Sephi courrut après yunie il appela pégase et monta sur son dos. Il poursuivit yunie jusqu´a l´écraser.
Puis Sephi la jeta dehors elle fit une longue chute qui creusa un cratère, puis Sephi lanca trois ultima en direction du trou ce qui acheva yunie
jvais te faire mal Keyser grrr
oh attention le boulet s´enerve
Ta main, Yuna, aussi belle que l´arc-en-ciel si discret,
M´entraîne au coeur des ouragans bleus
De tes yeux argentés
Et me guide dans tes rayons châtains
Comme un Aigle s´échappant de ton coeur...
Mais vient le soir...
Mes pensées s´essoufflent dans les limbes de mon esprit
Tandis qu´une Magnifique lumière enveloppe mon coeur tremblant.
keyser ^^
si on met des poemes je gagnes
Les yeux de déesse
Je rêvais sous mon arbre d´un orange mûr
Quand une belle main vint troubler mes poèmes,
Des yeux bleus, défiant toute nature,
Des cheveux châtains, presque un diadème,
Vinrent sans vergogne me faire frémir
Me montrant la voie du soleil,
Tel un Aigle volant vers l´avenir,
Partant rejoindre les hirondelles.
Cet oiseau fou, Yuna, c´est moi.
Et cette Magnifique déesse, qui épouse la beauté,
Yunie, dis le moi, que c´est toi...
Dans ta main je veux m´embraser.
Tito, poète à ses heures perdues
ouais des poèmes la j´en ait plein en reserve
ha moi j´ai ecrit un morceau de poeme pke tito la fé! je croyé kil avait fé comme ca, mais non, il essaye de draguer yuna!
Sephi et Keyser quand je trouverai un moyen je vous ferait tres tres mal
Les éclats bleus des danses exotiques
Me plongent comme tes yeux dans une belle ivresse
L´écume des vagues, les rouleaux dans les criques
Sont les cheveux châtains de ton front de déesse.
J´écoute la pluie, se noyer dans l´orage
Et c´est ta voix qui chante, ma Magnifique Reine...
Un Aigle orange entame son voyage,
Mais c´est de toi, Yunie, que mes yeux se souviennent...
Tito, rêveur de tes yeux...
yunie essaye seulement de me retouvhe et je te balance un negaburst ( c´est a dire que tu mleurts desintegrée
sephi moi j´ai bientot fini ma fic
Et vive la poussière !
Tu m´as brisée le coeur
Tu l´a mis en morceau
Maintenant je n´ai plus d´odeur
Je ne suis pourtant pas beau
Mais tu m´a pris mon coeur et donné la mort
Rends le moi et je ne t´en voudrais pas car tu es celle qui est dans mon coeur
un petit dernier
J´errais sous le ciel orange et azur
Mais une fille, belle, vint m´émouvoir à l´extrême,
Des yeux bleus, défiant toute nature,
Des cheveux châtains, une auréole, même,
Vinrent contre mes rêves se blottir
Me montrant la voie du soleil,
Tel un Aigle, un oiseau-lyre,
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau fou, Yuna, c´est moi.
Et cette Magnifique muse, fille de clarté,
C´est toi, Yunie, c´est toi...
Dans ta main je veux m´embraser.
ji go @ +
halalala j´aime vraiment pas les poemes petrarquiste!
Une femme se promène seule, le soir
Dans une petite ruelle, habillée courtement
Un homme discret la suit, silencieusement
Guettant sa prochaine proie
Il arrive par derrière et la saisit par les cheveux
Des lèvres de la femme sort un cri de frayeur qui sonne un peu faux
Un peu comme si elle attendait ce potentiel agresseur
Sans chercher à lui échapper
L´homme plaque ce corps qui se débat faiblement contre le mur
Les briques râpent son dos déjà mis à nu
Le sexe de l´homme se trémoussant, il déchire son minuscule chandail
Et glisse ses doigts crasseux sous sa jupe
La femme reste immobile, amorphe
Sous ces assauts brusques et violents
L´homme, voyant son inertie
Se fâche et la contraint à se mettre à genoux
Prestement, l´homme détache sa braguette
Et sort son membre dur et viril
Il prend la tête de la fille à deux mains
Et introduit son organe dans sa bouche
La femme s´active, étonnemment
Elle lèche, suce et taquine ce membre érigé
L´homme s´essouffle, les jambes flangelotantes
Et gémis sous les vagues de sensations qui le submergent
La femme s´excite, s´énerve
Ses soupirs se mêlent à ceux de son amant
Elle accélère, elle persévère
En visant le paroxysme du plaisir
L´homme se crispe, sentant son éjaculation proche
La femme crie, ce qui semble être de jouissance
Dans un sursaut et en tremblant contre cette verge sur le bord d´exploser
Elle y plante ses dents
L´homme crie de douleur et de frayeur
La femme arrache des lambeaux de chair pourprée de ses canines
Buvant le sang avec délectation
Elle sourit de son vice assouvi
Lorsque le membre est suffisament déchiqueté
Elle croque d´un coup sec pour en arracher le bout
Se relevant, en sueur et en sang
Elle fixe sa victime, les yeux enflammés
Et avale son bûtin, goulûment
Puis s´en va, sans se retourner
L´homme ne se relèvera pas de cette agression
Et mourra au bout de son sang, dans la plus grande confusion...
vous qui aimez les poèmes...
tito pk tm ecrit d poem a yuna?