"Pourtant le sujet est simple, une invitation à ne plus calculer sa vie"
-> Premier constat : "calculer la vie" ne signifie rien.
Deuxème constat : cette affirmation, et le sujet avec, sont des inhibations à la réflexion gonflées de suffisance.
"Et la dans presque tous les post on retombe dans la mesure"
-> Dans le tien on tombe dans la candeur et la bêtise.
"Pour faire bref : Le passé et le futur ne sont que des structures mentales, des souvenirs et des projections ,donc on peut conclure il n'y a que le moment présent qui existe"
-> Premier constat : il manque la prémisse B.
Deuxième constat : la déduction feinte part d'un présupposé accordant la seule importance à l'existence actuelle (au sens métaphysique du terme).
Troisième constat : l'affirmation invite implicitement à la suffisance en se fondant sur ledit présupposé.
"Et en ce qui concerne le libre arbitre, je reprend un proverbe zen qui dit que chaque flocon de neige tombe à la bonne place"
-> Il n'y a de "bonne place" qu'au lieu où les concepts humains ont importance : le bon et le mauvais n'ont aucune part dans la nature.
"Autrement dit : Rien ne se produit sans qu'il n'aurai du se produite"
-> Pétition de principe. L'affirmation présuppose une nécessité ou un fatalisme aussi stupide que celui du célèbre personnage de Diderot. Je méprise les extravagances asiatiques, et je méprise le destin.
Nul effet ne se produit sans qu'il ait été déterminé par une cause ; car il n'est rien qui puisse se mouvoir sans impulsion. Mais cela n'implique AUCUNE nécessité.
Tu as parfaitement raison sur toute la ligne.
Je m'excuse d'avoir été aussi bête sur ce coup
Ca m'apprendra à manquer d'érudition.
Je suis comme cet imbécile de diderot.
Comme tu l'as si bien dit, je suis un fataliste stupide, Je suis une marionette dont les aléas de la vie tirent les ficeleles.
Dorenavant je veillerai à ne plus poluer ce topic.
-> Certains doivent avoir à s'en persuader ; d'autres ne peuvent même y songer
J'ai eu à m'en persuader. J'ai été au delà de ce qui était la cause de mes malheurs pour entrevoir la richesse de la vie. D'autres ne peuvent même pas y songer, ça d'accord, mais est-ce pour autant que l'on doit s'arrêter de vivre, quand on a de bonnes raison de considérer la vie comme un don ? Certainement pas, au contraire, l'amour de la vie associé à l'altruisme peut nous inciter à être auprès de ceux qui vivent dans la souffrance et le malheur pour les aider. Donc tout est relatif, et on ne peut pas admettre de manière universelle que la vie est un don ou non, tout dépend de chacun, et moi je le considère comme tel, donc je ne vois pas ce qu'il y a d'absurde à voir les choses de cette façon (comme le laisse entendre ton smiley).
Il y a des gens qui ont une vie de dépouille. Les gens qui sont dans la déchéance physique, crois-tu qu'ils puissent considérer la vie comme "un don".
As-tu seulement lu mon post ? J'en ai pas l'impression. Bien sûr que ces gens ne peuvent pas nécessairement considérer la vie comme un don. C'est pourquoi j'ai dit qu'à ce niveau, c'est relatif, c'est à dire que tout dépend de chacun.
Je lis vos messages en oblique, étant donné qu'ils ne présentent pas la moindre dimension philosophique.
En sciences, tout commence par des définitions. Et malheureusement, vos discours sont remplis de termes que vous ne sauriez même pas définir, fût-ce d'une manière brève et pratique.
Rien que ce mot, "relatif"... Tu l'emploies n'importe comment ; victime de cette langue dégueulasse qui est devenue la nôtre.
Même les universitaires ne savent plus parler...
Alors là je suis assez sceptique sur ce que tu me dis: tu dis que tu lis nos messages en oblique puisqu'ils n'ont pas la moindre dimension philosophique.
Seulement, si tu ne lis pas les messages avec attention, comment peux-tu déduire que ces derniers n'ont pas de dimension philosophique ? De même, comment peux-tu être à même de discuter d'un sujet convenablement, ou de réfuter une réponse si tu ne lis pas avec attention ce qui est dit ? Là c'est prendre le risque d'être à côté de la plaque, puisque en lisant "en oblique", tu prends le risque de passer à côté de quelque chose d'important, et ainsi mal interpréter les propos. Autre point plus hors sujet, bien que ce soit un forum philosophie, il y a des gens que je qualifierais d'amateurs, dans le sens où ils souhaitent discuter d'un sujet, ou poser une question relevant de la philosophie, des questions qui appartiennent à notre quotidien, des questions qui sont le propres de l'homme et pas seulement des philosophes, eh bien il y a des gens comme ça sur ce forum qui viennent simplement pour discuter, ou pour trouver des réponses, mais sans pour autant avoir connaissance de tous les concepts, ou de tout le vocabulaire de la philosophie, mais ce n'est pas mon cas, quand bien même il m'arrive d'employer des termes au sens commun et non philosophiques, d'où l'importance de lire attentivement les messages. Enfin, pour quelqu'un qui comme toi semble véritablement ancré dans la philosophie et ces principes, je suis surpris que tu te contente de critiquer au lieu de réfuter, c'est à dire que tu fais des reproches, des remarques, tu dis que telle chose ne va pas, mais ya rien de constructif dans ce que tu dis puisque que tu n'explique pas tes remarques/reproches. Donc maintenant, dans le cadre de la réfutation, j'admets que je peux me tromper, après tout je suis homme, et donc dans cette mesure, je suis prêt à me faire réfuter, c'est à dire à ce que l'on effectue une critique de mes propos, mais si celle-ci est justifiée, légitime, autrement dit, si elle a pour but de porter à ma connaissance un savoir que je ne possède pas, en d'autres mots, de me tirer de mon ignorance. Donc puisque, pour l'exemple, j'emploie le terme "relatif" à tort, je t'invite, toi qui sais, dans le cadre de la réfutation, à me donner le sens du mot relatif, que j'ai utilisé précédemment au sens de "relatif à l'individu, qui dépend de chaque individu, propre à chaque individu". Par exemple, les goûts sont relatifs. Moi j'adore les pâtes carbonara par exemple, alors que d'autres aiment sans plus, d'autres n'aiment pas trop, d'autres encore détestent carrément. C'est dans ce sens là que j'entendais relatif, comme on dit également qu'une opinion est relative à un individu, ou un groupe d'individus.
Au fait, j'ai pas mal de travail là, donc je ne promet pas de repasser ce soir pour me tenir au courant de tes réactions et y répondre. Donc faudra probablement attendre demain pour ça.
up-the-irons, il ne faut pas être devin pour voir que tes messages sont tous complètement creux et que tu dis en plusieurs paragraphes entiers des choses qui tiennent en une phrase, et avec une précision plus grande dans la simple phrase que dans tout le paragraphe que tu as développé.
En bref, tu camoufles ton absence d'idée derrière un torrent de mots, ce qui a pour effet de tuer toute discussion potentiellement philosophiques en engendrant l'ennui des gens compétents et les dégoûtant de lire. ceux qui n'y connaissent rien sont également rebutés par cette avalanche dont ils ne peuvent comprendre le vide, et seuls quelques ares courageux, incapables de voir tes éternelles répétitions et développements ineptes peuvent te lire et te répondre car n'étant pas dégoûtés par ton absurde comportement avant la fin de la lecture.
Bref, il n'y a pas de philosophie dans le coin depuis un certain temps et j'aurais du dès le départ détruire ce sujet, mais bon ça aurait été en contradiction avec mon statut d'incompétente notoire.
Oui je reconnais que je pars souvent dans des paragraphes, où bien souvent je redis plusieurs fois la même chose, mais en général pour insister sur certains points. Donc peut-être bien, même sûrement puisque c'est le sentiment que tu as, qu'à force de trop insister, on finit par perdre le fil directeur.
Donc dans cet optique, je ne camoufle pas une absence d'idée, car les idées sûr lesquelles je discute, les conceptions que j'ai, je les aient ça c'est une chose, mais je suis à même de les justifier. Donc je suis d'accord quand tu affirmes que je dis souvent en un paragraphe ce qui peut-être dit en une phrase, mais c'est à l'origine dans un souci de précision, mais semble-t-il, puisque c'est ce que tu mets en évidence, et que je comprends parfaitement, trop de précision tue le sens et la discussion en fin de compte. Donc j'essaierais de tenir compte de cette remarque à l'avenir.
Ensuite, à ce que je comprends, tu "m'accuses" de faire cela exprès, d'où l'idée du "camouflage" et de "l'absurde comportement". Mais ce n'est pourtant pas le cas.
PS: oui je sais, je suis censé travailler mais je n'ai pas pu résister à l'envie de vérifier s'il y avait eu des réactions.
Le procédé d'insistance ça va un peu, mais si tu insistes sur strictement tous les points que tu mets en lumière, l'utilité de ce procédé ne sert plus à rien.
Et là franchement tous tes messages sont dénués du moindre intérêt.
Quant à l'absence d'idées, de ce que j'ai pu lire, les idées... c'est pas vraiment ton point fort. Ou alors tu sais si mal t'exprimer que tu es incapable de les exprimer jusqu'à leur essence et en reste à une description superficielle à peine creusée par endroit.
P.S. : Je t'accuses de le faire exprès non sans raison, la longueur de tes messages n'est pas naturelle, de même que tes éternelles répétitions qui sont SANS précision supplémentaire (à moins que tu n'aies pas remarqué que les précisions que tu ajoutes avaient soient déjà été ajoutées dès le départ, soit étaient suffisamment complètes pour ne pas nécessiter toute la longue introduction que tu en faisais avant).
Il se peut que j'ai tendance à abuser de ce "procédé d'insistance".
Ensuite j'aimerais juste que tu éclaire ma lanterne, sans forcément trop t'y attarder, donc ne serait-ce qu'en donnant un exemple: les idées. Qu'est-ce qui te fais dire ce que tu dis à ce niveau ?
Enfin, la longueur de mes messages n'est pas volontaire, c'est à dire que quand je suis lancé sur quelque chose, sur un sujet auquel je suis sensible, avec moi ça va vite et j'atteins rapidement cette longueur sans même m'en rendre compte, et je me rends compte aujourd'hui ce qui n'était pas le cas avant, que toute cette longueur est tout simplement superflux, voire superficielle puisque tu as raison sur un point, à savoir que mes répétitions ne possèdent pas nécessairement de précisions supplémentaires, mais je ne fais pas cela exprès pour le simple plaisir de rajouter de la longueur. Comme tu l'as déduit à très juste titre, je ne me rendais pas compte que ces précisions avaient soit déjà été ajoutées, soit suffisamment complètes et ne nécessitant dès lors pas d'autres explications, précisions ou répétitions.
Désolé si je vais dire des gros mots mais j'ai jamais vu une couille pareille
En version focu ça donnerait : t'es un bavard toi hein ?
Ouais bon allez bon je crois qu'il vaut mieux pas continuer, si tu pars du principe que je fais tout volontairement, que je suis absolument sûr de ce que j'avance, que je ne suis pas prêt remettre en cause mon jugement etc., et que par là même tu considères que tout ce que j'ai pu répondre à Sofea, rapport aux remarques qu'elle m'a faite, n'est qu'un tissu de connerie emplit de malhonnêteté, alors je pense qu'il vaut mieux s'arrêter là.
La longueur n'est pas volontaire ?
Quand quelqu'un dans la rue te demande l'heure tu lui réponds en dissertant sur la raison qui font que les aiguilles indique telle heure et pas telle autre ?
A d'autres va...
Ou alors tu ne dois pas avoir beaucoup de relatons sociales pour ignorer qu'à question courte la réponse attendue doit l'être aussi.