L'arbitre 1er fautif.
Petite dedicace a l'Ukraine
Vous trouvez pas Cabella moins inspiré ?
Le 25 février 2023 à 01:46:51 :
Vous trouvez pas Cabella moins inspiré ?
C'était un bus double étage.
C'était plus facile de jouer contre le PSG que contre le Brest de Roy " on a fait un bon match" avec 30% de possessions 0 tir cadré
OptaJean
@OptaJean
45 - Lille have scored 45 Ligue 1 goals under Fonseca, the highest tally for a Lille coach after his first 25 games in the top-flight since José Arribas (45 in July 1978-January 1979). Offensive.
En ayant une mauvaise finition.
Pas vu le match et je suis bien content.
Le 25 février 2023 à 11:36:45 :
Pas vu le match et je suis bien content.
Pareil
Putain Nice revient fort faudra pas que l'équipe claque des fesses la semaine pro.
Le 26 février 2023 à 18:48:43 :
Putain Nice revient fort faudra pas que l'équipe claque des fesses la semaine pro.
Oui, tous le monde se tient
José Fonte a repris l'entraînement
Premier contrat professionnel au LOSC pour Lucas Mbamba
Après Ichem Ferrah au début du mois de janvier, un autre joueur de la formation vient de parapher son premier contrat professionnel avec les Dogues : Lucas Mbamba.
Né le 12 août 2006, ce jeune latéral droit a évolué du côté du KRC Genk puis du Club Brugge avant de rejoindre Lille l'été dernier.
https://www.lepetitlillois.com/2023/02/28/officiel-premier-contrat-professionnel-au-losc-pour-lucas-mbamba/
Paulo Fonseca prend qu’un match !
Ce mercredi, la commission de discipline se réunissait afin de faire un point sur les avertissements et les exclusions lors de la 25ème journée de Ligue 1. Le cas de Paulo Fonseca a été étudié. Expulsé face à Brest, le coach Lillois est suspendu qu’un seul match.
La 6éme place ne sera pas Européenne
Bon Victoire obligatoire samedi
Si on gagne on est à 3pts de Lens
Et plus le choix faut le top 5
Félicitations à Carlos Baleba, présélectionné pour la première fois avec l'équipe nationale camerounaise. Le milieu de 19 ans fait partie de cette liste de 34 joueurs en vue d'une double confrontation face à la Namibie pour le compte des éliminatoires à la CAN.
du bon
Chevalier, Costil, Jakubech
Défenseurs : Ramet, Fonte, Yoro, Djalo, Alexsandro, Weah, Gudmundsson
Milieux : André, Martin, André Gomes, Baleba
Attaquants : Zhegrova, David, Virginius, Bamba, Bayo, Angel, Cabella
Les absents sont Ismaily (cuisse), Diakité (cuisse) et Ounas (reprise).
Bouanani il aurait mieux fait de rester a la maison plutot que de rejoindre le Plastic Club de Nice.
Ce tirage de maillot de Zedadka avec l'AJA
Le Portugais Tiago Leal travaille avec Paulo Fonseca depuis plus de huit ans.
Le Portugais de 37 ans sera sous les feux de la rampe avec la suspension de Paulo Fonseca. Epaulé par Jorge Maciel, il va diriger les Lillois à l’occasion de ce 116 e derby.
Ce n’est pas avec ses pieds que Tiago Leal a attiré l’attention de Paulo Fonseca, mais plutôt avec la qualité de son œil. Une vidéo va changer le cours de la vie du natif de Penafiel (Portugal), à l’été 2014. Influencé par les jeux vidéo comme « Football Manager », grand consommateur des schémas tactiques de José Mourinho et d’André Villas-Boas, il se fait remarquer lors de la Coupe du monde au Brésil. Il poste sur les réseaux sociaux son analyse de Portugal - États-Unis. Par accident, Fonseca tombe sur les images et valide toutes les conclusions. Un peu plus tard, il prend son téléphone pour convaincre Tiago Leal de le rejoindre à Paços de Ferreira.
Les deux hommes ne vont plus se quitter. Après le Nord du Portugal, ils prennent la direction du Shakhtar Donetsk en Ukraine puis de l’AS Roma. En Italie, Leal prend du galon en passant d’analyste vidéo à entraîneur adjoint. Une fonction qu’il occupe encore au LOSC depuis le 1 er juillet. « C’est l’adjoint numéro 1 du coach. Il prépare les séances vidéos, celles sur les coups de pied arrêtés. Il est très présent au niveau tactique. Il parle beaucoup avec tous les joueurs. Le coach s’appuie vraiment beaucoup sur lui. On a ce ressenti-là », a admis Benjamin André.
« PASSIONNÉ, INTELLIGENT... »
Homme exigeant, méticuleux, Tiago Leal est aussi un sanguin. On a pu s’en apercevoir lors des matchs amicaux lors de la préparation hivernale où il a beaucoup donné de la voix. En septembre, au stade Vélodrome, il exprime trop fort son mécontentement pour une faute non sifflée en amont d’un but de l’OM. La commission de discipline l’avait privé de banc de touche pour deux matchs. À Bollaert-Delelis, il sera bien aux commandes, épaulé par Jorge Maciel. « Tiago pense beaucoup à ce que nous devons améliorer. Il est passionné, intelligent et comprend toutes les situations de jeu de l’équipe, complète Paulo Fonseca. J’ai totalement confiance en tous mes assistants. » À eux de profiter de la lumière du derby.(VDN)
coach du jour
LUCAS CHEVALIER SE CONFIE AVANT LE DERBY DU NORD
A seulement 21 ans, Lucas Chevalier s’est imposé dans les buts du Losc et s’affirme comme l’un des meilleurs gardiens de Ligue 1. Avant d’aborder le derby face à Lens, samedi (17h) pour le compte de la 26e journée de Ligue 1, le natif de Calais s’est confié sur son parcours, ses racines dans le Nord, les conseils de Mike Maignan et l’équipe de France.
Lucas, tout va très vite pour vous. Vous êtes passé de la Ligue 2 avec Valenciennes à une place de titulaire au Losc en à peine un an et demi. Et vous semblez assumer totalement cette rapide ascension ?
À chaque début d’année, j’essaie de faire un bilan de la saison écoulée et c’est sûr qu’il y a eu une belle évolution, une assez belle progression… ça veut dire que j’avance et que je suis performant et que je fais des choses assez sympas sur le terrain. Je suis très content que cela se passe comme ça. Je n’aurais pas rêvé mieux. En plus ça a été très bien fait avec mon prêt à Valenciennes (la saison dernière) avec l’objectif de revenir à Lille, en tant que numéro un. J’ai attendu et j’ai eu ma chance à la septième journée (au Vélodrome face à Marseille). Ça va vite, mais maintenant qu’on y est, il n’y a pas le choix, il faut avancer.
En fin de saison dernière, les supporters de Lille voulaient que vous soyez titulaire dans le but dès le début de saison. Ça a été difficile à gérer?
Les supporters lillois avaient vu ma saison à Valenciennes. Il y a eu une demande de leur part pour que je joue avec le Losc. Moi aussi, je ne vais pas le cacher. Mais vis-à-vis de Léo Jardim qui était numéro un, ça me mettait un peu mal à l’aise parce que c’est lui qui jouait et qu’il y avait des chants à mon égard. Il fallait que je fasse profil bas par respect aussi, pour Léo, les coachs et les coéquipiers. J’ai essayé d’être le plus neutre possible, d’attendre, et j’ai bien bossé. C’est sûr que ça a rajouté une petite pression car au moment où j’ai commencé à Marseille il y avait une pression de premier match mais aussi de performance. Les supporters lillois m’attendaient comme un espoir. En fait, il fallait que je sois bon tout de suite pour que je leur donne raison. Ça s’est bien passé, j’en suis content et ça fait partie de l’histoire.
À ce poste, c’est une grosse pression pour un jeune joueur non ?
Oui, à ce moment-là, je n’avais que 20 ans. Ce n’était pas évident. Avec ma famille, j’essayais de rester dans ma bulle. Quand j’ai su que j’allais jouer contre Marseille, mon état d’esprit a changé et je me suis dit que je rentrais dans une nouvelle étape dans ma vie. J’ai dû gérer ça personnellement, avec mes proches et faire abstraction de tout ce qu’il y avait autour. Et malgré la défaite à Marseille (2-1), j’étais satisfait, et soulagé que ça se soit bien passé et que je puisse regarder vers l’avant.
Vous sentez qu’il y a une "hype" autour de vous au niveau des médias, mais aussi dans le milieu du football. Avec les retraites internationales d’Hugo Lloris et Steve Mandanda, on se dit qu’il y a peut-être de la place pour vous…
Je pense que je dois être le gardien le plus jeune de la Ligue 1 et qui, en plus, joue dans un club comme Lille, ça attire l’œil. Je crois en mes qualités, j’essaye d’aider l’équipe avec un coach qui demande des choses très particulières. Des choses qu’aucune équipe de Ligue 1 ne fait je pense (les relances au sol systématiques en partant du gardien, ndlr). C’est risqué mais c’est aussi être intelligent quand tu es jeune et que tu débutes. Tu dois respecter un plan jeu mais tu penses aussi à toi aussi, parce que tu commences. Il faut te mettre en confiance pour ensuite performer. J’ai dû avoir quelques matchs d’adaptation pour mettre en place le jeu que le coach demandait, et je le fais de mieux en mieux. Et oui il y a peut-être une petite "hype" mais après c’est le métier qui veut ça, c’est l’évolution, on ne peut pas passer à côté de ça et j’en suis ravi. C’est une "hype" positive. Peut-être qu’il y aura des "hype" négatives à un moment donné : la vie de footballeur, ce n’est pas que des hauts.
Il y en a un qui vous surveille de près, c’est Mike Maignan que vous avez connu au Losc. Il vous envoie toujours des messages depuis Milan?
J’ai souvent droit à des débriefs de sa part. Comme il était blessé dernièrement, il a eu le temps de regarder mes matchs. Après les rencontres, quand je rentre dans le vestiaire, j’ai droit à des messages. On peut débattre de ce que j’ai fait sur le terrain. Ce que j’ai bien fait et ce que j’ai mal fait. Les choses à améliorer et les choses que les gens ne voient même pas mais que nous pouvons rectifier. Des petits détails importants qui font la différence. On est souvent en contact.
Le rêve serait d’être avec Mike en équipe de France ?
C’est sûr que ça serait une superbe anecdote d’avoir commencé ici à Lille avec lui. Ça serait symbolique pour lui, pour moi, mais aussi pour les supporters et le club.
https://rmcsport.bfmtv.com/football/ligue-1/lille-la-rivalite-avec-lens-les-bleus-lucas-chevalier-se-confie-avant-le-derby-du-nord_AV-202303040149.html
La relance aux pieds, Mike Maignan qui fait analyste à distance, ...