Seul, j'erre dans la nature, mon ancien foyer est en ruine.
Je marche à la recherche d’un espoir, un nouveau départ.
là-bas au loin, est-ce que je discerne une silhouette sous cette bruine ?
Impossible, depuis que je suis parti je n’ai vu qu'un vieux clébard.
Étrange, on dirait que cela me fait signe.
Aucun endroit où je pourrais échapper à son regard.
Merde, voilà que du doigt elle me désigne.
Vite, je dois me tenir prêt, probablement un pillard.
Ce n’est pas un homme, mais un nain.
j'aperçois son visage, il à l’air honnête.
il s’approche d’un pas certain.
Accompagné d’une étrange bête.
Proche de moi, il me tend la main.
Je lui serre une poignée de main discrète.
Il me demande si je viens de loin.
“De Cornedebouc”, lui dis-je d’une voix muette.