Si tu li est sur se forum ne poste pas sauf sur se topic,
je me suis approrpié se forum ou je note des penses bête...
merci
up
En conclusion si tu devais venir sur Terre un jour
Bienvenue...
Mais fais gaffe à la loi,
pas celle du plus fort mais celle du plus sournois
... La loi du plus riche qui achète ses combats
La loi du plus pourri qui truque ses résultats
La loi de celui qui écrit lui même la loi
La loi du plus cruel qui viens ronger ses proies
La loi de l'homme de loi qui parle pour toi
Qui édicte tes droits mais qui n'te demande pas
Ce que tu en pense toi
En somme, la loi du hors la loi
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:b
4859-3848-2834-4386-4534-3425-2345-3234-5666-7284-
5325-5434-2324
A Jamais les premiers - OM - Documentaire - YouTube
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Cristiano Ronaldo... a respectable person
Cristiano Ronaldo is a Portuguese footballer It is one of the best players in football, he was rewarded for his performences in 2008 optenant the Golden Ball, awarded to the best player of the year.
I like him because he always hard work and is the last to leave after training. He invests him at 100% in all his matches, which it translates some mood swings on the ground; a lot of people do not like it because of that, they saids it’s a bad person.
But, it’s a good guy, he gives lot of money to schools of Palestine, and other organizations who help the young poor children, after the December 2004 tsunami, the earthquake in Lorca 2011at, and tempest Madeira (his hometown) cristiano organized fundraising events to help the victims
He had a rough life, he comes from a poor family, or his father was an alcoholic and drug addict brother. As soon as he had the opportunity, Cristiano helped his family financially, he bought a house to his mother, his brother helped to get off drugs ... But his father always refused his help. In 2005, his father died of liver cancer, the dream of his father was that Cristiano to become the best player in the world, he succeeded in 2008 in getting the Ballon d’Or.
that's why I admire Cristiano Ronaldo for his incredible physical performance, but especially for his generosity and investment in all he does.
Doit-on apprendre à être soi-même ?
« On est comme on est », entend-on souvent. Et quoi de plus simple et de plus évident que de dire « je » ? Tout nous incite à penser que nous avons une idée fixe et que notre conscience nous est donnée dès le début de notre histoire. Doit-on apprendre à être soi-même ? C’est justement cette évidence que le sujet veut remettre en question et en effet, l’idée même d’apprendre à être soi-même est paradoxale. Il semble que l’on est soi-même sans le vouloir alors que l’apprentissage implique du temps de la patience et de l’initiative. Etre soi-même semble être un état, un point de départ, alors que l’apprentissage implique un résultat. Apprend-on à être soi-même comme on apprend un métier ? Faut-il penser que la conscience est une conquête ? N’est-ce pas un acte qui donne une conscience à notre existence ? L’idée de nécessité (doit-on) ne fait que renforcer l’idée que notre identité dépend d’un personnage.
Il serait judicieux, dans un premier temps, de voir si nous sommes nous-même dès la naissance. Dans un second temps, il faudra alors voir si nous sommes réellement toujours nous-mêmes. Nous verrons enfin si nous pouvons apprendre comment être nous-mêmes.
1 Ne sommes-nous pas déjà nous-même, dès le plus jeune âge, à l’âge ou l’on devient conscient ? Cela nous vient-il d’une manière innée, est-ce naturel ?
Tout d’abord, pour nous aider à visualiser et nous faire une opinion, nous pouvons rapprocher cette ‘’expression ‘’ : être soi-même, avec la personnalité. Car en effet être soi-même est une démarche personnelle, propre à chaque être, chaque individu, qui nous pousse à faire des choix, à penser, et à être différent des autres.
Mais alors, si nous suivons cette idée, c’est donc par l’hérédité que nous sommes nous-même. En effet, on peut voir qu’entre personnes de même famille, on retrouve des ressemblances de comportement, les mêmes ‘’reflexes’’ ou TIC/TOC, et les mêmes traits de caractère.
L’enfant commence à montrer sa personnalité, à devenir lui-même, quand il commence à dire « je », signe de conscience. Et c’est donc quand on devient conscient qu’on devient nous-même, l’enfant obtient une identité et devient indépendant. Ce qui montre également le fait de la différence dès le plus jeune âge au niveau de la personnalité, c’est que les enfants, à l’école/maternelle, ne sont pas tous les mêmes, ils ne pensent pas tous à la même chose, ne font pas les mêmes activités extra-scolaire… Même si ils se ressemblent sur certains points, ils ne sont pas tous identiques. En résumé, depuis le plus jeune âge, les humains sont tous différents, mais possèdent tout de même des points communs.
Mais finalement, n’y a-t-il pas des fois ou ne nous sommes pas nous même ? Sommes-nous toujours nous-même ? On ne parlera pas ici de ne pas se sentir soi-même ‘’physiquement’’, couramment décrite par l’expression « je ne me sens pas moi-même » quand nous sommes malades, ou quand nous avons une baisse de tension. Mais du fait de ne pas être totalement soi-même mentalement, de notre personnalité. Par exemple, quand nous avons des « pulsions », des montées d’adrénaline… nous sommes hors de nous, nous ne pouvons plus nous contrôler, bref nous ne sommes plus nous-mêmes, c’est l’inconscient qui prend le dessus sur la raison. Autre exemple peu très éloigné de cette idée, les maladies mentales comme la schizophrénie, entraine la personne atteinte à avoir plusieurs personnalités et donc à ne pas vraiment (toujours) être soi-même. Mais dans la vie de tous les jours, nous ne sommes pas toujours complétement nous-même, explication : Au sein de notre société, nous nous ressemblons tous sur certains points en rapport avec la mode, qui régit le look, les goûts musicaux… et même pour les goûts culinaires (ex : mode du piment d’Espelette…) sur ces points nous sommes un ensemble et non des unités, c’est impersonnel, et par conséquent pas nous-mêmes. Ce conformisme, nous pousse parfois à nous éloigner de nous-même, pour mieux se faire accepter par la société. Or nous ne pouvons pas être totalement impersonnel, comme des intelligences artificielles, tout humain reste, même complétement influencé, un minimum lui-même, il reste toujours une marque de nous-même quelque part.
Selon les points de vue également, nous pouvons ne pas être nous-même, c’est-à-dire que nous nous faisons peut être une image de nous-mêmes que nous ne sommes pas en réalité, nous pensons des fois être ce qu’on aimerait être, notre ‘’nous’’ idéale, notre personne perfectionnée, et le regard des autres nous renvoient une image différente, les gens perçoivent une autre image de nous que celle que l’on pense donner. C’est en quoi nous pouvons dire que nous ne nous connaissons donc pas toujours.
Il y a donc plusieurs façons de ne pas être nous-mêmes, mais ces faits qui nous sont tous communs ne nous empêchent pas globalement d’être nous-même.
2 Si nous ne sommes pas nous même depuis toujours alors comment le sommes-nous devenues ? Quels apprentissages sont nécessaires pour devenir soi-même ?
Tout d’abord, cet apprentissage ce fait par l’éducation, l’apport de culture, de règles, et les valeurs que nous apportent principalement les parents, par la famille plus généralement, et également par les professeurs qui nous forment pour devenir quelqu’un (éducation civique : apprend à être citoyen). On peut être également influencé par d’autres personnes, de simples rencontres, ou des expériences de vie qui peuvent modifier nos points de vue et nos pensées. Mais le fait d’apprendre est donc impersonnel, car quand on apprend quelque chose à quelqu’un on influence et on apporte de notre personnalité à cette personne.
On peut donc dire que notre personnalité est donc en partie due à l’influence d’une multitude de personnes et aussi de notre vécu. Pour démontrer cette idée que qu’être soi-même dépend du vécu et des rencontre, nous pouvons prendre l’exemple de vrai jumeaux, ce qui les différencient ce n’est pas le physique, ni l’éducation, mais les rencontres, les relations qu’ils ont avec d’autre personnes et leurs histoires. Ils sont très proche mais nous pouvons les différencier car ils ne pensent pas pareil, ne font pas les mêmes choix…
Et comme le dit Hegel, la conscience de soi on l’obtient en se positionnant sur des sujets et en pensant à soi-même, à se placer individuellement dans un ensemble, en étant inclus dans cet ensemble sans non plus y être compris. Le fait d’être soi-même n’est donc jamais totalement acquis, car on apprend et changent tout au long de notre vie, cet apprentissage est une influence d’un grand nombre de personnes et de faits marquant, qui font changer les avis.
3
4 C’est pourquoi on peut conclure qu’être soi-même n’est pas inné, mais nous n’apprenons pas non plus à être soi-même comme on apprendrait des cours, à conduire, ou tout autres apprentissages. On apprend à être soi-même en vivant, en faisant des rencontres, avec l’éducation et en ayant des expériences de vie, c’est pourquoi on ne s’arrête jamais d’évoluer et par conséquent d’apprendre à être soi-même.
Nietzsche, considérations inactuelles
Le texte que nous allons commenter est considérations inactuelles écrit par le philosophe Nietzsche.
Dans ce texte, Nietzsche aborde sa conception de l’idée du bonheur, l’auteur nous y explique dans ce texte les « conditions » du bonheur. Nietzsche se demande si l’oubli n’est pas nécessaire au bonheur, à l’action, et si, l’homme ne peut être victime d’un excès de mémoire. Il nous montre à travers ce texte que le bonheur suppose une certaine d’ « art de vivre ».
Nietzsche présente son texte en deux parti, avec une première partie qui relate de l’importance du bonheur, complémenté d’une seconde qui nous expose l’importance capitale de l’oublie dans le bonheur.
Nietzsche aborde son sujet en nous montrant qu’il est préférable d’avoir un bonheur qui dur dans le temps, qu’un bonheur instantané auquel nous ne pourrions, selon lui, réellement profiter. Il nous explique d’ailleurs par la suite qu’un bonheur passé, après un certain laps de temps, de plus si nous n’avons pas eu le temps de désirer ce bonheur, tombe dans l’oubli.
Ce qui peut parfois être une bonne chose avec un désir « douloureux » dont il nous parle dans la phrase qui suit. Ces désirs non accomplis qui nous font subir des « privations » et que nous n’arrivons pas à oublier, malgré notre envie qu’ils disparaissent. Celui même qui est capable de nous tracasser au quotidien, qu’on ne peut se sortir de la tête et qui nous ronge de l’intérieur. On définit trop souvent l’oubli comme une défaillance, comme un manque, une perte, un affaiblissement, mais cet exemple nous prouve justement l’inverse. Nietzsche va nous démontrer au contraire que l’oubli peut être une force, qui permet de nous libérer de souvenirs trop pesants.
Il nous montre ainsi qu’un Homme qui serait incapable pendant un temps, d’oublier tous ses douloureux souvenirs et pensées qui le hante, serait incapable de « faire le vide en soi », de vivre le présent et ne goûtera donc plus jamais au bonheur car il sera incapable de pouvoir en profiter pleinement. Il nous dit que cet être sera une personne totalement renfermé sur elle-même, et fermé au monde, « elle ne cherchera plus à donner du bonheur aux autres » car elle n’en aura plus elle-même. L’oubli est nécessaire à l’affirmation de soi, il est un ingrédient du bonheur, il sert à pouvoir vivre pleinement sa vie.
L’auteur oppose alors deux images: celle de l’homme du présent « debout et victorieux » qui est sans crainte et qui affirme sa propre existence, qui a su oublier et l’autre celle de l’homme qui « voit en toute chose un devenir » où tout est mouvant, qui serait incapable d’oublier et qui se laisserait ainsi submerger par l’histoire et qui finalement perdrait pied, et ne pourrait plus agir.
L’auteur cherche ensuite un exemple dit « extrême » pour confirmer ces propos. Il réutilise le même mot d’« Incapable » pour souligner le fait de ne pouvoir se séparer de ses souvenirs et « de rien oublier » pour montrer que cette attitude est néfaste pour nous même. Il ne faut pas être prisonnier du passé. Cela nous fait perdre notre confiance en nous. Il faut prendre du recul sur ses souvenirs pour se libérer de sa mémoire.
Mais attention à ne pas faire d’amalgames, Nietzsche ne dit pas qu’il faut tout oublier, mais qu’il faut savoir mettre certaines choses de côté à certains moments précis pour pouvoir laisser place à quelque chose de nouveau. L’Homme a besoin de vécu pour pouvoir se guider et se raccrocher à son passé dans certains cas. Nietzsche parle plutôt d’une limite ; l’Homme a besoin du passé pour construire un présent. Il dénonce une hypertrophie de la mémoire qui empêche la culture de se tourner vers l’avenir
La vie passe parfois par le besoin de refouler certains désirs qui provoquent de la souffrance pour laisser place à de nouveaux moments de bonheurs qui nous permettent simplement de pouvoirs vivre.
Nietzsche dans ce texte nous pousse à vivre pleinement le moment présent, et à nous détacher de nos souvenirs sans les oubliés définitivement, car ils peuvent être à la fois notre force et notre faiblesse.
Il nous démontre que l’oubli n’est pas une simple ignorance mais est utile pour la liberté d’action et de création, par quoi nous pouvons répondre présent au présent, pour découvrir les beautés de la vie.