Je viens de voir ta poésie qui était tombée fin de page précédente Yetet...
en effet t´était au meilleur de ta forme
mais j´aime bien le poème qui reprend le refrain et qui reprend aussi les débuts de strophe en amenant d´autres idées... bien fait...
Mon âme est en feu
Je ne puis aller mieux
ô Mort!Douce caresse,belle enchanteresse
Exauce tes promesses
Emporte-moi dans ton sein
Provoque ma fin
Enveloppe-moi de tes mains
Mets fin à ce maudit destin
Prends-moi avec toi
Dans ton monde sans loi
Protège-moi de mes enemis
Guide mon esprit
Chasse mes frayeurs
Propage ta mortelle lueur.............
[eclaire ma mort si tu ne peux eclairer ma vie........les portes de l´enfer sont ouvertes]
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Les 10 commandements: ( petit delire pas de poesie)
1 - Vis pour te reposer.
2 - Aime ton lit, c´est ton temple.
3 - Si quelqu´un vient te voir pour se reposer, aide-le.
4 - Repose-toi le jour pour pouvoir dormir la nuit.
5 - Le travail est sacré, ne le touche pas.
6 - Ne fais jamais demain ce que tu peux faire après-demain.
7 - Travaille le moins possible. Ce qui doit être fait, laisse les autres le faire.
8 - Du calme, personne n´est mort en se reposant, mais tu peux te blesser en travaillant...
9 - Quand tu ressens le désir de travailler, assieds-toi et attends que cela passe.
10 - N´oublie pas, le travail c´est la santé. Donc, laisse-en aux malades.
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Je crains cette vie plus que la mort
Car au moins morte je saurais quel est mon sort
La vie m´emplie de terreur
Oh,oui d´elle j´ai tellement peur
Je la tiens en main
La clé de mon destin
Plus qu´une pression
Et jamais plus,je ne me ferais d´illusion
Un sanglot roulant le long de la lâme
Faisant écho dans mon âme
Je n´ai plus qu´à presser
Et je serais délivrée
Un flôt se déchainant en moi
Mais quelle est donc ma voix
Retarderais-je encore mon départ?
Est-il trop tôt,trop tard???
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Mon monde est détruit
Je n´ai plus goût à la vie
Ce monde n´a plus de mystères
Qu´il redevienne pousière
Ce monde est le tien
Pas le mien
Laisse-moi le quitter
Laisse-moi m´envoler
Je vis dans ma souffrance
M´enferment plus dans ma démence
Je ne suis qu´une ombre
Parmis tes rêves les plus sombres
Cette douce folie m´ennivre
Enfin je suis libre
Dans ma folie
Je pris la décision de quitter cette vie
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Comme chaque soir
Je me regarde dans le miroir
J´y vois une ombre
Dont l´âme est si sombre
J´erre dans le labirynthe de la vie
Traînant partout ma mélancolie
Ma douleur est profonde
Pourquoi,ne puis-je quitter ce monde?
O Mort,je t´offre mon âme,te dédies mes larmes
O Vie , pourquoi, tu t´acharnes?
Regarde mon sang coulé
Prend avec toi,cette âme torturée
L´horloge s´est arrétée
Mon dernier souffle s´est envolé
Je ne pourais plus sentir
Ces choses qui m´ont tellement fait souffrir
La ville s´eveille
La nature continue de propager ces merveilles
Le sang continue de couler
Le long de la lâme ensanglantée
ps: tout mes poemes sont noirs, c´est normal, on ne renie pas sa nature, la mort en fait n´est que le prolongement de la vie.
Au contraire,la vie n´est qu´un interlude dans la mort.
la mort c´est un point d´interrogation apres une longue ( ?) et belle ( ?) phrase.
[Il est court, mais je ne sais pas encore si j´ai quelque chose à ajouter ou pas^^]
Humanité, générosité, fraternité
A travers les sombres, froids et vils étendards
Dont parfois les hommes font leurs tristes oripeaux
A travers ces basses idées toujours noires
Qui leur servent encore trop souvent de drapeau
J’ai cherché sans espoir notre Humanité
Au milieu de tous ces cadavres épars
Dont la Faucheuse fait ses dîners les plus beaux
Pris dans les flots de sang et l’intense brouillard
Trahi par ces pathétiques hurlant leurs maux
J’ai cherché sans espoir notre Humanité
Dans les cris s’entrechoquant avec le soir
Qui interpellent trop peu de fois les badauds
A l’aide fréquemment pleutre, donc si rare
Que les décharnés n’ont jamais eau et repos
J’ai cherché sans espoir notre Humanité
En moquant les nombreux médias dérisoires
Dont tous les buts sont fixés par ceux d’en haut
Qui de franchise seront toujours avares
Pour eux trop risqué de nous laisser nos cerveaux
J’ai cherché sans espoir notre Humanité
Au cœur de ces nombreux marchés cruels miroirs
De ce que l’Homme a toujours eu de moins beau
Où l’on exhibe ainsi dents et mâchoires
Abaissant leurs frères au rang vil d’animaux
J’ai cherché sans espoir notre Humanité
tres " beau", en tout cas j´aime beaucoup
c´est le bac de français qui t´inspire?
Darkhina > noirs mais beaux... et profonds...
Saternathe > j´aime aussi... bien fait...
surtout ton dernier Darkhina qui m´interpèle davantage...
bon allez j´enchaine
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scène 3
( long silence apres le départ de alfred, puis annié prends la parole agacée par le silence, engage la discution mais ne s´interresse pas réellement aux propos d´Eugène)
Annie:
Bien, comment allez vous mon cher ami?
Eugène:
Je vais, à mesure des aléas de la vie.
Ce qui rythme mes jours passés ici,
Les petits bonheurs et les gros soucis.
Les moments comme ca ( il lève le pouce ) et d´autres comme si.
Comme si tout allait s´effondrer,
et si j´en avais le courage, je pendrais.
Mais.... je dois vous agacer avec mes discours...
Annie ( lui coupant la parole, l´air encore plus agacé)
Oui en effet, vous feriez mieux de couper court.
En ce bas monde chacun à sa croix à porter.
Eugène
En effet c´est une lourde tâche que d´exister.
C´est un fardeau que j´aimerais bien partager.
( en disans cela, il cherche le regard de Annie)
Annie ( l´air éxaspérer fuyant le regard d´Eugene.)
Peut être... mais le pire chose est de s´enamourer,
Et pire encore lorsque la dame aimée,
est trop belle pour vôtre banalité.
Eugene ( ne prenant pas compte des deux dernieres réplique)
Hahaha, Beau trait d´esprit, mais je ne suis pas surpris.
On m´avait appris que votre beauté,
N´a d´égal que votre vivacité.
J´avoue que sur ce coup , vous m´avez bien pris.
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elle est finie, j´ai pas vraiment eu le temps d´écrire ces temps ci .
C´est pas mal du tout Death
zaime bien, mais pourquoi mon poeme t´interpelle t´il?
y a eu pas mal de décès dans ma famille au cours des dernières années ( surtout depuis un an) et là j´ai appris encore hier qu´une de mes belles-soeurs a un cancer qui est incurable... c´est ma belle-soeur préférée...
oucchhh, je suis desolée, j´ai toujours ecrit des choses de ce genre, je ne pensait pas toucher les gens avec mes poemes . ....
gomen da saï
j´ai pas peur de la mort, je l´ai trop côtoyée et j´ai appris à l´apprivoiser... mais il y a quand même des injustices, les personnes qui nous sont " enlevées" sont souvent celles à qui l´ont tient le plus et c´est ce bout de chemin qui est difficile à faire...
La mort ça va... la tristesse qu´elle engendre, ou plutôt le vide, la non présence de la personne, ça c´est plus difficile et c´est justement là qu´il faut apprendre à apprivoiser la mort...
Quand je suis triste et que je vis des événements de ce genre c´est clair que mes écrits s´en ressentent
moi au contraire, je pense que le propre d´un poème c´est de faire ressentir un peu les émotions de son auteur... enfin les miens sont souvent de ce genre... mais je conçois que d´autres écrivent différemment de mon style à moi ( mouais ça fait redondant tout ça mais bon...)
de toute facon, nous ne sommes qu´un tas d´atomes, nous ne sommes pas vraiment vivants, car la vie est une chose abstraite, comment peut on dire que l´on vit? alors que nous ne sommes fait que de choses mortes, la vie n´existe pas, la mort non plus en veritée, nous sommes des tas de molécules, et nous le serons a jamais, nous ne sommes rien
C´est étrange, pour moi, mes poèmes me permettent justement de quitter mes émotions et ma personnalité en me mettant à la place d´un autre ou en faisant des jeux de style.
^^
Mais c´est vrai que les émotions au moment de l´écriture se voient bien...^^
Pour moi, la mort est un passage obligatoire offrant des épreuves nouvelles, et son utilité réside dans la force qu´elle donne aux bons moments.
Je m´explique. Un bon moment est d´autant plus riche qu´il est rare.
Enfin, disons qu´on apprécie d´autant plus de parler avec quelqu´un, de faire une activité, que le bonheur de faire ce genre de choses est ´autant plus fort qu´il est cher, puisque voué à finir.
On apprécie donc la vie parce qu´elle a une fin.
C´est juste un points de vue^^ ( envie de philosopher un peu)
Je suis assez d´accord avec ton idée Saternathe en général sur la poésie et la vie et la mort
Il m´arrive aussi de vouloir devenir quelqu´un d´autre...
Voila alors c´est pas vraiment une poésie mais une chanson que j´ai composée:
je suis se barde de la vie
celui qui savoure ces peines comme sa joie
satisfaisant ses envies mettant mon cœur en émoi,
le temps passe, les choses s´effacent
les mots s´égard dans le vent comme moi qui me perdrai dans le temps
les larmes sont là, synonyme d´espoir
je suis las,
d´attendre de savoir.
je suis brute elle est tendre,
mon cœur a eut le malheur de se faire prendre
Que faire? Me détendre?
Y a t´il plus bête qu´apprendre?
le temps passe, les choses s´effacent
les mots s´égard dans le vent comme moi qui me perdrai dans le temps
les larmes sont là, synonyme d´espoir
je suis las,
d´attendre de savoir.
ce qui restera de moi je ne le sais pas
un sourire, une larme et le temps passe
les choses s´effacent.
j´aime mes anges comme mes démons,
ce qui m´aime et ceux qui me disent con
j´avance peur au ventre parce que j´ai confiance
mi-ange mi-démon
mes mots parcourent les vents comme des oiseaux quittant le nid
les choses que je dis font naître les sourires
les mots partis font souffrir
mi ange mi démon
envoûte le monde de leur présence
Lourde sentence pour celles croisant mon chemin.
les mots se perdent, s´égard dans le vent, comme moi m´égarant dans le temps
le temps passe les choses s´effacent.
sourire et larme ne dur qu´un temps...
c´est ces sentiments que je ne peux exprimé par des mots que je veux oublié
ces écris sont un cadeau pour celui ou celle voulant les lire
J´ai plusieurs trucs à mettre^^
Tout d´abord, un poème pas excellent que j´ai écrit il y a longtemps, mais c´est un premier jet dans un moment où je n´étais pas bien, ça vaut donc quelque chose, ne serait-ce que pour moi^^
Traumatisme Fatal
Pourquoi est ce que je me dois de finir tout ?
Moi, je voudrais tant partir avant la vraie fin
Je ne veux plus qu´on me voie si souvent à genoux
A quoi sert donc une existence sans entrain ?
Pourtant une seule personne peut me guérir
Mais elle ne sait pas ; je ne veux pas lui dire
Alors ce secret reste enfoui chez moi
Et ces sentiments ainsi en fouillis, fatras !
Je ne veux plus que ses yeux me voient là tout seul
C´est dans ce silence qu´existe ma souffrance
Quand je veux parfois ainsi ouvrir mon linceul
Quand je me dis parfois que je vaux la potence
Je me rappelle de ces paroles dites
Je me rappelle de ce si beau sourire
Ainsi, quand l´envie de vivre soudain me quitte
Elle n´est entamée que par ses bons souvenirs
Combien de fois ont-ils ainsi gardé ma vie
Combien de fois m´ont-ils persuadé de rester
Et l´on voudrait comme cela que je fasse ainsi
Que je ne puisse les revoir, ni te regarder ! ]
Pour répondre à Darkhina:
Un tas d´atomes... Certes nous ne sommes qu´un tas d´atomes. Mais notre vie n´est pas si abstraite. Elle correspond à l´union entre ces atomes, qui nous forment biologiquement. Nous cessons lorsque cette union cesse, c´est donc la mort, mais alors d´autres alliances se crééent, c´est la renaissance.
La plus grande peur engendrée par la mort reposarait donc sur l´ignorance. On ne sait pas si ces cycles de périodes de vie et de scissions ( morts) s´appliquent aussi à l´esprit, d´où la peur naturelle de disparaître.
Enfin, c´est ce que je crois... ( Pour les phénomènes scientifiques, tout dépend de mon attention au cours de SVT^^)
Ensuite, pour répondre à Redsissi
Bien sûr, la recherche de mes écrits c´est de devenir quelqu´un d´autre... Ainsi les deux poèmes que j´ai déjà mis me placent dans la peau d´un amoureux^^ ( ce que je n´ai encore jamais été)
Et l´autre qui parle de l´Humanité me fait paraître assez sage^^
Mais bon, la recherche d´un changement de personnalité me permet surtout d´oublier la mienne, que je trouve à la fois trop étrange et trop banale ( un peu trop dur à expliquer^^)
Voilà.. ( Je me demande ce que j´aurais donné aux épreuves de philo..^^)