Fitch dégrade la Grèce de trois crans
Avec AFP
L'agence de notation financière Fitch a annoncé mercredi avoir dégradé de trois crans la note souveraine de la Grèce, à CCC, contre B+ auparavant, en l'absence d'un nouveau plan d'aide "crédible et financé" de l'UE et du FMI à ce pays en proie à de graves difficultés.
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/07/13/97002-20110713FILWWW00531-fitch-degrade-la-grece-de-trois-crans.php
juste histoire de plomber le pays un peu plus ...
Bientôt notre tour.
"juste histoire de plomber le pays un peu plus ..."
C'est sans doute la faute de Fitch si la Grèce est dans la merde, c'est elle qui l'a obligé à trafiquer les comptes et à s'endetter.
et le plan crédible des USA il est ou, si ce n'est retarder un peu plus l'échéance? on leur baisse la note quand
Surtout que Fitch est française.
"L'agence de notation financière Fitch a annoncé mercredi avoir dégradé de trois crans la note souveraine de la Grèce, à CCC, contre B+ auparavant"
à la place de CCC j'ai lu CCCP...
Sinon c'est vachement sympa d'en avoir remis une couche...
Les Grecs endettés jusqu'au cou et le peuple moyen grec sans argent est ravi d'apprendre cette note dont il n'en aura absolument rien à foutre.
Le jour ou les Grecs paieront tout leur impôt, ça sera une grande avancée, ce pays est pourri par la corruption
Raphael-Drake Voir le profil de Raphael-Drake
Posté le 13 juillet 2011 à 21:52:00 Avertir un administrateur
Les Grecs endettés jusqu'au cou et le peuple moyen grec sans argent est ravi d'apprendre cette note dont il n'en aura absolument rien à foutre.
Bien sûr que si, la rigueur grecque en est une conséquence directe hein, même si la note est une conséquence directe de la politique économique de la Grèce.
AKG-450
Posté le 13 juillet 2011 à 21:48:22
Surtout que Fitch est française.
En quoi ?
Je comprends pas comment tout le monde se fie encore à ces agences de notation qui sont en partie responsables de la crise des subprimes (elles ont été incapables de détecter tous les actifs pourris). Certes la Grèce est dans une situation grave mais pourquoi faire dépendre nos économies de la notation de ces agences à l'indépendance et à la compétence douteuses.
j'avais lu il y a quelques temps, que ces agences de notation refusait de baisser d'un cran la note américaine par peur d'une crise économique mondiale
Pour moi, Fitch, c'est la nana qui se fait désintégrer dans le maillon faible de Doctor Who en l'an 200100 :
(a la fin)
http://www.youtube.com/watch?v=IkZiobuDJyg
Flight_Man Voir le profil de Flight_Man
Posté le 13 juillet 2011 à 23:47:43 Avertir un administrateur
j'avais lu il y a quelques temps, que ces agences de notation refusait de baisser d'un cran la note américaine par peur d'une crise économique mondiale
Ouais donc en clair ce sont elles qui font la pluie et le beau temps comme elles le décident
C'est une immonde escroquerie ce système
"Tepcon Voir le profil de Tepcon
Posté via mobile le 13 juillet 2011 à 23:46:26 Avertir un administrateur
Je comprends pas comment tout le monde se fie encore à ces agences de notation qui sont en partie responsables de la crise des subprimes (elles ont été incapables de détecter tous les actifs pourris)"
+1
et j'entendais sur france info y'a 2 jours que c'est en très grande partie a cause de la crise des subprimes qu'on en est là aujourd'hui, vu que les états se sont affaiblis en protégeant leurs banques.
maintenant, ou est le fric? Facile
"Car le décrochage est bien plus fort : en 1982, salariés et chômeurs représentaient 84% de la population active et se partageaient 66,5% de la richesse, selon les chiffres de la Commission européenne ; ils constituent aujourd’hui 92% des actifs mais ne perçoivent plus que 57% des richesses. Non seulement la part des travailleurs s’est réduite, mais elle est divisée entre davantage de salariés!
Cet appauvrissement du travail est odieux car depuis 1982 la richesse créée par actif a augmenté de 30%. Ces fabuleux gains de productivité réalisés par les travailleurs ont été largement accaparés par le capital: dans les années 1980, 2 points de PIB par an étaient redistribués aux salariés ; depuis les années 1990, le ratio est tombé à 0,7 point de PIB par an !"