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Sujet : V.A.P(Un Vampire A Poudlard) [HS]

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Cyn-A-Pse Cyn-A-Pse
MP
Niveau 6
14 août 2006 à 18:27:27

Voilà mes manhunters, je suis en train d´écrire une fan-fiction harry potter, étant donné que j´ai plusieurs lecteurs ici, j´aimerais vous faire partager mon travail, c´est simple je posterais un message=un chapitre. Si vous voulez me faire part de vos remarques, critiques et autres(bonnes ou mauvaises) c´est avec grand plaisir que je les lirais!

:ok: Votre écrivain...

Cyn-A-Pse Cyn-A-Pse
MP
Niveau 6
14 août 2006 à 18:29:33

Résumé:

Diego De Bréval est un demi-vampire aux pouvoirs exeptionnels, son père, un Vampire du nom de Armand De Bréval à été tué lorsqu´il n´était encore qu´un enfant, depuis il vit avec sa mère, Rose, une sorcière d´origine Anglaise. Diego et sa mère se sont battu pour que le demi-vampire puisse étudier la magie dans une école de sorcier, il à étudier ses deux premières années à l´institut de Beaux-Bâtons, en France, il fût renvoyé de l´institut et déménagea en Angleterre avec sa mère, celle-ci s´empressa d´envoyer une lettre à Albus Dumbledore, le directeur de Poudlard, l´une des meilleurs école au monde, celui-ci accepte de prendre Diego sous son aile et accepte que Diego étudie à Poudlard. Ce sera bientôt la rentrée pour le jeune demi-vampire de treize ans, qui ne sait rien encore ce qui l´attend à Poudlard, les cours, les maisons et les rivalités, le Quidditch, un nouveau cercle d´amis tout aussi impétueux que lui et aussi la rencontre avec un sorcier de son âge, Harry Potter, étudiant dans la même classe que lui.Harry Potter se révèle très discret mais très connus autour de lui, il est constemment entourés de ses amis, Ronald Weasley et Hermione Granger, Diego est curieux d´en savoir plus sur lui, mais il doit choisir son camp.Diego et Harry Potter seront-ils alliés ou ennemis? Sauront-ils trouver le lien qui les unis tous les deux?

Laissez-vous entraîner dans l´univers sombre d´un demi-vampire étudiant à Poudlard, évoluant parmit les sorciers et les autres créatures fantastiques de l´imaginaire de J.K Rowling.

Cyn-A-Pse Cyn-A-Pse
MP
Niveau 6
14 août 2006 à 18:30:31

Un vampire à Poudlard

1. Prologue.
Diego était un garçon dont la beauté faisait mal à regarder, il avait les yeux d’un vert assez vif, qui tirait sur le bleu parfois ou sur le rouge et le jaune lorsqu’il était en colère, les traits de son visages étaient si parfais qu’il avait l’air de sortir des mains de Dieu, ses cheveux étaient châtains cendrés et sa présence suffisait généralement à illuminé n’importe quel endroit, du plus lugubre au plus merveilleux. Malgré tout cela, Diego n’était pas quelqu´un comme les autres, il arpentait la planète en quête d’une école qui veuille bien permettre à quelqu´un comme lui d’étudier la magie. Diego était né d’un père vampire et d’une mère sorcière, il avait toujours eu les faiblesses communes aux vampires, il craignait atrocement le soleil lorsque celui-ci était découvert. Les métaux en argent lui étaient fatals et il répugnait à entrer dans des endroits sacrés,et bien sûr, et c’était là sa plus grande faiblesse, il devait boire de sang toute les semaines afin de ne pas tomber malade et là encore, il pouvait mourir s’il n’avait pas sa ration par semaine. Malgré tout, le sang de sa mère lui avait permit d’avoir des pouvoirs magique, et celui de son père lui apportait encore un surcroît de magie sombre. Ainsi, Diego pouvait se changer en loup à volonté, en brume lorsqu’il était en danger mortel et il avait un charme irrésistible, qu’accentuait encore sa beauté qu’il avait héritée de son père et de sa mère. Le père de Diego se nommait Armand De Bréval et il était tombé amoureux fou d’une sorcière du nom de Rose Redstar, d’origine anglaise. Le clan de Armand pensait que c’était un affront de tomber amoureux d’une sorcière mais ils étaient encore plus inquiets de ce qui allait naître de leur union. Ils ont alors menacé Armand et, voyant que celui-ci leur tenait tête et n’abandonnerait jamais sa femme et son jeune fils de un an, on fini par le tuer. Tuer ? Oui… Les vampires n’ont jamais été immortels, ils ont juste une vie plus longues que les humains (ou moldus) et que les sorciers. Rose s’en est allé, le cœur lourd, sous les pierres qu’on lui jetaient, avec son fils Diego et se jurait que son enfant étudierait dans une école de magie, comme elle-même l’avait fait dans son jeune âge. Seulement, des ennuis ont commencé à arriver. Aucune école de magie, à leur connaissance, n’acceptait les vampires (ou demi vampires), du moins pas comme élèves. On avait proposé à Rose que Diego devienne le concierge dans l’une de ces écoles, elle avait alors explosé de rage et avait déchiré la lettre en huit devant son fils qui avait maintenant 10 ans, des mots désordonnés sortaient de ses lèvres tremblantes : « Mon fils ? Concierge à 10 ans ? Je voudrais pouvoir les éventrer ! » Et puis elle avait frappé la table branlante avec tant de force que la chouette hulotte qui leur avait apporté la lettre s’envola avec indignation par la fenêtre aux vitres cassées. Diego se jetait alors sur sa mère et la serrait dans ses bras pour la calmer. Ils n’avaient presque pas d’argent pour vivre, mais une petite fortune les attendait dans les sous-sols de Gringotts, une banque de sorciers en Angleterre, dans laquelle le père de Rose ainsi que Armand leur avait laissé tout ce qu’ils possédaient. Mais Rose ne voulait toujours pas quitter la France, elle n’était pas du genre à s’aventurer toute seule dans le monde. Et qui plus est dans son Angleterre natale, car Rose suivait avec intérêt ce qui se passait dans le monde magique extérieur, et une grande rumeur s’était répandue dans le monde, un mage noir dont personne n’osait prononcer le nom commettait des massacres ignobles sur des innocents, cette rumeur existait depuis que Rose avait rencontré Armand, c’était il y a 10 ans, juste avant la naissance de Diego, dans la gazette du sorcier française, il était dit qu’un garçon anglais avait miraculeusement survécu à l’un de ses sorts mortel, le sort impardonnable d’Avada Kedavra. Ce garçon s’appelait Harry Potter et il était célèbre depuis 10 ans maintenant, il devait avoir à peut prêt l’âge de son propre fils, Diego. Harry Potter devait normalement effectuer sa rentrée l’an prochain dans la célèbre école de sorcellerie de Poudlard, réputée pour être l’une des meilleurs du monde avec l’institut français de beaux-bâtons et l’académie bulgare de Durmstrang. Diego se fichait d’étudier la magie avec les sorciers, ce qui l’importait, c’était de prendre soin de sa mère, surtout depuis qu’elle était mourante, elle était lasse de vivre. Elle continuait cependant de se battre pour que son fils étudie la magie, et enfin, peut avant les 11 ans de Diego, l’institut de beaux-bâtons, situé en Bretagne, avait enfin acceptée de prendre Diego sous son aile. Rose était alors parti en Angleterre pour aller retirer de l’argent chez Gringotts, à Londres. Et Diego resta seul pendant une partie de l’été. Et puis sa mère revint, plus épuisée que jamais, avec deux malles pleines à craquer d’affaires de sorcellerie. Cette nuit là, Diego avait été tout excité lorsque sa mère revint dans le minuscule salon miteux d’un appartement insalubre qui leur tenait lieu de maison en transplanant, dans un craquement sonore. Sa mère lui présenta alors toutes ses nouvelles affaires, des chaudrons, des fioles de toutes sortes, des robes noires de sorcier, des plumes, du parchemin, des cornes de licorne et même une chauve-souris dans une petite cage que sa mère lui avait dénichée dans une boutique renommée. Sa mère avait expliqué à Diego qu’en ce qui concernait la baguette magique, ils iraient l’acheter plus tard, à Paris. Diego avait passé une année formidable à l’institut de beaux-bâtons, en revenant pendant la noël, il expliquait à sa mère tout ce qu’il avait appris comme sorts et enchantements, les potions qu’il avait appris à fabriquer et même ses exploits au Quidditch, car s’il y avait une chose que Diego maîtrisait parfaitement, c’était bien le vol sur un balai. Malheureusement, Diego n’avait pas beaucoup d’amis, il y avait deux demi vampire à l’école avec lui. L’un d’eux s’appelait Remi, et l’autre Michaël. Les deux étaient amis et avaient accepter Diego dans leur petit clan, Diego qui les dépassait dans toutes les matières, attisait plus d’une fois la jalousie de ses camarades.les trois garçon étudiait la magie la nuit, et dormaient le jour. Il n’avaient pas droit aux même professeurs que les sorciers normaux de l’école. S’il y avait une passion que partageaient les trois camarades, c’était le quidditch, parfois, lorsque le ciel étaient couvert, ils continuaient à jouer jusqu´à près de midi, et ils étaient alors jetés par les joueurs sorciers qui devaient s’entraîner pour leur matchs. La première année à l’institut s’était très bien passée, et la mère de Diego allait on ne peut mieux, ils avaient déménagé dans une vraie maison, et Rose avait trouvé un emploi en tant que professeur de sortilège dans une petite école au sud de la France. Tout allait pour le mieux et Diego revivait, il avait enfin tout ce qu’il désirait, un endroit où il pouvait étudier, des gens qui lui étaient semblables.

Mais vint un jour, où tout dérapa, lors de la deuxième année d’étude de Diego…Sa mère eut de graves problèmes de santé et elle fût démise de ses fonctions dans la petite école du sud de la France, elle fût contrainte de trouvé un nouvel emploi… Celui de concierge à l’institut de beaux-bâtons. Elle n’en avait pas parlé à son fils, elle n’avait pas la force de lui expliquer son échec. Alors une nuit, lors de la deuxième année d’étude à beaux-bâtons, Diego et ses deux amis, qui sortait juste du cours nocturne de défense contre les forces du mal et qui devisaient gaiement sur la façon dont il fallait maîtriser un épouvantard, trouvèrent Rose en train de nettoyer les toilettes, le jeune garçon avait crut que sa mère lui faisait une mauvaise farce, donc il lui demanda, interloqué :
-Maman, qu’est ce que tu fais là ?
Michaël se tourna vers lui, incrédule :
-C’est ta mère ?
Diego hocha la tête d’un geste vif et se dirigea vers sa mère. Elle sanglotait, visiblement exténuée. Diego s’approcha d’elle encore plus pour la toiser de haut en bas, pas de doute, c’était sa mère, il l’a prit dans ses bras, sans comprendre :
-Qu’est ce que tu fais ici ? Tu ne devais pas travailler ? Pourquoi tu nettoies les toilettes?
Mais un éclair de compréhension traversa son esprit… Il avait tout compris. Sa mère releva la tête vers lui, en respirant fort :
-Je… Je ne voulais pas que tu saches que… Que j’ai tout raté ! S’écria-t-elle en s’enfouissant dans le cou de son fils.
-Diego ? Appela une voix féminine loin derrière lui. Diego la reconnu tout de suite et se tourna vers Madame Maxime, la directrice de l’école, une femme gigantesque qui mesurait au moins trois mètres, une demi géante.
-Oui… Qu’est ce qu’il y a ? Demanda Diego en tenant fermement sa mère, de peur qu’on lui arrache.
Voyant Diego dans les bras de sa mère, Madame Maxime se figea, puis elle balbutia :
-Nous en parlerons plus tard…
Elle fit demi-tour, et se figea de nouveau, puis elle fit encore demi-tour et vint vers eux d’un pas décidé :
-Qu’est ce qui vous arrive Rose ? Demanda-t-elle d’un ton doux.
Diego lui jeta un regard noir :
-Vous ne voyez donc pas qu’elle est fatiguée ?
-Diego… Laisse. Dit sa mère avant de se relever, la tête haute, puis elle prit un balai qui était à côté, et parcourut le long couloir avant de disparaître derrière la statue du chevalier Nathan. Diego prit une profonde inspiration et dit à Madame Maxime avec une infinie patience :
-Je pense que vous devriez lui donner un congé, elle est malade.
-C’est ce que j’ai l’intention de faire, je vais aller lui en parler, d’accord ? Répondit Madame Maxime en le dominant de toute sa hauteur. Maintenant tu devrais aller rejoindre tes camarades en bas, le jour va bientôt se lever.
Diego dit un rapide : « Merci » et s’en alla en courant. Il parcourut la salle des trophées, et se dirigea vers les donjons en bas, là ou se trouvait le dortoir qu’il partageait avec ses camarades Michaël et Remi. Il se dirigea vers le tableau qui représentait un renard, le renard le fixa intensément, puis Diego marmonna : « crottes de lapin » et le panneau coulissa pour laisser apparaître un trou creusé dans le mur qui donnait accès à une salle brillamment éclairée par des bougies magiques qui produisaient une douce lumière bleue. Remi et Michaël étaient tous deux installés devant la cheminée, dans un somptueux fauteuil, et levaient à leurs lèvres des coupes remplies de sang. Un instant avant, leur discussion avait l’air très prenante, mais maintenant que Diego était là, ils s’étaient tus et regardait tous deux les flammes lécher l’âtre de la cheminée.
-Qu’est ce qu’il y a ? Demanda Diego, au comble de l’énervement, il sentait que ses yeux viraient au jaune, ce qui était chez lui, un très mauvais signe.
Michaël posa sa coupe sur la table basse et consenti enfin à regarder Diego dans les yeux, il passa la langue sur ses canines ridicules, et il dit d’une voix forte, visiblement irrité :
-Il y a que ta mère est une domestique.
Diego serra le poing, il savait parfaitement que Michaël et Remi était deux bourgeois, mais il pensait que tous deux le comprenait, qu’ils étaient son ami.
-Qu’est ce que ça peut te faire ? Demanda Diego d’une voix tremblante de rage.
Remi parla à sa place :
-Tu ne nous avais jamais dit ça, voilà tout.
-Je ne le savais pas jusqu’à ce soir. Reprit Diego, quelque peu calmé.
Michaël ricana alors :
-Mais de toute façon, ça ne change rien, ta mère est une domestique, comment tu as fait pour venir ici ? Ta mère a voler de l’argent ou quoi ?
Le regard de Michaël était cruel, Diego le connaissait, et il n’avait accepté son amitié qu’avec réticence, Remi en revanche, était plutôt gentil et bien élevé, mais il craignait Michaël, alors il ne le contre disait jamais, en tout cas pas en face à face.
Diego s’approcha de Michaël, les doigts serrés sur sa baguette magique.
-Qu’est ce que tu as l’intention de faire ? Fils de domestique ? Vient plutôt me cirer les chaussures comme ta mère nettoie les toilettes ! Aboya Michaël. Ce fut plus que Diego n’en pus supporter, sous le coup de la colère, il brandit alors sa baguette vers Michaël. Celui-ci, avec un réflexe impressionnant, avait bondit de sa place et tenait sa propre baguette prête. Remi s’interposa entre eux, et ce fut la première fois qu’il osa reprendre Michaël :
-Allons ! Michaël ! Arrête de Traiter sa mère de cette façon, je suis certain qu’elle est très gentille ! Pourquoi tu lui en veux ? Nous sommes amis tous les trois, ne l’oubliez pas ! Ne faites pas une bêtise que vous regretterez !
-Il ne mérite pas mon amitié… Siffla Michaël d’une voix cruelle entre ses dents. Ce fils de chienne !
Remi, qui retenait Diego fermement, poussa un cri de surprise lorsque celui-ci se mua tout à coup en loup, sans réfléchir, il avait bondit sur Michaël et lui griffait le torse et lui donnait des coups de crocs partout où il pouvait l’atteindre.
« Impedimenta !! ! » S’écria une voix derrière lui et Diego fut projeté plus loin. Le souffle court il se releva, prêt à retourner au combat, mais alors il vit Michaël ensanglanté, pleurnichant sur le sol. Remi brandissait toujours sa baguette sur Diego, et il lui dit :
-Tu es un idiot ! Pourquoi tu l’as écouté ? Tu seras renvoyé ! S’écria-t-il.
Diego reprit sa forme normale:
-Tu as entendu ce qu’il a dit sur ma mère ? Il le méritait !
Remi se mit à frissonner et puis il demanda d’une voix faible :
-Et… Il est mort ?
-Non, il respire encore, mais tu devrais…
Quelqu´un rentra dans le dortoir à la volée, c’était Mr Gaillard, le professeur de potion nocturne :
-Qu’est ce qui se passe ici ? S’écria-t-il en voyant Michaël, ensanglanté par terre, qui pleurnichait et appelait sa mère. Diego pensa d’abord à se défendre, mais il était honnête et savait qu’il était allé trop loin. Il dit alors d’une voix blanche :
-C’est moi qui ai fait ça…

Diego fut renvoyé de Beaux-bâtons, et sa mère et lui déménagèrent alors en Angleterre, à Londres, dans la vieille maison que le père de Rose lui avait laissée sur son lit de mort. Rose avait trouvé une autre école, celle qu’elle avait fréquentée étant jeune, Poudlard. Elle décida d’envoyer une lettre au directeur de l’école, qui se trouvait être Albus dumbledore. Rose l´avait connu pendant ses études, mais à l´époque, il était professeur, il était un homme sympathique et puissant, et compréhensif, Rose esperait que Dumbledore accepterait Diego dans son école.

Cyn-A-Pse Cyn-A-Pse
MP
Niveau 6
14 août 2006 à 18:31:05

II. Le chemin de traverse.

La ville de Londres était illuminée cette nuit, Diego venait de quitté la maison pour aller chercher à manger, sa mère était restée pour tout arranger, personne n’avait mis les pieds dans cette bâtisse depuis longtemps et elle était devenue tellement sale qu’il avait fallu à Rose des tonnes de sorts ne serait-ce que pour arracher la crasse des murs. Diego connaissait l’anglais, sa mère lui avait enseigné depuis qu’il était jeune, alors il pourrait parfaitement s’en sortir en Grande Bretagne. Sa mère lui avait expliqué qu’elle voulait qu’il achète chez les moldus et non sur le chemin de traverse. Mais Diego rêvait de pouvoir mettre les pieds dans cet endroit, c’était, paraît-il, un lieu d’une magie bouleversante, et ce n’était pas peut dire !
Diego tourna au coin de Oxford Street et entra dans un petit supermarché. Sa mère lui avait donné des livres sterling pour les achats. Après qu’il eut fini de tout acheter, il revint sur ses pas, les bras chargés de sacs en plastique, c’était magnifique, les phares des voitures produisaient des halos lumineux en passant devant lui, l’air était frais et humide, Diego sentait que la pluie allait tomber dru cette nuit. La faim commençait à le tirailler, il regarda la baguette de pain qu’il tenait dans sa main gauche… Non… Ce n’était pas de ça dont il avait envie… Il n’avait rien bu cette semaine. Il trouverait bien quelque chose à se mettre sous les crocs cette nuit, le sang… Comme c’était bon. Diego avait bien du mal à s’en priver, si ça ne tenait qu’a lui, il se nourrirait exclusivement de sang si cela était possible, mais il n’en buvait qu’une fois par semaine pour faire plaisir à sa mère. Diego sentit une fatigue soudaine s’insinuer en lui. Il trouva un endroit, des marches devant une porte d’hôtel. Il s’y assit, puis il se frotta le front frénétiquement avec les paumes de ses mains, il observa sa peau, aussi blanche que l’albâtre ou la nacre, et ses ongles noirs comme l’encre. Ses yeux scintillèrent d’une lueur vermeille lorsque de grosses gouttes de pluie vinrent s’éclater sur le sol devant lui. Il adorait la pluie : « Elle purifie le temps… et elle hydrate la terre… Elle nourrit la nature entière… » Pensait-il en touchant ses cheveux fins aplatis par l’humidité. Des perles d’eau tombaient des gouttières à présent, et une vraie rivière avait remplacé la rue. Les gens se pressaient sur la chaussée, sous des parapluies, des journaux… Un homme à la chevelure blonde nouée en catogan avec des habits somptueux, des yeux d’un bleu de glace et un visage presque aussi pâle que celui de Diego passa en marchant d’un pas pressé devant celui-ci, tenant un journal au dessus de sa tête tel un parapluie. Ce journal ! Diego reconnu immédiatement la gazette des sorciers anglaise avec ses images mouvantes, il eut juste le temps d’apercevoir dans un grand cadre en première page un grand homme à la chevelure et la barbe argentée, avec de drôle de lunettes en demi-lune sur un nez aquilin, qui saluait de la main. Diego se remit sur pied et regardait des yeux le sorcier tourner au coin de la rue, tenant toujours le journal sur sa tête pour se protéger de la pluie. Fallait-il le suivre ? Peut être le sorcier le conduirait au chemin de traverse ? Sa mère ne lui avait jamais dit où celui-ci se trouvait parce qu’elle ne voulait pas que son fils s’aventure tout seul dans le monde magique quel qu’il soit. Sans réfléchir d’avantage, Diego se mit à courir pour rattraper le sorcier aux cheveux d’un blond presque blanc. Il continuait de marcher, et ni le vent, ni la pluie glaciale ne semblaient le ralentir, Diego calla solidement la baguette de pain sous son bras et ses sacs en plastique dans sa main droite tandis qu’il se mit à accélérer silencieusement. Cinq minutes plus tard, le sorcier sembla ralentir sa marche. Il s’arrêta soudain, devant une enseigne en bois rongées par le temps sur laquelle était écrit : «Chaudron Baveur » du moins, c’était la seule traduction logique que Diego ai pu faire. Sa cape virevolta lorsque l’homme s’engouffra dans le pub. Diego hésita… Tout cela n’était pas raisonnable… Il aurait dû faire demi-tour, il le savait, mais à quoi bon faire demi-tour maintenant ? De toute manière il était sûrement perdu. Alors autant finir ce qu’il avait commencé. Il hésita une dernière fois, puis il fit les quelques pas qui le séparait du pub, jeta un coup d’œil par la fenêtre et s’engouffra à l’intérieur aussi. Ici, c’était un endroit d’aspect plutôt miteux et médiéval, très peu éclairé, et Diego en fût émerveillé. Il ouvrit de grands yeux lorsqu’il vit que les seules sources de lumières provenaient de bougies flottantes. Diego en avait vu de semblables déjà à beaux-batons mais il se demandait ce que les humains ou moldus pourraient penser de tout ça si jamais ils les voyaient. Il avança dans la pénombre et il vit le sorcier blond de tout à l’heure en train de parler avec le barman :
-Tom… Il faut que je me rende sur le chemin de traverse d’urgence… (« Bingo ! » Pensa Diego en souriant) Il n’y aurait pas moyen d’utiliser le mur dans la cours où bien votre cheminée ? Dit le sorcier blond en s’accoudant au bar et en parlant si bas que Diego eut peine à l’entendre. Le barman qui se nommait Tom essuyait frénétiquement un verre, il ne s’en rendait sûrement pas compte, mais il tremblait, Diego sentait sa peur suinter de lui et envahir le bar, c’était l’une de ses caractéristiques héritée de son père. Diego tendit l’oreille, il entendit le cœur de Tom accélérer tandis qu’il disait d’une voix parfaitement calme mais tremblante :
-Je… Je n’ai pas le droit Mr Malefoy… vous le savez mieux que quiconque. Je… Non… Je suis navré… Mais je ne peux pas.
Le sorcier blond parut contrarié mais il reprit contenance immédiatement et reprit d’une voix un peu plus forte et froide :
- Allons Tom… C’est juste… Que j’ai un dernier achat à effectuer pour mon fils qui va faire sa deuxième année d’études à Poudlard, voyez-vous Tom… Mon fils fera partit de l’équipe de Quidditch de Serpentard cette année… Ajouta-t-il avec un brin de fierté dans la voix, Et j’aimerais beaucoup faire un cadeau à toute son équipe, des nimbus 2001(Diego frémit, il ne connaissait que trop bien le quidditch et donc assez bien pour connaître le prix d’un nimbus 2001, cet homme avait-il vraiment autant d’argent ?) . Le sorcier blond continua d’une voix traînante que Diego trouva tout à fait déplaisante :
-J’aurais pu venir plus tard mais je serais retenu tout le reste des vacances par des affaires avec le ministère, et notamment avec « Cornélius Fudge ».
Il insista lourdement sur les deux derniers mots avec un rictus qui rendait son visage parfaitement affreux, Diego grimaça. Cet homme devait avoir beaucoup de relation, et beaucoup plus s’il avait lié des liens avec le ministre de la magie anglais. En France, le système magique était légèrement différent, mais au moins, on n’avait pas l’horrible prison d’Azkaban (sauf certains cas).
Le barman fut frappé de plein fouet par les paroles du sorcier blond, il parut hésiter encore une fois, il allait s’apprêter à dire quelque chose, mais il se ravisa et hocha la tête, vaincu. Il jeta alors ces mots tandis que le sorcier s’éloignait :
-J’espère que votre fils va bien… Dit-il sans conviction.
Le sorcier blond s’arrêta devant une table, un homme y était attablé, le genre d’homme à faire froid dans le dos, même pour un vampire. Un grand homme frêle et blanc comme une craie, avec deux rideaux noirs de cheveux gras qui lui tombait sur le nez, un nez par ailleurs très pointu, et ses yeux avaient l’air profonds, noirs comme une abîme. Diego crût d’abord que c’était un vampire, il en avait tout l’air, mais lorsque celui-ci ouvrit la bouche pour parler, Diego remarqua que ses canines étaient tout ce qu’il y a de plus normales. Il dit d’une voix qui se voulait parfaitement calme :
-Lucius… Tout est en place n’est ce pas ?
Le sorcier blond qui apparemment se nommait Lucius Malefoy s’assit en face de l’homme aux cheveux noirs, puis il répondit :
-Oui… C’était trop facile. Ces idiots ne se sont rendus compte de rien.
-Serait-ce un bleu que tu as sur la joue Lucius ?
-Ce crétin de Arthur a crut juger bon de se battre avec moi, tout à l’heure chez Fleury et Bot.
-Tu as réussis à leur glisser le journal sans qu’ils s’en aperçoivent ?
-Bien entendu, dans la cohue, ils n’ont rien remarqué.
-Alors levons notre verre au retour imminent du maître… Répondit le sorcier aux cheveux noirs en chuchotant presque, Diego n’aurait rien entendu s’il n’avait pas ses dons de vampires. Lucius Malefoy prit un verre sur la table, remplit d’une substance orangée, l’autre sorcier prit également son verre et ils les levèrent en un seul mouvement avant de les porter à leurs lèvres et de les vider avec délectation. Diego posa ses sacs en plastique ainsi que sa baguette de pain contre un mur, dans l’ombre, personne ne semblait avoir l’avoir vu et il s’empressa de s’enfouir plus profondément dans les ombres lorsque Lucius Malefoy se leva à nouveau, il dit d’une voix forte :
-Je dois te laisser, j’ai des affaires qui m’attendent sur le chemin de traverse.
-Alors à bientôt… Répondit l’autre avec un rictus éloquent.
Lucius s’éloigna alors en direction d’une porte au fond, Diego parcourut la salle, à demi caché par des piliers, lorsqu’il eut atteint l’autre bout de la salle il remarqua la porte venait à l’instant de se refermer, il attendit un moment, puis l’ouvrit silencieusement à son tour. Il y avait là une petite cours. Lucius Malefoy tournait le dos à Diego, mais il pouvait se retourner à tout moment, celui-ci, prit de panique, s’accroupit et s’enfonçât vivement dans l’ombre d’une benne à ordure gigantesque. Il risqua un coup d’œil, Lucius faisait toujours face à un grand mur de briques rouges, il sortit lors sa baguette magique, par réflexe, Diego s’empressa de sortir la sienne, peut être l’avait-il vu ou sentit ? Et qu’il allait attaquer ? Les entrailles de Diego se tordaient à présent et il ne pouvait s’empêcher de respirer très fort pour se calmer. Il se leva brusquement pour faire face à l’adversaire, mais celui-ci, le dos toujours tourné, leva sa baguette et tapota l’une des briques du mur avec le bout de celle-ci. Diego s’enfouit à nouveau dans les ombres, soulagé. C’était trop bête ! Il devait rentrer ! De toute façon, maintenant, il connaissait l’endroit et le moyen de se rendre sur le chemin de traverse. Un bruit étrange réveilla Diego qui risqua à nouveau un coup d’œil. Le mur se mettait à coulisser et les briques à tourner sur elles-mêmes, elles pivotaient pour dégager un espace de plus en plus grand. Il y avait maintenant un grand trou dans le mur et Lucius Malefoy fit virevolter sa cape en pénétrant dans l’espace, presque en courant. Diego regarda bêtement les briques se remettrent à tourner et l’espace rapetisser jusqu’à ce que le mur soit à nouveau un mur. Le silence était devenu palpable et la tension descendait en piqué vertigineux. Diego se remit debout et se dirigea droit sur le mur. Il ne savait pas très bien ce qu’il convenait de faire pour passer, il sortit sa baguette magique : « Heureusement je l’ai toujours sur moi » Pensa-t-il. Il savait que Lucius Malefoy avait tapoté trois fois l’une des briques. Diego ne savait pas laquelle… Son regard les balaya toutes pour s’arrêter sur une qui ne ressemblait pas aux autres. Oui… Elle avait l’air plus ancienne que les autres, Diego leva sa baguette et tapota la brique trois fois de suite, aussitôt la brique se mit à tournoyer sur elle-même à toute vitesse, et les autres se mirent à tourner aussi comme des toupies. Quelques instants plus tard, le trou dans le mur était réapparu, mais Lucius Malefoy, quant à lui, avait disparu. De toute façon, Diego n’avait plus besoin de lui… Il pénétra l’étroit passage. Tandis que le mur se refermait sur lui, Diego observa les alentours, c’était une grande rue, et elle était presque déserte. Certains commerçants rangeaient leurs étalages, apparemment fatigués de leur journée. Tandis qu’il avançait, Diego remarqua l’enseigne d’un magasin de balais et de tapis volants, mais Lucius Malefoy n’était pas à l’interieur, d’ailleurs, le magasin était fermé. La seule boutique encore ouverte était une boutique d’animaux, des chouettes, des chauves-souris, des chats, des crapauds et bien d’autres bêtes étaient en cage, sur des perchoirs, ou dans des boîtes. Diego se demandait s’il était interdit ou non de se promener ici la nuit, surtout pour un jeune garçon de son âge, il serait plus sage de se transformer en loup, du moins provisoirement, et de rester le plus possible caché, il était tout excité en voyant les ruelles sombres et les enseignes illuminées. Il s’enfonça dans une ruelle, et se mua en loup rapidement. Il était devenu un loup noir aux yeux jaunes. Il ne ressortit pas de la ruelle cependant, et se mit à trottiner sur ses pattes rapidement pour s’enfoncer plus profondément encore dans la ruelle. Il arriva à un escalier qui descendait et qui, apparemment, débouchait sur une autre rue. Il descendit et s’aperçu qu’ici, c’était loin d’être désert, beaucoup de sorciers arpentait cette minuscule rue, et apparemment, ce n’était pas le genre de sorciers qu’il était bon de côtoyer. Diego avança courageusement et esquivait les sorciers qui le regardait, bouche bée. Il passa près d’une sorcière qui, dès qu’elle le vit, se mit à hurler à la mort « J’ai vu le Sinistros !! ! » Ce qui n’aida en rien les choses car à présent, plus de gens affluaient autour de Diego, certains avaient leur baguette à la main et se tenait prêt à s’en servir, Diego se hâta de détaler aussi vite que possible sous les regards outrés ou courroucés qu’on lui lançait. Il tomba alors sur un magasin encore ouvert, à l’intérieur il y avait des tonnes de choses affreuses, des crânes, des mains, des choses informes en bocal, des squelettes… Diego remarqua un homme avec de longs cheveux blonds à l’intérieur, Lucius Malefoy semblait en grande discussion avec le gérant du magasin, mais Diego ne pus en voir plus car il entendit deux craquements sonores derrière lui, il sursauta de frayeur et son poil se hérissa sur son dos, il fit volte face, des sorciers l’avaient suivis, ils étaient à l’autre bout de la ruelle et avançait comme des morts-vivants. Diego se remit à courir pour échapper à ses poursuivants, il courait vite, si vite qu’il ne pouvait plus rien voir, mais juste sentir les obstacles et la pierre brute sous ses pattes délicates. Diego ralentit alors lorsqu’il s’aperçut qu’il n’était plus dans les veines des ruelles mais qu’il était revenu dans la grande rue, le mur de pierre devait être à gauche… Non à droite, ho peut importe ! Il se mit à courir vers la droite comme un dératé et reprit peu à peu forme humaine lorsqu’il vit le mur de brique droit devant. Une fois redevenu parfaitement humain, Diego fut assaillis par le silence et surtout par le froid qui le transperçait jusqu’à la moelle. Il n’y avait plus personne ici… C’était vraiment idiot d’être venu ! Diego prit sa baguette et tapota vivement la brique usée du mur. Le mur coulissa pour le laisser passer, il allait se mettre à courir lorsqu’une main glaciale et puissante l’aggripa a la nuque et le tira en arrière.

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