CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + populaires
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • Black Friday
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Smartphones
    • Mobilité urbaine
    • Hardware
    • Image et son
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS

Sujet : Japon : Tout est hors de contrôle

DébutPage précedente
«1  ... 3637383940414243444546  ... 54»
Page suivanteFin
jeicj jeicj
MP
Niveau 10
01 avril 2011 à 08:22:31

on espere que les autorites paieront cherement cela, finalement ces autorites ne valent pas mieux que ceux de tchernobyl qui n'ont pas hesite a sacrifier de pauvres gens pour leurs erreurs

vieux-touque vieux-touque
MP
Niveau 10
01 avril 2011 à 13:25:38
  1. Riche-Terre Voir le profil de Riche-Terre
  2. Posté le 1er avril 2011 à 08:21:02 Avertir un administrateur
  3. De l'iode radioactif 131 a été découvert dans une nappe d'eau située à 15 mètres sous la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, a déclaré tôt vendredi matin l'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco).

--> C'est donc une nappe phréatique :mort:

Ils sont dans une belle mer** les Japonais :malade:

Riche-Terre Riche-Terre
MP
Niveau 6
01 avril 2011 à 16:08:22

Plus aucune info sur l’état de la centrale :nah:

revons revons
MP
Niveau 7
01 avril 2011 à 17:56:41

tout simplement parce que personne ne sait réellement ce qui est rejeté pas même ceux qui travaillent sur place.

revons revons
MP
Niveau 7
01 avril 2011 à 17:57:54

Aujourd'hui, pour des raisons évidentes, l'attention du monde est concentrée sur l'énergie atomique. Les adversaires des programmes nucléaires sont très vigilants envers les conséquences possibles du terrible accident de Fukushima. Ses partisans affirment que les nouveaux réacteurs qui produisent de l'énergie nucléaire sont plus sûrs que jamais, plus que les centrales thermiques et hydroélectriques. Toutefois, la comparaison des événements dans la préfecture de Fukushima avec ce qui s'est passé à Tchernobyl, montre que le problème est non seulement technologique, selon Vladislav Inozemtsev, journaliste sur le site Izvestia.ru.

"La catastrophe de Tchernobyl s'est passée en un instant. Les lacunes techniques pour gérer les conséquences du drame ont été compensées par le très grand nombre de travailleurs. Aujourd'hui, au Japon, nous voyons quelque chose de différent. La catastrophe n'a pas eu lieu rapidement. Une semaine après les événements, seulement 170 employés travaillaient sur le site. Mais leurs efforts ont déçu: la centrale nucléaire continue à se détériorer lentement", dit-il.

La comparaison entre Tchernobyl et Fukushima, selon le journaliste, montre que les catastrophes sont toujours possibles, mais les sociétés autoritaires et idéologiques sont plus efficaces que les pays démocratiques où la capacité des autorités à mobiliser les citoyens pour des opérations dans des conditions extrêmes est très limitée. Pour la plupart des pays développés, les leçons de Fukushima seront très graves et l'auteur assure que le monde pourrait se détourner de l'énergie nucléaire.

Le premier directeur général adjoint de Rosenergoatom, une companie nucléaire russe, Vladimir Asmolov, a également noté qu'on a "besoin d'une mobilisation totalle du gouvernement lors de tels événements, car on a besoin de personnes qui assumeront les décisions prises. C'était la même chose à Tchernobyl". Estimant le prossesus d'intervention des autorités japonaises à Fukushima-1 inefficace, Vladimir Asmolov, cité par l'agence RIA Novosti, explique : "leurs principales erreurs ont constitué en un manque d'informations complètes et dans le temps qu'ils ont pris avant de demander de l'aide".

Quel scénario ?

En ce qui conserne la destinée du complexe de Fukushima après l'accident, les principaux experts russes de l'industrie nucléaire s'accordent pour dire que l'histoire de Tchernobyl ne se reproduira pas. A Fukushima, la situation est sous contrôle et le pire est derrière nous, car on a réussi à éviter la fusion d'une zone active. Cependant, l'évolution future dépendra de la rapidité du gouvernement japonais à rétablir l'électricité dans les reacteurs.

"On peut dire que les conséquences de "Fukushima-1" ont étés réduites au minimum", a conclu l'agence d'information du site Lenta.ru. Toutefois, de nombreux experts estiment que le plus fiable reste de fermer les unités endommagées.

Selon un expert d'Eco-Institut, Michael Seiler, la suite dépend également du développement de la fusion éventuelle des barres de combustible des réacteurs. L'un des pires scénarios consiste : une expulsion de matières nucléaires. Une vaste zone serait ainsi contaminée. Les Japonais ne pourraient qu'espérer que le vent pousse le nuage radioactif vers l'océan Pacifique.

Nezavisimaya Gazeta s'accorde sur cette analyse et ajoute que dans le pire des cas, un combustible nucléaire en fusion pourrait percer la coque et gagner la terre, infectant selon lui le sol et l'eau pendant des centaines d'années dans un rayon de 500 km.

Un coup dur pour l'économie mondiale

Les événements au Japon ont déséquilibré l'économie mondiale. C'est une tragédie qui annonce l'arrivée de la deuxième vague de la crise mondiale, selon les experts. "L'un des trois centres mondiaux de la consommation, qui a sauvé l'économie mondiale (Etats-Unis, UE, Japon), a été frappé", estiment les journalistes du site Izvestia.ru. Les marchés se sont effondrés, l'industrie japonaise est paralysée, les approvisionnements en pétrole dans le pays sont menacés : désormais le Japon a avant tout besoin de nourriture et de médicaments.

L'augmentation des prix des denrées alimentaires suggère que la deuxième phase de la crise est proche, estime Basil Koltashov, économiste, spécialiste des mouvements sociaux. L'expert prédit que dans le milieu de cette année, les États-Unis vont officiellement entamer des économies d'énergie. La question est: est-ce que cette crise ressemblera à celle de 2008 ou sera-t-elle plus locale, comme au printemps de 2010?

Observateur du Kommersant.ru, Dimitri Golovintchenko est d'un tout autre avis, considérant que dans la situation actuelle, les entreprises japonaises font preuve de retenue et gardent leur sang-froid. Cependant, les investisseurs ont commencé à vendre leurs actions de societiés japonaises, et les producteurs d'uranium se plaigent de la baisse des prix des matières premières. Malgré tout, les experts s'accordent sur des perspectives optimistes pour le Japon en cas de la crise, selon l'observateur.

Personne ne doute que le Japon, l'une des économies les plus puissantes du monde, pourra faire face aux difficultés. "À cour terme les conséquences de toutes ces catastrophes, bien sûr, sont terribles. Mais si nous parlons du moyen et long terme, le tremblement de terre – désolé pour l'expression cynique – pourrait bien être utile au Japon. L'économie du pays exige des investissements, et elle les obtiendra", écrit Kommersant.ru.

Bien entendu, les événements au Japon seront un sérieux défi pour le marché des assurances, qui a déjà connu une certain panique, rapporte un observateur économique de l'agence RIA Novosti, Vlad Grinkevitch. En outre, le Japon est l'un des plus grands consommateurs et importateurs de pétrole: un ralentissement économique et, par conséquent, une réduction des importations de pétrole, auront un impact négatif sur les mouvements de prix. Un autre problème est ce que le Japon est le plus grand importateur de matières premières chinoises, ce qui affectera inévitablement la dynamique du PIB mondial. Cependant, on ne pourra effectivement estimer les conséquences réelles de la catastrophe sur l'économie mondiale qu'avec un certain recul.

En attendant le miracle japonais

"Est-il possible que la secousse actuelle pousse la nation japonaise vers le haut, vers la même renaissance, dont elle manquait après la Seconde Guerre mondiale?", se demande un observateur politique du RIA Novosti, Dimitri Kosyrev. Selon lui, la renaissance du Japon n'aura rien d'automatique. Ce n'est pas une question de coûts, c'est lié au caractère national unique des Japonais. Le monde attend un nouveau miracle japonais. Une mobilisation interne et une rénovation totale? Ou rien de tout cela ? Il est nécessaire de surveiller ce qui se passe.

Discutant de l'avenir du Japon en termes d'économie et d'énergie, un blogueur du journal d'affaire Vzglyad.ru, German Sterligov, suppose que le peuple japonais travailleur se trouve dans une position difficile. Personne ne veut acheter de nourriture, et c'est compréhensible. Le territoire est déjà radiologiquement et chimiquement contaminé, la population est infectée et irradiée. Dans ces conditions, que pourrait faire le nouveau Japon ?

"Le rôle que pourrait prendre le nouveau Japon et de servir de décharge pour les déchets nucléaire mondiaux en les stockant dans les régions déjà contaminées. Le monde a besoin d'une fosse pour les déchets radioactifs et chimiques. C'est là que le Japon devient le New Japon".
L'énergie nucléaire n'a pas d'avenir

(En photo, de haut en bas: les centrales nucléaires de Fukushima, Tchernobyl et Three Mile Islands)

Les conséquences négatives pour l'énergie nucléaire mondiale se font déjà sentir, explique un observateur politique du Nezavisimaya gazeta, Oleg Nikiforov. Plusieurs pays ont déjà décidé de s'abstenir de mettre en œuvre des plans de développement de l'énergie nucléaire. Parmi eux le Venezuela, l'Inde, la Bulgarie. Bien qu'il existe d'autres pays qui ont décidé de ne pas prêter attention à la catastrophe japonaise et de continuer à construire des centrales nucléaires. C'est ce que montre notamment la signature des accords entre la Russie, la Biélorussie et la Turquie. Mais il est déjà clair que le coût des centrales nucléaires va maintenant augmenter par le renforcement des niveaux de protection.

D'un autre coté, selon un expert de l'énergie nucléaire, Tobias Myunhmaineu, la transition vers des sources d'énergie renouvelables coûtera autant que l'énergie atomique. "Aujourd'hui, les entreprises industrielles engagées dans le développement des énergies renouvelables prédisent une hausse de 47% en 2020. Il y a 10 ans, ces sociétés étaient enthousiastes, mais maintenant ils sont des industriels énormes. Mais tout cela indique que l'énergie nucléaire n'a pas d'avenir", écrit Snob.ru, citant cet expert.

Oui, de nombreux pays ont une dépendance extrême à l'énergie nucléaire. Malgré tout, la Suisse a annulé la construction de réacteurs. En Italie, Berlusconi a voulu lui construire le premier réacteur, mais un référendum pourrait l'annuler. L'Angleterre pourrait également refuser de nouvelles centrales nucléaires. Hugo Chavez a décidé de ne pas construire de nouveaux réacteurs, malgré l'accord avec Poutine. Même en France, les sondages montrent que la population est divisée : la majorité des Français est contre l'énergie nucléaire.

Selon l'expert, la France n'a pas connu le choc de Tchernobyl car elle a juste eu de la chance. Bien que la France plus que tout les autres pays en Europe utilise de l'énergie atomique, les Francais n'avaient pas peur.

"Il y a dix ans, je ne pouvais pas imaginer que les experts s'accorderaient à dire qu'à l'avenir toute l'énergie proviendrait de sources renouvelables. La question est quand : 2080, 2040, ou même 2030 ? Mais le plus important est que nous nous commençons à changer".

Narina Davydova – Nouvelobs.com

jeicj jeicj
MP
Niveau 10
01 avril 2011 à 22:40:54

t'es sur millions tonne d'eau ??

frenchmetal frenchmetal
MP
Niveau 10
01 avril 2011 à 22:43:29

Moi, non. Tiens voila la source, c'est claire que ca fait énorme...
http://levif.rnews.be/fr/news/belga-politique/japon-la-situation-a-fukushima-reste-tres-grave/article-1194983006228.htm

Guardian_Seeker Guardian_Seeker
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 00:00:07

Concernant les rejets en mer, il serait bon de savoir combien de temps ils pourraient durer (les matériaux radioactifs ont tous des durée de vie différentes), mais aussi où ils vont se répandre : s'ils vont gagner le large ou rester près des côtes japonaises.

Dans tous les cas, le Japon et les pays environnants sont dans une belle merde. Et étant donné que le Japon est nettement plus petit que les grandes steppes de l'ex bloc soviétique, les répercussions à échelle humaine sont sans doute nettement plus inquiétantes.

Les informations disponibles au sujet de la centrale ne sont guère transparentes, mais on est en droit de se demander si ce n'est pas tout simplement parce qu'ils ne savent pas exactement dans quel état elle se trouve, et comment les choses vont évoluer dans les semaines à venir.

revons revons
MP
Niveau 7
02 avril 2011 à 00:17:49

bah apparemment ça se dilue avec le temps. mais ça pourrait polluer l'eau plusieurs mois.

mais si nous sommes autant dans le flou c'est parce que personne ne sait vraiment les conséquences des catastrophes nucléaires.

c'est peut-être ça le plus inquiétant.

Magneto_Serge Magneto_Serge
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 09:52:08

Catastrophes au Japon: fuite d'eau radioactive en mer à Fukushima

Une fissure a été découverte sur une structure en béton du réacteur numéro 2 de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, au Japon, a annoncé samedi l'opérateur. De l'eau radioactive s'écoulerait en mer.

Faudra pas s'étonner si dans 20 ans Godzilla dévaste ce qui restera du Japon.
Blague à part les liquidateurs se savent désormais condamnés à court ou long terme.

Hugo_Chavez Hugo_Chavez
MP
Niveau 8
02 avril 2011 à 18:57:17

Japon: les clochards du nucléaire

Bien que les centrales possèdent leurs propres employés, environ 80% des travailleurs du nucléaire au Japon sont en fait des sous-traitants, recrutés parmi les couches les plus paupérisées de la population japonaise. Ces travailleurs pauvres et non qualifiés effectuent pour quelques jours, parfois quelques semaines, les tâches les plus dangereuses au coeur des centrales nucléaires. Parce qu'ils se déplacent de centrale en centrale, on les appelle au Japon les "gitans du nucléaire" (genpatsu jipushi), du nom d'un livre de Kunio Horie publié en 1984.

Sur le site de l'ANPE japonaise "Hello Work", on trouve aisément diverses offres d'emploi de ce type, comme une offre par exemple pour travailler à la centrale de Fukushima Daiichi et Daini pour trois mois, du 3 février au 30 avril 2011. Le descriptif des travaux à effectuer est sommaire: tâches d'inspection, d'électricité et de soudure. "Aucun diplôme, aucune qualification ni aucune expérience n'est exigé", est-il précisé. L'embauche est faite au nom d'une petite entreprise de sous-traitance spécialisé dans la maintenance de centrale nucléaire. Le salaire: 10 000 yens par jour, soit 83 euros.

Un reportage d'El Mundo révélait en 2003 que la centrale de Fukushima Daiichi allait jusqu'à recruter des sans-abris dans les parcs de Tôkyô. Depuis la récession au début des années 1990, tous les parcs des grandes villes se sont transformés en véritable campement, avec de multiples abris de fortune faits de bâches bleues

Non mais plus on en apprend plus on est halluciné.
Quelle honte c'est affligeant.

-manit007- -manit007-
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 19:23:35

Il me semble que les elements radioactifs qui durent le plus longtemps se concentrent dans les sédiments au fond de la mer :oui:

Je sais déjà que ça va

-manit007- -manit007-
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 19:24:49

onche :hap:

Je sais déjà que ça va m'énerver ce genre de conneries, de déclarations dans quelques mois "la raadioactivité dans l'ocean au large de la centrale est repassée au dessous du seuil de dangerosité" alors que toute la radioactivité sera au fond de leau et que si tu mesure ça t'as le geiger qui explose :non2:

frenchmetal frenchmetal
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 21:14:17

A tout les jeunes qui veulent se faire un peu d'argent de poche avant les vacances.
Tepco recrute des liquidateurs a 1750 euros la journée, le rêve n'est ce pas !
Pas la peine de me remercier du tuyau :ok:

Voici l'annonce :

TEPCO cherche des "liquidateurs"

Une barge destinée à stocker l'eau de mer contaminée doit être remorquée vers Fukushima et Tepco pulvérise de la résine sur la poussière radioactive dans le but de l'empêcher d'être colportée par le vent. Le groupe cherche parallèlement à recruter des "liquidateurs" à qui il propose jusqu'à 3.500 euros la vacation pour se rendre dans les zones les plus exposées à la radioactivité afin de procéder à des réparations.

"Ma société m'a offert 200.000 yens (1.750 euros) par jour", a déclaré un employé d'une compagnie de sous-traitance d'une trentaine d'années à l'hebdomadaire japonais Weekly Post. "D'habitude, j'aurais pris ça pour un boulot de rêve mais ma femme a fondu en larmes et m'a dissuadé, alors j'ai refusé." Il faudra des années, voire des décennies, pour nettoyer le site, qui se trouve à 240 km au nord de Tokyo.

Source : l'humanité
(http://www.humanite.fr/02_04_2011-3500-euros-pour
-r%C3%A9parer-la-centrale-de-fukushima-469186)

jeicj jeicj
MP
Niveau 10
02 avril 2011 à 21:25:44

si le gars est pret a se sacrifier pour que sa famille beneficie de ce salaire ca pourrait etre interessant :p)

Sniper2Taliban Sniper2Taliban
MP
Niveau 9
02 avril 2011 à 21:42:07

Profiter de la misère des gens pour les envoyé à la mort... Ça me dégoûte, c'est les responsables qu'on devrait balancer la dedans

revons revons
MP
Niveau 7
02 avril 2011 à 23:41:02

super tu gagnes plein de pognon mais après tu crèves dans d'horribles souffrances.
je crois qu'il vaut mieux refuser, surtout qu'une grosse partie du salaire servira à payer les soins et l'hôpital.

donc aucun bénéfice.

Guardian_Seeker Guardian_Seeker
MP
Niveau 10
03 avril 2011 à 09:59:10

Quand les humains auront assassiné intégralement leur environnement et auront disparu de la surface de cette planète, la nature pourra enfin se régénérer, même si elle risque d'avoir besoin de pas mal de temps pour panser les plaies que nous lui avons infligées.

Lovemyself Lovemyself
MP
Niveau 7
03 avril 2011 à 11:19:57

"Profiter de la misère des gens pour les envoyé à la mort... Ça me dégoûte, c'est les responsables qu'on devrait balancer la dedans
"

L'armée c'est quoi à ton avis ? :hap:

frenchmetal frenchmetal
MP
Niveau 10
03 avril 2011 à 11:58:46

Les analyses de l'IRSN confirment la présence en France d'éléments radioactifs qui seraient toutefois sans danger pour la santé

À défaut d'être spécialiste des questions nucléaires, comme la quasi-totalité de la population, la raison conduit vers les sites internet des organismes fiables afin de trouver les renseignements relatifs aux conséquences de l'accident de la centrale de Fukushima.
L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) est considéré comme tel. Et dans sa synthèse qu'il actualise toutes les quatre heures depuis le drame japonais, l'IRSN évoque très clairement « la présence généralisée de traces d'iode 131 en France ».
Dans son bulletin daté du 31 mars, cet institut évoque « la persistance d'iode 131 dans l'air en France à des concentrations variant entre quelques dixièmes de millibecquerels et quelques millibecquerels par mètre cube d'air (mBq/m3) ». Il indique par ailleurs que ce niveau de concentration dans l'air « et son maintien dans la durée sont conformes aux prévisions effectuées par l'IRSN avec l'aide de Météo-France ».
Toutes les régions métropolitaines sont concernées, sans exception. La Champagne-Ardenne se situe dans les moyennes des doses relevées, tandis que l'Auvergne, la Corse et le Limousin arrivent largement en tête.
Les chiffres sont toutefois évolutifs. Ainsi à Saclay, près de Paris, entre le 30 et le 31 mars, la dose de césium 137 a augmenté de 50 %.

Niveau faible dans les légumes et le lait

Plus précisément, l'institut évoque des traces d'iode 131, élément à forte radioactivité, à hauteur de 0.27 à 0.76 mBq/m3 sur tout le territoire. Il note la

présence de cet iode 131 dans l'eau de pluie, résultat du lessivage des masses d'air par les précipitations, ainsi que sur des végétaux. « Des traces de césium 137, césium 134 et de tellure 132 continuent également à être détectées, notamment sur la station de prélèvement de particules atmosphériques d'Orsay », indique encore l'IRSN.
Toutefois, les concentrations en radionucléides artificiels sont encore considérées comme « très faibles et ne présentant aucun danger environnemental ou sanitaire, même en cas de persistance dans la durée ».
Même point de vue en ce qui concerne les aliments « les plus directement exposés aux radionucléides rejetés lors de l'accident de Fukushima, à savoir les légumes à feuilles et le lait ». L'institut est formel : « Les niveaux de concentration sont très largement inférieurs à ceux observés dans l'est de la France en 1986 après l'accident de Tchernobyl qui avait atteint plusieurs centaines et plusieurs milliers de becquerels. »
Mais jusqu'à quand ?

Rayonnement gamma dans l'Aube

Résultat des mesures de rayonnement gamma dans l'air ambiant, transmises par les sondes du réseau Téléray.
Les relevés du 1er avril
Soulaines (site Andra) : débit de dose : valeur 90 nanoSievert par heure (moyenne 2010 : 85 + ou - 30 %).
Bar-sur-Aube : valeur 110 nanoSievert par heure (moyenne 2010 : 107 + ou - 30 %).
Nogent-sur-Seine : valeur 70 nanoSievert par heure (moyen-ne 2010 : 78 + ou - 30 %).
Nogent-sur-Seine (EDF) : valeur 50 nanoSievert par heure (moyenne 2010 : 60 +

ou - 30 %).

DébutPage précedente
«1  ... 3637383940414243444546  ... 54»
Page suivanteFin
Sujet fermé pour la raison suivante : Topic verrouillé.
Infos 0 connecté(s)

Gestion du forum

Modérateurs : Jordan_Peterson, Grayhena, xofeye78, Psnoffline
Contacter les modérateurs - Règles du forum

Sujets à ne pas manquer