Dur à suivre, celui-là...
il a l´air pas mal gouré si tu veux mon opinion...
à moins qu´il ne soit bourré...
Amour de mes nuits...
Ta peau de velours
oh mon tendre amour
quête mes caresses
quémande ma tendresse
Tu m´obsèdes nuit et jour
je te fais une ardente cour
chaque instant je pense à toi
tu mets mon âme en émoi
Tu sublimes mes songes
près de toi je m´allonge
je frisonne de plaisir
dans tes bras m’endormir
Et je m´abandonnerai à mon désir
ce sera bien plus qu´un souvenir
d´envie nos corps s´enlacerons
nos passions ensemble nous vivrons
Je vis de folles émotions
Je suis dingue de toi mon mignon
Ma tête jamais ne t’oubliera
Mon cœur pour toi s’affolera
Vivement qu’on se revoit
Pour ressentir encore une fois
Tous ces merveilleux instants
Passés avec toi mon doux amant
Pas mal, pas mal.
Moi je dirais plus: Très bien, très bien.
Lol les voisins gonflables... vive le Québec! heins les gars!!!
Guerre.
Tant de cris et de larmes,
Tant d´amours déchirées,
Ne pas prendre les armes,
Il faut garder la paix.
Le bruit des bombes au loin,
Font sursauter maman,
En effet dans le coin,
Papa est mort, vaillant.
Les ennemis s´approchent,
On est tous apeuré,
On vide tous nos poches,
Pour plus vite s´en aller.
Mais c´est beaucoup trop tard,
Ils frappent à la porte,
C´était un traquenard,
Ce soir, maman est morte.
Quelques strophes composées à la va-vite
Superbe, Clar´. Bonne forme, bonnes rimes, bonne composition, thème fort. All right !
Et toi FFrules? quand gratifieras-tu mon pic de tes strophes???
Allez FFrules
ici ça pullule
comme des bulles
allez tête de mule!
Vas-y laisse-toi allez
Rime pour nous épater
voir si tu peux faire des rimes
un " système", un " scoop" ou un crime!
Vas-y change de style
prouve que t´es pas une fille
Strophe pour cette famille
tu vois ça nous émoustille!!!
Ode au forum
Dans des contrées lointaines,
Vivaient en sauvageons,
Non pas des croques-mitaines,
Mais ceux qui sont sans-noms,
On les appelle souvent,
Les " Forumeurs fous",
Et tout en écrivant,
Ils ne gagnent pas un sou,
Voici le territoire,
Du forum Fanfictions,
Qui ne sont pas avares,
Et sont vraiment très bons,
L´Histoire se souviendra,
D´une poignée de gens,
Qui furent très sympas,
Mais pas très intelligents.
Mdr
Clar => Sympa le tien, lé marrant ^^ Celui sur la Guerre est bien aussi maos on ne peut pas dire qu´il soit marrant ^^;
Red => sympa le poeme pr FFrules, lol aussi ^^
Allez j´me lance, après tout, pourquoi pas. Bon ceci est mon premier poême qui est parti sur un idée noire comme vous allez pouvoir le constater! ( pff pk faut tjrs que je blablate avt de poser un texte moi)
La Mort
Que de par cette lame,
Coule mon sang.
Et que mon âme,
S´apaise dans le néant.
Je ne peux plus m´en tirer,
Je descends aux Enfers,
Celui qui a gagné,
C´est le Maitre, c´est Lucifer.
J´ai sombré dans le désespoir,
Dans le noir je tombe.
Il n´y a plus d´espoir,
Ce vide est comme une tombe.
La Mort m´attire doucement,
Peu à peu je me taillade la veine.
Je suis mort maintenant,
Pas le droit au " try again"
Voila, voila, un peu bidon certes :rougit:
Mais bon . ..
Je vais devoir remettre la petite strophe que j´avais écrite sur le topic poèsie du forum des + 35 ans. Attention, sa va être très court...
Je suis elle, elle est moi,
Une peur,
Une frayeur,
Elle en aime un autre que moi.
Bon, alors que ce soit bien clair, la poèsie et moi, sa fait deux ! Comparé à toi, Red ou bien à ce que je viens de lire de ShinouG ( très bon poème) ou de Clar´, je suis un nain. Mais qui sait ? Peut-être un jour...
Oh, et FFrules ne rime pas avec bulles. On dit " èfèfroulzzzz". Allez, maintenant, cherche une rime, Redsissi ! Je te mets au défi d´en trouver une. mdr.
Ses yeux couleur azur,
Remplissent mon coeur de joie,
Ce n´est pas une torture,
De l´avoir devant soi,
Mais Malheureusement,
Elle va partir loin,
Et tout seul me laissant,
Je mourrai dans mon coin,
Le cruel destin,
A voulu me tuer,
Je n´étais pas un saint,
Mais pas un meurtrier,
Mon amour tu t´en vas,
Et m´ouvrir les veines,
Est désormais un choix,
Je n´aurai plus de peine.
Le doute m’abreuve et n’étanche ma soif. Ha ! Qu’elle serait facile,
La vie s’il n’y avait que sexe, malheureusement l’amour s’y mêle.
Séduire encore et toujours, plaire à toutes, leurs montrer qu’elles sont belles,
Leurs montrer la vie sous son plus beau coté. Mais l’amour, aucune sibylle
Ne peut le prévoir. Il m’assaille à chaque regard, il m’assassine,
Lorsqu’elle tourne la tête et m’offre son plus beau sourire, ses lèvres fines
Tranchent dans ma chair. Qu’il était simple d’aimer celle de son choix,
Qu’il est dur d’aimer celle qui nous fait rire. Je porte ma croix.
Dois je lui dire ? Comment lui dire ? Faire la cour et dire je t’aime
A toutes les demoiselles, leurs donner un sourire, je le peux.
Mais dire je t’aime à celle que j’aime, celle qui fait naître un feu
Au plus profond de mon cœur, m’est trop dur. Et par-ci et par-là je sème
Un peu d’amour, discrètement sans qu’elle me voit. Oh mon charme,
Je n’ai, au début, pas hésiter à l’employer, je ne savais alors mes sentiments,
Mais maintenant comment continuer, comment reprendre les armes
De l’amour, alors que je ne sais où tout cela va nous conduire. Trop aimant,
Je ne puis me résoudre à commencer une relation qui ne peut durer :
Elle veut rester libre toute sa vie, aimer sans contrainte, boire et aimer.
Alors que je veux, au bord d’un feu, près de nos enfants, lui murmurer:
Qu’elle est toujours aussi belle. Encore et toujours sa peau écrémée
Réveille tout mes sens. Nous sommes jeunes ne serait il pas fou
De laisser filer l’amour, pour un avenir si incertain ? Mais n’est ce pas
Encore plus dément de construire un amour qui tombera sous le coup
De visions différentes ? L’amour, vais-je accrocher à cet appât ?
Ho non l’amour est beau, ce n’est pas un piège, mais pardon
Puisque je doute de l’avenir. L’amour a toute ma confiance,
Pour celles que j’aime, je serais prêt à tous les dons.
Oh pourquoi ne tenterais-je pas ma dernière chance.
Mouarf le dernier vers est pour conclure ce poème c´est tout, oui je ne l´ai pas fini, mais je ne suis plus dans cette période, et il m´est trop difficile d´exprimer les sentiments d´antan.
Car c´est bien de sentiments et peu de pensées qui s´y sont exprimés.
Ni envie ni volonté.
Juste un sentiment d´impuissance.
Voire le néant, le penser.
Et le mot fin acquiert un sens.
La proximité m´insuporte.
J´ai pourtant trop besoin d´eux.
Mais ils ne comprennent pas que je les exhortent
A me laisser, je suis peureux.
Des relations qui se nouent.
Des liens qui vont se créer.
Même si l´on tend la joue
On peut vouloir la gifler.
Nul ne sait ce qu´il peut advenir.
Mais l´imaginer n´est pas difficile.
Hier je voyais ce qui pouvait nous unir.
Aujourd´hui cela m´horripile.
Bien peu peuvent me comprendre.
Encore moins cherchent à le faire.
Mais je ne suis pas un tendre.
Et ils veulent conserver leur lumière.
Et même si la nuit m´entoure
Et si je disparais
Que l´on me dise si un jour
A quelqu´un je manquerai.
j´aime bien vos vers les gars...