Ça craint un peu si personne n'est foutu d'expliquer ce qu'est cette fumée

L'eau de Tokyo radioactive

Mercredi 23 mars

Après les légumes, le lait et l'eau de mer, c'est l'eau du robinet qui présentait des risques. Le taux d'iode radioactif de l'eau de la capitale japonaise dépassait la limite légale admise pour les bébés. La concentration était deux fois plus élevée (210 becquerels par kilo au lieu de 100) que la norme acceptable.

Ils ont toujours pas rétabli le courant et des fumés s'échappent de plusieurs réacteurs,c'est à devenir fou cette histoire

11h31: Nouveau tremblement de terre à Fukushima
Un tremblement de terre d’une magnétude de 4.7 sur l’échelle de Richter, a été ressenti dans la région de Fukushima. Reuters n'a pas fait état de blessés ou de dommages matériels pour le moment.

Magnitude: 4.7
DateTime: Tuesday March 22 2011, 08:33:10 UTC
Region: near the east coast of Honshu, Japan( quelque kilomètre de la centrale, voir carte)
Depth(profondeur): 53.7 km

http://quakes.globalincidentmap.com/

--> Zoomer sur Fukushima, il commence a y'avoir des tremblement de terre de plus en plus proche de la cote et même sous cette zone !

Merci Lisztounet pour toutes ces info,perso j'ai de plus en plus de mal à en trouver,à croire que tout va bien au japon

Trompé de C/C c'est celui la

Type: Earthquake
67 minutes ago
Magnitude: 4.8
DateTime: Wednesday March 23 2011, 09:55:24 UTC
Region: eastern Honshu, Japan (a l’intérieur des terre dans les 20 km de la centrale)
Depth: 38.9 km

13h59: Le niveau de radiation est le plus élevé jamais enregistré au réacteur 2 de la centrale de Fukushima, selon l’Agence japonaise de sûreté nucléaire.

13h52: Les Etats-Unis ont interdit l'entrée sur leur territoire du lait, des produits laitiers, des légumes frais et des fruits en provenance de quatre préfectures, dont Fukushima.

13h45: L'IRSN fait le point sur la situation à Fukushima
L’institut confirme que tous l’alimentation électrique a été rétablie sur tous les réacteurs, que les salles de commande des réacteurs 1 et 3 sont «réalimentées en électricité ce qui a permis de remettre en service une partie de l’instrumentation».

Mais l’état des matériels est en cours de vérification et la «priorité est donnée à la remise en service du système de refroidissement».

L’IRSN assure que «les réacteurs 1, 2 et 3 restent dans un état particulièrement critique en l’absence de source de refroidissement pérenne».

D’autant que la présence du sel dans l’eau injectée pourrait «altérer le refoidissement du combustible à court terme». Quant aux piscines de combustibles usagées, elles sont correctement refoidies par un apport d’eau, explique le communiqué.

Cependant, le refroidissement des réacteurs reste un problème, notamment en raison de la présence du sel.
De «nouveaux rejets radioactifs» volontaire, pour dépréssuriser sont à attendre pour le réacteur 1.

Pour le 2, «les travaux de réparation ont dû être interrompus par suite d’une élévation du niveau d’irradiation ambiant ayant conduit à une évacuation des personnels».

Dans le réacteur 3, «la vapeur produite dans la cuve au contact du combustible s’évacue dans l’enceinte de confinement qui ne semble plus étanche selon les indications de pression ; cette perte d’étanchéité serait à l’origine de rejets radioactifs ‘continus’» MOX

Dans le réacteur 3, «la vapeur produite dans la cuve au contact du combustible s’évacue dans l’enceinte de confinement qui ne semble plus étanche selon les indications de pression ; cette perte d’étanchéité serait à l’origine de rejets radioactifs ‘continus’» MOX.

13h59: Le niveau de radiation est le plus élevé jamais enregistré au réacteur 2 de la centrale de Fukushima, selon l’Agence japonaise de sûreté nucléaire.

La radioactivité au réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Fukushima était mercredi à son plus haut niveau depuis le séisme qui a endommagé l'installation, a annoncé l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. Le niveau enregistré était de 500 millisieverts par heure.

La présence de sel dans l'eau injectée dans la centrale nucléaire japonaise de Fukushima pourrait altérer, « à très court terme », le refroidissement du combustible, s'inquiète l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Il y aurait un « risque de cristallisation du sel injecté avec l'eau de mer dans les cuves des réacteurs », lequel pourrait entraîner des phénomènes de corrosion, avoir un « impact sur le refroidissement des cœurs », ou encore entraîner « un risque de blocage des soupapes ».

Le nuage est arrivé au dessus de la France et même si les doses sont minime et négligeable.
Il va stagner et être renouveler durant plusieurs jour, d'autant que fukushima continu de fumé et de rejeter des éléments radioactif.

Roland Desbordes est physicien, et préside la Commission de Recherche et d’Information Indépendante sur la Rétroactivité (CRIIRAD). Il considère lui aussi que les risques sont a priori très minimes, mais refuse de s’engager sur le moyen terme.
"Nous sommes objectivement rassurants dans un premier temps, a-t-il expliqué ce matin sur France Info, il ne faut pas alarmer les gens, il n’y a rien d’anormal aujourd’hui."
"Mais, souligne Roland Desbordes, on ne peut pas rassurer totalement sur ce qui va se passer. Il faut voir comment les choses vont évoluer dans les prochains jours : il pourrait quand même y avoir une quantité de radioactivité suffisante, en fonction des phénomènes pluviométriques, pour être amené à prendre des restrictions dans les jours à venir.", notamment sur "la chaîne alimentaire"

Roland Desbordes sur france info en écoute :
http://www.france-info.com/monde-japon-2011-03-23-nuage-radioactif-pas-de-risque-en-france-vraiment-523844-14-517.html

les taux sont juste énormes

http://www.echallonmeteo.com/

La radioactivité au réacteur n°2 de la centrale nucléaire de Fukushima était mercredi à son plus haut niveau depuis le séisme qui a endommagé l'installation, a annoncé l'Agence japonaise de sûreté nucléaire. Le niveau enregistré était de 500 millisieverts par heure.

ce qui s'échappe du réacteur 2 correspond à 4 380 000 millisieverts par an.

pour info au delà de 20 000 millisieverts par an, le risque de dommages neurologiques est atteint.

1. tout-faux-coco Voir le profil de tout-faux-coco
2. Posté le 23 mars 2011 à 21:24:00 Avertir un administrateur
3. ce qui s'échappe du réacteur 2 correspond à 4 380 000 millisieverts par an.

pour info au delà de 20 000 millisieverts par an, le risque de dommages neurologiques est atteint.

Quand on pense a ceux qui sont sur le site... Même si il sont remplacés toutes les 1à minutes, y aura des séquels!

Sinon dans le réacteurs 3 la salle de contrôle a le courant maintenant, mais les instruments indiqueraient une chute de pression du réacteur, ce qui veut dire que l'enceinte du réacteur n'est plus étanche.
Tepco n'a pas confirmé pour l'instant que la fumée noire sur ce réacteur viendrait du coeur.

Si ta théorie s’avéraient exact les taux de radiation des rejets serait énorme

L’agence météorologique japonaise alerte sur de possibles répliques de forte intensité, rapporte mercredi la chaîne japonaise NHK.
Selon l’agence, même si leur nombre a diminué ces derniers jours, des répliques de magnitude 7 sont toujours possibles au Japon.
Les responsables japonais indiquent que ces répliques sont susceptibles de détruire les bâtiments déjà endommagés par le séisme ou de provoquer un autre tsunami puissant.

«Nous avons suffisamment d'informations pour déterminer qu'il n'y a pas de grands trous ou des rejets excessifs de ces enceintes de confinement. Mais nous voyons toujours des radiations provenir de ce site», a expliqué James Lyons, directeur de la sûreté des installations nucléaires à l'Agence internationale pour l'énergie atomique, dont le siège est à Vienne.

De la fumée noire se dégagerait du réacteur 3, «Nous ne savons pas si la fumée vient du bâtiment abritant la turbine ou bien de l'enceinte de confinement du réacteur», a indiqué un porte-parole de l'opérateur.

Le niveau de radiation aurait atteint 500 millisieverts par heure, ce qui correspond à la dose de rayonnement à laquelle avaient été soumis les "liquidateurs" de Tchernobyl.

A 100 m en mer au large de Fukushima, des prélèvements d’eau de mer contiennent des niveaux en Iode 131 de l’ordre 4 Bq/cm3 (100 fois supérieurs à la norme japonaise).

J'espère que ça se calmera vite, ça va faire quasiment 2 semaines maintenant...

1. Gippel Voir le profil de Gippel
2. Posté le 23 mars 2011 à 22:23:28 Avertir un administrateur
3. J'espère que ça se calmera vite, ça va faire quasiment 2 semaines maintenant...

Ils faut qu'il répart les systèmes de refroidissement, sur certains réacteurs , pour le moment ca fonctionne il me semble sur le 1, 5 et 6 (le 5 et 6 étant même maintenant en arret froid c'est a dire aucun danger)

Mais pour le reste il faut continué a refroidir non stop.
En attendant la réparation des systemes de refroiddissement (qui serait endomager a cause du tsunami mais aussi du fait d'avoir envoyé de l'eau salé en urgence dessus.)

Il faut savoir que pour qu'il n'y ai plus aucun risque de fusion du coeur c'est estimé a devoir maintenir un refroidissement pendant 6 a 12 mois...

Et c'est seulement après qu'ils pourront envisagé un démentelement ou un sarcophage de fukishima.

Néanmoins il faut espéré qu'ils trouvent une autre méthode plus sur et avec moin de rejet pour les prochaine semain, avec une réparation du systeme de refroiddisement serait le mieux, encore faudrait il savoir si c'est possible sur le réacteurs 2, 3 et 4...

Si le réacteur n°3 ne laisse plus échapper de fumée noire en ce jeudi matin à Fukushima Daiichi, la situation n'est toujours pas totalement sous contrôle à la centrale nucléaire de la Tepco (Tokyo Electric Power Company). Les réacteurs 1, 2, 3 et 4 sont tous coiffés d'un nuage de vapeur alors qu'il est un peu plus de 7 heures au Japon.

La Suisse va étudier une sortie anticipée du nucléaire. Cette option fait partie des trois nouveaux scénarios que le Conseil fédéral a décidé de creuser. Il attend des premiers résultats d'ici juin pour préparer la discussion au Parlement. Suite à la catastrophe japonaise de Fukushima, le gouvernement a chargé les services de Doris Leuthard d'élaborer de nouveaux scénarios énergétiques. Des plans d'actions ainsi que des mesures doivent les accompagner. Une première variante prévoit le maintien du mix d'électricité actuel (dont environ 40% de nucléaire) avec un éventuel remplacement anticipé des trois centrales atomiques les plus anciennes afin de garantir un maximum de sécurité. La deuxième option prévoit de ne pas remplacer les centrales existantes à la fin de leur période d'exploitation. La troisième mise sur un abandon anticipé du nucléaire et une mise hors-service des centrales existantes avant la fin de leur période d'exploitation normale.