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Sujet : Jumelles comme dans RE4?

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Dark-04 Dark-04
MP
Niveau 2
10 mars 2005 à 11:45:55

Je m’appelle Steven, je suis célibataire, mon histoire commence de façon très banale, j’ai une collègue de travail, Sophie, une superbe femme brune, la trentaine, 1m75, souvent habillée de façon très sexy mais jamais vulgaire ( jupe, talons haut, bas noirs…..), avec qui je devenu ami. De temps en temps on va discuter devant un café après le travail, on parle de tout et de rien, on refait le monde, on parle de nos vies, de nos envies, de nos fantasmes………et c’est là que mon histoire allai basculer,. Lors d’une conversation parmi tant d’autres je lui ai parlé de mes fantasmes de soumission, de mes désirs de servir une femme……elle a été surprise puis amusée d’apprendre çà, d’autant que dans la société je suis chef d’équipe et que cela contraste donc avec l’image qu’elle avait pus se faire de moi, mais comme on a pris l’habitude de parler de tout sans tabou la conversation à continuée sur d’autres sujets et une demi heure plus tard nous sommes rentrés chacun chez nous.

Le vendredi suivant, après la journée de travail Sophie m’a proposé de passer boire un verre chez elle pour marquer le début de mes congés. On est en février et mes dernières vacances remontaient à l’été, j’allais profiter de ce repos tant attendu…….enfin je croyais me reposer. Tout a été très vite, je suis arrivé chez elle, elle m’a servi un verre, nous avons discuté un peu puis au bout de quelques minutes, j’ai été pris d’un coup de barre, je me suis levé pour prendre congé de Sophie quand je suis tombé à ses pieds, mes jambes incapables de me porter, rapidement je me suis mis à ne presque plus sentir mes muscles……..paniqué j’allais demander l’aide de Sophie quand je l’ai vu rire de ce qui m’arrivais……..je ne comprenais pas, au moment ou j’ai voulu parlé, elle m’a dit ;
- Ne t’inquiète pas, ce n’est que passager, dans quelques heures çà ira mieux, tu n’imagines pas tous les effets différents que l’on peut obtenir avec des drogues, je trouvais celui là plutôt sympa, te mettre à ma merci en te gardant conscient………
- Comment çà ? balbutiais-je
- Tu ne te souvient pas l’autre jour quand tu m’as parlé de tes fantasmes, me dit elle ?
- Non…..enfin……..pas trop………
On discutait de tellement de choses que je n’avais pas prêté plus attention à ce passage que s’il s’était agit de parler du temps qu’il faisait ce jour là.
- Je vais te rafraîchir la mémoire, tu désirais servir une femme, te soumettre à elle………..
- Euh oui………
- Eh bien je vais t’exaucer, enfin ce n’est pas vraiment moi, tu verras tout à l’heure, j’ai une surprise pour toi.
Sur ce, elle m’a mis un bâillon sur la bouche, en me disant :
- Ne t’inquiète pas, je t’ai organisé des vacances comme tu n’en a jamais eu, elle vont être inoubliables, 2 semaines de pur bonheur.

Puis elle s’est servi un autre verre, s’est confortablement assise dans son fauteuil pour le déguster tout en me regardant de façon amusée en regardant sa montre de temps en temps. J’essayais de bouger mais je n’arrivais même pas à soulever un bras, le simple fait de remuer mes doigts me demandait des efforts incroyables, je ne sentais plus mes membres. Ce qui m’arrivais et le peu de choses qu’elle m’avait dites me trottaient dans la tête, et l’inquiétude grandissait en moi petit à petit. Après de longues minutes, j’entendis une voiture s’arrêter devant la maison, puis quelqu’un sonna à la porte. Sophie se leva pour aller ouvrir la porte, elle avait vraiment des jambes magnifique et de ma position j’avais tout le loisir de les voir, je dis bien de les voir car cela ne procurait chez moi aucune sensation, sûrement les effets de la drogue, ajouter à cela le stress qui montait en moi, je n’ai pas vraiment pris le temps et le plaisir de contempler ses pieds et ses jambes magnifiques. La porte s’ouvrit, j’étais le visage contre le sol, je ne voyais pas qui était là. Sophie dit :
- Bonjour les filles, pile à l’heure, le colis est prêt, je vous attendais
Puis une douce voix de féminine qui m’était inconnue répondit :
- Bonsoir Sophie, je suis heureuse de te voir depuis le temps, nous sommes impatientes de voir notre colis

« les filles….. », « nous…..», « notre…..», je sentais la pression monter, combien étaient elles, qui étaient elles, qu’allait il se passer, je ne comprenais rien. J’entendais le cliquetis des talons aiguille sur le sol et rapidement je me suis retrouvé face à trois superbes paires de chaussures noires, talons haut, l’une à brides, l’autre des bottines et les mules de Sophie, puis essayant de lever les yeux, je vis deux superbes jumelles bondes, l’une habillée d’un long magnifique manteau de fourrure blanc et sa sœur d’une non moins magnifique et aussi longue fourrure noire sur laquelle ruisselait leurs chevelures d’or, dans d’autres circonstances j’aurais pus me croire au paradis. Elles étaient à peu près de la même taille que Sophie, les yeux d’un bleu dans lequel j’aurais bien voulu essayer de me noyer si l’une des deux sœurs ne m’avais pas mis sa bottine sur la tête pour me plaquer le visage contre le tapis en disant :
- Eh bien, c’est nous que tu regardes comme çà, en voilà des façons.
- Ne t’inquiète pas, lui dit sa sœur, avec un petit dressage on va apprendre à cette chose à rester à sa place.
- « Cette chose ? » demanda Sophie, qu’entends tu par là Angélique demanda t elle à l’une des deux jumelle
- Eh bien oui, comment veux tu le nommer, même le paillasson sur lequel je me suis essuyé les semelles en arrivant mérite plus d’égard, n’est-ce pas Aurélie ?
- Mais c’est évident lui répondit sa sœur, je lui fait déjà l’honneur de poser ma botte sur sa tête malgré son impertinence, dans 15 jours il me sera reconnaissant pour mon geste, ma bonté me perdra.
- C’est ta nature, tu es comme çà, on ne te changera plus dit Angélique, ce n’est pas comme « paillasson »
- « Paillasson » ? dit Sophie
- Oui je sais que c’est encore trop bien pour cet homme mais çà ira.
- C’est sur dit Sophie, mais on cause on cause, laissez moi vous débarrasser de vos fourrures les filles, vous allez bien prendre un café avant de reprendre la route avec votre… paillasson…..
Ce sur quoi elle se mirent à rire toutes les trois. Aurélie enleva sa botte de ma tête, il était temps, la position était très inconfortable et m’empêchait de respirer. Pendant que Sophie ramenait le café Angélique demanda à sa sœur :
- bon, on déballe notre colis soeurette ?
- Oh oui, oh oui, je veux voir de plus près notre paillasson, allons-y
Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient mais aussitôt elles passèrent à l’acte et là j’ai vite compris, pantalon, chemise, chaussettes, je me suis retrouvé sur le dos en slip en une minute, trop faible pour faire quoi que ce soit, la peur laissa la place à la honte quand je vit Sophie revenir de la cuisine. Elle me regarda et fut prise d’un fou rire en me voyant comme çà, elle dit :
- Eh bien, je ne te croyais pas aussi grassouillet Stev….euh paillasson
Et toutes les 3 sont parties dans un nouveau fou rire, la honte continuait de monter en moi
- Tu arrive juste au bon moment Sophie, il nous reste le meilleur à déballer dit Angélique
qui dans la foulée m’enleva mon slip laissant découvrir un sexe minuscule, je n’étais déjà pas très gâté par la nature mais l’effet de la drogue n’arrangeait rien et toutes les trois sont reparties dans un long fou rire. Je suis en train de vivre la honte de ma vie étais je en train de penser, je ne savais pas ce que me réservais le futur……….
- Eh bien j’en découvre vraiment un peu plus tous les jours sur toi paillasson dit Sophie qui prenait un malin plaisir à m’appeler comme çà
Apres quelques instants Angélique me mis un bandeau sur les yeux, m’attacha les mains dans le dos et me lia les chevilles :
- Bon voilà une bonne chose de faite, on a bien mérité notre petit café dit-elle
- Venez, c’est prêt dit Sophie. Eh bien les filles, çà fait bien longtemps que je n’avais pas ris comme çà, quelle soirée. Quelle est la suite du programme pour votre paillasson ?
- On va l’emmener chez nous où on lui réserve tout un tas de surprise répondit Aurélie, dressage en bon et due forme, tu n’auras qu’a venir, je te garantie de bon moments en perspective.
- Je suis en vacance dans une semaine, je viendrais passer quelques jours chez vous
- Parfait, çà nous laisse le temps de te préparer ton paillasson dit Angélique, tu va adorer le résultat
- « Mon » paillasson ? dit Sophie
- Eh bien oui, on va s’amuser pendant 15 jours, mais après ce serais dommage de gâcher tout le travail, autant que quelqu’un profite d’autant que ton paillasson va revenir marqué à vie de son expérience répondit Angélique
- De toute façon quand tu te seras servi de ton paillasson chez nous tu auras du mal à t’en passer par la suite tu verras dit Aurélie
- C’est à mon tour d’être impatiente alors dit Sophie
- Bien, on n’est pas mal avec toi mais on a pas mal de route à faire alors on va mettre notre paillasson dans le coffre de la voiture et rentrer
- Bien sur les filles, reculez la voiture jusqu´à la porte d’entrée, je vais vous aider
Après avoir été trainé jusqu´à la porte d’entree par Sophie et une des jumelles, elles se sont mise à trois pour me mettre dans le coffre de la voiture sans ménagement, elle faisaient vite pour ne pas être vues et vu mon poids elles s’y sont reprise à plusieurs fois pour me mettre dans le coffre. J’avais froid, j’avais mal partout, je me sentait faible, honteux, humilié……….puis la voiture s’est mise à rouler pendant un très long moment qui m’a semblé une éternité

Vous voyez que ça parle de JUMELLES! :rire2:

Dark-04 Dark-04
MP
Niveau 2
11 mars 2005 à 09:49:02

Pendant le trajet, j’ai retrouvé une partie de mes forces mais avec le froid, le peu de place dont je disposais et les bleus que j’ai pris dans la soirée je ne peux pas vraiment dire que les choses commençaient à aller mieux, qu’est ce que je faisait là, où m’emmenaient elles, qu’allaient elles faire…..tout çà pour une banale discussion, je regrettais déjà, pourtant çà ne faisait que commencer. La voiture venait enfin de s’arrêter, combien de temps avons-nous roulé ? 3h00, 5h00,….impossible de le dire, j’avais perdu la notion du temps, j’étais fatigué, perdu…….Les jumelles sont descendue de la voiture puis……plus rien, que se passait-il ? Tout un tas d’idées me sont passées dans la tête, j’essayais de me rassurer mais le froid, la douleur, la fatigue me rappelait à la réalité…….puis le coffre s’est ouvert, un vent glacé m’a parcouru le corps qui se remplit de frissons en un instant, les jumelles se mirent à rire, s’amusant de la situation tout en en rajoutant une couche sur la petite taille de mon sexe. L’une d’elle m’enleva mes liens aux chevilles puis me demanda fermement de sortir de la voiture, ce que je n’ai bien sûre pas pus faire. La réaction ne s’est pas faite attendre, une main ganté de velours me mis une paire de baffes magistrale, mais la douceur du toucher laissa immédiatement place à la chaleur de la douleur. Au même moment, une paire de mains elles aussi gantées de velours m’attrapaient les jambes et me les mis hors du coffres, puis les jumelles m’attrapèrent à deux et me firent sortir sans ménagement de ma prison. J’ai à peine eu le temps de profiter de la douceur de leurs fourrures contre ma peau qu’un froid intense me glaça les pieds mais ce n’était rien, après tout ce qui s’était passé mes jambes étaient incapables de me porter et je me suis étalé de tout mon long sur la neige, si je n’avais pas eu mon bâillon je suis sûre qu’il aurait été possible d’entendre mon cris plusieurs kilomètres à la ronde……et comme à l’habitude, les jumelles se sont mises à rire de la situation……puis elles m’ont soulevé et m’on traîné comme elles pouvaient dans la maison tout en me jurant de me faire payer les efforts que je les obligeais à faire. A peine passé le seuil de la porte elles m’ont jeté au sol et m’ont rué de coups de pied :
- Qu’est –ce que tu croyais, dit Angélique, on va te faire passer l’envie de te faire aider, goûte un peu de ce talon
- Oui, répondit Aurélie, il ne faudrait pas oublier que tu es là pour nous servir et pas l’inverse
- On va t’apprendre à te tenir à ta place, ne t’inquiète pas, çà va rentrer rapidement……..enfin il vaut mieux pour toi
- Allez debout maintenant si tu ne tiens pas à recevoir une autre volée

Je ne sais pas où j’ai pus trouver les ressources mais je me suis mis à genoux tant bien que mal puis au prix d’incroyables efforts j’ai enfin pus me lever. A
chaque pas je craignait que mes jambes me lâchent, les filles me tenais les épaules pour me diriger puis Angélique dit :
- Arrête là paillasson ! !! J’ouvre le placard à balais, c’est là-dedans qu’on va te ranger quand on n’aura pas besoin de toi
- Quelle chance tu as, ce sera un vrai palace, on est vraiment trop bonnes avec toi
- On a une surprise pour toi, dit Angélique, on t’as acheté de nouveaux « habits », çà va t’aller à ravir
Sur ce elle m’attrape le sexe fermement mais avec la douceur de son gant de velours et l’enferme aussitôt dans une cage de chasteté, me met quelques
anneaux à la base des couilles ce qui à pour effet de les laisser en évidence, à la merci du moindre coup de pied bien place. Dans le même temps, Aurélie me met aux pieds une paire d’escarpins munis de talons d’une dizaine de centimètres. Clic, clic, clic, clic, cage, anneaux, escarpins, j’entends le bruit des cadenas se refermer sur mon sexe et à mes chevilles. Puis Angélique me fait rentrer dans le placard à balais :
- met toi dos contre le mur et écarte les jambes que je puisse te mettre ces menottes
Une fois fait, Aurélie me détache les mains puis chacune m’attrape un poignet pour aussitôt le menotter au mur. En un instant je me retrouve les bras et les
jambes écartés, solidement menottés, menottes elles même solidement rivetés dans le mur, déjà les talons haut commence à me faire mal mais je peux à peine bouger. Pour finir, Angélique me passe deux ceintures de cuir, elles aussi solidement rivetées, me plaquant la tête et le corps contre le mur et dit :
- Voilà une bonne chose de faite, je suis fatiguée, on va se coucher Aurélie ?
- Oui, quelle soirée, je suis éreintée. En ce qui te concerne, paillasson, profite de ta nuit pour méditer sur ta future condition et essaie à l’occasion de dormir,
les prochains jours vont être difficiles pour toi. J’ai un dernier cadeaux pour toi avant de te laisser.
Et là elle me balance un énorme coup de pied dans mes couilles offertes et ferme la porte à clef. Et toutes les deux s’en vont rigolant, me laissant seul avec ma douleur, à la limite de l’évanouissement, la nuit va être dure et longue pour moi………

Dark-04 Dark-04
MP
Niveau 2
13 mars 2005 à 00:03:02

……..le bruit de la clef dans la serrure me réveille, alors que je crois sortir d’un rêve, mes liens me ramènent aussitôt à la réalité, j’ai le corps endolori et malgré la situation et ce qui s’est passé la veille, je sens une érection arriver, elle est vite gênée par la cage, je l’avais oubliée, puis je ressent des picotements autour de mon sexe qui deviennent de plus en plus douloureux au fur et a mesure que mon sexe grossit, j’ai beau essayer de me maîtriser, impossible, je ne peux pas bouger, juste subir, je ne comprends pas d’où vient la douleur. La porte s’ouvre :
- Ah,ah,ah,ah….regarde Aurélie, notre carpette à une érection, à le voir essayer de se tortiller et à l’entendre gémir, je vois que les pointes à l’intérieur de la cage font leur effet
- Hi,hi,hi,hi….ce serai dommage de le déranger, allons prendre tranquillement notre petit déjeuner, nous avons tout le temps de nous occuper de lui, rien ne presse
- Profite de ce doux moment, la journée qui t’attends va être dure, me dit Angélique tout en me caressant les couilles, ce me qui provoque immédiatement une montée d’érection………et une douleur
Et refermant la porte du placard elles partent en rigolant. Au bout d’un moment, j’arrive à calmer mon érection, sûrement plus à cause de la douleur que grâce à ma volonté puis le temps passe, de longue minutes, j’ai perdu la notion du temps. Vu la forte odeur de poussière qui règne autour de moi, je dois réellement être dans un placard à balais. Le bâillon que j’ai sur la bouche m’oblige à surtout respirer par le nez, l’odeur est très forte.
J’entends des bruits de talons aiguille sur le carrelage, la porte s’ouvre de nouveau:
- Un bon petit déjeuner, voilà qui fait du bien n’est-ce pas ? , me dit Angélique tout en m’enlevant mon bandeau. La lumière est aveuglante mais rapidement je
Commence à apercevoir les jumelles qui sont face à moi. Elles sont superbes mais d’une beauté terrifiante vu la situation.

Profite bien de ce moment, on ne te laissera pas le loisir d’admirer notre beauté gratuitement comme çà, dit Aurélie, et ne t’inquiète pas, si tu as faim ou soif
On ne va pas te laisser mourir ici, tu dois être en pleine forme pour nous servir…..mais tu vas devoir patienter un peu
- Oui, dit à son tour Angélique pendant qu’elle m’enlevait mon bâillon, on va tout d’abord te dicter les quelques petites règles de base de cette maison, règles que nous complèterons au fur et a mesure de ton séjour ici
Une fois ma bouche libre, j’ai voulu commencer à parler
- Mais…….
Aussitôt Angélique me met une grande gifle : - Première leçon, tu ne parles que si on t’y autorise ! !!
- Je…....
Une deuxième gifle me tombe dessus immédiatement, puis une troisième,4,5,6,7,8 :
- Cette fois je pense que tu as compris dis Angélique.
Je n’ose plus rien dire
- Bon, la règle dominante : On a tous les droits, tu n’en a aucun ! !! Notre seul devoir envers toi sera de te maintenir en bonne santé. Compris ?
Je ne dis rien, une nouvelle gifle :
- Réponds quand je te le demande dit Angélique ! !!!!
- J’ai compris
Encore une gifle. Aurélie prend la parole
- D’une part, interdiction pour toi de parler à la première personne, tu n’es que notre paillasson, d’autre part tu réponds « Oui »
- Oui………..et deux autres gifles tombent
- Oui Princesse Angélique, je vais t’apprendre les bonnes manières me dit Angélique, il vaut mieux pour toi que çà rentre rapidement
- Oui Princesse Angélique
- Autre chose dit Aurélie, tu porteras en permanence tes nouveaux habits,à savoir tes escarpins et ta cage mais cette cage à deux trois particularités. Comme tu t’en est aperçu l’intérieur est recouvert de pointes qui te rappelleront à l’ordre à chaque fois que ce sera nécessaire. Ensuite ce n’est pas la peine d’essayer de casser ou couper tes cadenas où ta cage, c’est un alliage hyper résistant. Et le meilleur pour la fin, il ne s’agit pas d’une simple cage, elle est beaucoup plus sophistiqué qu’elle n’en à l’ai, regarde ce boîtier, si j’appuie sur ce bouton comme çà…….
Une vive décharge me transperce alors le sexe, je me mords la lèvre de peur d’une représaille si je cris
- Ce n’était qu’un aperçu, reprends Aurélie. A chaque fois que nous aurons besoin de toi, une petite décharge te le fera savoir, si nous devons te punir, la décharge sera plus longue. Sache également, que notre maison est isolée, le premier village est à 25 km d’ici, si tu essaie de te sauver à plus de 500mètres de la maison, une décharge permanente se déclenchera automatiquement, idem si tu essaie de retirer ta cage, dès le début de ta tentative une bonne décharge t’empêchera d’aller plus loin dans ta tentative.
- Pour toi, reprends Angélique, je serais Princesse Angélique et ma sœur Princesse Aurélie, ne te trompe pas dans nos prénoms si tu ne veux pas recevoir de punition, compris ?
- Oui Princesse Angélique dis-je fébrilement
- Voilà qui est mieux. Pour nous présenter rapidement, nous sommes deux sœurs jumelles orphelines depuis l’âge de 18 ans, heureusement, dans notre malheur, nous avons hérité de nos parents d’une énorme somme d’argent qui nous permet de vivre comme les princesses que nous sommes et de nous consacrer à notre passion, le dressage des hommes, ce qui t’amène ici suite à notre petite discussion avec Sophie. Tu vas donc avoir le privilège de passer tes vacances en notre compagnie, période pendant laquelle tu apprendra à rester à ta place comme la carpette que tu es pour que nous puissions te rendre à Sophie parfaitement formé……..et sache que c’est toute ta vie qui va être transformée, lorsque tu nous quitteras, si nous apprenons que tu dévie de ta nouvelle condition, on te fera un petit stage de remise à niveau, mais je ne m’inquiète pas trop, rares sont ceux que nous devons rééduquer une fois sorti de chez nous.
- On va te faire visiter les lieux, dit Aurélie, mais tu porteras ce collier avec des menottes et cette barre aux chevilles te gardera les jambes écartées pour te limiter l’envie de te sauver. De toute façon, si tu essaie, tu sais ce qui t’attend n’est-ce pas ?
- Oui Princesse Aurélie
A peine détaché de mon mur, je me retrouve donc de nouveau limité dans mes mouvement. De plus les escarpins me font très mal aux pieds et rendent ma démarche très difficile. Sortant de mon placard, je découvrais une immense maison. Face à nous se tiens un très grand escalier couvert de moquette qui se séparait en deux a mis hauteur pour se diriger vers différentes pièces.
- Pour commencer, dit Angélique, un petit passage en cuisine pour que tu puisse te désaltérer un peu, par ici, c’est tout droit
Arrivés dans la pièce, là encore plutôt grande par rapport à l’idée que je pouvais me faire d’une cuisine, Angélique prend un grand bol dans un placard, le remplis d’eau et le pose à terre. Comment voulait elle que je boive, je reste immobile sans savoir quoi faire.
- Eh bien ! !!!!!! A genoux ! !!!!!
Je m’exécute tant bien que mal , manque de perdre l’équilibre et au moment ou je me penche pour commencer à boire, une décharge électrique me transperce le sexe
- Nous ne t’avons pas autorisé à boire que je sache ! !!!!! Seulement à te mettre à genoux ! !!!!!! cria Angélique
- Tu dois d’abord nous remercier en nous baisant dix fois chacune les pieds, à chaque fois que nous aurons la bonté de te permettre de faire quelque chose, tu te soumettra à ce rituel
Je m’exécute donc tant bien que mal, et arrivant près des jumelles je commence à me baisser pour embrasser les superbes mules roses d’Angélique, de nouveau il me prend un début d’érection, ce qui a pour effet immédiat de me compresser le sexe dans sa cage suivi immédiatement d’une douleur et me fait perdre l’équilibre. Je tombe la face en avant, me cognant violemment le front contre le carrelage mais je me reprends aussitôt et m’exécute, craignant des représailles si je ne me soumet pas à leur volonté rapidement. Regardant la scène amusée, Aurélie dit :
- Eh bien soeurette, il y a encore beaucoup de chemin pour en faire quelque chose, je pense que l’on va beaucoup s’amuser
Après avoir déposé mes dix baisers sur les pieds D’angélique, je m’approche d’Aurélie qui se lève et part à l’autre bout de la pièce :
- On va corser un peu la difficulté, dit-elle, mes pieds se méritent.
Je vais donc jusqu’à elle en me déplaçant à genoux aussi vite que possible, j’ai très soif, je veux en finir au plus vite. Pendant le trajet, elle ne manque pas de se moquer de moi, de mon côté grassouillet qui ne facilite pas mon déplacement, de mon petit sexe qui se balance de droite à gauche, ……J’arrive enfin à hauteur de ses mules noires et dépose mes dix baisers à ses pieds et je me remet à genoux, regardant le sol et attendant l’autorisation d’aller boire.
- Cà s’améliore dit Angélique, tu peux me remercier et aller boire
- Merci Princesse Angélique, dis je
Aussitôt un courant électrique me parcours le sexe, la douleur dure quelques secondes, je m’étale à terre
- Imbécile, je suis Aurélie ! !!!!!, dit-elle
Je ne comprenais plus, j’avais repéré qui était qui grâce aux mules, je ne m’étais pas trompé quand je me suis dit qu’elles allaient être sadiques au point de jouer de leur ressemblance parfaite pour avoir le plaisir de me punir, je n’allait pas m’en sortir, quelque soit le prénom que je choisirais il ne sera bon que si elles le décide………quel enfer…….. : « - Mer…ci…..Prin….cesse….Aurélie, dis-je en me remettant à genoux
- Va boire maintenant, on a beaucoup à faire après ! !!!!!!!»
De nouveau je me déplace dans cette position très humiliante jusqu’au bol que je bois comme je peux, faisant quelques éclaboussures sur le sol. Une fois fini, je commence à me relever……..nouvelle décharge électrique……….
- Tu ne vas pas laisser le sol comme çà ! !!!!!!!!!! dit Angélique, Lèche ! !!!!!!!!!! »
Je ne cherche pas à comprendre et lèche le sol, chacune de mes actions devient prétexte à humiliations, brimades, moqueries, punitions……..et pourtant je suis pris par moment d’érections douloureuse. Qu’est-ce qui m’attends encore ? Comment est-ce que je vais me sortir de là ?

Mad--Mat Mad--Mat
MP
Niveau 7
24 mars 2005 à 12:06:27

:lol: tellement rien a voir avec RE MDRRRRRRR

dwarfpower dwarfpower
MP
Niveau 7
27 mars 2005 à 23:21:11

ben alors ? c kan la suite ? ??
mdrr

sog_birmania sog_birmania
MP
Niveau 1
11 avril 2005 à 21:11:23

hé voila:

Bien, dit Angélique, poursuivons la visite. Debout ! !! Par ici ! !!
Nous entrons dans une nouvelle pièce séparée en deux, d’un coté une grande salle à manger meublée en chêne, de l’autre un salon aussi grand avec de superbes fauteuils en cuir, un canapé assorti posé sur un grand tapis persan
- C’est ici que nous prendrons nos repas me dit Aurélie, ne t’inquiète pas tu n’auras pas à faire la cuisine, nous ne mangeons que des plats de grands traiteurs, ton travail sera de faire le service…….et attention, nous sommes très exigeantes
- Nous adorons aussi nous détendre dans notre salons, surenchérit Angélique, en nous faisant masser ou lécher les pieds, nous allons passer de bonnes soirées en perspective n’est-ce pas?
- Oui Princesse Angélique
- Continuons, par ici c’est notre bureau
Il à peu près de la même taille que le salon, un superbe bureau en chêne derrière lequel se trouvent deux magnifiques fauteuils dignes des plus grands directeurs. Tout autour de la pièce une grande bibliothèque remplie de livres, dossiers et bibelots sûrement d’une très grande valeur. Comme dans chacune des pièces visitées à présent sont placés aux murs des toiles de maîtres.
- Maintenant, poursuis Angélique, passons à l’étage.
Arrivés devant l’escalier, elle me demande de me mettre à genoux pour grimper à l’étage. Je suis presque content de sa proposition, les talons aiguille me font très mal aux pieds. Cependant, au fur et à mesure que nous montons les marches, mes genoux me font de plus en plus mal et finalement je regrette rapidement de ne pas me tenir debout. Une fois arrivés Aurélie m’ordonne de me remettre debout :
- Par ici, nous allons commencer par notre chambre.
Alors qu’Angélique ouvre la porte, elle m’ordonne
- A genoux ! !!!!
La chambre est magnifique, un grand lit à baldaquins est placé au fond de la pièce, de grande portes noires de chaque côté de la pièce me laisse imaginer d’immenses armoires remplies d’habits et de chaussures, une épaisse moquette me permet enfin de me reposer un peu
- A chaque fois que tu pénètreras ici tu te mettras à genoux, ce lieu sera pour toi comme un sanctuaire, tu le vénéreras. Si tu es obéissant et que nous somme contentes de toi, peut être auras tu le privilège de passer la nuit attaché sur notre descente de lit.
- Maintenant, la salle de bain. Tu vas en profiter pour prendre une douche, je t’accorde 15 minutes pendant que Aurélie et moi nous changeons, pas question de te sauver et pas question de prendre une minute de plus sinon…….
Une brève décharge me fait tout de suite comprendre ce que je risque. Angélique m’enlève mes divers liens, mais me laisse le sexe emprisonné :
- Cela ne t’empêchera pas de te laver, et pas d’inquiétude, le système est étanche. Fait vite, il ne te reste que 13 minutes.
La porte se referme, je reste un instant immobile, goûtant ce moment de liberté puis rapidement je reprends mes esprits et passe à la douche……..cela me fait énormément de bien, un tel moment de bien être que le temps passe très vite. Je me rend compte que je suis là depuis un petit moment, je me dépêche alors de fermer l’eau et au moment où je met le pieds hors de la cabine, un choc électrique met fait perdre l’équilibre, je tombe au sol sur le tapis de douche et la douleur continue, je me retiens de crier , j’ai le réflexe de me tenir les parties mais le courant électrique me rappelle à l’ordre, 10 secondes, la douleur est toujours là, je me tortille au sol dans tous les sens, 20 secondes, j’attrape la serviette de toilette et mords dedans pour ne pas laisser échapper de cris, 30 secondes, la porte s’ouvre, les jumelles entrent tranquillement et me regardent ainsi au sol, 40 secondes,50 secondes….enfin çà s’arrête, j’en ai le souffle coupé, je me tiens enfin les parties, j’ai très mal, Angélique m’ordonne alors de me relever et de m’essuyer rapidement, je m’exécute tant bien que mal. A peine finie elle me dit :
- Allez, à genoux ! !!!! Tu vas nous baiser les pieds dix fois pour nous remercier ce moment de liberté, dix fois pour t’excuser de ne pas avoir respecté les délais et dix fois encore pour notre plaisir
Pendant ma punition je continue à me tenir les parties douloureuses, les jumelles s’en donnent à cœur joie :
- Hmmm, ce paillasson est très appliqué tu ne trouve pas Angélique ?
- Oui, enfin quelque chose qu’il fait de bien, il était temps mais on a encore beaucoup à lui apprendre.
- Bon maintenant, remet tes escarpins et la barre d’écartement et suis nous.
J’obéis rapidement, on arrive devant une nouvelle porte fermée à clef, Angélique ouvre la porte et immédiatement je suis pris d’un frisson, la pièce est capitonnée, recouverte de velours bordeaux. J’ai l’impression de me trouver dans une chambre de torture, je parcours des yeux cette pièce, elle est remplie de fouets, de cravaches, de godes, de cages de différentes tailles, des anneaux sont disposés un peu partout au sol, au plafond et sur les murs, il y a plusieurs tables sûrement destinées à me torturer, il y a des tas d’objets dont je n’imagine pas à quoi ils peuvent servir………
- C’est notre salle d’apprentissage et de jeu me lance Aurélie, nous allons passer de longs moments ensemble ici, mais ne t’impatiente pas, on va y revenir tout à l’heure
- Oui, continue Angélique, pour l’instant on va juste prendre quelques petites choses avant de finir la visite. Tout d’abord, je vais te passer ceci
Elle me met les mains dans le dos et m’enfile un harnais m’obligeant à garder les bras serrés, d’autant plus serrés qu’Angélique tire sur le lacet, ce qui m’oblige à me tenir cambré. Pendant ce temps, Aurélie me place un bâillon boule dans la bouche. Une fois fait, Angélique repasse devant moi, je me tiens toujours à genoux, les jambes écartées, elle me regarde pendant de longues secondes avec un grand sourire sur les lèvres. Je me demande ce qu’elle à en tête, mais hélas ma curiosité est rapidement satisfaite, elle me met une grande gifle et aussitôt après me met un grand coup de pied dans les couilles. Je m’écroule au sol encore une fois alors qu’elle rigole avec sa sœur, la boule m’empêche de crier et il ne sort qu’un râle de ma bouche :
- Excellent, presque pas de bruit, tu veux essayer à ton tour Aurélie ?
- Mais bien sûre. Allez ! !! A genoux ! !!
Je me lève avec difficulté, malgré les fines mules qu’Angélique avait à ses pieds, elle n’a pas retenu son coup et j’ai senti le coup passer. Je ferme les yeux et avec angoisse j’attends le second coup de pied. Je suis tendu. Le coup se fait attendre. Et au moment où je commence à me relâcher son pied vient heurter mes couilles encore douloureuses, j’ai l’impression que la puissance des coups s’est additionnée, je m’écroule de nouveau alors que les deux sœurs s’amusent une nouvelle fois de la scène. Je reste plié au sol plusieurs minutes, pendant ce temps les sœurs s’affairent de leur côté. Enfin elles reviennent près de moi, Angélique m’ordonne de me remettre debout. Une fois fait, elle accroche à un des anneaux qui maintiennent mes couilles en évidence quatre petites chaînes d’une vingtaine de centimètres, chacune finies par un poids de 250 grammes, une fois lâchés les poids se balancent et à chaque fois qu’ils s’entrechoquent me tirent sur les parties :
- Ne t’inquiète pas, rigole Angélique, ce n’est que pour commencer, le temps de t’habituer, on augmentera le poids les prochains jours. Bon, maintenant redescendons
- Avance ! !!! m’ordonne Aurélie qui me donne en même temps un coup de cravache sur les fesses.
Je commence à avancer, les poids se balancent de nouveau et me tirent sur les testicules. Le mouvement s’amplifie quand je commence à descendre l’escalier et à chaque marche un petit chaos en rajoute à la douleur. Les sœurs m’amènent face à la porte d’entrée :
- Arrête ! !! m’ordonne Aurélie
Elles ouvrent une porte à côté de mon placard à balai, il s’agit d’un vestiaire, une petite pièce dans laquelle elles entrent à deux sans soucis. Plusieurs étagères sont remplies de dizaines de paires de chaussures ( escarpins, bottes, bottines, mules…..), à de long porte manteaux sont accrochés des tas de vestes et manteaux de fourrure. Angélique choisi une superbe paire de cuissardes qui lui arrive a mis cuisse, elle passe une écharpe de vison, met un bonnet et enfile un long manteau en vison eux aussi. Aurélie chausse une paire de cuissardes identiques mais choisi un bonnet et un manteau de lynx. J’ai l’esprit partagé entre le mal que me font mes couilles et ce que me préparent encore les jumelles. Une fois habillées, elle ouvrent la porte d’entrée et d’un coup de cravache me font sortir de la maison. Le sol est recouvert de neige, il ne fait que quelques degrés, un énorme frisson parcours mon corps quasiment nu:
- Eh bien Aurélie, nous avons bien fait de nous habiller chaudement
- Oh oui, il fait plutôt froid ce matin, répond elle avec un grand sourire.
- Le temps de faire le tour de la maison et on rentre.
Encore quelques coups de cravaches sur les fesses, les sœurs me font faire le tour de la maison pendant d’interminables minutes. Cette maison est immense, sous la neige, je devine une grande allée de graviers autour de la maison, devant la maison se dessine une grande allée qui se perd à travers les arbres. Derrière je devine une immense pelouse. Un mur de béton de près de trois mètres de haut se dresse de chaque coté de la maison et j’imagine qu’il se prolonge au-delà des arbre qui se trouvent à l’avant et l’arrière de la maison. Une vraie forteresse. J’avance avec du mal, partagé entre diverses douleurs : les escarpins me font très mal aux pieds, les poids me tirent sur les couilles et la cravache me pique les fesse et partout le froid. Pendant la « promenade » les sœurs se lovent chaudement dans leur manteaux, plaisantant sur la température et le temps, mon sexe, mon poids, ma nudité, se moquant de moi à chaque occasion ( quand je trébuche, frissonne, laisse échapper un cri étouffé par la boule…….). Cela me semble interminable………

Deadstar54 Deadstar54
MP
Niveau 1
15 avril 2005 à 21:07:00

mais que s´est il passé ensuite? ça tourne porno? MDRRRR

dwarfpower dwarfpower
MP
Niveau 7
19 avril 2005 à 18:20:20

ten met du temps a écrir la suite ! !

Weapon-Master Weapon-Master
MP
Niveau 1
15 mai 2005 à 01:06:59

En effet, alors que tout le monde s’avance dans le salon, Angélique m’ordonne de venir me mettre à genoux face au canapé. Je m’exécute et m’installe face aux cinq femmes. D’un coup de pied dans mes couilles encore douloureuses du traitement de tout à l’heure, Angélique m’ordonne de baisser le regard :
- Pour qui te prends tu ? Décidément il y a encore du travail avec toi
- Mais ne t’inquiète pas, reprend Aurélie, on en a maté des plus durs que toi
Je me relève tant bien que mal, reprends position à genoux et baisse la tête. Le peu de temps que j’ai pus voir les invitées me laisse en mémoire une image idilique. Elles sont magnifiques, plus belles les unes que les autres. Elles n’ont même pas réagit à ce qui vient de se passer, et prennent l’apéritif sans même s’occuper de moi une seule fois. Je prend le temps d’admirer discrètement leur pieds chaussés d’escarpins noirs pour deux d’entres elles et de bottines rouges pour la troisième. Le temps passe, le sentiment de honte et de gêne que j’ai pus ressentir la au début de ma venue dans cette maison n’est plus très présent et je fini presque par être frustré de ne pas faire l’objet d’une quelconque attention même si je sais que cela sera forcément humiliant pour moi. Finalement mon attention se porte sur ces magnifiques pieds et le gode en action dans mon anus, l’effet fini par être plutôt agréable quoique douloureux par moment. Enfin elles se décident à passer à table :
- File t’allonger sous la table ! !!! , m’ordonne Angélique. Nous allons manger, bien entendu tu es privé de repas comme prévu ! !!!
Je me met en position sous la table. Les filles prennent place autour et allongent confortablement leurs pieds sur moi. Tout au long du repas elles s’amusent à l’aide de leurs talons haut à me torturer le corps. L’une d’elle à ses chaussures posées sur ma figure, elle enfonce ses talons dans mes joues, de temps en temps fait mine de vouloir me crever les yeux ou me percer les oreilles, ce qui n’est pas fait pour me rassurer. Pendant ce temps, deux autres paires de talons de chaque côté de mon torse me triture près des seins faisant rejaillir la douleur causée par les pinces. Elles s’amusent également de temps en temps à poser leur talons sur ma gorge. Là encore je m’inquiète lorsque de temps en temps un talon bien placé me coupe la respiration, ou que la pression se fait si forte que j’ai l’impression qu’elles vont me transpercer la gorge. Enfin les deux dernières s’en donnent à cœur joie avec mes couilles, les écrasant, les pressant, laissant tomber lourdement leurs pieds dessus……et en me torturant les cuisses. Le repas prend longtemps, près de deux heures, je suis partagé un sentiment de bonheur de servir enfin à quelque chose, un sentiment plutôt fugace de honte en songeant à la situation et en pensant à ce que j’étais il y a encore une semaine et des douleurs sur tout le corps causés par ces cinq paires de talons hauts, les pinces à seins et le gode que je fini par trouver de plus en plus désagréable après plus de trois heures à vibrer et à bouger dans mon anus. Une fois le repas fini les femmes décident d’aller se promener autour de la maison. Angélique m’enlève le bâillon afin que je baise les pieds et remercie chacune d’entre elles pour le moment passé. Puis elle me bâillonne de nouveau avant de m’ordonner d’aller les attendre dans le hall d’accueil. Je les attends un quart d’heure ainsi. Elles arrivent, enfilent toutes les cinq leur manteau de fourrure tous plus épais et plus longs les uns que les autres. Une fois chaudement vêtues Aurélie ouvre la porte, je suis toujours à moitié nu, l’air entrant me glace le corps, Angélique m’attrape fermement par les couilles et me tire à l’extérieur de la maison. Avec les talons hauts et les jambes toujours écartées je manque de tomber des marches. Angélique me compresse les couilles et tire de plus en plus fort dessus, je suis obligé de suivre. Une fois en bas, elle attache une laisse à l’un des annaux à la base de mes couilles et m’oblige à les suivre à 3 ou 4 mètres derrière, toujours les yeux baissés. Elles prennent tout leur temps, discutent encore de choses et d’autres avec leurs amies qui ne prêtent toujours pas plus attention à moi. Il fait encore froid aujourd’hui, j’apprécie énormément les moments ou j’arrive à capter un peu de la chaleur de ce magnifique soleil hivernal. Après une bonne petite promenade nous retournons vers l’entrée de la maison, enfin ce froid mordant va cesser. Quand tout d’un coup Angélique s’arrête et m’ordonne de me mettre à genoux dans la neige. Je sais qu’il est inutile d’essayer de refuser :
- Tu croyais peut être que la punition pour l’épisode de ce matin était finie ?
Et sur ce elle m’envoie sa botte dans les couilles, je m’écroule de douleur dans la neige qui me transperce tout le corps. Et dans la foulée, Aurélie commence à me donner des coups de pied dans le corps. Les trois amies se mettent aussi de la partie. Les coups pleuvent de partout, de temps en temps elles posent leurs chaussures sur ma tête, m’obligeant à garder la figure dans la neige durant de longues secondes. Elles s’amusent également à donner des coups de pieds dans la neige autour de moi pour me l’envoyer sur le corps. La sensation de douleur est très étrange, à la fois augmentée et atténuée par le froid. La séance dure près de 10 minutes qui me semblent 1h00. Après çà elles restent autour de moi, me regardant presque agonisant. Elles se lovent chaudement dans leurs fourrures et s’amusent du spectacle. Après de longues minutes allongé dans la neige, Angélique reprends la laisse en main, tire fermement dessus, m’obligeant à la suivre à genoux. Arrivé près de la maison, elle prend la laisse et l’attache à un anneau fixé dans le mur. Je suis obligé de rester à genoux, l’anneaux étant placé assez bas pour que je ne puisse pas me relever mais pas assez haut pour que je puisse me coucher, quoique la neige ne m’en donne pas tellement envie.
- Bien, dit Angélique, nous allons rentrer nous réchauffer autour d’un bon café, pendant ce temps là tu va réfléchir à toute cette journée et te mettre en tête une bonne fois pour toute que tu n’es qu’un paillasson qui n’a aucun droit et tous les devoirs envers tes déesses.
- Nous faisons de toi ce que nous voulons, dit Aurélie, c’est désormais ta vie.
- Bien les filles, reprends Angélique, je pense que nous avons bien mérité de rentrer nous mettre au chaud.
Et elles partent toutes cinq ma laissant là. A la position inconfortable, il faut ajouter le froid de la neige et les cailloux sous cette neige qui me rentrent dans la peau. Et toujours ce gode entre mes fesses qui lentement vibre et remue dans mon corps et des décharges électriques dans mes couilles toutes les 30 secondes qui m’empêchent de trouver la moindre position un temps soi peu confortable. Après près d’une heure, Angélique revient me détacher :
- Tu vas rentrer, aller te doucher rapidement et venir dans le hall d’entrée ! !! Exécution ! !!!
Une fois fait je reviens dans le hall, Angélique m’attache les mains dans le dos et me passe des menottes aux chevilles. Les chaussures avec lesquelles sont allé se promener les femmes sont devant moi :
- Tu vas me nettoyer avec ta langue toute la neige et la saleté sur ces chaussures et au sol. Tu as une demi-heure, ne traîne pas.
J’obéis, je lèche consciencieusement le sol, les chaussures de ces dames dessus et dessous en prenant soins qu’il ne reste pas la moindre saleté. Bien sûre j’avale tout ce que je lèche, cela constituera mon seul « repas « de la journée.. Une décharge dans les couilles toutes les minutes me permet de calculer le temps. Au bout d’une demi-heure, Angélique revient pour constater le travail effectué. J’ai correctement aligné les cinq paires de chaussures, elle prend les siennes et celles d’Aurélie pour les ranger dans le placard. Nous allons ensuite dans le salon ou les quatre femmes sont installées. Angélique prend place parmi elles.
- Tu vas nous baiser les pieds et nous remercier pour ce que nous avons fait pour toi, m’ordonne Aurélie. Tu fera cela pour chacune d’entre nous cinq et recommenceras dix fois de suite. Et ne traîne pas ! !!!
Encore une fois j’obéis en gardant les yeux baissés. Une fois fait, Angélique me pointe la malle du doigt, je me dirige vers elle, je sais ou je vais encore passer ma nuit. Elle enlève le gode d’entre mes fesses, je ressent un énorme soulagement, elle remplace les batteries et le place dans la malle à l’endroit ou je placerais ma tête, un gode encore un peu plus gros m’attend à l’arrière de la malle. Je m’approche de la malle, il y a un tas de chaînes déposées tout au fond. Je m’installe, bien sûre la position déjà inconfortable est encore pire avec ces chaînes :
- Tu ne croyais quand même pas que ta punition prendrais fin avant la fin de la journée, me lance Angélique
- Jusqu’à demain matin tu resteras là, reprend Aurélie.
- Ah et au fait, tu recevras une décharge de 10 secondes dans tes petites couilles toutes les 5 minutes et je te fais un petit cadeau avant de refermer.
Elle me recouvre le corps d’une poudre et referme aussitôt le couvercle. Au bout de quelques secondes, je commence à ressentir des démangeaisons dans tout mon corps sans pouvoir y faire quoique ce soit, je comprends rapidement à quoi sert cette poudre. A l’extérieur, je perçois divers gémissements étouffés par le coffre qui me laissent à penser que ces amies sont plutôt très, très intimes. Cela dure quelques temps puis les femmes décident de finir leur soirée à l’extérieur et quittent la maison, me laissant dans ma malle pour les longues heures à venir, tout mon corps me démange, me fait mal……..Plus jamais je n’insulterais une femme……..

dwarfpower dwarfpower
MP
Niveau 7
31 mai 2005 à 21:23:56

c´est nul

__lagrogne____ __lagrogne____
MP
Niveau 10
04 mars 2019 à 12:53:29

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1493759881-udqifg.png

XyloDissident XyloDissident
MP
Niveau 10
01 juillet 2019 à 15:30:29

Mais qu'est ce que c'est cette merde https://image.noelshack.com/fichiers/2018/05/6/1517631716-1499953864-chat.png

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