Ouais, personne...
Ouais, personne...
Comme dirait que je ne sais plus quoi (c'était pas une chanson ? Oh je sais plus, mais ça tombe bien dans ma logique de successions de phrases qui se placent aux moments-clés)...
Putain, à faire des parenthèses à la con j'en ai oublié l'idée !
Ah ta gueule la musique !
Ah, voilà, j'y suis.
Ils veulent que tu mènes la vie qu'ils estiment être la meilleure...
Calquer la leur à autrui. Ces pourfendeurs de diversité.
A la veille de leur mort, ils sauront qu'ils s'étaient trompés et que j'avais raison.
Mais ça sera bien trop tard pour eux.
Oh oui, bien trop tard...
Ne te fais pas de films, ils ne te percevront jamais comme tu l'imagines.
L'avenir n'est pas encore celui que tu imagines constamment...
Tu le sais maintenant, tu l'assimiles.
Il fallait que je me l'admette. C'était le seul moyen.
Et pourtant, tu avais tout le temps pour faire une telle introspection. A revenir sans cesse pour refaire croire à un intérêt à ton existence numérique... tu parles d'une mauvaise idée, tu t'étais déjà convaincu à plusieurs reprises de l'inutilité de la chose...
Et à chaque fois, je revenais le lendemain ou presque, contrarité par le ratage quotidien du réveil...
Mais un jour viendra où...
Ne finis pas sur une phrase de ce genre, c'est cliché comme pas deux et ça ne va intriguer personne. Ne l'oublie pas, ils te considère comme un type paumé qui a raté sa vie et qui n'a absolument rien.
Oh, ça ne me dérange pas, leurs propos sont aussi dénués de crédibilité que les miens.