mal la loi ça existe partout dans tous les groupes
Même la Police en France aujourd'hui fait parfois n'importe quoi
Le 26 juillet 2019 à 15:28:56 BALAVO3 a écrit :
Vous surestimez l'humanité, les cons qui appliquent mal la loi ça existe partout dans tous les groupesMême la Police en France aujourd'hui fait parfois n'importe quoi
C'est une hypothèse intéressante aussi. C'est pas comme si les juifs respectaient la Torah à la lettre dans le Tanakh. Combien de fois ont ils désobéi puis été puni par l'éternel ?
Le 26 juillet 2019 à 15:35:29 Dourazal a écrit :
Parce que c'est écrit par des hommes, et pas Révélé par Dieu.
Oeuvres d'hommes,naturellement sujettes à corruption,au contraire du Qur'an.
L’Évangile de Thomas l'Israélite ou Évangile du pseudo-Thomas aussi appelé Histoire de l'enfance de Jésus, appelée aussi Évangile de l'enfance selon Thomas depuis l'édition de J. A. Fabricius en 1703, est un texte apocryphe paléochrétien.
La composition paraît complexe et remonterait au iiie siècle, mais a utilisé des sources plus anciennes. On reconnaît des éléments gnostiques, d'autres provenant de milieux ébionites.
Irénée de Lyon parle d'un évangile de Thomas comme d'un écrit gnostique qu'il qualifie de « marcosien », qui est probablement l'Évangile de Thomas dont le texte intégral a été retrouvé à Nag Hammadi (Égypte) en 1945.
Le texte raconte que Jésus faisait s'envoler des oiseaux d'argile ou comment il pouvait rendre aveugles ceux qui lui avaient déplu. De même, l'évangile raconte l'éducation de Jésus, comment celui-ci apprit à lire et comment il apprit à utiliser ses pouvoirs divins pour guérir plutôt que tuer (en effet, dans le texte, le jeune Jésus tue deux enfants sous le coup de la colère).
Des récits que l'on retrouve dans la tradition musulmane et dans les récits arabes de l'enfance de Jésus/Îsâ. La péricope des « oiseaux d'argile » est reprise dans les Sourate III, 49 et V, 110 du Coran.
https://twitter.com/ibnyayaz/status/1132942404695277568
Mohammad Ali Amir-Moezzi - il y avait au moins 5 Corans différents qui circulaient dans le monde musulman au cours des premiers siècles de l'islam.
Vidéo complète :
https://www.youtube.com/watch?v=mtyMquuYtv4
Un courant judéo-chrétien aux origines de l'islam et du Coran, selon Mohammad-Ali AMIR-MOEZZI
https://www.youtube.com/watch?v=4lAaU1xgDzA
Dans le NT la Parole de Dieu est Jesus, pas le texte mais la chair, c'est une religion incarnée
Le 26 juillet 2019 à 16:51:53 Dourazal a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:40:35 sinouhe2 a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:35:29 Dourazal a écrit :
Parce que c'est écrit par des hommes, et pas Révélé par Dieu.
Oeuvres d'hommes,naturellement sujettes à corruption,au contraire du Qur'an.L’Évangile de Thomas l'Israélite ou Évangile du pseudo-Thomas aussi appelé Histoire de l'enfance de Jésus, appelée aussi Évangile de l'enfance selon Thomas depuis l'édition de J. A. Fabricius en 1703, est un texte apocryphe paléochrétien.
La composition paraît complexe et remonterait au iiie siècle, mais a utilisé des sources plus anciennes. On reconnaît des éléments gnostiques, d'autres provenant de milieux ébionites.
Irénée de Lyon parle d'un évangile de Thomas comme d'un écrit gnostique qu'il qualifie de « marcosien », qui est probablement l'Évangile de Thomas dont le texte intégral a été retrouvé à Nag Hammadi (Égypte) en 1945.
Le texte raconte que Jésus faisait s'envoler des oiseaux d'argile ou comment il pouvait rendre aveugles ceux qui lui avaient déplu. De même, l'évangile raconte l'éducation de Jésus, comment celui-ci apprit à lire et comment il apprit à utiliser ses pouvoirs divins pour guérir plutôt que tuer (en effet, dans le texte, le jeune Jésus tue deux enfants sous le coup de la colère).Des récits que l'on retrouve dans la tradition musulmane et dans les récits arabes de l'enfance de Jésus/Îsâ. La péricope des « oiseaux d'argile » est reprise dans les Sourate III, 49 et V, 110 du Coran.
Encore une fois, qui décide que tels récits sont authentiques ou non chez les chrétiens, quand ceux qui sont canoniques sont falsifiés, oeuvre de faussaires , remplis de contradictions, écrits par des inconnus tout sauf apôtres ?
Des experts, c'est leur métier, ils reconnaissent les éléments gnostiques ou Islamiques comme dans l'Evangile de Barnabé par exemple et savent reconnaitre les forgeries facilement
Le 26 juillet 2019 à 16:51:53 Dourazal a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:40:35 sinouhe2 a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:35:29 Dourazal a écrit :
Parce que c'est écrit par des hommes, et pas Révélé par Dieu.
Oeuvres d'hommes,naturellement sujettes à corruption,au contraire du Qur'an.L’Évangile de Thomas l'Israélite ou Évangile du pseudo-Thomas aussi appelé Histoire de l'enfance de Jésus, appelée aussi Évangile de l'enfance selon Thomas depuis l'édition de J. A. Fabricius en 1703, est un texte apocryphe paléochrétien.
La composition paraît complexe et remonterait au iiie siècle, mais a utilisé des sources plus anciennes. On reconnaît des éléments gnostiques, d'autres provenant de milieux ébionites.
Irénée de Lyon parle d'un évangile de Thomas comme d'un écrit gnostique qu'il qualifie de « marcosien », qui est probablement l'Évangile de Thomas dont le texte intégral a été retrouvé à Nag Hammadi (Égypte) en 1945.
Le texte raconte que Jésus faisait s'envoler des oiseaux d'argile ou comment il pouvait rendre aveugles ceux qui lui avaient déplu. De même, l'évangile raconte l'éducation de Jésus, comment celui-ci apprit à lire et comment il apprit à utiliser ses pouvoirs divins pour guérir plutôt que tuer (en effet, dans le texte, le jeune Jésus tue deux enfants sous le coup de la colère).Des récits que l'on retrouve dans la tradition musulmane et dans les récits arabes de l'enfance de Jésus/Îsâ. La péricope des « oiseaux d'argile » est reprise dans les Sourate III, 49 et V, 110 du Coran.
Encore une fois, qui décide que tels récits sont authentiques ou non chez les chrétiens, quand ceux qui sont canoniques sont falsifiés, oeuvre de faussaires , remplis de contradictions, écrits par des inconnus tout sauf apôtres ?
La tradition + l’eglise
Le 26 juillet 2019 à 16:51:53 Dourazal a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:40:35 sinouhe2 a écrit :
Le 26 juillet 2019 à 15:35:29 Dourazal a écrit :
Parce que c'est écrit par des hommes, et pas Révélé par Dieu.
Oeuvres d'hommes,naturellement sujettes à corruption,au contraire du Qur'an.L’Évangile de Thomas l'Israélite ou Évangile du pseudo-Thomas aussi appelé Histoire de l'enfance de Jésus, appelée aussi Évangile de l'enfance selon Thomas depuis l'édition de J. A. Fabricius en 1703, est un texte apocryphe paléochrétien.
La composition paraît complexe et remonterait au iiie siècle, mais a utilisé des sources plus anciennes. On reconnaît des éléments gnostiques, d'autres provenant de milieux ébionites.
Irénée de Lyon parle d'un évangile de Thomas comme d'un écrit gnostique qu'il qualifie de « marcosien », qui est probablement l'Évangile de Thomas dont le texte intégral a été retrouvé à Nag Hammadi (Égypte) en 1945.
Le texte raconte que Jésus faisait s'envoler des oiseaux d'argile ou comment il pouvait rendre aveugles ceux qui lui avaient déplu. De même, l'évangile raconte l'éducation de Jésus, comment celui-ci apprit à lire et comment il apprit à utiliser ses pouvoirs divins pour guérir plutôt que tuer (en effet, dans le texte, le jeune Jésus tue deux enfants sous le coup de la colère).Des récits que l'on retrouve dans la tradition musulmane et dans les récits arabes de l'enfance de Jésus/Îsâ. La péricope des « oiseaux d'argile » est reprise dans les Sourate III, 49 et V, 110 du Coran.
Encore une fois, qui décide que tels récits sont authentiques ou non chez les chrétiens, quand ceux qui sont canoniques sont falsifiés, oeuvre de faussaires , remplis de contradictions, écrits par des inconnus tout sauf apôtres ?
L'evangile de l'enfance est l'un des apocryphes les plus ridicules si ce n'est le plus ridicule que j'ai lu jusqu'à présent. Pris au second degré, il est très plaisant.
Mais il n'a aucune valeur historique. Je t'invite à le lire pour que tu comprenne l'étendu des dégâts. Pas besoin de faire des études en théologie ou être au Vatican pour comprendre que ça ne vaut rien.