Tout est dans le titre.
Devrions nous ?
L'illusion de l'échange par le textuel virtuel endort le lien. Un emploi maitrisé nous devons avoir. Ce qui me gène c'est aussi l'ancienneté de cette chose. Ne faisons pas dans le fétichisme.
Pertinent Ô combien, mais vois ce que cela nous permet de faire, réalise les choses concrètement, distance malgré nous par l'impératif de la vie limitant. Rapport semi-pixelisé par le reste de l'humanité qui s'ajoute à ce temps de distance physique.
Regarde ton bureau, mais regarde-le avec des yeux attentifs de curieux venus visiter une maison dont il ne connaît alors rien.
Il faut agir pour un mieux.
(à penser en intense profondeur et dans sa largeur, ou ne plus y penser et agir)
Supprime d'abord ton indolence !
4 jours après le rétablissement de Nitwitt, après sa sortie de coma inopiné, voilà qu'on se propose de supprimer sa raison d'être.
J'ai l'ouverture, toi qui me lie aussi, alors faisons, la base serait-ce la mise en place d'un environnement propice ?
J'y met mes convictions, puisqu'impatient de trouver en moi le moyen de décrocher d'une habitude à remodeler, l'action n'est pas une qualité ancestrale, soit trop physique et inapte à la prise de recul, soit trop mentale et inapte à l'émotif, les proportions, considérées, sont à peser, faisons et comptons nos erreurs, plutôt qu'observons sans erreurs, l'erreur est plus grande lorsqu'elle est absente, puisque ce cas témoigne de l'absence de potentialité d'erreur.
C'est dans l'intérêt de la vie que de pouvoir faire, bousculer les choses et prendre sa place.
Produisons pour se comprendre, se trouver, happons les disponibilités à bon escient, rasons les femmes à barbes et violons les chaumières (et vice versa), regardons Toy Story 3 en allemand et analysons l'aspect sexuel d'un paquet de mouchoir !
Je me suis permi !
Ficchhh. Tre. J'ai du coup laissé filer l'inspiration de l'instant.
Comme cette mécanique quantique qui permet les smartphones et tous ces écrans au fonctionnement instantané, la clé c'est l'envoi dans le labyrinthe des éventualités de non pas un élément qui cherche la sortie et sur lequel l'attention se porte mais de milliers d'éléments qui se superposent, le premier qui trouve fait se tracer le chemin à la sortie et ça va très vite.
Je suis capable d'une intervention en deçà de ce que je souhaite. J'y reviens d'ici peu. Et je vais relire tout ton textualisme.
Il fau
Fichtre ! J'ai miss-click
Je reprend alors :
Il faut agir pour un mieux, je me répète pour surligner cette phrase en ironisant sur ton souhait d'action dans le non-pixelisé alors même que tu ne prend pas le temps de justifier mieux que d'une manière en deça de ce que tu souhaite le fait de supprimer notre rapport à Curse
Et j'ajoute que l'intérêt de Curse, je le juge unique et irremplacable, ceci dit j'tentend bien que l'on puisse désirer une remise à sa place de la chose, oui à Curse parmi monts et merveilles, mais non à un Curse impérialiste qui limiterait un rapport d'une beauté et d'une portée intellectuelle sans pareille à quelques échanges d'URL soulignés en bleu sur lequel on clic et par lesquels on rit.
Pense à ce perroquet, qui prône au dessus de nous et regarde la sortie raisonnable, ce palier, carrefour de toutes les actions concrètes depuis mon futon, pense à ce perroquet qui dit "Tu parle,
Second miss-clic ! Tsah !
...pense à ce perroquet qui dit "Tu parle, tu parle, c'est tout ce que tu sais faire"
Je veux reconnaître son autorité qui met des claques à mes tentatives d'inaction, reconnaître une autorité, c'est ne jamais penser à remettre en ques
Soulé... J'aime pas que cela manque d'esthétisme
Je veux reconnaître son autorité qui met des claques à mes tentatives d'inaction, reconnaître une autorité, c'est ne jamais penser à remettre en question celle-ci sur son domaine d'attaque, le perroquet ne fait jamais rien, je ne peut pas le reprendre sur ce domaine, puisqu'il y est à zéro, il ne vaut rien de là haut sur son perchoir, mais je n'y pense pas, et je ne penche qu'à moi, pour moi.
Message difforme à causes de quelques découpages inopinés, entschuldigen sie bitte, j'espère que vous autres, chers lecteurs nombreux de ce forum, vous ne m'en voudrez pas pour ce quadruple poste
La question posée par le topic lui-même s'est évanoui par le temps... je ne lui ai jamais fait la place dans mes réflexions tant peser le pour et le contre ne s'avère pas nécessaire, pourtant c'est bien mon rôle à moi... je suis balance.
Alors, je le fais, mais objectivement, en citant sans me citer.
Wil9 a présenté Curse comme une chose néfaste, mais l'est t-elle en elle-même ou est t-elle simplement un support par lequel le néfaste devient possible ?
"The curse is a part of life itself."
Lu, dans une bande-annonce de Dark Souls II (oui, ci-gît un titre de jeu vidéo extrêmement banal)
Cependant, ils emploient ce mot (ironiquement sacré) à la manière d'un nom commun auquel ils imposent l'accompagnement d'un article indéfini.
Ce qui réduit à mot relatif aux autres celui qui a la carrure d'un terme absolu.
Mais la phrase n'en est pas moins forte, tirons ce celle-ci une conclusion juste !
Parcourons le meilleur des liens sans prendre pour excuse le monde très ancien de Curse, ébouriffé mais riche, qui cache quelques antiques vases brisés dans ses galeries poussiéreuses parfois envahis de fautes désormais trop visible.
Et si cures nous avait accompagné pendant 10 ans tout pile ?
Le 29 mars 2015 le message posté sur le forum fêtera ses dix ans, pourquoi ne pas considérer qu'ils nous accompagnerait dix ans ni moins ni plus ?
Je trouve cette idée amusante.
Idée signée Kouyo ? C'est tout comme, je suis gêné car oui, il nous accompagne, mais rien n'y est né comme il en est né depuis longtemps.
Un 29 Mars, c'est d'un drôle...
Avant de supprimer Curse, il faut déjà l'installer.
Oh oui, désolé de faire remonter ce sujet, désolé.
Mais Curse veut dire malédiction.
Ne sera t il pas l'heure dans des temps à venir de trouver un lieu de bénédiction plutôt que de malédiction ?
Je me pose honnêtement la question.
Pas de meilleur sens pour Curse, j'en avais fait la recherche.