Le 04 juin 2016 à 11:17:48 RoiPanda a écrit :
Le 04 juin 2016 à 11:15:14 MotorcycleMan a écrit :
RoiPanda ce pochtron
Bien écrit, la scène est très bien décrite et bien vivante, j'ai bien rigolé devant l'écran en visualisant
Ne te dévalorise pas trop tout de mêmeLibrement inspiré de ma soirée d'hier
Dans ce cas tu as oublié le passage où tu avais besoin de prendre une barque et de ramer dans les rues de ta ville pour rentrer chez toi
Le 04 juin 2016 à 11:22:43 MotorcycleMan a écrit :
Le 04 juin 2016 à 11:17:48 RoiPanda a écrit :
Le 04 juin 2016 à 11:15:14 MotorcycleMan a écrit :
RoiPanda ce pochtron
Bien écrit, la scène est très bien décrite et bien vivante, j'ai bien rigolé devant l'écran en visualisant
Ne te dévalorise pas trop tout de mêmeLibrement inspiré de ma soirée d'hier
Dans ce cas tu as oublié le passage où tu avais besoin de prendre une barque et de ramer dans les rues de ta ville pour rentrer chez toi
En plus ça a encore monté, je suis même pas sûr de pouvoir rentrer chez moi cet après-midi
Tous les hommes rêvent mais pas de la même manière : ceux qui rêvent de nuit, dans les replis poussiéreux de leur esprit, s'éveillent le jour et découvrent que leur rêve n'était que vanité ; mais ceux qui rêvent de jour sont dangereux, car ils sont susceptibles, les yeux ouverts, de mettre en œuvre leur rêve afin de pouvoir le réaliser.
J'suis le seul à avoir capté la référence on dirait
Sinon tes derniers textes Slip rouge et cartouchière Un rêve
RoiPanda, je lis la tienne maintenant
Edit: Pas mal, j'aime ton style
Parce que tu as joué à Uncharted 3 Ou alors tu as une culture de daron
Marrant ton texte RoiPanda, mais perso j'ai beau chercher sur tes clichés je ne trouve absolument pas de traits chinois
Achime en sueur devant notre joie de vivre
Achime qui rage sec et conserve ce message pour me le vomir dans un mois
Achime ce planqué qui ne montre même pas sa tête, tellement fragile qu'on aurait pitié de le bousculer dans le métro
Le 04 juin 2016 à 12:30:06 Zozowok3 a écrit :
Marrant ton texte RoiPanda, mais perso j'ai beau chercher sur tes clichés je ne trouve absolument pas de traits chinois
On me le dit souvent (hier soir on m'a demandé si j'étais irlandais )
Certains ont l'oeil, d'autre pas
Et le spoil
J'aime bien le sens du détail de la vie quotidienne
Outre la conjugaison qui m'a fait éclater un œil après l'autre (ouvrir est du 3ème groupe, pas du 1er, et "assied" est du présent de l'indicatif), que veut dire le titre
Le 04 juin 2016 à 12:30:06 Zozowok3 a écrit :
Parce que tu as joué à Uncharted 3 Ou alors tu as une culture de daron
Devine
Marrant ton texte RoiPanda, mais perso j'ai beau chercher sur tes clichés je ne trouve absolument pas de traits chinois
T'as d'la merde dans les yeux, ça s'voit quand même
Le 04 juin 2016 à 13:16:56 Zozowok3 a écrit :
Outre la conjugaison qui m'a fait éclater un œil après l'autre (ouvrir est du 3ème groupe, pas du 1er, et "assied" est du présent de l'indicatif), que veut dire le titre
Merci à mon correcteur officieux
j'apprendrerai à conjugaisonner mieux plus tard
Le titre veut dire "païen"
(T'aurais pu le deviner voyons, ça ressemble à l'anglais, ça se prononce "Hizinn" qui ressemble à "Heathen" )
Chez moi ce qui ressemble le plus au son des païens c'est le crépitement d'un bûcher au clair de lune en invoquant le Père des Lumières (https://www.youtube.com/watch?v=XaWIRfnQ38U)
Le 04 juin 2016 à 14:50:27 Zozowok3 a écrit :
Chez moi ce qui ressemble le plus au son des païens c'est le crépitement d'un bûcher au clair de lune en invoquant le Père des Lumières (https://www.youtube.com/watch?v=XaWIRfnQ38U)
Youpi, vais pouvoir réécrire avec ce qui se met en place
Menace extrémiste sur l'île des religions, partie 6
Chapitre 3 : Paix et prospérité
Quatre hommes se glissèrent à l’intérieur de la pièce éclairée par de nombreux lustres sans attirer l’attention sur eux. Ils se trouvaient dans une salle commune d’un village chrétien ayant retrouvé sa quiétude, ses habitants se sachant enfin à l’abri d’un conflit ravageur. Certes l’issue de la guerre restait inconnue, mais le vacarme des armes laissa place aux paroles des diplomates et autres émissaires.
Les extrémistes étaient totalement neutralisés et l’heure était aux règlements de compte, que la plupart espérait équitables, malgré quelques débordements sporadiques. Les villages retrouvaient peu à peu leurs routines tandis que les anciennes zones de conflits restaient désertées.
Les quatre hommes retirèrent leurs manteaux, laissant apparaître sur une broche ou un pendentif des symboles religieux dédiés aux anciens Dieux. Ces individus, avaient échappé au conflit car dispersés, ou n’étant pas encore parvenus à l’île du Souforum. Ils regrettaient de ne pas avoir pu être présents pour combattre aux côtés des leurs, et dorénavant ils désiraient de tout leur cœur rentrer au village des païens et s’y installer définitivement.
A la table voisine étaient installées trois personnes. L’une d’elle observait avec un rictus une représentation imagée d’un homme chauve, musclé et à la peau très pâle, aux lèvres noires et aux yeux maquillés, torse nu et dans une position équivoque. Il en était très amusé, et ne cessa de regarder cette image qu’à cause de la pression sociale environnante.
« Tu ne devrais pas y attacher tant d’importance, Jean-Amassou » lui dit l’un de ses compagnons.
« Je ne peux pas m’en empêcher, tu imagines que ce type prétend évangéliser ? »
L’un des païens entendit cela et lui demanda : « Excuse-moi, il m’a semblé comprendre, es-tu Jean-Amassou ? Le fameux émissaire de l’ancienne Alliance ayant défait les extrémistes ? »
« C’est bien moi » fit le chrétien, observant l’ensemble de la tablée de son interlocuteur.
« Les païens ont apporté une grande aide à l’Alliance, vous pouvez être fiers de vos frères. Je vous présente Norin et Zozowok » ajouta t-il.
« C’est un grand honneur de te rencontrer » lui répondit son interlocuteur. « Je suis Cabanel, et voici Abd Al-Rahman, Artemisfowl, et Triskelium, nous rentrons chez nous, enfin. »
Les deux groupes s’assemblèrent et ils discutèrent toute la soirée, Jean-Amassou évoquant tous les faits d’armes auxquels il avait participé et résumant les actions de ses anciens alliés survenues durant la guerre. La discussion fut agréable, tous étaient contents de pouvoir partager cet instant de convivialité.
Il était très tard lorsque les païens prirent congés de leur nouveaux amis, et ils se couchèrent confiants en l’avenir, qui semblait empli de promesses de paix et de prospérité partagée entre les deux communautés. Ils avaient à présent hâte de rejoindre leur village et contribuer à une nouvelle ère qui s’ouvrait à eux.
Peut-être encore un ou deux derniers chapitres, quand je serai inspiré
Le 04 juin 2016 à 16:12:06 Khaleran a écrit :
Youpi, vais pouvoir réécrire avec ce qui se met en place
Le 04 juin 2016 à 16:54:54 Khaleran a écrit :
Le 04 juin 2016 à 16:12:06 Khaleran a écrit :
Youpi, vais pouvoir réécrire avec ce qui se met en place
Pourquoi tu parles tout seul
Le 04 juin 2016 à 17:01:31 MotorcycleMan a écrit :
Le 04 juin 2016 à 16:54:54 Khaleran a écrit :
Le 04 juin 2016 à 16:12:06 Khaleran a écrit :
Youpi, vais pouvoir réécrire avec ce qui se met en placePourquoi tu parles tout seul
Il s'est trompé de pseudo
Je préférais me citer, j'avais mis mon message avant que tu supprimes le tien, vilain
Le 04 juin 2016 à 17:50:32 Khaleran a écrit :
Je préférais me citer, j'avais mis mon message avant que tu supprimes le tien, vilain
Hein ?
Mais pas du tout
Non je déconne, oui j'ai foiré un personnage, et trop tard pour éditer, j'ai du supprimer
Le voyage en Orient, Livre XXXV
Nous longions la côte, à bonne distance des marais où venait mourir une forêt d'arbres silencieux, le feuillage comme un linceul baissé sur leur vigueur perdue. Une lumière faiblarde sans fumée apparente jaillissait quelques fois dans la nuit qui s'installait sans bruit sur l'île du Sousforum. Sûrement le repère des Satanistes. Sur l'autre bord du navire, beaucoup plus au loin, les lumières de la citadelle catholique nous guidaient tel un phare. Pour que le plan soit parfaitement exécuté, il fallait que Norin et Flycy ne débarquent pas avec nous.
Je me pris à rêver d'une vie plus douce, vieux souvenir désagrégé par le temps. Accoudé à la lisse à l'avant du pont inférieur, l'eau sombre qui filait sous mes yeux m'éloignait toujours un peu plus de ce rêve déchu que j'avais vainement tenté de reconstituer, par deux fois, et qui par deux fois m'avait été retiré. J'en voulais à l'Alliance de ne pas avoir su affirmer ses fondements ; elle avait recruté en nombre sans aplanir les fossés qui nous séparaient sitôt que les Petits Bras avaient fui. Et je m'en voulais aussi d'avoir naïvement cru m'installer en plein Califat jvcien sans pâtir de ces différences. Qu'étaient devenus les Orthodoxes de l'église du Dôme, avec cette dernière qui n'existait assurément plus ?
Un moine nous accueillit dans un port de fortune, tenant à la main une lanterne qui éclairait mal son visage. Je ne le connaissais pas. Il se présenta aimablement et d'une voix claire sous le nom de reok. Derrière lui dans une murmure mélodieux, je distinguais les vêpres qui élevaient l'hymne au Père des lumières dans la nuit sombre. Le Saint Royaume catholique avait été reconquis dans la débâcle de la dernière grande bataille, et la petite communauté religieuse semblait avoir délaissé ses catacombes sordides. Le moine reok guida mes amis jusque dans le donjon, à travers un sentier boueux qui serpentait entre les parcelles cultivées jusqu'aux habitations des pêcheurs. L'âne occupé à braire ne remarqua pas tout de suite que le cortège s'éloignait du port quand le moine le sermonna d'un coup de branche sur le flanc. Regagnant le large une seconde fois, d'un air amusé nous le vîmes tenter d'échapper aux coups avant de rejoindre au plus vite nos deux amis inquiets pour leurs bagages sur son dos.
Les villages bibliques n'étaient plus très loin. La plaine désolée qui se dessinait tout autour des remparts ouest ressemblait à un no man's land que les cris des mourants catholiques et protestants peuplaient. La grande guerre était peut-être finie mais les rixes restaient nombreux dans cette zone. En tendant la longue vue Barbaresques désignait CharlesPasqua qui soignait des blessés sans distinction de confession. Le spectacle tragique avait quelque chose de beau. Emboîtant le pas de Jean-Amassou, je le suivis dans les quartiers d'équipage au milieu des hamacs et de la sueur.
« Parle-moi d'autre chose, fis-je abruptement en lui servant de la bière.
— Pas du plan, j'imagine…
— Des Païens. Ou de ce que tu veux… »
Embarrassé par cette discussion qui tournait court, Jean-Amassou se contenta de boire longuement. Reposant bruyamment son verre, il esquissa un sourire charmeur en fronçant légèrement les sourcils, ce qui soulignait un regard profond. Enfin il prit une longue inspiration pour parler.
Pas une raison pour arrêter ta fic RoiPanda !
Parler de quoi ?! Je veux la suite