deshim a ta dernière rime j´accorde mon respect
j´espère que tu t´es réveiller!
je crains d´avoir a te laisser
rdv demain si le topic n´a pas couler

vive les

vers!
verre!!
vert!!!

Je fais d´arkaell mon héros,
Mais honte à Deshim
L´un d´eux vole bien haut
L´autre au ras des cimes...

re salut Deshim,
de retour je suis
carl4 bravo pour tes rimes.
et encore une fois: vive la poésie!

on fait ce qu´on peut
faut avoir le doigt heureux

(HS : pour ne pas dire plume heureuse )

Allez, un petit poème de ma création
Pour les boulets, quittez donc!

Par trois fois j´ai fait la guerre
Par trois fois j´ai vécu l´enfer
Toutes ces fois j´ai espéré
Et n´ai jamais gagné

Par trois fois j´ai été déçu
Et, par les armes, vaincu
Il n´y aura pas de quatrième fois
Après tous ces échecs, j´ai perdu la foi
Et aussi la raison, selon un homme en blanc

Je ne suis plus rien, j´ai tout donné
Comble de désespoir, j´ai tout perdu
Je n´irai jamais plus à la bataille
Cette fois, ma volonté est sans faille

Pour ceux qui préféreraient la prose :

Avez-vous remarqué
Comment deux choses semblant contraires
peuvent être aussi étroitement reliés?

Ainsi, le rouge représente
Aussi bien la passion de l´amour
Que l´horreur de la guerre.

Le noir réflète
Autant le mal de vivre
Que le crépuscule étoilé

Le génie est bien souvent
Annonciateur de folie

Et un puissant amour
Porteur de vie et d´espoir
Peut aisément mener à la mort.

(Ces poèmes sont biens mieux en couleur
mais ce forum ne me le permet pas, quel malheur

chez carl4 comme chez arkaell,
un talent de poésie se révèle.
y a t il une explication?
d´ou tirez vous l´inspiration?

Du chant d´un oiseau
d´un paysage vivant
s´extirpent ces mots
Au son si plaisant.

Tu me vois désolé Carl
que seuls les mots sombres
graves, tristes, qui parlent
de vie, de vide, d´ombres
viennent à tes doigts
comme à la plume d´un roi
d´un poète, d´un artiste
dont le regard est bas et triste.

Ma muse, de tes mots tirée
n´est que le présent des mes pensées.

J´avais un deuxième poème sur la guerre
Je l´aimait bien, mais je l´ai perdu
Ainsi il est retourné à la terre
et, pour ainsi dire, disparu.

Quelques oeuvres supprimées
par le temps oubliées
de même que le sombre poème
qui me vint à l´esprit-même
l´année passée sous ma plume
furent tracées des mots de douleur
et comme mon père rentre plein d´amertume
je vous conterais la suite tout à l´heure
bonne nuit les gens
âme de poètes sanglants.

ton père nous prive de bien des plaisirs
de voir ta plume devant nous s´épanouir...

bonne nuit également
et a bientot surement!

Voici un poème Ô combien joyeux
Que je n´ai pas écrit, bon dieu...

J´ai marchée si lontemps pour attenindre mon but;
Marchant à travers ce fleuve repu;
Je bois l,eau de ta mer, m´aspergeant de lumière;
Bohémienne, marchant pied nu dans ta fertile terre.

J´ai la force du volcan en éruption;
Le pouvoir méprisant du vent de la passion;
Je métrise habilement les quatres éléments sacrés;
Je vit seulement dans le but de voyager, de t´aimer.

Bohémienne, danssant sensuellement sur ta musique chaleureuse;
Me baignant dans tes yeux comme dans l´eau qui se fait heureuse;
J´ai la chaleur du désert baigné par le soleil;
Bohémienne, femme des septs plus belles merveilles.

J´ai la colère du typhon naissant dans la nature;
J´ai l´arogance de vouloir vivre au delà de ton armure;
Car dans mon pays natal, la peau est le plus beau des vêtements;
Je suis la déesse qui pour toi éprouve ces tendres sentiments.

J´ai la tendresse de la lionne si rebelle;
La beauté de la jeune fille encore pucelle;
Bohémienne, voulant faire de ton lit un champs de bataille;
Voulant faire de ton destin, une vie de chamaille.

J´ai la froideur pesante de ce pénible hiver;
La lueur magnétique de la nuit si claire;
J´ai la douceur et le bon gout du miel;
Bohémienne, moi pauvre et amoureuse jouvencelle.

Bohémienne, je transporte avec moi ce rituel d´amour étrange;
M´éloignant après l´amour avec mes yeux d´ange;
Je vit pur le bonheur des hommes dans tout les pays où je vais;
Maintenant en amour avec moi, détrompe toi, tu ne me reveras jamais.

Bohémienne, par Nephy

, Je viens de me réveiller
Avec un peu de retard sur arky certes
Un nouveau jour vient de se lever
Et moi de sortir de mes couvertes

Si tu me vois ici
lisant ces poèmes
c´est que malade je suis
mon corps rendu blême
mon âme rendu aigre
périssant d´une larme
coulant frêle et maigre
blessant telle une arme.

Tu m´en vois attristé
Prends soin de toi!
bon, je dois y aller
Et me tenir coi...

runescape, c´est le meilleur jeu au monde
et qui n´est pas nauséabonde
et dire qu´on aime ce jeu
qui est plein de noeuds
c´est trop facile...
un topic inutile.
en tout cas je pense
que ne seront pas immenses
les réponses à ce sujet
qui va bientôt couler.
Qu´en pensent les autres
(sans être mes apôtres)?
Les avis commencent,
ce topic aura je pense
hélàs une courte vie
jusqu´au passage de Zwi.
ouh la, cest difficile
quand je dois retrouver un chat
qui n´est pas utile
et qui et qui est las, las, las
En fait tu es malin,
par contre tes vers
sont, sans blâme aucun,
sérieusement à refaire...
et toi aussi tu es malin
comme mon chien
de nintendog
qui n´a rien a voir avec les "log"
ce que l´on écrit ici,
c une rap battle version poésie
lol! mais tu es la bienvenue,
ATFnath dans ce topic
que tu as lu
et ressemble a un alambic
mais je dis n´importe quoi
comme les petits pois!
mort de rire!
à Couto je veux dire:
la poésie est si belle
qu´on mérite de parler d´elle
sans créer de topic vide
dont le sujet est de tuer
en un carmenicide
les vers de toute beauté...
à Deshim j´ajoute
que sans l´ombre d´un doute
les nintendog ne sauraient
créer des vers de qualité...
meme avis qu´arkael,
sur les nintendogs.
et puis la rime n´est pas belle,
avec les logs
Vois tu Couto par cette remarque futile
ce que j´appelle un Carmenicide...
Ces derniers vers de Deshim
sonnent pour moi comme un crime...
mais si les chiens savent charmer
alors nintendogs l´est capable
en hiver comme en été
que l´on soit ou non devant une table
ces paroles sans sens s´arqueboutent tel un arc
dont la flèche, ces mots, me transperce.
Deshim tes dernières remarques
en mon corps comme en mon âme traverse...
traverse comme mon couteau
dans ma tomme de savoie
que j´aime autant que l´eau
et les petits pois
Voilà un meutre de beauté
pour tes vers un thème
est requis avant de poster
tes vieux mots blêmes...
Et dire que la poésie continue
comme la roue de la monotonie
qui tourne presqu´à l´infini
comme les romans non lus
Sur ce messieurs
je vais me doucher
et puissent les cieux
m´accorder un sommeil léger
arkaell a raison!
et l´on voit a tes rimes
qu´en poésie tu n´est pas bon,
alors réfléchit aux texte avant de parler!
deshim a ta dernière rime j´accorde mon respect
j´espère que tu t´es réveiller!
je crains d´avoir a te laisser
rdv demain si le topic n´a pas couler
vive les
vers!
verre!!
vert!!!
Je fais d´arkaell mon héros,
Mais honte à Deshim
L´un d´eux vole bien haut
L´autre au ras des cimes...
re salut Deshim,
de retour je suis
carl4 bravo pour tes rimes.
et encore une fois: vive la poésie!
on fait ce qu´on peut
faut avoir le doigt heureux
Allez, un petit poème de ma création
Pour les boulets, quittez donc!

Par trois fois j´ai fait la guerre
Par trois fois j´ai vécu l´enfer
Toutes ces fois j´ai espéré
Et n´ai jamais gagné

Par trois fois j´ai été déçu
Et, par les armes, vaincu
Il n´y aura pas de quatrième fois
Après tous ces échecs, j´ai perdu la foi
Et aussi la raison, selon un homme en blanc

Je ne suis plus rien, j´ai tout donné
Comble de désespoir, j´ai tout perdu
Je n´irai jamais plus à la bataille
Cette fois, ma volonté est sans faille

Pour ceux qui préféreraient la prose :

Avez-vous remarqué
Comment deux choses semblant contraires
peuvent être aussi étroitement reliés?

Ainsi, le rouge représente
Aussi bien la passion de l´amour
Que l´horreur de la guerre.

Le noir réflète
Autant le mal de vivre
Que le crépuscule étoilé

Le génie est bien souvent
Annonciateur de folie

Et un puissant amour
Porteur de vie et d´espoir
Peut aisément mener à la mort.

(Ces poèmes sont biens mieux en couleur
mais ce forum ne me le permet pas, quel malheur

chez carl4 comme chez arkaell,
un talent de poésie se révèle.
y a t il une explication?
d´ou tirez vous l´inspiration?
Du chant d´un oiseau
d´un paysage vivant
s´extirpent ces mots
Au son si plaisant.
Tu me vois désolé Carl
que seuls les mots sombres
graves, tristes, qui parlent
de vie, de vide, d´ombres
viennent à tes doigts
comme à la plume d´un roi
d´un poète, d´un artiste
dont le regard est bas et triste.
Ma muse, de tes mots tirée
n´est que le présent des mes pensées.
J´avais un deuxième poème sur la guerre
Je l´aimait bien, mais je l´ai perdu
Ainsi il est retourné à la terre
et, pour ainsi dire, disparu.
Quelques oeuvres supprimées
par le temps oubliées
de même que le sombre poème
qui me vint à l´esprit-même
l´année passée sous ma plume
furent tracées des mots de douleur
et comme mon père rentre plein d´amertume
je vous conterais la suite tout à l´heure
bonne nuit les gens
âme de poètes sanglants.
ton père nous prive de bien des plaisirs
de voir ta plume devant nous s´épanouir...
bonne nuit également
et a bientot surement!

Voici un poème Ô combien joyeux
Que je n´ai pas écrit, bon dieu...

J´ai marchée si lontemps pour attenindre mon but;
Marchant à travers ce fleuve repu;
Je bois l,eau de ta mer, m´aspergeant de lumière;
Bohémienne, marchant pied nu dans ta fertile terre.

J´ai la force du volcan en éruption;
Le pouvoir méprisant du vent de la passion;
Je métrise habilement les quatres éléments sacrés;
Je vit seulement dans le but de voyager, de t´aimer.

Bohémienne, danssant sensuellement sur ta musique chaleureuse;
Me baignant dans tes yeux comme dans l´eau qui se fait heureuse;
J´ai la chaleur du désert baigné par le soleil;
Bohémienne, femme des septs plus belles merveilles.

J´ai la colère du typhon naissant dans la nature;
J´ai l´arogance de vouloir vivre au delà de ton armure;
Car dans mon pays natal, la peau est le plus beau des vêtements;
Je suis la déesse qui pour toi éprouve ces tendres sentiments.

J´ai la tendresse de la lionne si rebelle;
La beauté de la jeune fille encore pucelle;
Bohémienne, voulant faire de ton lit un champs de bataille;
Voulant faire de ton destin, une vie de chamaille.

J´ai la froideur pesante de ce pénible hiver;
La lueur magnétique de la nuit si claire;
J´ai la douceur et le bon gout du miel;
Bohémienne, moi pauvre et amoureuse jouvencelle.

Bohémienne, je transporte avec moi ce rituel d´amour étrange;
M´éloignant après l´amour avec mes yeux d´ange;
Je vit pur le bonheur des hommes dans tout les pays où je vais;
Maintenant en amour avec moi, détrompe toi, tu ne me reveras jamais.

Bohémienne, par Nephy
, Je viens de me réveiller
Avec un peu de retard sur arky certes
Un nouveau jour vient de se lever
Et moi de sortir de mes couvertes

Si tu me vois ici
lisant ces poèmes
c´est que malade je suis
mon corps rendu blême
mon âme rendu aigre
périssant d´une larme
coulant frêle et maigre
blessant telle une arme.

Tu m´en vois attristé
Prends soin de toi!
bon, je dois y aller
Et me tenir coi...

Et dire que la poésie galope
comme un étalon
qui est au top
et qui adore les pmpons

J´ai remarquer que j´avais pas encore poster,
Malgré que la poesie soit en moé !

Quelle belle idee de topic ??
Si vous n´aimez pas rimer,
Aller faire un pique nique,
Ainsi vous arreteriez de nous fatiguer ...

J´ai remarquer que beaucoups aimais sa,
Mais mon poeme se fini la ...