Salut à tous.

Pour ceux qui ont fait de la place dans leur sac-à-dos ou ceux qui n'ont pas eut le temps de les lire, voici ce qu'ils disent plus bas. Il y a en a 10 en tout.

Notes griffonnée de Ronan :
Les ténèbres sont partout. Dîtes à Dorian qu’il avait raison. Qu’il me pardonne…
Ath… Athloxxia… Ma reine…

Journal ancien Volume I :
Journal I
Le mal qui ravage Aven ne ressemble à rien que je connaisse.
Je crois que la maladie s’est propagée par la modeste araignée praetox, une espèce que l’on trouve communément dans les catacombes abandonnées de la ville.
Mais je m’écarte de mon sujet. Je crois que le traitement nous a échappé jusqu’à présent car nous avons cherché un remède à une maladie alors qu’il s’agit d’un poison subtil.
Un antidote peut être développé. Tout ce qu’il nous faut, c’est une source de venin suffisamment puissant. Dist… [Le reste du document est endommagé par l’eau et indéchiffrable]

Journal ancien Volume II :
Journal II
Tout ce qu’il nous faut, c’est une source de venin suffisamment puissant. Distiller celui-ci à travers du cristal devrait faire l’affaire.
Ce qui est étrange, c’est qu’au cours de mes recherches, j’ai trouvé des mentions d’épidémies identiques auparavant.
Ces quelques vers trouvés dans l’un des textes médicaux que je lisais résonnent de façons prophétique : « Le ténébreux rêve et la couronne rêve avec lui. Le frémissement des ombres s’élèvera dans les cieux. Le cycle s’achèvera lorsque la prison sera en ruines et Unataca sous son joug. Le sommet montagneux est la Couronne de la vérité, le gardien vit pour nous protéger. Il traverse le cercle, esprit sacrifié, pour soigner les délaissés. »
Qui est ce Ténébreux ? Le texte d’où proviennent ces vers est attribué au peuple sauvage.
Je crains que la réponse ne se trouve en dehors des murs d’Aven et si tel est le cas, c’est là que je dois me rendre.

- Aldus, Historien de l’Académie

Journal ancien Volume III :
Journal III
Journal, premier jour.
J’ai décidé de tenir ce journal à jour pour rendre compte de mon voyage au-delà des murs d’Aven. L’Académie était ravie de se débarrasser de moi, je crois. Alors que je me préparais à quitter Aven, le Doyen est venu me voir. Nos promenades dans le bosquet des druides me manqueront. « J’ai une faveur à te demander, Aldus, dit-il. Les sanctuaires de la forêt perdent de leur pouvoir. Leur magie faiblit et je n’en connais pas la cause. » Je suis un homme de lettre, plus habile à déchiffrer un parchemin à la lueur de la bougie. Mais j’essayerai de découvrir ce qui se passe.
Le monde extérieur est vraiment immense. Je me demande si un poussin ressent la même chose lorsqu’il sort de sa coquille.
Aven était un espace confiné et comme la ville est située au sommet de la montagne, les nuages cachent le monde.
Ici, je n’ai plus l’impression de pouvoir toucher l’horizon en tendant la main. Je me sens… Libéré.
Mais… je viens d’entendre un bruit. Il ne faut pas que j’oublie que dans le monde extérieur, les oisillons se font dévorer par les serpents.

Journal ancien Volume IV :
Journal IV
Troisième jour.
Les sanctuaires étaient infestés de créatures répugnantes au nez en forme de museau… des Gorgroins, j’imagine.
Un chaman se tenait parmi elles. Ses yeux brillaient de tout éclat de sa magie ténébreuse. Je me suis caché ? Je n’étais pas de taille.
Il aspirait le pouvoir de nos sanctuaires, réduisant à néant nos anciennes runes ! Je ne pouvais rien faire pour les arrêter.
Puis un miracle est survenu ! Des hommes et des femmes habillés tout au plus de peaux et de haillons ont jailli des broussailles.
J’ai su immédiatement qu’il s’agissait des Parias dont parlent les légendes : des vagabonds sans foi ni loi qui parcourent les entendues sauvages, sans but, sans culture, sans civilisation.
On les appelle le peuple sauvage. Et ils étaient magnifiques dans leur splendeur de haillons. Les Gorgroins ont été pris complètement au dépourvu.
Etonnamment, les Parias se sont montrés très respectueux du site une fois la bataille terminée.
Ce soir, on entend d’étranges hululements au loin. Peut-être ces sauvages s’adonnent-ils à leurs rites primitifs ?
Si je prends contact avec eux, nous pourrons peut-être les éduquer grâce à la sagesse d’Aven !

Journal ancien Volume V :
Journal V
Sixième jour.
Hier, j’ai tué un lapin et j’en ai fait mon dîner. J’étais très fier de moi : c’était ma première prise en tant que chasseur.
Cependant, je crois que j’ai saccagé le pelage que j’espérais conserver.
Je ne suis pas un pisteur, et pourtant je vois partout des traces du peuple sauvage : les cendres d’un feu éteint, un tas de fumier enterré…
Je suis suivi, j’en suis sûr. Hier, j’ai aperçu de la fumée : sans doute des feux pour cuisiner.
C’était à plusieurs lieus de distance, et ce terrain accidenté ne permet pas une approche directe. A plusieurs reprises, j’ai dû contourner des obstacles.
Une fois, j’ai trouvé la carcasse d’un Gorgroin mort sur la piste.
Il était armé et avait été mis hors d’état de nuire par un coup derrière la nuque plutôt efficace.
Je ne sais pas qui ils sont, mais ils connaissent suffisamment les bois pour échapper à mes recherches, aussi maladroites soient-elles.
Je ne sais pas qui ils sont, mais ils m’ont peut-être sauvé la vie.

Journal ancien Volume VI :
Journal VI
Huitième jour.
Depuis deux heures maintenant, je vois sa silhouette vaciller entre la pénombre et la lumière du feu de camp.
Nous sommes assis l’un en face de l’autre, immobiles comme des statues, muets comme des tombes, ni l’un ni l’autre n’osant bouger…
J’étais arrivé à un pont qui semblait de facture humaine, au-dessus d’une rivière agitée, quand elle s’est postée devant moi et m’a bloqué le passage.
Elle dit s’appeler Tael et, avec son accent étrange, elle insiste pour que nous ne suivions pas cette route.
Quand je lui demande pourquoi, tout ce qu’elle peut répondre c’est “vrultok”. Je ne sais pas ce que cela signifie.
Ses yeux, qui brillent à la lueur du feu, sont calmes et bougent à peine. Je n’ose pas dormir.
Je suis persuadé que c’est elle qui m’a suivi ces derniers jours.
Une sauvage, ça ne fait pas de doute… Sa silhouette est enveloppée de peaux grossières et, même dans la pénombre, je peux voir la crasse sur son visage.
Je ne dois pas dormir. Elle pourrait me tuer…
C’est une Paria, une primitive.

Journal ancien Volume VII :
Journal VII
Onzième jour.
La petite sauvage rit de mes malheureuses tentatives de chasse. Quand elle sourit, on pourrait presque oublier ses cheveux ébouriffés et sa peau crasseuse.
Je me demande si mon jugement ne serait pas différent si elle était habillée et parfumée comme les demoiselles d’Aven…
Elle a réussi à attraper et elle a partagé la moitié de la viande avec moi.
J’ai essayé d’engager la conversation, mais mes discours sur les débordements de la seconde dynastie théranienne semblent l’ennuyer.
Comme nous avons sous-estimé le peuple sauvage ! Ce sont de bons artisans et ils possèdent même des connaissances médicinales que nous avons perdues à Aven.
Quand je lui ai parlé de l’araignée praetox et de la maladie qui décime Aven, elle m’a regardé avec dégoût. Elle m’a dit, mot pour mot :
« Vous autres, habitants des murs, vous avez oublié, n’est-ce pas ? Vous avez oublié votre devoir ? Et vous nous traitez de primitifs ? »
Elle s’est éloignée dans la nuit. J’espère qu’elle reviendra. Il commence à faire froid.

Journal ancien Volume VIII :
Journal VIII
Nous avons été faits prisonniers. Ils nous ont fait traverser le pont que j’avais trouvé quelque temps auparavant.
Ma dernière bougie vacille, je dois écrire vite.
Les Vrultoks nous ont capturés. Nous avons été traités cruellement, mais nous partageons la même cellule (maigre consolation).
Leur chef, un jeune illuminé qui se revendique nécromancien, a étudié attentivement mon journal.
Il se fait appeler l’Œil-du-Néant. Il parle de murmures dans sa tête. Quel est cet endroit maudit ?
Ce nécromancien possède un livre répugnant relié avec de la peau humaine. Il me demande d’en faire la traduction.
Cela me fait faire des rêves horribles, vraiment horribles.
Tael dit que les sauvages ne s’aventurent jamais de l’autre côté du pont et que nous sommes perdus.
J’essaye de l’empêcher de se laisser aller au désespoir, mais mon propre cœur est sombre et rempli de tristesse.
J’ai appris beaucoup dans le livre effrayant que le nécromancien étudie.
S’il apprenait toute la vérité contenue dans son livre, il ouvrirait la porte à quelque chose de plus terrible que ce qu’il imagine.

Pour ceux qui poseront la question, oui c'est du copier-coller !

Et en fait y en a plus de 10. Désolé. Les autres je les ai pas encore récupéré. Plus de PSP !!!

C'est sympa sa moi je les ai vendu j'avais la flemme de les lire. J'en suis au 15 dans le jeu et je suis niveau 28. J'adore ce jeu.