Kaze et Rinkah :
Rang C
Kaze : Auriez-vous un moment, Rinkah ?
Rinkah : Bien sûr. Qu'est-ce que tu veux ?
Kaze : Eh bien, voyez-vous, tout à l'heure j'ai aidé une femme à porter des courses... En remerciement, elle m'a donné ce sac de bonbons.
Rinkah : Tout ça ?! Mais il doit bien faire 10 kilos !
Kaze : Oui... C'est pourquoi j'aimerais que vous m'aidiez. Je ne peux pas manger tout cela seul.
Rinkah : Ah, je vois. Merci, mais non merci.
Kaze : Vraiment ? Je me disais pourtant que vous seriez la mieux à même de les apprécier.
Rinkah : Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
Kaze : Votre estomac n'a pas cessé de gargouiller, aujourd'hui. Ce n'est pas passé inaperçu !
Rinkah : Et alors ? Ça ne veut pas dire que j'ai faim. Garglglbl.
Kaze : ...
Rinkah : Ce n'est pas ce que tu crois ! C'est sûrement... une souris.
Kaze : Hmm... Je vais peut-être laisser quelques bonbons pour cette pauvre petite souris.
Rinkah : Oui oui. Fais ce que tu veux.
Kaze : J'y compte bien. J'espère que la souris appréciera ces friandises. J'ai ouï dire qu'elle avait un petit faible pour les sucreries...
Rinkah : La souris te dit qu'elle n'a absolument aucun faible pour les sucreries. Elle t'informe aussi qu'elle ne les acceptera que pour cette fois. Est-ce que le ninja a bien compris ?
Kaze : Bien sûr. Eh bien, je dois partir. À plus tard, Rinkah.
Rinkah : ... Miam, miam...
Rang B
Kaze : J'ai encore des bonbons, Rinkah. En voulez-vous quelques-uns ?
Rinkah : Kaze, je pensais t'avoir dit que je ne voulais plus de bonbons.
Kaze : Ah ? Vous devez faire erreur. C'est la souris à l'estomac qui gargouille, qui ne voulait plus de bonbons.
Rinkah : Espèce de...
Kaze : Je sais bien que vous adorez les bonbons, Rinkah. Je suppose que vous les fuyez de peur qu'ils ne vous fassent paraître faible. Mais personne ne vous méprisera parce que vous vous faites plaisir de temps à autre.
Rinkah : Vas-tu te taire ? Ce que je mange ne te regarde pas !
Kaze : Vous avez tout à fait raison. Cependant, je serais un mauvais ami si je ne me préoccupais pas de votre bonheur. Ce n'est pas bon de vous priver juste pour cacher votre faible pour les sucreries.
Rinkah : Je ne le cache pas. Simplement, tout le monde n'a pas à le savoir.
Kaze : Je peux le dire aux autres, alors ?
Rinkah : Tu n'as pas intérêt ! Et pourquoi tu te préoccupes autant de ce que je mange ?
Kaze : Vous vous trompez. Je me préoccupe de votre besoin de sauver les apparences. Bon, allez-vous accepter ces bonbons ? Il me semble que ce sont vos préférés...
Rinkah : Ne me suis-je pas assez bien fait comprendre ? Je n'en veux pas !
Kaze : Je vois. Mais vous savez que je connais votre passion pour le sucre, n'est-ce pas ? Vous pouvez donc prendre ces bonbons sans vous faire de souci.
Rinkah : Je ne suis pas une gamine ! Je n'ai pas besoin que tu me donnes à manger. Si je veux des bonbons, je suis assez grande pour les chercher moi-même.
Kaze : Vous vous méprenez. Il y en a trop pour moi, et j'ai besoin de votre aide.
Rinkah : Hmpf... Très bien. Bon... Et merci de t'inquiéter pour moi.
Kaze : C'est normal.
Rang A
Kaze : Rinkah, merci encore de m'avoir aidé à finir mes bonbons, l'autre jour. Je ne savais pas qu'on pouvait en mettre autant dans un seul estomac.
Rinkah : Argh... Je n'aurais jamais dû accepter de nourriture de ta part...
Kaze : En parlant de cela, on m'en a donné un autre sachet, aujourd'hui. Cela vous dirait de remettre ça ?
Rinkah : Encore ? C'est une blague ?!
Kaze : Je sais... J'ai bien essayé de refuser, mais la femme n'a rien voulu entendre.
Rinkah : Comment tu fais pour qu'on t'offre des cadeaux tout le temps ? Je suis jal... Hum. Gélatine. Je suis gélatine.
Kaze : Pardon ?
Rinkah : Rien. Je ne suis pas jalouse. Tais-toi.
Kaze : Vous savez, votre problème de gélatine n'est pas difficile à résoudre. Si vous dites aux gens que vous aimez les bonbons, ils vous en donneront avec joie.
Rinkah : Merci, mais non. Tout va bien.
Kaze : Il va donc falloir que je trouve un moyen de vous faire passer des bonbons en secret. Peut-être que si vous en mangiez plus, vous sortiriez de votre coquille...
Rinkah : Je ne suis pas dans une coquille, et je n'ai pas besoin de toi pour en sortir ! Cela dit, si tu trouves un moyen de me donner des bonbons... je ne dirai pas non.
Kaze : Très bien, ce sera fait.
Rinkah : Parfait. Maintenant, si tu pouvais me laisser ce sachet de bonbons, et un peu d'intimité...
Kaze : Mais bien sûr. Au revoir, Rinkah.
Rang S
Kaze : Bonjour.
Rinkah : Encore toi ? Tu as encore des tas de bonbons à me refiler ?
Kaze : Non. Je voudrais discuter de quelque chose avec vous.
Rinkah : Discuter ?
Kaze : Vous avez l'air déçue. Peut-être auriez-vous préféré des bonbons ?
Rinkah : Argh...
Kaze : C'est bien ce qui me semblait. Eh bien, notre discussion attendra. Je dois d'abord vous trouver des bonbons.
Rinkah : Non, ça ira. Tu n'es pas responsable de mon estomac, tu sais.
Kaze : Oui, mais j'aime être sûr que vous êtes comblée. Si cela ne tenait qu'à moi, vous ne souffririez plus de rien, plus jamais.
Rinkah : C'est un peu... bizarre. Je peux me prendre en charge, Kaze.
Kaze : Je sais, mais je ne peux pas m'en empêcher. Je suis amoureux de vous.
Rinkah : ... ... Quoi ?
Kaze : Je vous aime, Rinkah. Je voudrais être près de vous à tout moment.
Rinkah : C'est pour ça que tu m'apportais tous ces bonbons, alors ?
Kaze : Oui et non. J'aurais agi de cette manière quels que soient mes sentiments. Mais j'avoue que j'ai pris un plaisir particulier à vous rendre service. Et quelque part, j'étais content que votre faible pour les sucreries soit un secret. Parce que... cela signifait que je pouvais faire quelque chose de spécial pour vous.
Rinkah : Kaze...
Kaze : Je suis désolé. J'ai manqué d'honneur.
Rinkah : Oh, épargne-moi le discours du ninja dévoué. Tu n'as pas manqué d'honneur. Et puis... je crois qu'il y a pire que d'être avec toi. Alors, bon. Pourquoi pas ?
Kaze : Je vois... Vous ne partagez pas mes sentiments, n'est-ce pas ? Vous devriez peut-être oublier ce que je vous ai dit. Je ne veux pas vous forcer si cela vous laisse indifférente.
Rinkah : Mais non, andouille ! Il faut vraiment que je te mette les points sur les i ?! Très bien ! Je t'aime aussi, et je veux rester auprès de toi, d'accord ? Bon, on peut passer à autre chose, maintenant ?
Kaze : Bon. Très bien. Alors... Que faisons-nous, à présent ?
Rinkah : Hé hé. Tu pourrais commencer par me passer un autre sachet de bonbons.
Kaze : Tout ce que vous voudrez, mon amour.
Corrin (H) et Kaze :
Rang C
Kaze : Pff...
Corrin : Quelque chose ne va pas, Kaze ? Dites, que sont tous ces daïkons ?
Kaze : Ah, Messire Corrin. Bonjour. Une dame m'a offert ces radis après que je l'ai aidée à retrouver son chemin.
Corrin : Nous allons faire un festin de ces daïkons, au dîner ! C'est formidable !
Kaze : Excusez-moi de vous contredire, mais cela n'a rien de formidable.
Corrin : Ah ? Quel est le problème ? Avez-vous quelque chose contre les radis blancs ?
Kaze : Cela me gêne d'être remercié pour avoir simplement indiqué sa route à quelqu'un. D'ailleurs, ce n'est pas la première fois qu'une telle chose m'arrive...
Corrin : Ah bon ?
Kaze : Cela reste pour moi un mystère, mais... Souvent, des femmes m'approchent pour me parler ou me faire des cadeaux.
Corrin : Ah, vraiment ?
Kaze : Et si jamais je prononce quelques mots, elles se mettent à crier ou à m'enlacer. Parfois, elles me donnent des lettres, des vêtements ou de la nourriture. Nos alliées ne font pas cela, bien sûr, seulement les étrangères. C'est agaçant.
Corrin : Hé hé, j'ai l'impression que vous avez simplement du succès auprès des femmes !
Kaze : Du succès ? Auprès des... femmes ?
Corrin : Absolument. Ces femmes sont seulement... Disons que vous devez les intéresser. Parce que vous êtes doux et mystérieux à la fois. Et puis vous êtes un ninja... L'autre jour, j'ai surpris une conversation entre deux femmes, en ville. L'une disait : << Ah, cet air triste sur le beau visage de Kaze, c'est irrésistible ! >>
Kaze : Argh... J'aurais préféré ne pas entendre cela. J'apprécie le compliment, mais... J'aimerais mieux me concentrer sur mon devoir et éviter de telles distractions.
Corrin : Ha ha, vous êtes si sérieux ! La plupart des hommes rêveraient de tant d'attention !
Kaze : Je me comporte seulement comme doit le faire un ninja digne de ce nom. Voilà tout. En tout les cas, ces femmes se trompent. Je ne suis pas un homme bien.
Corrin : Pourquoi dites-vous cela ?
Kaze : Pour rien. Et maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai des choses à faire.
Corrin : Et voilà, il a disparu ! Ah, ces ninjas... Mais que voulait-il dire ? Pourquoi ne serait-il pas quelqu'un de bien ?
Rang B
Corrin : Kaze, j'ai quelque chose à vous demander. J'aimerais vous accompagner en ville.
Kaze : Vous savez que notre compagnie me fait toujours plaisir, mais pourquoi ? Ai-je fait quelque chose de travers ?
Corrin : Non, pas du tout ! J'ai pensé que cela serait un moyen de vous montrer en quoi vous êtes si charmant.
Kaze : Euh... Mais pourquoi feriez-vous une telle chose, au juste ?
Corrin : Vous m'inquiétez depuis que vous m'avez dit que vous n'êtes pas un homme bien. Il m'a semblé que quelque chose vous tracassait, et j'aimerais vous aider. Je veux que vous voyiez le bon qu'il y a en vous !
Kaze : Mais c'est...
Corrin : Alors, qu'en dites-vous ?
Kaze : Merci de vous inquiéter, mais tout va bien. Si vous voulez bien m'excuser...
Corrin : Kaze ! Revenez ! Le voilà parti ! Hmm... Je parierais qu'il n'est pas loin, en réalité... Je n'abandonnerai pas aussi facilement. Kaze, où êtes-vous ? Kaze ! Revenez, ne me laissez pas comme ça !
Kaze : Hmpf.
Corrin : Kaaaze !
Kaze : Messire Corrin.
Corrin : Vous voilà ! Ah, je savais que vous ne pouviez pas vous cacher de moi !
Kaze : J'aimerais autant que vous évitiez de crier ainsi. Et si des ennemis nous entendaient ? N'indiquez jamais votre position lorsque vous êtes à l'écart du gros de l'armée. Épargnez-nous de tels comportements, à l'avenir, pour la sécurité de tous.
Corrin : Vous avez raison, je suis désolé. Je voulais tellement vous retrouver... Merci d'être revenu. Je sais que vous l'avez fait pour ma sécurité. C'est bien la preuve que vous êtes quelqu'un de bien !
Kaze : Pourquoi vous entêter à me dire des choses pareilles ?
Corrin : Comment ?
Kaze : S'il vous plaît, arrêtez cela. Laissez-moi tranquille.
Corrin : Kaze !
Kaze : ... Veuillez m'excuser, Messire. Je n'aurais pas dû vous parler aussi dûrement.
Corrin : Non, tout est ma faute. Personne n'aime être harcelé de la sorte. Excusez-moi, Kaze.
Kaze : Messire Corrin ! ...
Rang A
Kaze : Messire Corrin. Je vous présente mes excuses pour vous avoir blessé, la dernière fois.
Corrin : Oui ? Oh, quand vous vous êtes énervé parce que je voulais vous accompagner ? Ne vous en faites pas, c'était de ma faute. Désolé de vous avoir importuné, Kaze.
Kaze : Vous êtes si gentil, Messire Corrin.
Corrin : Vraiment ?
Kaze : ...
Corrin : Kaze ?
Kaze : Il y a quelque chose que vous ne savez pas à mon sujet, Messire Corrin. Une chose pour laquelle je serai à jamais impardonnable, qu'importe mon repentir.
Corrin : Quoi donc ?
Kaze : Je suis un piètre serviteur. C'est ma faute si vous avez été enlevé et emmené en Nohr.
Corrin : Votre faute ? Qu'avez-vous donc fait ?
Kaze : Ce jour-là, nous nous étions tous rendus en Cheve, et j'y avais vu les forces de Nohr. Celles-là même qui, plus tard, tueraient le roi Sumeragi et vous enlèveraient. Mais j'étais jeune, et j'ignorais ce que leur présence signifiait... et je n'ai rien dit.
Corrin : Ce n'est pas votre faute, Kaze. Vous n'étiez qu'un enfant ! Comment auriez-vous pu deviner ce qui allait arriver ?
Kaze : Je viens d'une longue lignée de ninjas au service de la famille royale... Mon entraînement a commencé très tôt. Si quelqu'un aurait dû comprendre, c'est moi. J'aurais dû payer de ma vie une telle incompétence. Jamais je ne pourrai réparer les souffrances causées à vous et à votre famille. Je ne devrais même pas vous adresser la parole. Pardon, Messire Corrin.
Corrin : Cessez cela ! Vous n'avez rien fait de mal ! Au contraire, c'est à moi de m'excuser !
Kaze : Messire ?
Corrin : Pardonnez-moi, Kaze. Vous avez dû tellement souffrir, toutes ces années... Je n'en savais rien... et je me suis comporté de manière inconsidérée. Je crois qu'il est temps pour nous de nous pardonner et d'aller de l'avant. Nous ne pouvons pas bâtir notre avenir sur nos erreurs passées. De plus, c'est vous qui avez permis mon retour, n'est-ce pas ?
Kaze : Comment cela ?
Corrin : Eh bien, c'est vous qui êtes allé voir la tribu du feu pour me secourir. Et vous étiez encore à mes côtés quand j'ai regagné Hoshido. C'est grâce à vous, Kaze, que je suis à nouveau avec ma véritable famille.
Kaze : Mais...
Corrin : Kaze, vous n'êtes pas en faute. Et même si vous l'étiez, vous avez payé votre dette. Je vous en prie, ne parlons plus de cela. Promettez-le-moi, s'il vous plaît.
Kaze : ...
Corrin : Eh bien ?
Kaze : Oui... Je vous le promets.
Corrin : Bien.
Kaze : Hé hé.
Corrin : Seriez-vous en train de rire de moi ?
Kaze : Non, simplement... Vous me rappelez tant Dame Mikoto. Cela me réconforte.
Corrin : Je vous rappelle ma mère ? Pourquoi cela ?
Kaze : Lorsque Dame Mikoto est devenue reine, elle m'a pardonné et pris à son service. Je me demande si elle avait prédit que son fils ferait de même, un jour. Peut-être étiez-vous celui que j'aurais toujours dû servir.
Corrin : Que voulez-vous dire ?
Kaze : Tous les membres de la famille royale d'Hoshido ont deux serviteurs... Ceux-ci sont choisis parmi les meilleurs soldats que compte le château. Au moment voulu, ils jurent allégeance à un seul membre de la famille royale. Par exemple, Orochi et Reina servaient feu la reine Mikoto. Subaki et Hana sont au service de Dame Sakura. Hinata et Oboro servent Messire Takumi. Azama et Setsuna servent Dame Hinoka. Enfin, Kagero et mon frère Saizo ont prêté allégeance à Son Altesse Ryoma.
Corrin : Attendez. Vous voulez dire que...
Kaze : Bien que je serve la famille royale depuis longtemps, je ne suis dévoué à personne. Cela m'a toujours troublé, mais je me disais que c'était l'intention de Dame Mikoto... Cela afin que le moment venu, je puisse vous servir, Messire Corrin. Si vous voulez bien de moi, je vous prête allégeance.
Corrin : Je...
Kaze : Acceptez-vous ?
Corrin : Kaze... Oui, j'accepte votre offre.
Kaze : Désormais, en tant que votre serviteur, je jure de donner ma vie pour vous protéger.
Corrin : Merci. J'espère que vous n'aurez jamais à le faire, mon ami.
Je suis en train de poster tous les soutiens que vous m'avez fourni, je fais un récapitulatif après
Soutiens C à S CorrinXBeruka
Soutien C:
Corrin : Bonjour, Beruka. Que faites vous?
Beruka : ...
Corrin: Beruka?
Beruka : Vous le voyez bien. Je répare mon arme
Corrin : Oh. En effet. Vous savez, j'admire le soin que vous portez à l'entretien de vos armes. Cela me rappelle que l'autre jour, en vous voyant sur le champ de bataille...
Beruka : Dites-moi ce que vous voulez. Vite.
Corrin : Pardon? Je ne veux rien de particulier. J'ai eu seulement envie de discuter.
Beruka : Pourquoi?
Corrin : Faut-il absolument une raison?
Beruka : Si vous ne voulez rien de moi, ne me parlez pas
Corrin : Beruka... Très bien. Je suis désolé de vous avoir importunée
Beruka : Merci. Je ne comprendrai jamais pourquoi les gens aiment ces bavardages inutiles
Corrin : Eh bien... Je dirais que c'est parce qu'ils ont envie de faire connaissance. Par exemple j'ai l'impression de vous connaitre un petit peu mieux.
Beruka : Pourquoi ressentez-vous le besoin de me connaitre?
Corrin : Parce que je voudrai que l'on soit amis.
Beruka : Pourquoi?
Corrin : Je... ah je ne sais pas. Parce que ça me semble bien.
Beruka : Vous êtes bizarre. Puis-je me remettre à mon travail?
Corrin : B-Bien sûr. Désolé de vous avoir dérangée. Nous pourrons peut-être reparler de cela une prochaine fois
Soutien B
C : Vous êtes encore en train de prendre soin de votre arme Beruka?
B :Encore vous. Vous tombez bien, je veux vous parler de quelques chose
C : Vraiment vous voulez me parler? C'est à quel sujet?
B : Notre conversation de l'autre jour m'a confirmé que je hais les conversations. Mais vous aviez l'air de penser que c'est bien, pour apprendre à me connaître. Que croyez-vous gagner à faire ma connaissance?
C : Je vous l'ai dit: je voudrais que nous soyons amis.
B : Amis? Pff... Vous savez ce que les gens disent de moi? "Beruka est un monstre qui ne ressent rien. Elle n'est pas humaine." "Il n'y a pas meilleur assassin que Beruka, et ce n'est pas un hasard. Elle tuerait sa propre mère si on le lui ordonnait" "C'est une marionnette. Un instrument de mort sans aucune volonté propre."
C : Beruka...
B : Je ne vous dis pas toutes ces choses pour m'en défendre. Je vous le dis parce qu'elles sont absolument véridique. Comprenez-vous à présent quel genre de personne je suis?
C : ...
B : J'ai eu un mentor qui m'a appris à tuer. Je l'ai remercié par la violence. Il est mort de mes propres mains, et je n'ai pas hésité un seul instant.
C : Quoi? Mais pourquoi avez-vous fait cela?
B : Pourquoi? Drôle de question. Parce qu'on me l'avait ordonné, ni plus ni moins
C : ...
B : J'espère que cela vous a éclairé. Vous ne gagnerez rien à me connaitre. Et maintenant, veuillez m'excuser, Messire
C: ...
Soutien A
B : que faites-vous ici?
C : Je suis juste venu discuter un peu
B : Notre conversation ne vous a pas refroidi? Vous êtes bizarre
C : Eh oui!
B : Eh bien? Qu'est-ce que c'est, cette fois?
C: Hmm, voyons... Et si nous parlions de votre famille?
B: Ma famille? Je ne m'en souviens pas
C : Pourquoi cela?
B: Elle m'a abandonnée avant que je ne sois assez agée pour avoir des souvenirs. Je ne sais même pas qui étaient mes parents.
C : Je suis désolé. On dirait que j'ai abordé un sujet sensible
B : Ne vous en faites pas, c'est ainsi. Je ne peux pas leur en vouloir. Ils n'étaient ni bon ni mauvais. Dans les bas-quartiers, ces concepts n'existent pas. Un jour, un homme m'a donné à manger. C'était aussi un meurtrier. était-il bon ou mauvais? Ni l'un ni l'autre. Il m'a nourrie. Il tuait. Voilà tout. Pour mes parents qui m'ont abandonnée, pour moi qui assassine, c'est pareil
C: Je vois...
B: Pourrions nous arrêter? C'est inutile, et la conversation l'est encore plus
C : Je ne suis pas d'accord. Vous êtes une alliée de valeur, et je suis heureux d'avoir pu vous connaitre mieux.
B: Une alliée? Vous me voyez comme une alliée?
C: bien sûr, pourquoi pas?
B: Je vous ai dit que j'avais tué mon mentor. Si on me l'ordonne, je vous tuerai ausso.
C: Ha! très bien, allez-y! Mais je ne compte pas me laisser faire
B: vous pensez pouvoir me vaincre?
C: je ne sais pas. Mais en tout cas, je compte bien vous donner du fil à retordre
B: Hé hé. Vous êtes vraiment bizarre. Mais ça ne me déplait pas.
Soutien S
C: Ah vous voilà, Beruka.
B: Encore des questions?
C: pas tout à fait. Aujourd'hui je voudrais vous dire quelques chose.
B: Oui?
C: Je vais être direct. Je veux fonder une famille avec vous.
B: Pourriez-vous répéter votre ordre? Je n'ai pas compris
C: Ce n'est pas un ordre, Beruka. Je vais vous le dire autrement. Je vous aime. Voulez-vous m'épouser?
B: Je...
C: Oui?
B: Je comprends le sens de vos paroles, mais je pense que vous vous trompez. Vous sentez-vous bien, Messire?
C: Oui et je ne me trompe pas. C'est avec vous que je veux passer ma vie
B: Je vois. Dans ce cas je suis désolée, mais le mariage ne m'interesse pas
C: Ah bon? Pourquoi cela?
B: je ne suis même pas sûre de savoir ce qu'est une famille, je n'en ai jamais eu. Je ne peux pas faire quelques chose dont je ne comprends pas.
C: Vous ne devriez pas vous inquiéter pour cela. Je ne sais pas vraiment moi-même.
B: Que voulez-vous dire?
C: J'ai toujours eu autour de moi des gens qui m'aimaient et qui disaient être ma famille. Mais je ne sais pas à quoi ressemble une famille normale. Vous savez, une famille où les parents et enfants vivent tous au même endroit. Une famille où tout le monde est proche, où l'on se voit tous les jours... C'est pourquoi j'en veux une. Ce serait une merveilleuse aventure pour tous les deux. Pourriez-vous y réfléchir?
B: Mais c'est...
C: Une alliance, oui. Je l'ai fait faire spécialement pour vous.
B: Hmm
C: Beruka Qu'est-ce qui ne va pas?
B: Je... Je ne sais pas quoi faire
C: Vous pouvez faire ce que vous voulez. Simplement, ne le refusez pas de peur de ne pas être à la hauteur. Je serai à vos côtés à chaque instant. Nous serons là l'un pour l'autre
B: Je vais la garder, dans ce cas
C: merci
B: J'aurais aussi une demande à vous faire
C: Tout ce que vous voudrez.
B: Jusqu'à présent, nous avons surtout parlé de moi. Je veux en apprendre plus sur vous. Je veux que vous me disiez tout sur vous.
C: J'en serais ravi. Nous avons beaucoup de choses à nous dire, je crois. Mais maintenant, nous avons aussi tout le temps devant nous pour le faire
B: Oui. Oh, oui
(Confession)
Ce sentiment chaud et doux... Est-ce la joie?
Je réalise seulement maintenant que je vous aime...
Note de moi-même: Le soutien B prouve que c'est la réincarnation de Snake/Big boss
Soutiens ajoutés
Corrin (F)/Arthur
Corrin (H)/Shigure (Fils)
Corrin (F)/Niles
Camilla/Leo
Azura/Kaze
Shigure/Kana (F/Soeur)
Corrin (F)/Saizo
Sakura/Subaki
Rinkah/Kaze
Corrin (F)/Hinata
Corrin (H)/Kaze
Corrin (H)/Beruka
En attente
Manque soutien S entre Corrin (H) et Felicia
Corrin (H) et Felicia, soutien S :
Rang S
Corrin : Felicia ? Felicia ! Où es-tu passée ? Allez... Sors de ta cachette ! La pauvre... Elle doit s'en vouloir terriblement... Je suis sûr qu'elle s'est encore réfugiée dans son coin... Qu'est-ce que je disais... La voilà !
Felicia : Snif... Bonjour, Messire Corrin.
Corrin: Allez Felicia... Tout va bien. Ça arrive à tout le monde...
Felicia : Ça arrive à tout le monde d'arriver au travail avec deux heures de retard ? De mettre son tablier à l'envers ? De faire tomber les draps dans la boue ? Je veux rentrez chez moi...
Corrin : J'avoue que le bilan de cette matinée est plutôt... impressionnant. Tu sais, peut-être que tu n'es tout simplement pas faite pour ce métier...
Felicia : Messire Corrin ! Vous croyez vraiment que c'est le moment de dire ça ?!
Corrin : S'il te plaît... Calme-toi. Je plaisante... Exactement comme toi quand tu dis que tu vas rentrer chez toi... Tu te souviens ? Tu m'as dit qu'aider les autres était ta raison de vivre.
Felicia : J'ai... J'ai tout inventé...
Corrin : Quoi ? Mais pourquoi ?
Felicia : Évidemment, oui... J'aime aider les autres... Mais pas à ce point-là.
Corrin : Mais tu m'as bien dit que tu m'avais sauvé pour prendre soin de toi, non ? Qu'est-ce que tu voulais dire, alors ?
Felicia : Vous voulez vraiment connaître la vérité ?
Corrin : Quelle vérité ?
Felicia : Messire... Je vous aime !
Corrin : Comment ? Mais... Depuis quand ?
Felicia : Cela fait longtemps, maintenant. Mais c'est bon. Vous n'aviez rien entendu... Je porte en moi des sentiments interdits, je le sais. Un prince et une servante... Et quand bien même vous m'aimeriez, un prince se marie rarement par amour... Alors, s'il vous plaît, oubliez ce que je vous ai dit.
Corrin : Oh... Felicia... Je t'aime moi aussi.
Felicia : Mais...
Corrin : Pourquoi penses-tu que je passe autant de temps à tes côtés quand tu es triste ? Je t'aime... depuis l'époque où nous vivions à la forteresse nord.
Felicia : Corrin...
Corrin : Quant aux questions de protocole, j'en fais mon affaire. Mariage princier ou pas, rien ne pourra plus nous séparer.
Felicia : Mes dieux, quelle joie ! J'en... ai du mal à respirer.
Corrin : Je suis triste que tu aies souffert si longtemps en silence. Felicia... Accepterais-tu de m'épouser ? Je serais l'homme le plus heureux du royaume.
Felicia : Oui ! Bien sûr !
Je rajoute les quelques mots de Felicia après le dialogue ou pas besoin ?
Saizo et Mozu :
Rang C
Mozu : Hmm... Et voilà le travail. C'est l'heure de la pause !
Saizo : Vous là, qui êtes en train de labourer la terre.
Mozu : Oh, salut, Saizo ! C'est moi, Mozu.
Saizo : Vous avez en ensemencé un nouveau champ ? Que voulez-vous y faire pousser ?
Mozu : Plein de trucs ! Le sol est bon pour des légumes-racines comme les patates. Et puis pourquoi pas des citrouilles et des carottes en plus de ça.
Saizo : Hmm. Si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas à me demander.
Mozu : Vous aimez ce genre de travaux, vous aussi ?
Saizo : Je viens d'Igasato, dans les montagnes. Nous devions être autonomes. En plus de notre entraînement, il fallait aider dans les récoltes.
Mozu : Vraiment ? Je suis contente d'avoir ça en commun avec quelqu'un !
Saizo : Planter tout ça est un travail trop difficile pour une seule femme. Si vous avez besoin d'aide, dites-le-moi, et je vous ramènerai une équipe entière.
Mozu : Merci, Saizo ! Je vous ferai signe.
Saizo : Je l'espère.
Rang B
Saizo : Mozu, ce repas était délicieux.
Mozu : Oh, n'en faites pas trop. N'importe qui de mon village aurait pu préparer ça.
Saizo : Vous êtes bien trop modeste. Ce plat a une saveur... nostalgique.
Mozu : Ça ressemble à la nourriture que vous aviez chez vous ?
Saizo : Oui. Simple et légèrement relevé, mais tout de même savoureux. À la capitale, la nourriture a un goût bien plus prononcé. Ça ne me plaît pas.
Mozu : Je suis d'accord ! Je pense la même chose de la nourriture qu'on trouve dans le coin.
Saizo : Les paysans font les choses différemment. Puis-je revenir manger avec vous de temps en temps ?
Mozu : Carrément ! Une fois que ces légumes auront poussé, je vous préparerai un plat avec.
Saizo : Ça m'intéresse, je viendrai juste pour ça.
Mozu : Mais bon, c'est pas encore la saison des récoltes, c'est pas pour tout de suite. L'agriculture prend de l'énergie et du temps. Mais revenez quand vous voulez !
Saizo : Je vous tire mon chapeau.
Rang A
Saizo : Mmh... C'était encore délicieux, Mozu.
Mozu : Merci ! Je suis contente que vous aimiez.
Saizo : Je vous demande pardon, je viens souvent manger avec vous. Mais vos plats me rappellent l'endroit d'où je viens.
Mozu : Hi hi ! Vous pouvez venir à tous les repas si ça vous fait plaisir ! J'ai une idée ! C'est quoi votre plat préféré ? Je vous le préparerai.
Saizo : Hmm ?
Mozu : Allez, qu'est-ce qui vous fait vraiment envie ?
Saizo : Peu importe, du moment que ce n'est pas sucré. Du poisson bouilli, peut-être.
Mozu : C'est tout ?
Saizo : Nous le préparons d'une manière spéciale dans mon village. Nous cuisons le poisson avec des épices et des champignons, sinon, il est trop fade.
Mozu : Hmm... C'est pas simple, en fait.
Saizo : Oui. C'était pour les grandes occasions. Quand tout la famille était réunie.
Mozu : D'accord ! Je suis pas sûre de réussir, mais je ferai de mon mieux !
Saizo : Ah oui ? J'ai hâte de voir le résultat.
Mozu : Hi hi, moi aussi. Allez, ouste, je dois me mettre au travail !
Rang S
Saizo : Mmh... C'est délicieux.
Mozu : C-C'est vrai ? Pfiou...
Saizo : Même si ce n'est pas exactement comme dans mon souvenir.
Mozu : Oooh, sans blague ? Pardon, Saizo. Je croyais avoir bien fait...
Saizo : Mais c'est très bon. Ça manque juste de... Mais bien sûr ! Il y a une épice qui ne pousse que près de là d'où je viens. C'est pour ça que le goût n'est pas exactement pareil.
Mozu : Oh ? C'est quoi cette épice ?
Saizo : Je ne sais pas vraiment. Elle est tirée d'une plante qui pousse dans la région.
Mozu : Oh ! En parlant de ça... J'aimerais bien visiter votre village, si la chance se présente un jour.
Saizo : Pourquoi pas la prochaine fois que j'y vais ?
Mozu : Hein ? Vous pensez que j'y serais la bienvenue ?
Saizo : Eh bien, oui. Ce serait bien qu'ils rencontrent ma future femme.
Mozu : Q-Quoi ?!
Saizo : Ah, oui. Je voulais vous demander. Mozu, voulez-vous m'épouser ?
Mozu : Mais... Euh... Je sais pas quoi dire ! Merci... ? Je...
Saizo : Nous avons beaucoup en commun. Nous sommes plus proches de jour en jour.
Mozu : Je comprends parfaitement. En fait, vous me faites craquer, Saizo.
Saizo : C'est vrai ?
Mozu : Oui ! Alors d'accord ! Allons rencontrer vos proches le plus vite possible !
Saizo : Et j'aimerais que vous vous y sentiez chez vous, et à l'aise avec les autres. Vous avez perdu votre foyer, alors j'aimerais vous en donner un autre.
Mozu : Oh, Saizo... Je vais pleurer. Je pensais ne plus jamais avoir de maison... Snif.
Saizo : Ne vous inquiétez pas, Mozu. Vous ne serez plus jamais seule. Je serai toujours là pour vous.
Mozu : Je vous aime, Saizo...
Silas et Orochi :
Rang C
Orochi : Aha ! J'ai fini par vous trouver. C'est vous, Silas, n'est-ce pas ? Je suis Orochi, la grande divinatrice d'Hoshido. Je vois tout.
Silas : Si vous voyez vraiment tout, vous devriez savoir qui je suis et où me trouver, non ? Quoi qu'il en soit, je suis bien celui que vous cherchez : Silas, chevalier de Nohr. Mais trêve de bavardages. Qu'est-ce que vous me voulez ?
Orochi : Oh, j'irai droit au but dans ce cas. On dit que vous connaissez bien Corrin. On dit aussi que vous êtes un bretteur impressionnant, Silas. C'est pourquoi je suis venue vous avertir.
Silas : M'avertir ? Mais de quoi ?
Orochi : J'ai vu... quelque chose de terrible. Soyez prudent lors de votre prochain combat.
Silas : Quoi ?! Mais que va-t-il m'arriver ?
Orochi : Quelque chose de terrible !
Silas : Terr... ? Oh, ha ha ha ! Vous avez failli m'avoir ! Mais je ne suis pas dupe de votre petit spectacle, Orochi. Certainement pas !
Orochi : Comme vous voudrez. Mais retenez bien mon avertissement ou vous vous en mordrez les doigts.
Rang B
Silas : Orochi ! Regardez ! Pas une blessure, pas une coupure, pas même une égratignure !
Orochi : Et en quoi cela ma concerne-t-il ?
Silas : Vous avez dit que je devais être prudent lors de mon prochain combat ! J'ai foncé dans la mêlée et j'ai survécu. On dirait bien que vous vous êtes trompée !
Orochi : Et pourquoi cracher sur ma prédiction ? J'essayais juste de vous aider !
Silas : Mais je ne voulais pas vous froisser, juste signaler que ça ne s'était point réalisé.
Orochi : Oh ?! Alors laissez-moi vous expliquer ! Ma prédiction était juste. Si vous êtes vivant, c'est parce que vous avez suivi mon conseil. Il suffit que vous ayez été un peu plus prudent que d'habitude.
Silas : Mais non ! Vous réinterprétez les choses pour qu'elles aillent dans votre sens. Je ne tomberai pas dans le panneau encore une fois !
Orochi : Alors, je ne peux rien faire d'autre que vous prédire le prochain incident.
Silas : Le prochain incident ?!
Orochi : J'ai lu dans votre avenir. Quelque chose qui ne s'est jamais produit va vous arriver.
Silas : Qui ne s'est jamais produit ? Mais quoi donc ?
Orochi : Oh, maintenant, ça vous intéresse ? Alors rapportez-moi des herbes pour ma magie. Et je vous dirai ce que je sais. La première prédiction était gratuite.
Silas : Gratuite ? Oh, ha ! Vous avez failli m'avoir encore une fois !
Orochi : Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ?
Silas : Non, mais ça ressemble à une escroquerie ! Vous effrayez les gens pour pouvoir leur vendre vos prédictions idiotes ! C'est de la manipulation !
Orochi : Comment pouvez-vous penser une telle chose ? Je suis dans votre camp ! Venant d'un citoyen de Nohr, j'aurais dû m'en douter.
Silas : Je ne voulais pas vous offenser. Mais pourquoi cette situation se répète-t-elle à chacune de nos conversations ? Vos propos m'inquiètent, ça me contrarie et ça rejaillit sur vous. Alors, je vous en prie, cessez de me prédire l'avenir !
Orochi : Très bien.
Rang A
Silas : Vous m'avez sauvé après le dernier combat, Orochi ! Je vous dois la vie.
Orochi : Ce... Ce n'était rien du tout.
Silas : Rien du tout ?! Vous plaisantez ? Au moment où je pensais le combat terminé... Un survivant m'a attaqué par derrière ! Vous avez bondi pour me sauver !
Orochi : Je l'avais prédit depuis longtemps. Je sais que vous ne croyez pas en mon talent. Mais je savais que vous alliez mourir si je n'intervenais pas.
Silas : Et dire que je vous ai traitée d'escroc. Quel idiot ! Vous êtes héroïque, Orochi !
Orochi : N'en soyez pas si sûr, je pourrais quand même être un escroc.
Silas : Alors escroquez-moi tant que vous voulez, Orochi ! Vous m'avez sauvé la vie !
Orochi : Hmm. Vous êtes étrange, Silas. Mais bon, je pourrais m'y habituer. Vous êtes... urgh !
Silas : Qu'y a-t-il ? Êtes-vous blessée ?
Orochi : Juste un peu sonnée, veuillez m'excuser, je vais m'appliquer de la glace sur la tête.
Silas : Faites donc, Orochi. Je ne supporte pas l'idée que vous soyez blessée par ma faute ! Juste une chose avant que vous partiez... Pourquoi avez-vous accouru pour m'aider ?
Orochi : Et pourquoi pas ?
Silas : Je me suis comporté comme un rustre. D'une impolitesse sans égal.
Orochi : Oui. Mais savez-vous comment j'ai su qu'un destin funeste vous attendait ? J'ai ressenti la même chose juste avant que Son Altesse Mikoto ne rencontre le sien.
Silas : Oh, non...
Orochi : Oui, mais je l'ai seulement avertie qu'un danger la guettait. Quand j'ai réalisé ce qui allait véritablement arriver, j'ai éssayé de la prévenir. Mais je n'ai pas pu arriver à temps. Et c'est ainsi que... la tragédie s'est déroulée. Je regretterai ce qui s'est pasé pour le restant de mes jours. Je n'ai pas pu la sauver, mais au moins j'ai pu vous sauver, vous, Silas.
Silas : Quelle tragédie, vraiment. Dans ce cas, c'est décidé.
Orochi : Quoi donc ?
Silas : Je vais rétribuer votre acte de bonta. Qu'est-ce que vous vouliez déjà ? Des herbes pour votre magie ? Je vais cueillir toutes celles que je pourrai trouver !
Orochi : Ce n'est pas nécessaire. Après tout, si je suis un escroc, peut-être que je les vendrai toutes !
Silas : Cela me va. Vendez les herbes. Je vous en rapporterai davantage !
Rang S
Silas : Hé, Orochi ! Je vous ai apporté des herbes en quantité !
Orochi : Oh, une belle petite moisson. Ma petite escroquerie va me rapporter gros.
Silas : Ha, ha ! Et puisque vous utilisez ces herbes pour la magie, me feriez-vous une faveur ?
Orochi : Aha ! Vous avez changé d'avis finalement. Avez-vous une demande spécifique ?
Silas : Pas... vraiment. Pouvez-vous me lire l'avenir ?
Orochi : Intéressant ! Vous vous livrez complètement à moi. J'adore ! Bien, écartez-vous et laissez-moi faire. D'abord, je vais prendre ces herbes et... Hein ? Mais... qu'est-ce que c'est que cette petite boîte ? Vous avez dû la faire tomber. Tenez, reprenez-la.
Silas : Peut-être... que je l'ai mise là volontairement. Pour vous faire un cadeau.
Orochi : Un cadeau ?
Silas : En quelque sorte. Ouvrez-la, Orochi. Je n'y tiens plus !
Orochi : Très bien, très bien, qu'est-ce qui vous arrive ? Mais, qu'est-ce que c'est que ça ?
Silas : Vous aimez ? C'est une...
Orochi : Alliance. Oui, j'aurais dû le voir venir. Oh ! Je viens de le voir. Mes pouvoirs divinatoires sont perturbés, aujourd'hui.
Silas : Alors... Quelle est votre réponse, Orochi ? Est-ce que vous voulez m'épouser ?
Orochi : Laissez-moi lire les signes... Ils indiquent... Oui ? Non ? Difficile à dire. Peut-être que vous devriez me redemander plus tard.
Silas : Plus tard ? Plus tard ?! Mais je ne peux pas vivre plus longtemps sans vous !
Orochi : Oh ! La brume se dissipe. Je vois la réponse. Oui, c'est un oui.
Silas : Un oui ?! Vous en êtes sûre ?
Orochi : Honnêtement ? Je n'ai pas eu besoin de lire quoi que ce soit, je sais déjà quoi répondre. Parfois, mieux vaut ne pas tout savoir. Le mariage est un saut dans l'inconnu. Et le nôtre ressemble plus à une chute, tête la première, dans un abîme insondable.
Silas : Vraiment ? Mais ça semble...
Orochi : Magnifique ! J'ai toujours tout su à l'avance. Qui sait ce qui peut se passer ?
Silas : S-Seulement de b-bonnes choses ! Je vous le promets !
Orochi : Ah, ne révélez rien. Je veux un vrai mariage. Pas des illusions. Je suis d'Hoshido. Vous êtes de Nohr. Je suis l'une des femmes les plus brillantes de ma génération. Vous êtes un petit naïf. Nous sommes comme le soleil et la lune. J'ai hâte de savoir ce qui nous attend ! Mais je le découvrirai au fur et à mesure. Sans divination. Jour après jour.
Silas : Cela sera comme ouvrir un présent chaque jour !
Orochi : Il peut contenir un lingot d'or ou un bloc de charbon. Mais il y a toujours un lendemain.
Silas : Je jure d'être à vos côtés pour vous ancrer dans notre présent. Pour toujours !
Sakura et Azura :
Rang C
Sakura : Azura, je me disais qu'il y a longtemps que vous ne me racontez plus d'histoires.
Azura : Tu as raison. Avec cette guerre, nous avons à peine le temps de discuter. Mes histoires d'horreur te manquent, alors ? J'ignorais que tu les aimais tant.
Sakura : Non, je ne les aime pas ! Elles sont terrifiantes ! Mais... prenantes, également. Impossible de m'endormir sans en connaître la fin !
Azura : Tu sais, il y a des gens qui aiment se faire peur.
Sakura : Pas moi ! Tout ce que j'aime, c'est passer du temps avec vous et veiller tard !
Azura : Je me souviens... Tu tremblais comme une feuille, avec tes yeux grands ouverts ! Et pourtant, tu me suppliais de continuer. Tu tenais à connaître la fin !
Sakura : J'étais petite à l'époque. Ne dites pas à tout le monde que j'étais une froussarde !
Azura : Ha ha, tu as ma parole.
Rang B
Azura : Bonjour, Sakura. Tu es là pour une autre histoire d'horreur ?
Sakura : Non ! La dernière que vous m'avez racontée me hante toujours !
Azura : Tiens... Je ne m'en souviens pas, de quoi parlait-elle ?
Sakura : Celle avec le m-monstre dans le château nohrien.
Azura : Oh, celle-ci est excellente ! Je m'en souviens maintenant. Ce sont des domestiques qui m'en ont parlé... Le portrait d'un homme d'âge mûr était accroché dans le château. La nuit, il sortait du tableau pour enlever les bonnes directement dans leur lit !
Sakura : Non ! Arrêtez ! Je ne veux pas l'entendre de nouveau !
Azura : Hi hi. Je ne pense pas t'avoir raconté la fin, poutant... Une nuit sans lune, une bonne a entendu des pas provenant d'un couloir sombre. Tout le monde dormait, alors... D'où penses-tu que ces bruits provenaieant ?
Sakura : Je ne sais pas... D'où p-provenaient-ils ?
Azura : Elle avait trop peur de regarder, alors elle s'est dépêchée de retourner au lit ! Après une nuit blanche, elle frotta ses yeux fatigués et partit travailler... Tout le monde dans le château était bizarre avec elle, et se parlait en chuchotant. Lors du rassemblement des bonnes, la moitié d'entre elle avait disparu !
Sakura : Quoi ?!
Azura : La bonne demanda donc : << Où sont les autres filles ? >> << Elles vont avoir des problèmes si elles ne se sont pas réveillées ! >>
Sakura : Q-Que lui ont dit les domestiques ?!
Azura : Ils ont répndu : << Quelles autres filles ? Il n'y a jamais eu personne d'autre ici...>>
Sakura : Hein ?!
Azura : La pauvre bonne les a cherchées partout dans le château, mais sans succès. Leurs chambres étaient vides, comme si elles n'avaient jamais existé ! Et puis, elle s'est souvenue du tableau, et elle a immédiatement su que c'était lui !
Sakura : Aaah !
Azura : La bonne se demanda pourquoi elle avait été épargnée...
Sakura : Aaah ! Je vous ai demandé d'arrêter ! C'est trop effrayant. TROP effrayant ! À cause de vous, je vais faire des cauchemars pendant un mois !
Azura : Sakura, si tu as peur, tu peux dormir dans ma chambre... comme avant.
Sakura : Mais je suis trop vieille pour avoir peur du noir !
Azura : Ha ha, on n'est jamais trop vieux pour ça...
Rang A
Azura : Quelque chose ne va pas, Sakura ? Tu as l'air inquiète.
Sakura : Vous avez trouvé ça drôle de me raconter cette histoire d'horreur, n-n'est-ce pas ?
Azura : Eh bien, c'était drôle de voir ta réaction, oui, mais pardon si je t'ai contrariée.
Sakura : Vous savez, quand nous étions plus jeunes, les gens racontaient des choses sur vous. Ils disaient que vous étiez froide et distante. Je sais que cela vous blessait.
Azura : Sakura...
Sakura : Je voulais leur dire qu'ils se trompaient, qu'ils ne vous connaissaient pas vraiment. Que vous souriiez et riiez aussi, que vous étiez une soeur merveilleuse ! J'aurais dû vous défendre, mais je ne l'ai pas fait ! Maintenant, je me sens coupable.
Azura : C'est gentil, Sakura, mais tu ne devrais pas t'inquiéter. C'était il y a longtemps.
Sakura : J'aurais dû dire aux gens que vous aviez des tas de qualités... Mais j'étais trop timide et je n'osais pas prendre la parole. Quelle soeur je fais !
Azura : Ce n'est pas vrai ! C'est moi qui devrais m'excuser. Je suis trop réservée parfois. Je ne savais pas que cela t'affectait autant. Je ferai plus d'efforts pour toi, à l'avenir.
Sakura : Vraiment ?
Azura : Oui, mais je veux que toi aussi tu fasses des efforts. Je veux que tu trouves le courage de parler aux gens, d'accord ? Je t'aiderai à le faire.
Sakura : Bien sûr ! Je ferai de mon mieux !
Azura : Merci, Sakura. J'ai beaucoup de chance de t'avoir pour soeur.
Je viens participer aussi
Soutien entre Mozu et Hayato :
Soutien C
Mozu : Pff...Qu'est-ce qu je vais faire, maintenant ?
Hayato : Mozu ? Qu'est-ce qui te chiffonne, dis moi ?
Mozu : Oh Hayato. Je ne vous avais pas vu.
Hayato : Que se passe-t-il ? Ne sois pas timide. Tu peux tout me dire. Tu sais que j'ai déjà aidé bien des gens avec mes charmes, n'est-ce pas ? Peut être pourrais-je te conseiller, toi aussi.
Mozu : Vous croyez ? Dans ce cas, vous auriez une minute ou deux à m'accorder ? Vous voyez j'ai un problème...Je suis un peu nerveuse quand je vais au combat.
Hayato : Cela me semble tout à fait normal. La plupart des soldats ont la boule au ventre avant une bataille.
Mozu : Oui mais je me sens si inutile sur le champ de bataille. La violence me tétanise. Quand je laisse mes émotions prendre le dessus, je ne suis plus bonne à rien.
Hayato : Je comprends.
Mozu : Vous avez déjà ressenti ça, Hayato ?
Hayato : Je n'ai pas ce problème. J'ai toujours su contrôler mes nerfs avant la bataille. C'est comme si je revêtais alors une carapace inébranlable.
Mozu : C'est impressionnant. J'aimerais pouvoir me montrer aussi courageuse.
Hayato : Je pourrais peut être t'aider à vaincre ta peur avec l'un de mes charmes ?
Mozu : Ce serait possible ? Je vous serais très reconnaissante d'essayer !
Hayato : Pas de problème. Attends-moi ici. Je vais chercher mon matériel.
Mozu : Très bien merci Hayato !
Soutien B
Hayato : Hé, Mozu. Puis-je te parler un instant ?
Mozu : Bien sûr. C'est en rapport avec le charme dont vous me parliez ? J'aimerais vraiment me débarrasser de mes angoisses.
Hayato : Justement, j'ai ce qu'il te faut. Avant la bataille, mets ce charme dans ta poche et inspire profondément. Tu pourras alors te battre l'esprit libre.
Mozu : Je savais pas les charmes étaient si simples et si utiles. Mais à vrai dire...
Hayato : Oui ?
Mozu : Je respire déjà profondément sur le champ de bataille...Ce charme ne servirait qu'à me vider la tête, en quelque sorte ?
Hayato : Ne sous-estime pas la puissance de mes charmes. Ma magie n'a rien d'une farce.
Mozu : Qu-Quoi ? Non, je n'oserais jamais mettre en doute vos pouvoirs.
Hayato : Les charmes ne sont efficaces que si l'ont croit en eux. Tu comprends ?
Mozu : Oui. Et je crois en vos dons. Je veillerai à utiliser votre charme la prochaine fois.
Hayato : A la bonne heure ! Je sais que tu en tireras un grand bénéfice. Aie confiance en moi !
Mozu : Bien sûr, vous avez raison. Je vous ferai savoir ce qu'il en est. Merci, Hayato.
Hayato : C'est un plaisir, Mozu.
Soutien A
Mozu : Hayato ! Hé, Hayato !
Hayato : Hmm ? Que puis-je pour toi, Mozu ?
Mozu : Vous vous souvenez du charme que vous m'avez donné ? Eh bien, il s'est montré très efficace au-delà de mes espérances !
Hayato : Hé hé, comme je l'avais prévu. Doutes-tu encore des mes pouvoirs à présent ?
Mozu : Non, et je m'excuse si j'ai pu vous sembler sceptique à un moment. Grâce au charme, je n'ai ressenti aucune anxiété, même au plus fort de la bataille.
Hayato : J'apporte depuis longtemps mon soutien à la tribu du vent avec de tels charmes. Mais si le bénéficiaire du charme ne croit pas en son efficacité, cela ne marche pas. Le fait que tu aies cru en son pouvoir a démultiplié son effet lors du combat.
Mozu : Vous avez sûrement raison. Hmm...
Hayato : Qu'y a-t-il, Mozu ? Tu es bien silencieuse, tout à coup ?
Mozu : Hayato, on pourrait peut-être encore faire usage de vos talents de magicien...
Hayato : Oh ? De quoi aurais-tu besoin cette fois-ci ?
Mozu : Pourriez-vous en préparer toute une série de ces charmes ?
Hayato : Toute une série ? A quelles fins ?
Mozu : Je me disais que nous pourrions en faire commerce, et en tirer un bon bénéfice. Imaginez le nombre de soldats qui sont apeurés avant la bataille !
Hayato : J'ai peur de ne pouvoir autoriser cela, Mozu. Pour qu'un charme fonctionne, l'utilisateur doit être persuadé qu'il est unique. Si je les produisais en série, les effets seraient réduits à néant.
Mozu : Oh, je vois. C'est bien dommage. Alors le charme que vous m'avez donné était fait sur mesure, en quelque sorte. Dans ce cas je peux dire adieu à ma boutique de charme, j'imagine.
Hayato : Essaie plutôt de te contenter de ce que tu possèdes déjà, et remercies-en les dieux.
Mozu : Oui, bien entendu. Merci, Hayato !
Soutien S
Hayato : Mozu, je dois te parler de ce charme que j'ai créé pour toi.
Mozu : Oh, bonjour, Hayato ! Qu'est-ce que vous vouliez me dire à ce sujet ?
Hayato : Je voulais savoir s'il agissait toujours efficacement sur toi.
Mozu : Oh oui, certainement. Tant que je l'ai avec moi, je ressens aucune crainte. C'est miraculeux.
Hayato : J-Je vois...
Mozu : Qu'est-ce qui vous préoccupe ? Vous avez l'air distant, soudain.
Hayato : Tu as finis par accepter la véracité de mes pouvoirs, n'est-ce pas ? J'espérais que tu serais également prête à accepter la sincérité...de mes sentiments.
Mozu : V-Vos sentiments ? Je comprends pas...
Hayato : Mozu, je t'aime.
Mozu : V-Vous...m'aimez ?! Vraiment ? Mais depuis quand ?
Hayato : Depuis le jour où je te vis pour la première fois. Cela explique que j'ai voulu tout faire pour t'aider, avec ma magie notamment. J'ai tout de suite ressenti une inexplicable osmose entre nous. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui te ressemble.
Mozu : J'aurais jamais imaginé que vous puissiez ressentir ça pour une fille comme moi. J'ai tendance à me montrer si froussarde, parfois...Vous êtes sûr de pouvoir aimer une personne si craintive ?
Hayato : Naturellement. De toute façon, je ne puis rien y faire. Tu es celle qu'il me faut.
Mozu : Hayato, j-je suis déboussolée...
Hayato : Mozu, je dois savoir...As-tu des sentiments pour moi ? Si ce n'est pas le cas, je l'accepterais, mais je dois savoir à quoi m'en tenir.
Mozu : Eh bien...Je sais que je peux compter sur vous, et je vous en suis reconnaissante. Et je suis pas la seule à le penser. Vous êtes toujours prêt à aider les autres. Et vous avez toujours essayé de me remonter le moral dans les pires moments. Je vous remercierai jamais assez pour cela.
Hayato : Je vois, tu ne ressens donc pas ce que j'éprouve pour toi...
Mozu : C'est tout le contraire. Je trouve que vous êtes un homme merveilleux !
Hayato : Oh, Mozu ! Tes paroles me rendent si heureux !
Mozu : Je suis heureuse, moi aussi ! A partir de maintenant, nous veillerons l'un sur l'autre
Soutien entre Kaze et Avatar F :
Soutien C
Kaze : Pff...
Corrin : Quelque chose ne va pas, Kaze ? Dites, que sont tous ces daïkons ?
Kaze : Ah, Dame Corrin. Bonjour. Une dame m'a offert ces radis après que je l'ai aidée à retrouver son chemin.
Corrin : Nous allons faire un festin de ces daïkons, au dîner ! C'est formidable !
Kaze : Excusez-moi de vous contredire, mais cela n'a rien de formidable.
Corrin : Ah ? Quel est le problème ? Avez-vous quelque chose contre les radis blancs ?
Kaze : Cela me gêne d'être remercié pour avoir simplement indiqué sa route à quelqu'un. D'ailleurs, ce n'est pas la première fois qu'une telle chose m'arrive...
Corrin : Ah bon ?
Kaze : Cela reste pour moi un mystère, mais... Souvent, des femmes m'approchent pour me parler ou me faire des cadeaux.
Corrin : Ah, vraiment ?
Kaze : Et si jamais je prononce quelques mots, elles se mettent à crier ou à m'enlacer. Parfois, elles me donnent des lettres, des vêtements ou de la nourriture. Nos alliées ne font pas cela, bien sûr, seulement les étrangères. C'est agaçant.
Corrin : Hé hé, j'ai l'impression que vous avez simplement du succès auprès des femmes !
Kaze : Du succès ? Auprès des... femmes ?
Corrin : Absolument. Ces femmes sont seulement... Disons que vous devez les intéresser. Parce que vous êtes doux et mystérieux à la fois. Et puis vous êtes un ninja...L'autre jour, j'ai surpris une conversation entre deux femmes, en ville. L'une disait : " Ah, cet air triste sur le beau visage de Kaze, c'est irrésistible ! "
Kaze : Argh... J'aurais préféré ne pas entendre cela. J'apprécie le compliment, mais... J'aimerais mieux me concentrer sur mon devoir et éviter de telles distractions.
Corrin : Ha ha, vous êtes si sérieux ! La plupart des hommes rêveraient de tant d'attention !
Kaze : Je me comporte seulement comme doit le faire un ninja digne de ce nom. Voilà tout. En tout les cas, ces femmes se trompent. Je ne suis pas un homme bien.
Corrin : Pourquoi dites-vous cela ?
Kaze : Pour rien. Et maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai des choses à faire.
Corrin : Et voilà, il a disparu ! Ah, ces ninjas... Mais que voulait-il dire ? Pourquoi ne serait-il pas quelqu'un de bien ?
Soutien B
Corrin : Kaze, j'ai quelque chose à vous demander. J'aimerais vous accompagner en ville.
Kaze : Ah, Dame Corrin. Votre compagnie me fait toujours plaisir, mais pourquoi ? Ai-je fait quelque chose de travers ?
Corrin : Non, pas du tout ! J'ai pensé que cela serait un moyen de vous montrer en quoi vous êtes si charmant.
Kaze : Euh... Pourquoi feriez-vous une telle chose, au juste ?
Corrin : Je suis inquiète depuis que vous m'avez dit que vous n'êtes pas un homme bien. Il m'a semblé que quelque chose vous tracassait, et j'aimerais vous aider. Je veux que vous voyiez le bon qu'il y a en vous !
Kaze : Mais c'est...
Corrin : Alors, qu'en dites-vous ?
Kaze : Merci de vous inquiéter, mais tout va bien. Si vous voulez bien m'excuser...
Corrin : Kaze ! Revenez ! Le voilà parti ! Hmm... Je parierais qu'il n'est pas loin, en réalité... Je n'abandonnerai pas aussi facilement. Kaze, où êtes-vous ? Kaze ! Revenez, ne me laissez pas comme ça !
Kaze : Hmpf.
Corrin : Kaaaze !
Kaze : Dame Corrin.
Corrin : Vous voilà ! Ah, je savais que vous ne pouviez pas vous cacher de moi !
Kaze : J'aimerais autant que vous évitiez de crier ainsi. Et si des ennemis nous entendaient ? N'indiquez jamais votre position lorsque vous êtes à l'écart du gros de l'armée. Épargnez-nous de tels comportements, à l'avenir, pour la sécurité de tous.
Corrin : Vous avez raison, je suis désolé. Je voulais tellement vous retrouver... Merci d'être revenu. Je sais que vous l'avez fait pour ma sécurité. C'est bien la preuve que vous êtes quelqu'un de bien !
Kaze : Pourquoi vous entêter à me dire des choses pareilles ?
Corrin : Comment ?
Kaze : S'il vous plaît, arrêtez cela. Laissez-moi tranquille.
Corrin : Kaze !
Kaze : ... Veuillez m'excuser, Madame. Je n'aurais pas dû vous parler aussi durement.
Corrin : Non, tout est ma faute. Personne n'aime être harcelé de la sorte. Excusez-moi, Kaze.
Kaze : Dame Corrin ! ...
Rang A
Kaze : Dame Corrin. Je vous présente mes excuses pour vous avoir blessée, la dernière fois.
Corrin : Oui ? Oh, quand vous vous êtes énervé parce que je voulais vous accompagner ? Ne vous en faites pas, c'était de ma faute. Désolé de vous avoir importuné, Kaze.
Kaze : Vous êtes si gentille, Dame Corrin.
Corrin : Vous le pensez vraiment ?
Kaze : ...
Corrin : Kaze ?
Kaze : Il y a quelque chose que vous ne savez pas à mon sujet, Dame Corrin. Une chose pour laquelle je serai à jamais impardonnable, qu'importe mon repentir.
Corrin : Quoi donc ?
Kaze : Je suis un piètre serviteur. C'est ma faute si vous avez été enlevée et emmenée en Nohr.
Corrin : Votre faute ? Qu'avez-vous donc fait, Kaze ?
Kaze : Ce jour-là, nous nous étions tous rendus en Cheve, et j'y avais vu les forces de Nohr. Celles-là même qui, plus tard, tueraient le roi Sumeragi et vous enlèveraient. Mais j'étais jeune, et j'ignorais ce que leur présence signifiait... et je n'ai rien dit.
Corrin : Ce n'est pas votre faute, Kaze. Vous n'étiez qu'un enfant ! Comment auriez-vous pu deviner ce qui allait arriver ?
Kaze : Je viens d'une longue lignée de ninjas au service de la famille royale... Mon entraînement a commencé très tôt. Si quelqu'un aurait dû comprendre, c'est moi. J'aurais dû payer de ma vie une telle incompétence. Jamais je ne pourrai réparer les souffrances causées à vous et à votre famille. Je ne devrais même pas vous adresser la parole. Pardon, Dame Corrin.
Corrin : Cessez cela ! Vous n'avez rien fait de mal ! Au contraire, c'est à moi de m'excuser !
Kaze : Madame ?
Corrin : Pardonnez-moi, Kaze. Vous avez dû tellement souffrir, toutes ces années... Je n'en savais rien... et je me suis comportée de manière inconsidérée. Je crois qu'il est temps pour nous de nous pardonner et d'aller de l'avant. Nous ne pouvons pas bâtir notre avenir sur nos erreurs passées. De plus, c'est vous qui avez permis mon retour, n'est-ce pas ?
Kaze : Comment cela ?
Corrin : Eh bien, c'est vous qui êtes allé voir la tribu du feu pour me secourir. Et vous étiez encore à mes côtés quand j'ai regagné Hoshido. C'est grâce à vous, Kaze, que je suis à nouveau avec ma véritable famille.
Kaze : Mais...
Corrin : Kaze, vous n'êtes pas en faute. Et même si vous l'étiez, vous avez payé votre dette. Je vous en prie, ne parlons plus de cela. Promettez-le-moi, s'il vous plaît.
Kaze : ...
Corrin : Eh bien ?
Kaze : Oui... Je vous le promets.
Corrin : Bien.
Kaze : Hé hé.
Corrin : Seriez-vous en train de rire de moi ?
Kaze : Non, simplement... Vous me rappelez tant Dame Mikoto. Cela me réconforte.
Corrin : Je vous rappelle ma mère ? Pourquoi cela ?
Kaze : Lorsque Dame Mikoto est devenue reine, elle m'a pardonné et pris à son service. Je me demande si elle avait prédit que sa fille ferait de même, un jour. Peut-être étiez-vous celle que j'aurais toujours dû servir.
Corrin : Que voulez-vous dire ?
Kaze : Tous les membres de la famille royale d'Hoshido ont deux serviteurs... Ceux-ci sont choisis parmi les meilleurs soldats que compte le château. Au moment voulu, ils jurent allégeance à un seul membre de la famille royale. Par exemple, Orochi et Reina servaient feu la reine Mikoto. Subaki et Hana sont au service de Dame Sakura. Hinata et Oboro servent Messire Takumi. Azama et Setsuna servent Dame Hinoka. Enfin, Kagero et mon frère Saizo ont prêté allégeance à Son Altesse Ryoma.
Corrin : Je sais tout cela...Attendez. Vous voulez dire que...
Kaze : Bien que je serve la famille royale depuis longtemps, je ne suis dévoué à personne. Cela m'a toujours troublé, mais je me disais que c'était l'intention de Dame Mikoto... Cela afin que le moment venu, je puisse vous servir, Dame Corrin. Si vous voulez bien de moi, je vous prête allégeance.
Corrin : Je...
Kaze : Acceptez-vous ?
Corrin : Kaze... Oui, j'accepte votre offre.
Kaze : Désormais, en tant que votre serviteur, je jure de donner ma vie pour vous protéger.
Corrin : Merci. J'espère que vous n'aurez jamais à le faire, mon ami.
Soutien S
Kaze : Dame Corrin. Où allez-vous ainsi ?
Corrin : Bonjour, Kaze. Je vais tout simplement faire une petite promenade.
Kaze : Si cela ne vous dérange pas, j'aimerais vous accompagner.
Corrin : Oh, Kaze, ne soyez pas sot. Je peux passer un instant seule sans me faire kidnapper.
Kaze : Dame Corrin, je me suis rendu compte d'une chose depuis que je vous sers. Vous tirez un grand plaisir à taquiner les autres sur leurs erreurs passées.
Corrin : Je ne dirais pas qu'il s'agit d'un "grand plaisir"...D'autre part, depuis que vous m'avez prêté allégeance, je n'ai pas eu un moment seule. Je deviendrais folle si nous ne pouvions pas faire preuve de désinvolture, parfois.
Kaze : ...
Corrin : Oh, ne vous mettez pas à bouder.
Kaze : Je ne boude pas, comme vous dites.
Corrin : Hé hé, en êtes-vous sûr ? Je vous connais bien, pourtant. Ne me servez-vous pas ?
Kaze : Ha ha, en effet.
Corrin : J'en suis très heureuse.
Kaze : Pardonnez-moi ?
Corrin : Après avoir passé tout ce temps ensemble, je vois un tout nouvel aspect de vous. Vous souriez bien plus qu je ne l'aurais cru. Et vous pouvez être très drôle. Et...quand vous vous battez avec tant d'ardeur pour moi, je suis reconnaissante. Vous êtes un homme si bon et si loyal Kaze.
Kaze : ...Vous êtes bien cruelle, Madame.
Corrin : Quoi ? Mais je vous faisais des compliments !
Kaze : Vous voulez me forcer à dire des choses que je ferais mieux de garder pour moi.
Corrin : Ah? Quoi, par exemple ?
Kaze : J'ai juré de vous servir. Je suis à la fois votre domestique et votre garde du corps. En aucun cas je ne devrais être autorisé à vous dire ce que je vais vous dire. Je vous aime, Dame Corrin.
Corrin : Oh !
Kaze : J'ai juré de vous servir et de vous protéger. Et je donnerais ma vie pour sauver la vôtre. Mais ce n'est pas le simple devoir qui m'a fait faire cette promesse. Je l'ai faite parce que je pense que la vie sans vous n'en vaudrait pas la peine. Y a-t-il la moindre chance pour que vous me rendiez mon amour ?
Corrin : Snif...
Kaze : Dame Corrin ?! Vous pleurez ?
Corrin : Pardonnez-moi...Je suis tellement heureuse que je ne peux pas m'en empêcher.
Kaze : Heureuse ?
Corrin : Ne comprenez-vous pas ?! Je ressens la même chose, je veux rester auprès de vous. Je vous aime, Kaze. Je serai à vous, si vous voulez bien être à moi.
Kaze : Je le veux, Madame. Avec joie.
Ma Dame...Mon amour...Je vous adore de tout mon être. Je vous promets de vous chérir éternellement... Et de toujours vous garder dans mon coeur.
Voilà pour le moment o/
Calaox, oui, envoie-les moi en MP s'il te plaît
Petit up o/
Info: les soutiens C à S de Niles avec Corrin sont absolument identiques que Corrin soit M ou F. (Niles dit juste "Messire" au lieu de "Dame", quoi.) Donc comme le soutien avec Corrin F est déjà sur le site, c'est bon, suffira juste de passer les phrases au masculin =p
Et j'ajoute les soutiens de Felicia et Leon.
Soutien C
Felicia: Aaah ! Non ! Nooon ! (bruit de vaisselle brisée)
Leon : Felicia ? Tu as encore fait tomber une assiette... Tu vas bien ?
Felicia : Messire Leon ! Oui, je suis désolée...
Leon : Tu n'as pas à l'être.
Felicia : Pff... Je le suis pourtant.
Leon : Allons. Je te vois tout le temps faire ce genre de maladresses. Ce n'est ni la première, ni la dernière fois.
Felicia : En effet, on ne peut pas dire que je serve avec grâce et habileté, j'en ai bien peur...
Leon : De ces observations, je conclus que...tu n'es simplement pas faite pour le service.
Felicia : Quoi ? Ne dites pas ça !
Leon : Pourquoi ? C'est pourtant la stricte vérité. Il faut savoir regarder la vérité en face, Felicia.
Felicia : Par pitié, Messire ! Ne me chassez pas ! Je vous promets de faire des efforts !
Leon : Je ne parle pas de te chasser, même s'il est vrai que tu causes bien des dégâts... Ne prends pas mes paroles pour une menace. Je t'offre...matière à réflexion. Je t'encourage vivement à réfléchir : es-tu vraiment faite pour ce métier ? Maintenant, si tu veux bien m'excuser, je dois retourner à mes livres. Bonne journée.
Felicia : Bonne journée, messire Leon...
Soutien B
Felicia : Et voilà ! Cirées, astiquées... Je n'ai plus qu'à les porter calmement à leur place.
Leon : Bonjour Felicia. Que fais-tu donc ?
Felicia : Oh ! Messire Leon... Je m'entraînais à effectuer quelques tâches de service.
Leon : Vraiment ? Je crois que je ne comprendrai jamais pourquoi tu te donnes autant de mal. Tu n'es pas douée pour le service, et tu ne le seras vraisemblablement jamais !
Felicia : Mais... Mais je fais de mon mieux !
Leon : Arrête de geindre. Ce n'est pas comme si tu n'avais rien d'autre à nous apporter... Il existe un domaine dans lequel tu te défends bien mieux.
Felicia : Mais à quoi pensez-vous ?
Leon : Tu es un soldat remarquable, Felicia. Tu ne paies pas de mine, mais tu es admirable au combat.
Felicia : Sans...sans doute. Gunter me dit tout le temps la même chose.
Leon : Quel est ton problème, alors ? Tu devrais cesser immédiatement tes caprices. Tu nous serais bien plus utile si tu étais soldat à plein temps.
Felicia : Eh bien...
Leon : Ma proposition te gêne ? Ce n'est pas assez bien pour toi ?
Felicia : Combattre ne me pose pas de problème. Je suis prête à être là où on a besoin de moi.
Leon : Je le sais. Tu es une femme brave et loyale, et tu nous sers avec brio.
Felicia : Eh bien, à la fin de la journée, je veux servir également, mais d'une manière différente. Je veux prendre soin des gens. Je ne suis peut-être pas douée, mais c'est mon vœu.
Leon : Bon. Je suppose que je ne pourrai rien y faire... Fais donc comme bon te semble, Felicia...
Felicia : Je ferai de mon mieux, Messire !
Soutien A
Leon : Felicia.
Felicia: Oui, Messire ?
Leon : J'aimerais comprendre... Pourquoi veux-tu aussi ardemment travailler comme servante ? Si tu étais soldat à plein temps, tu serais bien plus reconnue et respectée...
Felicia : Parce que je veux susciter la fierté de ceux qui ont pris soin de moi.
Leon : Ceux qui ont pris soin de toi ?
Felicia : Oui. Depuis mon arrivée au château, j'ai rencontré des personnes très secourables. Comme Gunter, par exemple. Il m'a transmis tout ce qu'il savait sur le service. Il a été comme un père pour moi, même s'il était assez strict. Et Jakob, qui s'est tellement occupé de moi quand j'étais plus jeune... Je sais qu'il peut être désagréable, mais il a bon fond. Je veux que tous ces gens me voient devenir une servante dont ils pourront être fiers !
Leon : Je vois. Je n'envisageais pas du tout cette idée. Je ne t'embêterai plus à ce sujet.
Felicia : Messire Leon...
Leon : Tu as besoin d'encore énormément de travail, Felicia. Mais j'ai le sentiment que tu peux y arriver. Je ne peux que te souhaiter de réussir.
Felicia : Je vais tout donner ! Merci, Messire Leon.
Soutien S
Leon : Felicia, est-ce que tu aurais un moment à m'accorder ?
Felicia : Bien sûr ! Dès que j'aurai fini avec cette pile d'assiettes...
Leon : Une pile en équilibre instable, manifestement... Je peux t'aider ?
Felicia : Non, pas la peine... Je vais y arriver. Aaah ! Nooon ! (bruit de vaisselle brisée)
Leon : Pff... Je savais que ça finirait comme ça.
Felicia : Messire Leon, je suis désolée. Vous êtes blessé ?
Leon : Je vais bien, merci... Toi aussi ?
Felicia : Ça va, oui...
Leon : Tant mieux, me voici soulagé. Maintenant, il faut déblayer toutes ces assiettes.
Felicia : Vous allez m'aider ? Oh, merci Messire !
[…]
Felicia : Pfiou, ça en a pris, du temps. Bien plus que je ne le pensais. Mais au fait, de quoi étiez-vous venu me parler ?
Leon : Felicia... Je t'aime.
Felicia : M-Messire Leon ? Mais que dites-vous ?
Leon : Simplement que je t'aime. Mon admiration pour toi n'a cessé de croître. J'aime ta dévotion à vouloir rendre fiers ceux que tu chéris. Je suis ébahi devant tant de force et de courage. Je veux rester avec toi, Felicia. Veux-tu m'épouser ?
Felicia : Vous... Vous savez très bien que je ne peux pas !
Leon : Pourquoi ça ?
Felicia : Comment, « pourquoi ça » ? Mais vous êtes de sang royal ! Vous ne pouvez pas épouser quelqu'un comme moi. En plus... Je ne vous mérite pas ! Je vais casser vos assiettes et souiller votre linge.
Leon : Je ne te propose pas un poste de femme de ménage... Je tiens à mes affaires. Aux dernières nouvelles, l'amour n'est pas lié aux tâches mineures. Et oui, je suis de sang royal. Rien de moins qu'un prince nohrien. Cela me donne le pouvoir d'épouser qui je veux, même une servante maladroite. Alors, ma chère Felicia... Permets-moi de te demander : veux-tu devenir ma femme ?
Felicia : Messire Leon... Oui ! Mille fois oui !
Leon : Vraiment ? Tu me rends encore bien plus heureux que je ne l'avais imaginé.
Felicia : Hi hi ! Messire, je pourrais dire la même chose de vous...
Et ceux de Camilla et Keaton ~
Camilla et Keaton
Soutien C
Keaton : Épatant, tout simplement épatant.
Camilla : Bonjour Keaton. Je ne m'attendais pas à te trouver dans un endroit pareil.
Keaton : Oh, Camilla ! Vous arrivez au bon moment pour voir quelque chose de prodigieux. Regardez ! Regardez dans ce trou !
Camilla : Un trou ? C'est plutôt une grotte, oui. Et qu'est-ce que je suis censée y trouver ?
Keaton : Si je vous le disais, ce ne serait plus une surprise ! Allons, dépêchez-vous, entrez !
Camilla : Oui oui, j'y vais. Inutile de me pousser ! Oh... Ce sont... des os humains. Il y en a tellement.
Keaton : Incroyable, n'est-ce pas ? Ils sont si beaux, comme ça, entièrement dénués de chair !
Camilla : On dirait qu'ils sont là depuis un bon moment, en effet. Pourrait-il s'agir d'un ancien cimetière ?
Keaton : J'aimerais bien les ramener chez moi, mais je ne crois pas pouvoir tous les porter.
Camilla : Pourquoi voudrais-tu ramener de vieux ossements chez toi ?
Keaton : Pourquoi ? Mais ils habilleraient ma table à la perfection !
Camilla : Eh bien, il faut de tout pour faire un monde...
Soutien B
Keaton : Camilla, vite, c'est une urgence !
Camilla : Une urgence ? Que s'est-il passé ?
Keaton : Je n'ai pas le temps de vous expliquer. C'est très grave !
Camilla : Calme-toi, Keaton. Si tu veux que je t'aide, tu dois d'abord m'expliquer ce qui se passe.
Keaton : Q-Qui a dit que j'avais besoin de votre aide ?
Camilla : Comme il te plaira. Dans ce cas, bonne journée.
Keaton : Camilla, attendez ! Je vais vous expliquer ! Non, ne partez pas ! Je m'excuse.
Camilla : Alors, quel est le problème ?
Keaton : Je n'arrive plus à y aller... Vous savez, dans le trou osseux.
Camilla : Le trou osseux ? En voilà un nom cocasse. Tu parles de la grotte que nous avons vue ?
Keaton : Oui, ça. Je n'arrive plus à y aller !
Camilla : Tu n'as quand même pas oublié comment y accéder, si ?
Keaton : Quoi, moi ? Mais non, je connais très bien le chemin. C'est juste que chaque fois que j'essaie de le suivre, je tourne en rond.
Camilla : Ce qui revient à dire que tu l'as oublié.
Keaton : Croyez ce que vous voudrez, ne nous attardons pas sur des détails ! L'important, c'est de retrouver cet endroit au plus vite. Vous êtes d'accord, non ?
Camilla : Désolée, mais non. Je n'ai jamais été friande de restes humains.
Keaton : Alors, c'est comme ça ? Snif... Ils vont être perdus... Snif...
Camilla : Bon, d'accord ! Viens avec moi.
Keaton : Hourra ! Je savais bien que vous voudriez les revoir, vous aussi !
Camilla : Détrompe-toi : je t'y conduis parce que tu étais sur le point de pleurer.
Keaton : J-je n'étais pas sur le point de pleurer !
Camilla : Bien, alors ça ne te fera rien si je décide de ne pas y aller, en fin de compte.
Keaton : Snif, snif... Non, mais... Maaaiiis...
Camilla : Hmm. C'est bien ce que je pensais. Tu es adorable quand tu chouines, tu sais ? Alors, on y va ? Suis-moi.
Keaton : Je me sens...utilisé.
Soutien A
Keaton : Ces os sont tellement chouettes, j'en reviens toujours pas !
Camilla : Tu comptes les admirer encore longtemps ?
Keaton : Qui sait ? Depuis le temps, j'aurais déjà pu m'en lasser, mais c'est loin d'être le cas !
Camilla : Et moi, ça fait des heures que je m'ennuie. Alors je retourne au camp.
Keaton : A-Attendez ! Vous partez ? Toute seule ?
Camilla : A moins que ça ne pose problème, oui.
Keaton : Non, c'est juste que... Vous pourriez tomber sur un os, en chemin. Et sans moi, la situation pourrait s'avérer périlleuse !
Camilla : Je ne crains pas les bandits, mon chou. C'est plutôt le contraire.
Keaton : Hmm...Oui. Vous devriez arriver à vous débrouiller toute seule.
Camilla : Keaton, si tu as peur de ne pas retrouver le chemin tout seul, il te suffit de le dire.
Keaton : Q-Quoi ? Vous plaisantez ! Bien sûr que je peux rentrer tout seul !
Camilla : Parfait. Alors je me mets en route.
Keaton : Argh...Mais je ne serai plus très long, vous savez. Nous pourrions rentrer ensemble.
Camilla : Si tu insistes...
Keaton : Hé hé ! Désolé, Camilla...Mais ce n'est pas tous les jours qu'on trouve des os comme ça !
Camilla : Heureusement ! Ce n'est pas très gai, la plupart des gens seraient mal à l'aise.
Keaton : Ah oui ? Et pourquoi ça ? Si trois os et demi rendent les gens nerveux, qu'ils ne viennent pas chez moi ! Là d'où je viens, le sol est jonché des os de ceux que j'ai tués.
Camilla : Ah, euh...Vraiment ?
Keaton : Oui, il est difficile de faire un pas sans en briser un ! C'est que...j'ai tué tous les corniauds qui ont voulu prendre ma fourrure.
Camilla : Je vois. C'est pour ça que cette affreuse odeur de sang t'accompagne partout où tu vas.
Keaton : Quoi ?! Mais c'était il y a des mois, et j'ai pris un bain la semaine dernière !
Camilla : Il ne suffit pas de prendre un bain. L'odeur du sang s'imprègne jusque dans l'épiderme.
Keaton : Vraiment ? Alors ça...
Camilla : Pas que cela me dérange, d'ailleurs. Je te le dis juste comme ça. Allez, viens, maintenant. Sinon, je te laisse planté là et tu rentres tout seul.
Keaton : A-A-Attendez !
Soutien S
Keaton : Camilla ?
Camilla : Oui, Keaton ?
Keaton : Je crois que vous avez besoin d'un homme fort.
Camilla : Tu as dix secondes pour reconsidérer ta remarque. Je compte...
Keaton : Non, non, réfléchissez-y ! Vous allez vous marier, un jour, n'est-ce pas ?
Camilla : Seul un Ulfhedin peut creuser sa tombe aussi vite et aussi profondément.
Keaton : Allons, écoutez ce que j'ai à vous dire ! Le type que vous allez épouser devra être fort. Un vrai costaud.
Camilla : Il est raisonnable de penser ça, en effet.
Keaton : Alors ? J'ai pas raison ?! Voyons voir... Combien de bandits j'ai éliminés l'autre jour ? J'ai oublié...
Camilla : …
Keaton : Normalement, je me souviens de ce genre de choses, mais ceux-là étaient si frêles...
Camilla : Tu n'es quand même pas en train de dire ce que je crois que tu dis, si ?
Keaton : Q-Quoi ? Moi ?
Camilla : Ne serais-tu pas en train de préparer le terrain avant de me demander en mariage ?
Keaton : Comment ? Pff ! Ha ha ! Moi ? Vous demander en mariage ? En voilà une idée, ha ha ha !
Camilla : Je vois... Au temps pour moi.
Keaton : Euh, non, attendez ! Maintenant que vous en parlez, je me demande si...
Camilla : Si quoi ?
Keaton : Grr ! D'accord ! Vous voulez vraiment que je me jette à l'eau, hein ?
Camilla : En effet. Je n'ai pas de temps à consacrer à ceux qui ne trouvent pas en eux la force nécessaire.
Keaton : Bien, comme vous voudrez ! … Camilla, s'il vous plaît... Épousez-moi.
Camilla : …
Keaton : J'ai même trouvé une bague pour vous ! Regardez comme elle est belle !
Camilla : …
Keaton : Dites quelque chose, Camilla, je vous en prie !
Camilla : Je me passerai volontiers de cette bague, mais j'accepte ta demande.
Keaton : Quoi ?! Vraiment ?!
Camilla : Tu es de tempérament joyeux et amical, et pourtant... Ce sont ces relents de sang qui m'attirent, chez toi. Je suis intriguée par les côtés de ta personne que tu dissimules.
Keaton : Je, euh... Je ne suis pas sûr de vous suivre, mais vraiment ? Vous voulez m'épouser ?
Camilla : Avec joie.
Keaton : Ouah ! Quelle journée exceptionnelle ! Merci, Camilla ! Hourra ! Hooouuu, hooouuu !
Camilla : Ce sera toujours comme ça, à partir de maintenant, n'est-ce pas ? Bon... soit.
Tellement de travail, vous voulez ma mort ? Je fais des études aussi hein.
Non, plus sincèrement, merci pour votre boulot, j'essaie de tout mettre sur le site + procéder à la relecture d'ici fin de la soirée.
Et vous en faites pas, dès que j'ai le jeu, je m'y mettrais aussi.
Quelqu'un à atteint le soutien S entre SIlas et Oboro ?
J'avoue que leur relation m'intrigue et j'ai déjà marié Mozu avec Silas, sinon au pire j'attends révélation avant de les mettre ensemble
Hop hop un nouveau soutien, celui de Sakura et Hinata:
Soutien C
Sakura : Ouf ! Je suis soulagée que nous nous en soyons sortis vivants...
Hinata : Dame Sakura. Je vous ai trouvé un peu pâlotte sur le champ de bataille. Ça va ?
Sakura : Oui, je vais bien...J'ai juste eu un peu peur, voilà tout.
Hinata : Si vous laissez l'ennemi voir vos faiblesses, ils vont vous prendre pour cible.
Sakura : Vraiment ? Je l'ignorais. Que devrais-je faire ?
Hinata : Un entrainement un peu plus poussé ne ferait pas de mal. Un soldat doit être prêt !
Sakura : Un entrainement plus...poussé ?
Hinata : Si vous voulez on peut faire un peu d'exercice, je peux vous montrer des trucs. Je décrocherais la lune pour une pépette comme vous, Dame Sakura. Je reviens !
Sakura : M'entrainer avec Hinata ? Pourquoi est-ce que ça me rend nerveuse ?
Soutien B
Hinata : Très bien, commençons l'entrainement ! Personne ne vous trouvera faible tant que je serais là pour m'occuper de vous !
Sakura : Euh...B-Bien, si vous le dites.
Hinata : Commençons par améliorer votre posture. Redressez le dos et gonflez la poitrine.
Sakura : D-D'accord...Comme ça ?
Hinata : Oui, c'est ça, parfait ! Maintenant, faites-moi entendre votre cri de guerre, dites un truc injurieux ! Fort !
Sakura : Comment ? Mais je ne peux pas, voyons !
Hinata : Vous ne "pouvez pas", vous dites ? Allons, vous vous sous-estimez.
Sakura : Ah, euh...Bien. Hum...Il n'y a pas moyen...Pas moyen que je dise ça !
Hinata : Ha Ha ! Vous êtes mignonne. C'était pas l'effet escompté, mais c'est déjà pas mal.
Sakura : C'est vrai ? J'étais bonne ? Non, je veux dire...Ahem. T'as vu ça mon gars ? T'en as eu plein les mirettes, pas vrai ?
Hinata : Ha ha ha ! Doucement ma petite dame ! Je crois que je vous ai poussée un peu loin.
Sakura : Oh, non...Snif, snif ! C'était pas bon ? Que dois-je faire pour avoir l'air dure ?
Hinata : Ah, mais non, ne pleurez pas ! Je suis désolé ! Non, c'était pas mal, vraiment !
Sakura : C'est sans espoir, Hinata, dites-le ! Je n'y arriverai jamais !
Hinata : C'est mon approche qui n'est pas la bonne. Je trouverai autre chose, pas d'inquiétude.
Sakura : D'accord...
Soutien A
Hinata : Après mes beaux discours, voilà que c'est moi qui me fait blesser au combat...
Sakura : Ce n'est rien, Hinata. Je suis soulagée que ce ne soit pas grave.
Hinata : Pff...On dirait bien que c'est moi qui ai été le maillon faible, cette fois-ci.
Sakura : Non, ce n'est pas vrai ! Moi, j'ai eu si peur que j'en ai oublié tout mon entrainement !
Hinata : Ce n'est pas ce que j'ai vu. Vous avez fait preuve de bravoure pour soigner nos amis. La force ne se mesure pas qu'au nombre de soldats tués. Il faut de la grandeur d'âme.
Sakura : Je n'ai pas été brave. Juste désespérée...Hinata, pensez-vous que je suis utile à nos hommes ? Où suis-je juste un boulet... ?
Hinata : Ne dites pas ça ! Nous avons besoin de vous ! Vous nous donnez du courage !
Sakura : Merci, Hinata. C'est très gentil de votre part de dire ça.
Soutien S
Sakura : Hinata ! Bonjour !
Hinata : Ah, Dame Sakura. J'espérais vous voir, aujourd'hui. J'ai quelque chose à vous dire.
Sakura : Vraiment ? De quoi s'agit-il ?
Hinata : J'ai vraiment appris à vous connaitre ces derniers temps, et pour vous dire la vérité...Je, euh...Je suis tombé amoureux de la personne que j'ai découverte en vous.
Sakura : Pardon ?
Hinata : Je sais que je ne devrais pas avoir ce type de sentiments pour une princesse, mais...Je ne pouvais pas non plus les garder pour moi. Je vous aime, Dame Sakura. Voilà.
Sakura : Hinata, attendez ! Ne partez pas ! J-Je vous aime, moi aussi...
Hinata : Ah. Comme ami, j'imagine. Vous ne voulez pas dire que...
Sakura : Je vous voyais d'abord comme un grand frère qui voulait s'occuper de moi. Mais les choses ont changé au fil du temps et je tombée amoureuse de vous aussi.
Hinata : Moi qui était persuadé que vous alliez me coller un gros râteau...
Sakura : Non, je ne vous rejetterai jamais. Je veux rester avec vous pour toujours.
Hinata : Vous le pensez vraiment ?
Sakura : Oui, Hinata. Je vous veux à mes côtés.
Hinata : Vous ne pouvez pas savoir comme ça me fait plaisir. Je ne vous abandonnerai jamais.
Sakura : C'est tout ce que je peux rêver de l'homme que j'aime. Tenez, prenez mon coeur. Il est à vous pour l'éternité...et au-delà.
Saizo et Asugi :
Rang C
Asugi : Parfait. Maintenant, verser la gélatine dans les moules... Hé hé ! Ce sont les meilleurs bonbons que j'aie faits. Quand les villageois vont y goûter...
Saizo : Hmpf.
Asugi : Hmm ? Oh, c'est vous.
Saizo : Je me disais bien que cette horrible odeur douceâtre t'étais due.
Asugi : Père ! Pourquoi vous critiquez toujours ce que je fais ?
Saizo : Que tu puisses avaler autant de sucreries me dépasse. Cela doit t'attaquer l'estomac... et les dents... et le cerveau...
Asugi : Hé, vous m'avez dit que je pouvais vivre comment je l'entends quand je vous ai rejoint. Alors c'est exactement ce que je fais.
Saizo : Mais pourquoi faire autant de bonbons alors que tu es le seul à les manger ?
Asugi : Oh, je suis pas le seul. Loin de là. Les enfants du village adorent mes friandises. Et les filles aussi.
Saizo : Quoi ?! Je n'arrive pas à y croire... Pour toi, préparer des bonbons est juste un moyen de séduire des femmes ?
Asugi : Hein... ? Père, mais... Quoi ?!
Saizo : Misérable ! Je ne suis pas venu te tancer à propos de ton passe-temps... Mais prends garde à toi si tu salis l'honneur de cette armée !
Asugi : Alors c'est comme ça... Peut-être que le problème vient pas de moi, mais de votre sens de l'honneur tordu.
Saizo : Qu'est-ce que tu viens de dire ?
Asugi : Laissez tomber.
Saizo : Je m'en vais avant que tu ne te couvres encore davantage de honte.
Asugi : Tant mieux. Les bonbons vont pas se faire tout seuls. Peuh...
Rang B
Saizo : Asugi... Je te dois des excuses.
Asugi : Vous ? Vous excuser ? C'est... bizarre...
Saizo : Quand tu m'as dit vouloir partager tes sucreries avec les femmes du village... J'ai immédiatement cru que c'était pour les séduire. J'étais dans l'erreur.
Asugi : Oh, quelqu'un vous a mis au parfum ?
Saizo : Oui. On m'a dit qu'en réalité, c'était un stratagème pour glaner des informations.
Asugi : On appelle pas ça des mots doux pour rien. C'est fou tout ce qu'on peut apprendre...
Saizo : Mais pourquoi n'as-tu rien dit ? Tu aurais pu éclairer toute la situation en seulement quelques mots.
Asugi : Parce que si tout le monde connaît ma technique, alors elle devient obsolète. Et puis vous étiez pas si loin du compte. Je suis pas là que pour récupérer des informations. Je me fais des amis aussi. Connaître les gens que je dois protéger m'aide à garder le cap sur mes objectifs.
Saizo : Je vois... Ton approche est très différente de la mienne. Je n'aurais jamais pensé à ça.
Asugi : Quoi, ça aussi ça vous << dépasse >> ?
Saizo : Non, je voulais juste dire que... Tu as des talents différents des miens, mais tu les utilises comme un ninja. Je n'ai rien à redire là-dessus. Nous sommes différents. Pour un père et un fils, nous n'avons que peu en commun. Mais j'en viens à me dire que ce n'est peut-être pas un mal.
Asugi : Père...
Saizo : Tu es sûr de toi et c'est tout ce qui compte. Loin de moi l'idée de changer cela. Tu dois vivre ta vie comme tu l'entends.
Asugi : C'est votre façon à vous d'approuver ma façon de faire, non ? C'est bizarre...
Saizo : Je n'irais pas jusque-là. Disons que je ne l'approuve pas mais que je... la tolère. Et à l'avenir, je t'écouterai lorsque tu essaieras de m'expliquer quelque chose.
Asugi : Hé hé, c'est un bon début. Merci, Père.
Saizo : Hmpf...
Rang A
Asugi : Père, vous me fixez de façon dérangeante. Arrêtez ça.
Saizo : Je réfléchissais à ton prénom...
Asugi : Lequel ? Asugi ou Saizo ?
Saizo : Asugi. Quand as-tu commencé à te faire appeler ainsi ?
Asugi : Oh, pendant que j'étais dans les terres oubliées, je sais plus exactement quand. J'ai découvert ce que signifiait mon prénom et l'entraînement qu'il impliquait... Alors j'ai juste voulu me débarasser de tout ça.
Saizo : Je vois...
Asugi : << Asugi >> veut dire << gris >> dans la langue qu'ils parlent, là-bas. C'était parfait pour un gamin aussi banal que moi, pas vrai ? C'était une blague, au début, et puis finalement, je m'y suis habitué.
Saizo : Quand bien même, cela me met mal à l'aise. C'est trop différent de ton vrai prénom.
Asugi : Mais vous l'utilisez quand même. Vous me dites que je dois suivre ma propre voie. Et ça me plaît vraiment. J'ai l'impression que pour la première fois, vous approuvez les décisions que je prends. Je suis presque aussi heureux que lorsque j'ai eu ma première sucette...
Saizo : Je vais prendre ça comme un remerciement...
Asugi : Enfin bref, j'ai réfléchi, et j'ai finalement décidé de devenir Saizo, sixième du nom.
Saizo : Quoi ?! Mais qu'est-ce qui te passe par la tête ? Je croyais que tu détestais la pression qui entoure notre nom.
Asugi : Ouais, bah... j'ai changé d'avis. Je suis pas comme vous. Mais vous avez accepté de faire des compromis. Pour vous, je suis Asugi, maintenant. Et pas juste un autre Saizo. Alors je me suis dit que ce serait vache de ma part de pas faire de même pour vous. Et puis je peux pas laisser le nom de Saizo disparaître après tout ce temps.
Saizo : Ne t'en fais pas pour ça. Cinq générations, c'est déjà beaucoup.
Asugi : Ha ha ! Je pensais pas entendre ça de votre part un jour. Je croyais que vous étiez trop têtu pour défendre votre fils à ce point.
Saizo : Dis ce que tu veux.
Asugi : Ça va, Père. Quand je prendrai le nom de Saizo, ce sera pas par obligation. Je le ferai parce que j'en aurai envie. Si j'ai bon, c'est un mot hoshidien qui veut dire << qui apporte la couleur >>. J'aime bien l'idée qu'un type tout gris et fade comme moi peut devenir... ça. Il faut que je vise haut, pas vrai ?
Saizo : C'est une interprétation plutôt poétique. Mais c'est peut-être un peu trop fantaisiste. Mes missions sont plutôt mornes et sombres.
Asugi : Je peux faire preuve d'imagination, non ? Ou ça aussi, c'est interdit ?
Saizo : Papoter ainsi ne nous mènera nulle part. Mais je garde tes projets à l'esprit. Tu as pris une sage décision aujourd'hui, Asugi.
Asugi : Mouais...
Saizo : Qui apporte la couleur... Mmh. Je n'aurais pas dit cela de mon père non plus. Mais ce monde change constamment. Et notre lignée doit évoluer de concert. La guerre sera peut-être terminée lorsque tu deviendras le sixième Saizo. Tes missions auront peut-être une palette plus large que le noir et rouge de la mienne.
Asugi : Ce serait chouette. Mais en tant que prochain Saizo, j'accomplirai tout ce que je serai appelé à faire. Je dois honorer ce nom. Et rendre me prédecesseurs fiers. Si un jour vous décidez que je suis digne du nom de Saizo... Appelez-moi par ce prénom-là. Comme vous m'appelez Asugi pour l'instant.
Saizo : Comme tu voudras. J'espère que ce jour viendra avant que je ne sois trop vieux. Cela dit, je ne compte pas te transmettre ce nom dans l'immédiat. Tu as rejeté l'offre une fois. Ce ne sera pas facile de le récupérer.
Asugi : Hé hé ! Si c'était facile, ça n'en vaudrait pas la peine, pas vrai ?
Saizo : Hé hé...
Je ne vous oublie pas, je suis juste en période de partiel donc je mettrais ça à jour une fois tranquille.
On le sait Soren t'en fais pas ^^ Mais pour t'ajouter une masse de travail je poste encore un nouveau soutien :p
Corrin (F) et Kana (M)
Soutien C
Kana : Maman ! Maman !
Corrin : Oui, Kana ? Qu’y a-t-il ?
Kana : Je vous ai cueilli de jolies marguerites jaunes, Maman !
Corrin : Ouah ! Elles sont très belles, merci !
Kana : Vous les aimez vraiment ?
Corrin : Bien sûr, je les adore ! Mais tu m’apportes beaucoup de fleurs, en ce moment. Que t’arrive-t-il ?
Kana : Vous savez, quand j’étais tout petit, nous allions cueillir des fleurs, ensemble. Vous souriiez tellement, alors. Et j’adore votre sourire, Maman ! Alors j’ai décidé de vous apporter des tas et des tas de fleurs !
Corrin : Hi hi. Je ne m’étais pas rendu compte que tu me regardais aussi attentivement…Mais j’aurais une petite faveur à te demander.
Kana : Tout ce que vous voudrez, Maman. De quoi avez-vous besoin ?
Corrin : Tu te souviens que je t’ai dit que les fleurs sont des êtres vivants comme toi et moi ? Cela signifie que quand tu les cueilles, tu leur fais du mal. Ensuite, elles ne peuvent plus ni boire ni manger, et elles finissent par faner.
Kana : Oh, non ! Vous voulez dire que j’ai fait du mal aux fleurs ? C’était un accident ! Désolé, petites fleurs ! Je ne voulais pas…
Corrin : Je suis sûre qu’elles te pardonneront, maintenant que tu as compris. Simplement, il faut me promettre de ne plus les cueillir. C’est d’accord ?
Kana : D’accord ! Mais…si je ne les cueille plus, comment pourrais-je vous les montrer ?
Corrin : C’est simple ! Quand tu en trouves, viens me chercher. Nous irons les voir ensemble.
Kana : Vraiment ? Ne serez-vous pas trop occupée pour venir avec moi ?
Corrin : Pour toi, je ne serai jamais trop occupée, Kana chéri.
Kana : D’accord. Marché conclu, Maman !
Corrin : C’est plus qu’un marché, c’est une promesse !
Soutien B
Kana : La la lalala la la… ♪ Un moment rien qu’avec Maman !
Corrin : Eh bien, dis-moi, tu es de fort bonne humeur, aujourd’hui !
Kana : Bien sûr que je suis de bonne humeur ! J’ai de superbes fleurs à vous montrer ! Vous allez les adorer, j’en suis sûr ! Regardez ! Les voilà, Maman, juste là !
Corrin : Tu veux parler de ces fleurs blanches ? Elles sont ravissantes. Elles sont si fortes et si élégantes, tout en étant si apaisantes.
Kana : Je les adore ! Elles m’ont fait penser à vous, Maman.
Corrin : M-Moi ? Je ne pense pas être aussi jolie que ces fleurs, Kana…Mais je suis flattée. Merci.
Kana : Hum ! Les fleurs sont peut-être jolies. Mais pas autant que votre sourire !
Corrin : Bonté divine ! Tu exagères un peu. Mais tu sais quoi ? Je pense que ton sourire à toi est encore plus beau que le mien !
Kana : Vraiment ? Youpi !
Corrin : Oh, cela me fait penser que j’ai quelque chose à te montrer qui devrait te plaire.
Kana : Oooh, c’est quelque chose de bien ? Je peux voir ? Qu’est-ce que c’est ?
Corrin : Eh bien, c’est…
Kana : Ah ! Non, attendez, ne me dites rien ! Comme ça, j’aurais la surprise.
Corrin : Hé hé. Très bien, je vais garder le secret jusqu’à que je puisse te le montrer.
Kana : Youhou ! J’ai hâte de voir ça !
Soutien A
Kana : Maman, je suis là ! Où est cette chose que vous vouliez me montrer ?
Corrin : Bonjour, Kana. Elle est là, viens voir.
Kana : Quel gros livre ! Oh ouah ! Regardez-moi toutes ces fleurs ! Où donc les avez-vous trouvées ?
Corrin : Elles viennent de toi, voyons. Ce sont toutes les fleurs que tu m’as ramenées. Je les ai fait sécher entre les pages du livre pour pouvoir les conserver. Je me suis dit que ce serait le moyen idéal de garder tous tes petits cadeaux.
Kana : C’est incroyable ! C’est même vraiment chouette ! Je ne m’étais pas rendu compte du nombre de fleurs que je vous avais apportées. Oh, Maman, merci de prendre tant soin des fleurs que je vous ai offertes !
Corrin : Non, non, c’est plutôt à moi de te remercier. Tes fleurs m’ont apporté beaucoup de réconforts en ces temps difficiles.
Kana : Je vous en prie ! Tout le plaisir était pour moi.
Corrin : Tu sais, même si nous n’avons pas cueilli les fleurs que nous avons vues l’autre jour…Nous avons créé de magnifiques souvenirs, tous les deux. J’espère que nous en aurons beaucoup d’autres comme celui-ci. Et toi ? Tu veux continuer à fabriquer de beaux souvenirs avec moi, Kana ?
Kana : Bien sûr ! Je vous aime tellement, vous êtes la meilleure maman du monde !
Corrin : Je t’aime très fort aussi. Tu es ce que j’ai de plus précieux au monde, tu le sais ?
Kana : Hi hi ! Vous allez me faire rougir !
Corrin (H) et Selena.
Soutien C
Selena : Grr ! Mais où est-il passé ? Je suis vraiment maudite, le monde entier s'acharne contre moi ! Raaah !
Corrin : Selena ? J'ai entendu des cris... Est-ce que tout va bien ?
Selena : Bien sûr que non ! Je ne trouve mon yukata nulle part !
Corrin : Mince alors ! Mais au fait, c'est quoi un yukata ?
Selena : Vous ne savez même pas ce qu'est un yukata ? Eh bien pour votre gouverne, c'est un type de robe ravissante qui vient d'Hoshido.
Corrin : Ah bon ? Mais je croyais que vous veniez du royaume de Nohr ?
Selena : Quel est le rapport ? Et qui vous a dit que je venais du royaume de Nohr ?
Corrin : Désolé, je suis un peu perdu...
Selena : Qu'est-ce que ça change d' où je viens ? Je peux bien porter ce que je veux.
Corrin : Tout à fait. Tant que vous trouvez chaussure à votre pied...
Selena : Qui a parlé de chaussure ? Je vous ai dit que c'était une robe. Une robe splendide qui m'allait à ravir ! Snif... Et maintenant je ne la retrouve nulle part !
Corrin : Inutile de vous lamenter... Elle ne doit pas être bien loin...
Selena : Vous ne comprenez donc rien ? Je disais ça pour que vous me fassiez un compliment !
Corrin : Pardon ?
Selena ; Peu importe. Allez-vous m'aider à retrouver mon yukata, oui ou non ?
Corrin : Eh bien, je crois que je n'ai pas vraiment le choix.
Selena : Pas si vous voulez rester mon troisième meilleur ami, mon cher. Alors, allons-y, partons à sa recherche !
Corrin : Très bien. Attendez, troisième ? Mais qui sont les deux premiers ?
Selena : Ne vous inquiétez donc pas pour ça, c'est mauvais pour les rides.
Soutien B
Selena : Tiens, Corrin ! Avez-vous retrouvé mon yukata ?
Corrin : Non, désolé. Pour être honnête, nous avons passé un temps fou à sa recherche, la dernière fois. Alors je me suis dit qu'il avait disparu pour de bon et je ne l'ai pas vraiment cherché.
Selena : Vous abandonnez bien trop facilement !
Corrin : J'ai tout de même fouillé tout le château et demandé à des gens s'ils l'avaient vus.
Selena : Eh bien, si vous pensez avoir fait de votre mieux, qui suis-je pour vous contredire ?
Corrin : Pff...
Selena : Vous soupirez ? On dirait presque vous ne voulez pas retrouver mon yukata.
Corrin : Selena, j'aimerais vraiment vous aider, ne serait-ce que pour être tranquille. Peut-être que vous pourriez me le décrire...
Selena : Très bien... Il est bordeaux avec un imprimé à toutes petites fleurs de cerisier. C'est la couleur que portait le plus souvent ma mère. Même si cela lui allait sans doute mieux à elle...
Corrin : Pourquoi dites-vous cela ?
Selena : Eh bien, elle était parfaite et avait des goûts parfaits. Difficile d'être à la hauteur. Bien que je n'en sois pas loin du tout !
Corrin : Elle << était >> parfaite ? Elle est décédée ?
Selena : Oui, mais peu importe, je m'en suis remise. Revenons plutôt à mon yukata. Vous avez bien retenu la description ?
Corrin : Euh, oui. Bordeaux avec des fleurs de cerisier. Oh, et quelle taille faites-vous ?
Selena : Vous me demandez ma taille ?!
Corrin : Euh, oui ?
Selena : C'et un peu personnel, non ? Que diriez-vous si je vous demandais la couleur de vos sous-vêtements ?
Corrin : Euh...
Selena : Et voilà, maintenant vous pensez sûrement à mes sous-vêtements à moi ! Vous êtes un vrai fouineur, vous savez ?
Corrin : Selena, écoutez-moi voyons ! Je ne pensais pas du tout à ça ! Je veux juste vous aider à retrouver votre yukata. J'ai pensé que cela pourrait m'être utile d'en connaître la taille.
Selena : Bon, très bien. C'est un yukata moyen. Pas grand, pas petit, moyen ! Compris ?
Corrin : Taille moyenne. Compris.
Selena : Votre interrogatoire est fini ? Allez-vous enfin vous mettre à sa recherche ?
Corrin : Oui, je serai ravi de prendre congé de vous, en fait.
Selena ; Qu'est-ce que vous voulez dire par là ?!
Soutien A
Selena ; Corrin ! Avez-vous retrouvé mon yukata ?
Corrin : Eh bien...
Selena : Pff... Ne dites rien. La réponse se lit sur votre visage. Tant pis, ça n'a plus d'importance maintenant.
Corrin : Que voulez-vous dire ?
Selena : Nous avons tous deux fouillé partout, il a tout simplement disparu. Désolée de vous avoir fait perdre du temps. Je sais que vous avez beaucoup à faire.
Corrin : Selena...
Selena : Que les choses soient bien claires, je ne vous remercie pas.
Corrin : Content de cette précision...
Selena : Je vais devoir me faire un nouveau yukata. Ça ne va pas être facile, mais avec mon immense talent, je devrais y arriver.
Corrin : C'est une très bonne idée, Selena. Camilla dit souvent que vous êtes très douée.
Selena : Ah... Ah bon ? Enfin, je veux dire... C'est évident ! Au fait, quelle est votre taille ?
Corrin : Ma taille ? L'autre jour, vous étiez si fâchée quand je vous ai demandé la vôtre...
Selena : Pfeuh ! Ça n'a absolument rien à voir. Là, c'est pour un cadeau.
Corrin : Je disais ça pour vous taquiner ! Mais vous n'êtes pas obligée de me faire un cadeau.
Selena : Ne vous inquiétez pas ce n'est pas un vrai cadeau. Je pensais juste que s'il me restait du tissu... Si j'en ai le temps, je pourrais peut-être faire un autre yukata pour vous. On verra, je n'aurai sans doute pas assez de tissu et je risque d'oublier...
Corrin : Je vois. Bon, c'est l'intention qui compte.
Selena : Parfait. Il ne nous reste plus qu'à trouver un jolie tissu. Vous êtes prêt ?
Corrin : Euh...
Selena : Comment ça << euh >> ? Vous êtes prêt ou pas ? Il y a des gens qui tueraient pour avoir la chance de faire les boutiques avec moi.
Corrin : Ils n'auraient pas besoin de me tuer pour que je leur cède ma place...
Selena : Ha ha. Allez, en route ! On va bien s'amuser. Dépêchez-vous !
Corrin : Et voilà, elle est partie. Mais... Je ne lui ai même pas dit ma taille !
Soutien S
Corrin : Selena, comment allez-vous aujourd'hui ?
Selena : Très bien. Mais que faites-vous là ? Je suis un peu occupée.
Corrin : Oh, désolé de vous interrompre. Que faisiez-vous ?
Selena : Si vous voulez vraiment le savoir, je m'apprêtais à partir. Vous vous souvenez que nous n'avons trouvé aucun tissu convenable l'autre jour ? Eh bien, je crois avoir trouvé de la soie de haute qualité, mais je dois aller la chercher. Et c'est... assez loin d'ici.
Corrin : J'arrive au bon moment, alors. Vous n'avez pas besoin d'y aller. Tenez, voici pour vous.
Selena : Ce tissu... C'est le même que celui du yukata que j'ai perdu !
Corrin : Oui, j'ai trouvé un magasin qui a accepté de le fabriquer sur mesure !
Selena : Par tous les dieux... Je ne le mérite pas. J'ai été infecte avec vous. Avec tout le monde...
Corrin : Non, ne dites pas ça ! Enfin, oui, vous êtes un peu caractérielle, mais cela fait partie de votre charme. C'est drôle, je commence même à trouver cela attachant quand vous me dénigrez...
Selena : Alors, épousez-moi.
Corrin : Pardon ?!
Selena : Vous m'avez bien entendue. Épousez-moi, Corrin ! Sauf si vous avez trop peur ? Pauvre petite chose ! Bouhou ! Bouhou !
Corrin : Je... Non. Attendez. Quoi ?!
Selena : Bon, ce n'est pas tout ça, mais j'ai à faire. Je ne vais pas attendre toute la journée. Alors vous voulez m'épouser, oui ou non ? Sachez que la plupart des hommes rêveraient d'être à votre place.
Corrin : En dépit de tout bon sens... Oui. Je veux vous épouser, Selena !
Selena : Bien ! Et vous avez intérêt à faire de moi la femme la plus heureuse du monde !
Corrin : C'est donc maintenant que commence notre lune de miel ?
Vous avez de la chance de m'épouser. Ne vous avisez pas de faire un pas de travers.