Au fait pour ton enthousiasme! Ca fait plaisir!
Ahhhhh........enfin.
Avant tout, l´une des deux fautes du texte : "voulut tira". Si je les donne c´est pas du tout que ça me gêne ou que je suis pointilleux (encore que pour ça...^^), mais juste que je t´aide à corriger pour l´édition^^.
Et sinon, que dire? Comment qu´il fait pour réagir en un dixième de seconde? Normalement faut une seconde pour réagir^^. Franchement géniale cette partie, tout défile sans que je me rende compte de rien...pauvre Dorzak par contre Katja ça m´a fait un peu rire sa mort.
Ahlala...encore et toujours des questions : Andorion fera-t-il chier encore longtemps? La mort de Kogard fera-t-elle effectivement tomber la ville? Andorion a-t-il menti en disant que l´Oeil ne servait à rien?
La
suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!
ha ben là, ce(s) chapitre(s) dépasse tout ce que j´ai lu de toi jusqu´a présent!!!
le combat est le meilleur, le scénario avance pourtant, on vit que alex c´est pas de la gnognote, lui il veut le pouvoir, il veut pas que les autres ils restent en vie, mais p´tete qu´il va sauver la ville avec ses bracelets....
enfin bon bref, vaiment, je te jure que là celui là de chapirte est suuuuubliiiiiimeeeeeeee
PS: la suite!
Angel==>D´un autre côté, que vaut la vie d´un gouverneur face à un objet unique peut-être perdu à jamais?
KaiM==>En tout cas nos réactions prouvent que le fiat qu´il y ait beaucoup de combats ne nuit pas à l´intérêt de ta fic, c´est même exactement le contraire je pense. De toute façon, une fic d´HF sans morts, est-ce vraiment de l´HF?^^
Juste pour vous marrer, lisez le texte suivant.
J´ai pris une aprtie du combat, je l´ai traduite en Anglais avec Google, puis retraduite en Français.
Je sais pas pour vous, mais moi je trouve ça délirant.
Leurs lames se sont levées en même temps. Leurs regards ont planté un dans l´autre. On l´a observé ainsi un long moment, indifférent au feu qui a éclaté au-dessus de leurs têtes. Puis, en même temps, elles ont jailli dehors. Les murs de la cathédrale ont reflété l´écho de leurs étapes tandis qu´ils ruaient elles autre, leurs armes scintillant sous les flammes. Droit avant leur réunion, Alexandre a lancé un coup du poing de sa main libre, prêt à se défendre avec son glaive si son adversaire essayait de couper la main dans les sections avec lui. Elf saisit son poignet et saute pour le frapper avec la tête. Le prince saisi derrière à son tour le bras Andorion et rose comme aère dedans à lui. Porté par leur creux, maintenu par les mains, ils ont entouré un autour de l´autre. Leurs lames se sont réunies deux fois, dans le dessus puis au-dessous de leurs bras. Alors elles sont tombées en bas sur les flagstones et ont été libérées toujours avec la grève. Le sabre de la fente d´air d´Andorion. Prince paragraphe que le coup a projeté pour sa tête et contrecarré par une attaque le ventre. Son adversaire a esquivé d´une étape du côté, plie les genoux quand les glaive d´Alexandre ont sifflé alors au-dessus de sa tête, essayés pour la frapper avec la jambe. Les étincelles ont jailli hors de l´extérieur quand leurs lames ont croisé. Elf d´un soulagement violent saute le prince et a réduit son sabre sur sa tête. Alexandre a évité lui et le volte-visage fait pour placer une attaque avant que son ennemi ne touche pas la terre. Andorion parvenu cependant pour bloquer sa lame et dépouillé un souffler-de-pied vers le tronc du prince. Celui-ci avec une main a dévié l´attaque et autre a propulsé son glaive vers le visage d´Elf. Andorion a plongé le côté pour s´échapper de lui, a évité l´exactitude un nouveau faisceau qui est tombé du toit, et a été rectifié. Il a porté la main à sa ceinture et a pris au fond d´eux trois couteaux de lancement qu´il a projetés sur Alexandre. Le prince a esquivé le premier facilement. En second lieu très près de la joue il a passé. Le tiers entaille l´oreille avec lui. La douleur encouragée à libérer son attention un deuxième fendu pendant quel Andorion a été jeté sur lui. Alexandre cependant parvenu pour éviter le coup, étape déplacée derrière et prenait toujours le combat. Après que cette première clé machine pendant la EC ce qui chaque duellist avait sondé les forces de l´autre, confrontation soit devenue pointue. Aucun inquiété du toit des bardeaux qui a été écrasé autour d´eux, trop concentré sur leurs mouvements. Andorion a sauté, tourbillonné, plongé, frappé, avec une grace, une vitesse et une puissance incomparables. Mais elle n´est pas parvenue à prendre le dessus sur Alexandre. Le prince attaqué sans libérer dans une détermination sauvage, apparaît et a esquivé chaque coup sans trahir le moindre signe de la tension. Ses ordres n´ont jamais semblé ne pas finir, et quand finalement sa lame a arrêté sa course, elle devait viser toujours avec le deuxième à suivre, le plus rapidement et mortel que jamais. Andorion seulement a pu admirer le talent son jeune et adversaire inépuisable de tandis que bloquant chacune de ses attaques. Elf pourrait un être seulement rempli du témoin de la merveille, sans haine sauvage qu´il a lue avec les yeux d´Alexandre. Le prince a semblé avoir perdu toute commande de elle-même, n´importe quelle direction des réalités. Seulement une chose importée vers lui: pour tuer Andorion. Elf devait identifier qu´il n´avait pas montré des nerfs plus les nerfs sympathiques avec le prince, mais cependant la violence de cette haine s´est inquiétée. Qui connaît jusqu´à ce qu´où il pourrait effectuer Alexandre? Il était nécessaire de en finir rapidement. La lame d´Alexandre a été enroulée comme un serpent autour de cela d´Andorion. Elf a senti son sabre pour s´échapper de lui par la ligne. Il a essayé de compenser, mais immédiatement son adversaire a renversé son mouvement. L´arme d´Andorion a piloté lointain tandis que le glaive du prince glissait près vers son coeur. Andorion a détourné l´attaque avec le bras de son armure. Alexandre a répété. Elf s´est laissé guider par son instinct et, se déplaçant à peine, Para.. et chaque coup avec ses brassards et ses gants de métal a dévié. Alexandre a été étonné par résistance par son armure: il a semblé plutôt flexible et léger ne pas bloquer Elf dans ses mouvements, mais il a bien soutenu les attaques mieux que n´importe quelle autre armure. Cependant, peu par peu, les plats est devenu déformé, ont été reproduits. Le brassard droit d´Andorion est tombé soudainement sous un coup de glaive. Considérant qu´il allait toucher la terre, Elf d´un souffler-de-pied a projeté sur Alexandre. Le prince a évité l´exactitude mais le moment selon, l´avantage de cravate de la déviation, Andorion a heurté un coup de poing à lui avec la main qui l´a encouragé à libérer son arme. Alexandre désiré a tiré le poignard avec la lame du serpent glissé dans sa ceinture. À peine il l´avait soulevé qu´Elf a arraché avec lui d´un inverse de la main. L´arme a roulé à la terre. Le prince contrecarré par un coup de genou que son adversaire a facilement évité avant la déviation à retourner dans la garde. - mains nues, maintenant? connu comme Andorion. Ainsi voyons ce que vous valez la peine la douleur! Le pied d´Elf a fouetté l´air dans une courbe rapide. Le prince a arrêté la main droite, répliquée par un coup de poing. Son ennemi rapporté en bas pour l´esquiver alors, tournant sur lui-même, a frappé le pied toutes les jambes d´Alexandre tout en plaçant une manchette dans le ventre avec lui. Le prince est tombé sur la terre, le souffle de la coupe. Andorion a effectué un somersault et est tombé en bas sur son adversaire en réduisant sa bonne jambe. Alexandre a roulé du côté, saisit un casque qui a traîné sur la terre près du cadavre d´un soldat et a jeté sur Elf. Celui-ci a repoussé d´un inverse de la main et la seconde plus tard d´included/understood un s´est dédoublée qu´elle était juste tombée dans un piège. Alexandre a en effet dessiné l´avantage de son mouvement de sorte qu´il lance son pied dans la hanche. Tandis qu´Andorion déviait, le prince a été élevé, feinta en visant son ventre et frappé avec la mâchoire. Elf, furieux, a dépouillé une manchette violente avec complet derrière le son adversaire. Alexandre saute sur place pour l´esquiver. Andorion a voulu rendre la situation avantageuse de frapper le prince aère dedans, et remarquable trop tard ses genoux pliés et son mouvement de vorticité. Le moment selon, les jambes d´Alexandre ont libéré et ont fonctionné vers le haut contre Elf dans le plein tronc. On l´a projeté avec dix mètres de là, remarquable son sabre près de lui, essayé d´être augmenté... Le prince a été satisfait pour sourire. Une partie entière du dégringola du renfort puis sur Andorion dans un accident infernal. Les lueurs hors du bois mis au feu ont volé dans toutes les directions. Alexandre sighed: il a été fini. Alors il s´est rappelé avec l´horreur qu´on l´a censée pour récupérer un antidote sur son adversaire... Dans ce moment à temps une silhouette était raffinée sur le feu. Andorion, son armure dans les pièces, son sabre avec la main, a enjambé les faisceaux sans mêmes se brûlant. Le calme sur son visage avait fait l´endroit avec une colère sans bornes. Alexandre a fonctionné vers son glaive et en saisit. Dans le grondement du feu, Elf saute en avant. Les lames ont fonctionné jusqu au dessus encore. La violence du choc a pris la mesure derrière Alexandre. Un nouveau coup a secoué. Considérant que le prince a été épuisé, jamais son adversaire n´avait également semblé puissant. Alexandre a compris qu´il devait trouver un plan. Toujours déviant, il est arrivé à l´entrée d´un escalier qui a écrit vers le haut la spirale à l´intérieur du mur et devait mener au renfort. Sans s´interroger sur son utilité, le prince s´est engagé là: une position élevée a toujours représenté un avantage sur l´ennemi.
Mwarf, j´ai pas eu le courage de tout lire, mais ça en fait des belles ^^´
Elf saisit son poignet et saute pour le frapper avec la tête. j´ai peu être pas fait gaffe, mais j´ai pas le sovenir que Andorion cherche à foutre un coup d´boule au prince... enfin, j´me trompe peut être...
j´ai lu la moiti, j´ai pas le courage de tout lire, mais en tout cas, j´peux t´dire que,comme dsait aussi et justement grhyll, ca en fait des belles^^´
Vacances de malade ! J´ai des devoirs notés à faire dans toutes les matières ! Bon, c´est pas grave, je trouverai quand même le temps d´écrire.
Allez, voilà la suite :
Hustouk ne sut jamais combien de temps il livra bataille. Ses hommes tombaient, les nains tombaient, les Elfes tombaient, mais lui, comme Anamïn et Ektaïn, luttait encore et toujours.
A un moment, l´Ork réalisa qu´il s´était transformé. Ses cornes se dressaient sur sa tête, ses griffes dépassaient de ses doigts, sa peau s´était assombrie et sa vision se teintait de rouge. La créature était montée en lui, peu à peu, lui donnant sa force mais lui laissant un contrôle total. « Elle doit se douter que je suis le seul à pouvoir nous tirer de là » songea Hustouk.
Anamïn et Ektaïn paraissaient intrigués par sa métamorphose, mais sans plus. Leurs armes continuaient de s´abattre sur tous les ennemis qui les approchaient.
Enfin, comme un Elfe tombait, Hustouk se rendit compte qu´il ne restait plus qu´eux trois. La porte Sud de Kridath se dressait devant eux, close. Personne n´avait eu le temps de s´enfuir par là. Les deux nains retirèrent les lourdes barres de fer qui la bloquaient et écartèrent les battants. Une plaine vierge de tout ennemi s´étendait devant eux. Les Elfes devaient être occupés ailleurs.
- Il est temps de partir, déclara Hustouk. Je suis désolé d´avoir abandonné les autres. J´espère juste qu´ils s´en sortirons.
La créature disparut aussitôt. Ses cornes tombèrent, il redevint normal. Enfin, aussi normal que puisse être un Ork.
- Et vous ? demanda-t-il aux deux nains. Et d´abord, pourquoi vous m´avez aidé ?
- Ennemis communs, répondit Anamïn. Nous avons perdu de vue notre objectif, alors nous avons décidé de combattre ces Elfes. C´était le seul moyen de se tirer de cette ville en sauvant au moins l´honneur. Et rassure-toi, nous n´avons rien contre toi.
- J´ai tué des hommes à vous...
- Nous t´avons attaqué les premiers. Tu n´as fait que te défendre. Je regrette mes compagnons, mais quelques cadavres de plus ne changeront rien.
- Et qu´est-ce que vous allez faire ?
- Il faut avouer une chose à propos de maître Thenetos. Il ne tolère pas l´échec.
- Or, nous avons échoué, ajouta Ektaïn. En plus, nous avons réussi à perdre toutes nos troupes. Alors je pense qu´on ferait mieux de ne plus jamais retourner à Vordal.
- Andorion essayera, s´il a survécu. Mais c´est parce qu´il est le préféré du maître. Nous... Thenetos nous fera exécuter pour montrer aux autres ce qui arrive quand on ne remplit pas sa mission.
Hustouk grogna :
- Dommage pour vous de servir un type pareil. Alors, où allez-vous ?
- Je pense aller louer mes services dans le sud, répondit Ektaïn. Dans l´empire d´Ethiol, par exemple. Un endroit où on ne me connaît pas, en tout cas.
- Pareil pour moi, dit Anamïn. Et vous ?
- Je vais partir vers l´Est, annonça Hustouk. Rentrer à Dümrist sans cheval est impossible maintenant, à cause de tous ces Elfes.
- Y a quoi à l´Est ?
- Des Orks. Plein d´Orks. Si ce qu´on m´a dit est vrai, je reviendrai bientôt en Dümra.
- Qu´est-ce qu´on vous a dit ?
- Ca vous regarde pas.
- D´accord, si tu le prends comme ça... bougonna Ektaïn. Mais je pense que nous allons faire un bout de chemin ensemble...
- Pourquoi ?
- Depuis quand sais-tu te transformer comme ça ?
- Depuis ma naissance, répondit Hustouk.
- Tu sais pourquoi ?
- Non. Je ne l´ai dit à personne.
- C´est trop tard pour me le cacher, maintenant, dit Ektaïn. Et je pourrais t´en apprendre pas mal sur ce qui t´arrive.
- C´est un piège ?
- En aucun cas. Partons ensemble, je te raconterai. Puis nous nous séparerons.
- Entendu.
L´Ork et les deux nains posèrent leurs armes sur leurs épaules et s´éloignèrent vers le Sud, laissant derrière eux la ville de Kridath en flammes, où la bataille s´achevait.
Vladek tomba.
La lame de son assaillant lacéra son flanc en même temps que le capitaine lui tranchait la gorge. L´Elfe s´effondra et Vladek bascula sur lui dans un râle affreux. Son sang se mêla à celui de son adversaire.
Alice ne perdit pas une seconde. Avec des réflexes de médecin habitué aux cas d´urgence, elle s´agenouilla à côté et examina la blessure.
- Laisse, dit le capitaine. Sauve-toi... Regarde...
Il désignait la porte Ouest de Kridath, grande ouverte. De temps en temps, un survivant de la bataille la franchissait pour rejoindre des dizaines de fuyards qui s´échappaient de la ville. Aucun ennemi ne les poursuivait. Autour d´Alice gisaient des corps tailladés d´hommes et d´Elfes. Un Troll agonisait en grognant, une bonne dizaine de lances plantées dans sa chair.
Vladek venait d´abattre le dernier adversaire. Le combat était terminé dans cette partie de la ville.
Alice ne l´écouta pas. Elle haïssait Vladek pour ce qu´il avait fait dix ans auparavant, mais elle ne pouvait pas le laisser mourir ainsi. Sa volonté de vengeance n´allait pas jusque-là. Et les enseignements de ses parents lui revenaient en mémoire : « un médecin peut détester un homme, mais jamais refuser de soigner un blessé ».
- Ca ira, dit-elle. Aucun organe n´est touché. Il faut juste arrêter l´hémorragie.
Elle déchira la tunique du capitaine et la serra autour de son corps. Le sang l´imprégna, mais cessa de couler. Vladek s´évanouit.
- Restez ! Tout va bien ! Tenez bon !
Un hennissement retentit derrière Alice. Effrayée, elle se retourna.
Un puissant destrier de guerre au poil brun se tenait à quelques mètres de là. Alice le regarda un instant sans trop savoir quoi faire, puis remarqua le blason qui ornait sa selle. C´était le même que celui que portait Vladek sur ses vêtements ! Ce cheval était le sien !
Alice ne comprenait pas comment, mais la vête était parvenue à s´échapper des écuries pour retrouver son maître. La jeune fille n´arrivait pas à imaginer qu´un tel lien puisse exister entre un homme et sa monture.
Le cheval s´approcha d´eux et se courba. Alice chargea un Vladek toujours inconscient sur la bête, puis aperçut le bouclier d´or que le capitaine avait lâché dans sa chute. Après un instant d´hésitation, elle s´en saisit. Elle avait tout perdu dans cette ville. Sa famille, ses nouveaux amis... Elle voulait oublier tout ça. Mais elle sentait qu´elle devait emporter ce bouclier, que c´était important, même s´il lui rappelerait cette journée.
Alice n´était jamais montée à cheval, mais celui-ci fut très docile. Alors que le Soleil descendait sur la ville incendiée, la bête s´élança à travers la porte et prit la direction de Dümrist.
Vladek et Alice étaient saufs.
Seubal Artus devait accepter la triste vérité.
La bataille de Kridath était perdue.
Sa mission tournait au fiasco complet.
Il n´était qu´un incapable.
Il allait mourir.
Pourtant, rien n´aurait su réfréner son ardeur au combat. Il avait envoyé tous ses hommes à la mort en les lançant contre les Elfes à défaut de retrouver Katja et Conrad, mais lui-même luttait toujours. Isolé dans une cité en flammes, perdu dans les rues labyrinthiques, il continuait de se battre avec le peu de pouvoir qui lui restait. Adrien le suivait, l´air égaré, toujours abasourdi. Artus avait oublié jusqu´à la présence du garçon.
Un Elfe bondit sur le magicien, l´épée haute. Une main invisible le saisit en plein vol et l´envoyer se briser le dos contre une maison à moitié effondrée. Artus entendit un autre adversaire l´attaquer dans le dos. Il fit volte-face et libéra sa magie pour immobiliser son agresseur une fraction de seconde. L´Elfe ne put que regarder, impuissant, le poignard d´Artus qui s´abattait sur sa gorge. Puis son sang jaillit en abondance et il alla rejoindre les cadavres qui jonchaient le sol.
Artus se tint un instant les côtes, essayant de reprendre son souffle. Cette bataille le vidait, et s´il recourait encore à son pouvoir, il finirait par ne même plus tenir debout.
Un nouveau groupe d´Elfes surgit alors dans la rue, aperçut le magicien et puis se jeta sur lui.
Artus leva le bras. C´était la fin. Jamais il ne pourrait les arrêter tous. Il payait le prix de son incompétence. Une terreur insurmontable l´envahit à l´approche de la mort.
Un crépitement sur sa droite attira son attention. Il tourna la tête et vit Adrien, debout face aux ennemis. Stupéfait, Artus constata que des éclairs parcouraient les paumes du garçon.
Ces éclairs se rassemblèrent en un seul point. Une vague d´énergie fusa des mains ouvertes et foudroya les Elfes dans une détonation infernale. Ils s´écroulèrent sans exception, raides morts. L´attaque reflua vers Artus mais s´éteignit avant de le toucher.
- C´est toi qui... a fait ça ? demanda le magicien, conscient de la stupidité de sa question
- Visiblement, oui.
- Je croyais que c´était ta soeur qui possédait un pouvoir magique.
- Non, répondit Adrien, c´était moi. Je l´ai toujours su, même si je ne savais pas m´en servir. Nous avons eu de la chance que ma magie se manifeste maintenant.
- Mais pourquoi croyaient-ils que ta soeur...
- Elle a détruit un loup dans les souterrains. Mais en fait, j´étais là moi aussi, caché dans un couloir. J´ai tué le monstre sans le vouloir et je suis parti pendant que les autres discutaient. Après, j´ai fait semblant de croire qu´Alide était la magicienne.
- Mais pourquoi ?
- J´avais peur que ça se sache. Je ne savais pas si... enfin...
- Je comprends, dit Artus.
Lui-même avait mis du temps à reconnaître qu´il possédait des pouvoirs. Il n´allait pas le reprocher à ce garçon. Puis il réalisa que sa mission virait de l´échec total à un dénouement acceptable. Il reprit la parole :
- Bon, écoute-moi bien, je te propose un marché.
- J´écoute, assura Adrien.
- Je peux te faire sortir d´ici. Si tu acceptes mon aide, tu devras te soumettre quelque temps à mon enseignement et faire serment d´allégeance au général Pyers Thul´lod.
- Et si je refusais ?
Artus nota le conditionnel. De toute évidence, le garçon s´était déjà décidé. Il devenait inutile de se montrer trop strict. Mieux valait soigner son image.
- Je ne te laisserais pas ici, évidemment ! Me prendrais-tu pour un monstre ?
- Non, bien entendu. Je remarque simplement qu´avant de savoir que j´avais des pouvoirs, vous ne vous souciiez pas beaucoup de moi.
- Disons que je t´avais oublié, répondit Artus. Tu as bien fait de te rappeler à mon souvenir.
- C´est ça...
- Alors, tu acceptes ?
- Oui, bien sûr ! Quitte à apprendre la magie, autant que ce soit de quelqu´un d´aussi puissant, responsable et sympathique que vous !
Le magicien chercha en vain une trace d´ironie dans ces propos. Apparemment, Adrien le tenait vraiment pour quelqu´un de bien. Autant en profiter.
- J´ai ta parole ? Tu prêteras serment au général Thul´lod ?
- Vous avez ma parole.
- Très bien...
Dans un craquement, une maison voisine s´effondra.
- Ne traînons pas, dit Artus.
- Comment allez-vous nous faire sortir d´ici ? Je vous croyais épuisé ?
Le magicien saisit entre deux doigts la bague en argent qu´il portait à l´index de la main gauche.
- J´aurais préféré mourir que de faire ça, répondit-il. Il est des ressources qu´on ne peut se permettre d´utiliser pour soi. Mais ta présence change tout.
- Quoi ?
- Après ça, nous serons en sécurité, mais je risque de m´évanouir. Tu me remettras cet anneau au doigt, compris ?
Adrien acquiesça.
- Bien, fit Artus. Accroche-toi à moi.
Dès que le garçon eut agrippé fermement son manteau, le magicien retira sa bague. Un pouvoir profondément caché déferla en lui comme une vague immense. Il s´éleva dans les airs comme une flèche et s´éloigna de Kridath dans un tourbillon de couleurs, Adrien toujours cramponné à lui. Enfin il atterrit trois kilomètres au Sud-Est de la ville, à la lisière d´une forêt de chênes.
- Tout va bien... murmura-t-il.
Et il perdit connaissance.
Petite annonce : cette fic sera bouclée demain.
KUUUUUUUAAA?! Bouclée? C´en est-i fini d´cette partie d´la cathédrale? Si j´ai bien compris en fait, on n´a fait que la moitié de cette fic...non? Ce qui signifie qu´on ne reverra toujours pas les autres, me trompe-je? (j´aimerais bien en tout cas^^).
Bon sinon, ben j´aime toujours autant, hein, ça change pas d´un coup (^^), j´ai pas vu de pheaute, et j´sais pas mais j´croyais qu´t´avais dit qu´la bataille était perdue d´avance, et là j´ai l´impression qui reste plus beaucoup d´Elfes dans la ville...c´était fiat exprès?
En tout cas, ben viv´ment demain, surtout qu´c´est les vacances^^. (oui, moi j´ai cours le Samedi!!!!! ).
P.S. Pour les devoirs notés, c´est bâtard mais d´un aut´ côté t´es en Terminale alors...mais c´est pas une excuse pour qu´on ait pas la suite!^^
yop, lu et plusieurs pheautes de frappe
"Alice ne comprenait pas comment, mais la vête était parvenue à s´échapper des écuries pour retrouver son maître." Bête
"Après, j´ai fait semblant de croire qu´Alide était la magicienne. " aliCe.
voilà, ben lu, et donc voilà.
moi auddi j´croyais que on n´était qu´à la moitié, mais il me semble que tu avais dis que tu écrirais deux autres fics pour conclure le volet alexandre?
HEEEEEEEEEEIIIIIIIIINNNNNN?????????c´est déja bientôt la fin????
à part ça la suite est bine
Si je ne m´abuse, on est à la moitié (un peu plus) de ce qu´il avait initialement prévu, mais à la fin de ce qu´il fait finalement. La suite qu´il pensait écrire devrait former une autre fic. C´est ça ?
Sinon, ben bonne suite Hipop_danseuse a relevé les fautes, et mis à part Alice qui fout Vladek sur son cheval comme un bébé, j´ai rien vu de gênant ^^ C´est chouette
sacrilège!!!cette fic est passée en deuxième page!!!!
J´en appelle à votre génie à tous. En effet, de plus amples recherches m´ont appris que transporter à cheval un blessé au ventre est idiot, car il y a un risque très élevé d´hémorragie interne, ce qu´Alice ne peut pas ignorer. De plus Vladek risque de glisser du cheval, il faudrait donc le sangler. Bref, je me heurte à un problème de réalisme, les pires que soient. Comment pourrait-je récrire ce passage-là? Merci d´avance.
euh j´ai pas lu, mais concerant ton probleme de réalisme, ils peuvent toujours fabriquer un travois et sangler le blessé dessus, et attacher le travois a l´arriere du cheval
Oui, sauf que ça se passe après une bataille et que des ennemis peuvent revenir à tout moment, qu´il n´y a qu´une fille de treize ans pour s´occuper du blessé, un soldat qui pèse son poids, qu´elle n´a à sa disposition que le cheval du soldat en question, et qu´elle se trouve dans une ville incendiée.
Euuuh ben chaipa, elle rencontre un soldat originaire de Dümrist qui l´aide à le ramener là-bas ? Un soldat qui reconnaît Vladek, son hérooos, et qui désire donc le sauuuver !
C´est une idée, mais ça ne règle pas le point essentiel : comment elle le transporte?
Ben l´autre le porte sur son dos ? Bon ok ça va être fatiguant à la longue...
Chaipa... Bon la proposition que je vais faire risque de ne pas aller, puisque ça change un peu le scénar, mais par exemple, un envoyé magicien de Dümrist, envoyé soit par le maître d´Alex, soit pas son père, soit par n´importe qui, qui doit retrouver Alexandre, qui va tomber sur Vladek et va le ramener avec Alice par maaaagie ?