Et voila une nouvelle fic de ma part, commencez à l'arrache et par une envie de faire autre chose qu'un scénario long à écrire. Sachez juste que je ferais des mini-histoires en fonctions de mon inspiration du moment. J'ai déjà quelques idées derrière la tête.
Bref, voila la bête (pas de vrai relecture pour le moments donc si vous voyez des fautes n'hésitez pas.).
De l’apparition de la vie à sa désintégration brutale et violente. Partie une.
Dans l’espace intersidérale, quelque part entre deux dimensions, est une planète. Pile à la bonne distance du soleil pour permettre au endives de pousser, disposant d’importante réserve d’H2O et une lune et demi, cette planète peut accueillir la vie. De nombreuses molécules ne tardèrent pas à s’y installer, d’ailleurs.
Les océans, encore vierge de toute présence tentaculaires et haineuses furent très vite remplis de diverses cellules et bactéries, bien décidés à évoluer pour les unes, à contaminer tout le monde pour les autres. Et voilà qu’après quelques milliards d’années, le premier organisme marin décide de s’aventurer sur ce grand bout de territoire inexploré qu’est la terre ferme. Pas de bol pour lui, les branchies ont du mal à remplir leurs fonctions dans un milieu non-aquatique. Couic, donc.
Il faudra attendre encore un bon paquet de temps pour que les créatures néolithiques résidant en bords de mers découvre le planchers des vaches (Bien entendu, à l’époque les vaches étaient dotées de nageoires, faisaient quarante mètres de long et pouvaient rendre des mers entières invivables rien qu’en urinant dedans, mais je pense que vous avez tous compris l’expression.) La découverte de ces nouveaux territoires fut, comme toute grande découverte, une coïncidence si énorme qu’elle changea le destin du monde à jamais. Ou du moins, jusque à une collision impromptue entre quelques atomes finissent par conduire à un effondrement total de l’univers. Ceci précédé la venue de quelques milliers de formes de vie belliqueuses ayant décidé de finir leurs vies dans un apothéose de sang, de sexe et de destructions, cela s’entend. Et ceci est bien sur une autre histoire.
Mais laissons ceci et retournons à nos poissons pré-cambriens. En voila donc un, doucement véhiculer par les grands flots bleu scintillant sous la lumière projeté par la lune et demi de cette planète (nommons la comme le feront les futur habitants des lieux, c’est à dire Terre. Comme quoi, hein.) Sorte de serpent des mers primitif, le poiscaille ne respire plus beaucoup. Il n’a pas l’air très en forme et pourrait même être palot si sa peau n’était pas recouverte d’écailles vermillonnes mouchetées de noir. Faut dire qu’il a de quoi, sa famille vient de se faire boulottée devant ses yeux il n’y a même pas une semaine par un prédateurs quelconque. Prédateur ayant finis dans la bidoche d’un collègue beaucoup plus gros. Et depuis, notre serpent n’a pu s’alimenter, la faute à son jeune âge et à la disparition soudaine de ses parents. Suite logique des évènements, le voila trop faible pour chercher à se nourrir. Il ne peut donc plus que se recroqueviller sur lui même et implorer pour qu’une pitance lui tombe sous la dent. Il ne le sait pas encore mais son souhait vas être exaucé.