j'ai pris des jeux avec le psn+ offert ce mois ci, ils ont tous des dates d'expiration quand on fait : triangle, information
validité d'un mois, si pas d’abonnement au psn+

hors pour ce jeu, ya rien
alors c'est normal, on le garde a vie ?

tout ta vie il te suivra comme un boulet autour du pied , on t'enterra avec ...

Et Dieu te demandera qu'es qui traine à t'as jambe ,et toi fil de Matusalem , tu dira c'est mon jeu magic que j'ai pas pu supprimé avec le triangle .
Alors Dieu dans sa infini sagesse te renverra sur terre pour que tu puisse accomplir ton ultime tache !

Solution en toi tu as , cherché il faudra !

je me suis aussi posé la question. ce serait vraiment chouette de pouvoir le conserver, j'aime bien ce jeu.

soit un bug, oubli de leur part
car les jeux psn+ ont tous des dates limites, quelque soit le pays

on verra bien en début juillet, car je vais pas payer pour avoir des bons de réduction

en tout cas moi je payerais pas le psn+ pour ce jeu

C'est vrai que moi aussi j'aimerais bien le garder, avant je jouais au carte Magic, haaaa, que c'est bon de reconnaître certaines carte !

jeu non gratuit car payé avec nos frais de banque et de blocage/recréation Carte bancaire ...

donc non moi non plus je ne prendrais pas le psn+

tant que les jeux seront des dlc pompes à flouze NON merci !

Tu n'as absolument aucune dépense à faire pour acheter le jeu complet. Donc je peux parfaitement comprendre que tu ne considères pas le jeu comme gratuit puisque c'est la résultante du hack du PSN.

Mais à partir du moment ou on te permet de télécharger un jeu complet sans la moindre dépense, on peux absolument pas parler de 'Pompes à flouze'. C'est un petit peu absurde. Et c'est dommage de passer à côté puisque ça ne te coûte absolument rien (sauf si le jeu t'intéresse pas bien sûr, là c'est un autre débat).

J'ajouterais que dans la description de l'abonnement à playstation plus pour 30 jours gratuit on peux lire explicitement que le jeu ne sera jouable gratuitement que pendant les 30 jours de psn+ après l'expirtation du psn+ il faudra payer le jeu ou poursuivre son abonnement,

donc je pense qu'il faut mieux attendre le 15 juin et voir le prochain magic qui dort ;)

c'est rare qu'un gars sur ps3 soit aussi perspicace , non je takine ;)

De toute façon même s'il était jouable indéfiniment, ça change rien ! Son intérêt reste limité puisque la version 2012 sort dans deux jours et qu'il sera (à priori) meilleur à tous les niveaux :p

Mais ça a au moins permis à certains de patienter jusque là, et de familiariser avec les mécanismes du jeu.

Donc ... à se demander si l'attaque de hackers a bien eu lieu, ou si tout ça était inventé dans un intérêt purement financier,

les gagnants dans l'histoire :

1/ les banques qui ont encaissés les frais de blocage de carte bancaire, et aussi les frais de création de nouvelles Cb.
77 millions d'utilisateurs donc environ 50millions de cb bloquées et refaites sûres !

2/ sony nous "rembourse" ces frais là, avec des jeux moyens ou passé de dates qui ne le coûtent rien, et qui incite comme pour magic à mettre en avant la sortie du nouveau jeu, mais, aussi cela mets comme une "friandise habitude" le psn+. Ceux qui s'y seront habitués et auront pris le pli, tel des moutons, vont en redemander et y souscrire.

Bref, la technique commerciale pouvait paraître risquer, mais, la manne financiaire est énorme, sans compter ceux qui ont entendu parler du pack avec les jeux gratuits, mais qui n'avait pas encore de PS3, ils viennent d'en acheter une croyant en bénéficier aussi ...

De plus, avec cette soit-disant attaque de hackers, que ce soit sur sony et microsoft, cela a permis de discréditer les hackers qui sont des dangers pour les multi-national et leur gros sous...
Et pire, grâce à ça, et ce ramdam, une loi TRES dangereuse pour internet et leurs utilisateurs vient d'être voter aux usa, et est en attente de validation dans le monde entier !

La loi PIPA : Protect of IP Act ::: en gros avec cette loi cela bloque toutes diffusions d'informations particulières ou compromettantes pour les états et les riches ...
Genre un exemple : on aurait jamais entendu parler de Wikileaks, on aurait plus le droit de parler des affaires dsk etc, car les Dns et serveurs tout serait vu à la loupe, sans plus qu'aucune liberté d'expression sur internet ne soit permises ...
Un autre exemple ? pour l'affaire dsk, tout ceux qui l'on conspuer, traiter ou rigoler de sa situation serait attaquer pour insultes, diffamation, ingérence, etc, etc, etc, ...

En gros on aurait le droit de dire ce que l'on a le droit de dire, mais pas ce que l'on sait ou que l'on pense à dire ou vouloir dire !

Fin des libertés, du journalisme, des peuples s'exprimant librement à moins d'avoir des contacts hauts placés ou des millions d'euros, ce sera donc comme une royauté mondiale sur tout, partout ...

J'ai fait des recherches sur internet et voilà ce que c'est exactement :

http://news-26.net/cosmopolite/666-pipa-comment-suprimer-la-liberte-sur-internet.html

PIPA: Comment supprimer la liberté sur Internet PDF Imprimer Envoyer
Lundi, 13 Juin 2011 15:26

La question largement posée par l'actualité "coincidente" des cyber-attaques, mettant en danger les institutions étatiques et les grosses industries, est en passe d'être résolue! Comment repérer, supprimer, rayer, bref se protéger de la liberté forcément criminelle d'Internet? La réponse est servie par le département d'Etat américain via un projet approuvé au Sénat: PIPA, Protect IP Act.

La question de la territorialité des sites a toujours été épineuse. Elle revient à se demander de quel droit relève tel contenu web, à lui attribuer une sorte de nationalité. Les critères sont multiples et peuvent se référer à la langue du site, aux devises monétaires qui y sont mentionnées, au lieu de stockage, mais également au pays où sont domiciliées ceux qui se prétendent victimes.

Le Monde indique dans son édition d’hier que les États-Unis souhaitent bousculer totalement ces règles avec une solution brutale : étendre « leur juridiction », c’est-à-dire leur compétence juridictionnelle à tous les sites localisés à l’étranger (« nondomestic domain name »). Qu’ils soient mexicains, polonais, français ou russes, peu leur importe. Dès lors que des contenus contrefaits s’y trouveront et heurteront les intérêts des sociétés américaines, une procédure de blocage pourra s’engager.

Ce projet vient d’être approuvé au Sénat sous le nom de PIPA ou Protect IP Act (et même dans sa version complète Preventing Real Online Threats to Economic Creativity and Theft of Intellectual Property Act of 2011). On trouvera une version sur cette page officielle et spécialement celle-ci.

Tout bloquer chez tous les intermédiaires

PIPA veut donc permettre aux autorités américaines et avant tout, aux ayants droit, d’empêcher l’accès à ces sites entre les mains des intermédiaires américains. La notion d’intermédiaires est vaste : aussi bien les FAI (acheminement du trafic) que les fournisseurs de services, comme les moteurs de recherche. Mais l’interdiction frappera aussi les portails de liens, les sociétés de cartes de crédit, les registres DNS, ou encore les annonceurs et régies publicitaires… « La loi autoriserait des organismes privés à porter plainte contre le propriétaire d’une adresse, et à demander à un juge qu’elle soit placée préventivement sur liste noire, avant jugement », indiquent nos confrères. Le texte prévoit en effet une injonction temoraire de « cease and desist » dans laquelle est ordonné à un acteur de couper un flux et de s’abstenir de le rouvrir.

Tailler en pièce les DNS

Dès à présent les majors, les grandes chaînes de câble, Microsoft, les laboratoires pharmaceutiques soutiennent ce projet validé en commission sénatoriale. Dans le même temps, les gros acteurs du web, les défenseurs des libertés individuelles, mais également les entreprises bancaires craignent ce texte. Éric Schmidt : « Allons-y, taillons en pièces les DNS (…), mais cela créera un mauvais précédent, car un autre pays va pouvoir dire « je n’aime pas la libre parole, alors je vais couper tel ou tel DNS » – et ce pays serait la Chine ».

Comme le note Wikipedia , si Wikileaks avait diffusé des contenus contrefaits, les Etats-Unis auraient pu avec ce texte exiger le blocage des informations transmises par Julian Assange et son équipe.

De son côté, l’EFF a lancé une grande compagne pour demander l’abandon de ce projet jugé dangereux. Dangereux selon l’association en ce qu’il risque de compromettre la sécurité d’Internet et l’universalité des DNS, tout en plombant l’expression créative, les technologies innovantes émergentes.

Le site CIDRIS prend un exemple concret : « Si vous cherchez le site www.mechants-voleurs-de-musique.com, votre ordinateur déclenchera à un moment ou à un autre une requête vers le système DNS afin d’obtenir une réponse sous forme d’adresses IP vous permettant d’accéder à la ressource susdite sur le réseau. Ex. : 12.47.85.65 (faux exemple non contrôlé). Ce que souhaite faire cette loi, c’est obliger les personnes gérant les domaines .com, .net et .org à ne plus vous fournir la réponse numérique identifiée ( 12.47.85.65). Wikileaks avait déjà subi ce genre de traitement au moment des révélations les plus conséquentes ».

Cibler même les systèmes d’explotation, les clients web, etc.

L’EFF note aussi que la définition du serveur DNS, cible principale de cette loi, est bien trop vaste. Le terme DNS « veut dire serveur ou tout autre mécanisme utilisé pour fournir une adresse IP associée à un nom de domaine » (la définition dans le texte source).

Pour l’EFF, cette définition est nettement plus nerveuse et vaste. Du coup, elle « pourrait conduire au ciblage d’autres technologies comme les systèmes d’exploitation, les clients de messagerie, les clients web, les routeurs et plus encore. Tous sont capables, comme un serveur DNS traditionnel, de fournir une adresse IP lorsqu’est donné un nom de domaine. »

PIPA est la réécriture du COICA (Combating Online Infringement and Counterfeits Act) qui fut une première tentative juridique américaine pour imposer sa toute-puissance sur les réseaux. Sa prochaine étape est désormais parlementaire avec un possible examen au Sénat et à la Chambre des représentants, les deux composantes du Congrès.

@ludo

bonne recherche et bon texte

1/ les banques qui ont encaissés les frais de blocage de carte bancaire, et aussi les frais de création de nouvelles Cb.
77 millions d'utilisateurs donc environ 50millions de cb bloquées et refaites sûres !

50 millions de carte bloqué tu reves un peu... j'ai jamais posé mon numero de CB sur le net, je paye mon PSNstore avec des cartes prépayés comme beaucoup de monde... j'ai nombre d'amis qui ont un compte mais qui n'ont jamais rien payé/téléchargé sur le PSNStore... donc ton nombre de cartes de crédit bloquées est de beaucoup surestimé... je penses que 10% des comptes ont un numero de carte associé... mais c'est sur que 5 millions de CB bloqué ca reste beaucoup...

Merci Spod !

Oui je surestime je pense, du moins je l'espère ...

Mais autant surestimé car les infos sous-estime toujours.

sinon pour ce qui est de PIPA ... c'est un danger contre la liberté on se dirait en chine ou en 40 ... du moins on y vient.

Comme je dis toujours :

"Toute arme, Toute découverte, Toute loi, n'est ni bénéfique, ni mauvaise, tant qu'on ne sait pas qui l'utilise"

C'est de moi et je le pense d'expérience.

Exemple :
Une arme à feu dans les mains d'un gendarme sauve des vies ou les protègent. . .
Dans les mains d'un voyou,
cette même arme de protection,
devient arme d'agression.

Mais dans le cas de PIPA, l'utilisation de cet "outil" est porter largement à controverse sur nos droits protégés en France. . . pour l'instant.

pas vrai un coup le jeu acheter tu la pour la vie

parceque il est dans ton disque dur

Mais tu sais, si tu télécharges la démo, la TOTALITE du jeu est dans ton disque dur.

Le jeu on ne l'a que pendant l'abonnement au psn plus,arrétez de délirer!!!
C'est vrai que le hack du psn peut avoir servi sony pour mettre en avant certains produits mais je trouve ça très risqué si celà avait été prémédité.
Quant à MTG 2012, j'attends de voir s'il sera supérieur à son prédecessseur

pacodeux ses pas quond ma dit.pourquoi playstation n
ous aurais donne un mois de psn+ gratuit si on peux pas en profiter ben voillon donc on garde nos jeux un cout acheter il peut pas voulais enlever.