Vigoureux clébard, loup puissant, ou plutôt vaine tortue agonisante, je me languis de tes lassables pitreries. Ces gémissements, cette verve, ces distorsions cérébrales. Oui, je suis à la recherche du chaos puissant qui sévit dans ton âme noire guidée par un pénis qui se révèle homosexuel. Pourquoi ne pars-tu pas à ma recherche ? Ensemble, avec toi, je t'enroberais d'un doux tissu nacré. Du haut de tes sourcils plaqués or, tu commandera mes légions tourmentées, odieuses. Vomira ton énergie du haut de ta pyramide encerclée par les eaux de l'amour. Ton jet devra être torrentiel pour franchir ce mur et me noircir d'infériorité. Ne fais pas ton vierge adolescent suçant ses dernières graisses. Tu es craintif et fuyant, ton museau devient celui d'un termite affreux, le plus gros et le plus paresseux. Homme nauséabond, dégoûtant, flatulent. Malodorant.
Si tu veux cesser de roupiller sur des cadavres de centenaires dans ta forêt bredouillante de nullités ronchonnant de désir, expire sur mon forum, je te traînerais dans la boue, vomissure sans âme ni conscience.
Va-tu me laisser t'attendre ? Va-tu me laisser guetter ta bave aux lèvres ?
Gros chien, tu cours à ta perte.