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Sujet : [DdP.v.3.2] Peter Pan

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J-Casper80 J-Casper80
MP
Niveau 10
11 juillet 2009 à 10:32:24

Voila mon Peter Pan à moi. :) Ici, on retrouve plusieurs actions importantes comme la brève rencontre avec Wendy, et la bataille avec Crochet. Mes excuses, par manque de temps j’ai négligé la fin. Je crains également d’avoir fait un petit hors sujet par mon imagination. Bonnes vacances.

« Puisque toute bonne histoire commence par « il était une fois », celle-ci ne dérogera pas à la règle.

Il était une fois un enfant nommé Peter Pan. Le bel adolescent vivait au pays imaginaire, celui que l’on ne peut atteindre qu’avec la poussière de fée. Peter et les enfants perdus s’amusaient chaque jour dans ce monde où l’on croisait pirates, tribu Indienne, sirènes et fées. Il était agréable de voir que ce métissage de cultures et de créatures offrait une bonne ambiance, permettant à chacun de s’épanouir.
Peter avait su tirer profit de sa beauté au fil du temps. Il avait appris à plaire, séduire par l’expression, et par l’apparence. De ce fait, il était ordinaire de le voir danser en compagnie des plus belles filles du pays. L’adolescent se montrait blond, les cheveux longs et fins, coiffés vers la droite pour que ces derniers cachent son front. Ses yeux bleu, pétillants, attiraient l’attention vers lui. Sa taille fine et ses épaules larges étreignaient souvent les filles d’un soir. Ses collants d’un vert émeraude dessinaient finement les contours de ses jambes. Ses chaussures, des petites bottines, terminaient gracieusement sa silhouette. En Haut, un T-shirt décontracté avec un col en « V » laissait apparaître le haut de son torse bruni par le soleil.
Il est admis que Peter était « Maître » du pays imaginaire dans le domaine de la séduction. A bien des soirées, certains s’étonnaient qu’il ne se lasse point d’une concurrence inexistante, que tout soit trop simple pour lui. Lorsqu’on lui demandait s’il n’était pas intrigué par le monde des Hommes, il rétorquait chaque fois cette même réponse :
-Ces humains sont sans cœur et se moquent des autres. Ils mentent comme ils respirent et ne tiennent pas leurs paroles. Je suis bien ici, je me plais avec vous.
Si Peter affichait une telle froideur dans son discours, son opinion tranché cachait un secret intérieur : Le jeune fougueux avait, pendant un moment, beaucoup apprécié les Hommes. Cependant une mauvaise expérience avait brisée le cœur du blondinet, forgeant un secret des plus difficile à confier.

Par curiosité, l’adolescent avait un jour exploré ce monde qui lui était inconnu. Suivi de la fée Clochette, il avait fait la rencontre de Wendy un soir d’été. Le coup de foudre fut immédiat pour le garçon qui multiplia ses allers-retours entre le Pays Imaginaire et Londres. Malgré la désapprobation de son amie Clochette, l’Enfant Perdu commit l’irréparable et embrassa la belle. Il s’en suivit des absences du Pays Imaginaire qui devenaient de plus en plus longues chaque jour, en dépit de l’opinion de ses amis.
Suite à une après-midi ensoleillée passée avec la Londonienne, Peter décida de rester admirer sa chère et tendre depuis les nuages. Au bout d’une heure qu’il avait laissé Wendy allongée dans un parc de la capitale, il aperçut un autre garçon s’étendre doucement auprès d’elle et l’embrasser pour la saluer. Peter cru d‘abord halluciner du haut de son nuage, mais son cœur fit encore un bond lorsque de ses propres yeux il vit celle qu’il aimait rendre le baisé à l’inconnu. Fou de rage, l’Enfant Perdu rejoignit les deux amoureux et demanda une explication. Devant la stupéfaction de Wendy -par son apparition imprévue- et l’air perplexe du garçon, Peter s’enfuit sans prononcer un mot. Il n’y avait aucune utilité à en dire plus, le blondinet avait compris. La tristesse, la colère, la haine, et son amour brisé le plongèrent dans le silence et la réflexion pendant une semaine, sans qu’aucun de ses amis ne sache de quoi il retournait. Depuis, l’adolescent n’était plus retourné à Londres, et avait juré vengeance de cet amour déchu auprès des autres filles du Pays Imaginaire.

Laurianne, Alexandra, Juliette, Lise…Tant de filles qui avaient succombées à son charme le temps d’une soirée. Fidèle à sa promesse et n’arrivant à se consoler avec aucune, Peter fuyait chaque fois les draps qui l’avaient abrité de la nuit avec ses conquêtes. Ces dernières avaient la même réaction de surprise à leurs réveils, constatant l’absence de l’ado à leurs côtés. Pour toutes, il s’agissait d’un éloignement temporaire qui ne remettrait pas en cause leurs histoires sentimentales fraîchement commencées.
Mais voila, l’Enfant Perdu avait parfaitement anticipé ces réactions. Il avait conscience que ce qui était de l’amour pour elles n’était qu’une soirée pour lui, une vengeance dont-elles ne sauraient jamais la raison véritable. Peter était ce que l’on pouvait appeler un Bad Boy, d’ailleurs ce terme ne le dérangeait nullement. Sa réputation avait beau le précéder, le Blondinet continuait à plaire, et nombres de ses conquêtes revenaient aux soirées afin de le revoir, espérant éclaircir son absence du petit matin.

-A qui le tour désormais ?
Cette réplique d’un des Enfants Perdu était destinée à Peter.
-Je ne sais pas. J’ai pour habitude d’agir au feeling, nous verrons bien. Et puis, quelle fille n’a pas encore finit dans mes bras ?
Un silence pendant lequel Peter observa chacun des garçons avec un regard de défi succéda à sa dernière intervention.
-Moi j’ai un défi à te proposer ! Un défi à ta hauteur.
Le silence avait été brisé, et Peter apprécia qu’il fût brisé ainsi. Lui qui cherchait toujours des rebondissements dans sa vie, des péripéties aussi folles qu’impossible, était servi par la simple prise de parole d’un des garçons. Le regard intéressé du Blondinet invitait le jeune protagoniste à poursuivre dans ses Dires :
-Tu as toujours obtenu ce que tu voulais, n’Est-ce pas Peter ? Tu as toujours cherché à réaliser tes désirs, quelque en soit le prix ? Toi qui ne recules jamais devant rien, toi qui souhaites toujours ridiculiser Crochet. Toi qui veux attirer les regards des filles du Pays, déclencher l’admiration de ces messieurs, veux tu réaliser tous ces désirs à la fois ? Alors laisses moi te proposer un défi que tu ne pourrais refuser !
C’en était trop ! Le visage de Peter dessinait un sourire de folie. Il exultait intérieurement devant tant de compliments, de promesses. Le garçon aurait pu être le diable en personne, Peter aurait tout de suite signé le pacte, peu importe ce qu’il disait.
- Parles, qu’attends-tu !
L’Enfant Perdu prit une inspiration des plus profondes, observa le blondinet jubilant sur son siège, et révéla son projet de la plus douce des manières possibles :
-Ton pire ennemi est Crochet. Tu l’as humilié à maintes reprises, tu lui as pris toutes les filles qu’il pouvait avoir. Tu as décimé sa bande de pirates par des rumeurs, tu l’as ruiné à des soirées de jeu grâce à tes alliers. Oui Peter, tu as tout fait pour que Crochet n’ait plus rien. Et pourtant le vieux capitaine possède encore quelque chose qui le fait vivre, quelque chose qui lui évite de sombrer comme il conviendrait de le faire : L’amour. Depuis quelques mois, si tu ne revois plus le capitaine, ce n’est point parce qu’il désespère de retrouver un jour sa gloire passée. Non, il y autre chose qui explique sa disparition : Crochet a retrouvé l’envie d’aimer. Il se fait oublier par certaines heures ensoleillées avec celle qu’il aime. Crochet ne vit plus que pour elle. Et, à ma connaissance, tu n’as jamais réussi à séduire sa Belle, du moins pas encore.
-Je doute fortement de cela. Qui est-ce ?
-Patience Peter, reprit impassiblement le garçon, j’y viens. Voila mon défi : Ce soir, c’est fête chez les Indiens. Bien du monde y sera, et celle qui fait battre le cœur de Crochet aussi. Vas à la fête et séduit la Belle, elle sera seule. Je ferais en sorte que Crochet l’apprenne. Deux solutions : Soit le capitaine l’apprend et vient à la soirée, fou de rage et humilié. Soit il ne vient pas et tu l’auras réellement détruit de l’intérieur. Il sera ronger par le remord et la haine à jamais.
-Cela ne me dit pas qui fait vivre Crochet.
-Lily la Tigresse.
Pendant un instant, Peter écarquilla les yeux et réfléchit. Aussi loin que remontait ses souvenirs, il était bien vrai qu’il n’avait encore séduit la demoiselle. Un raisonnement chemina dans son esprit : Le défi proposé par le garçon était osé, mais Peter aimait ce genre de challenge. Il devrait d’abord se surpasser pour séduire Lily. Ensuite il faudrait attendre la réaction du Capitaine. Quoiqu’il en soit il irait à la soirée avec sa bande et tenterait de charmer la fille du chef Indien, ne serait-ce que pour le plaisir.
-J’accepte !

Et comme promis, le soir venu, Peter et les Enfants Perdus se rendaient à la soirée de la tribu Indienne. Peter était des plus élégants et fit une entrée remarquée dans la salle. Un bar se tenait à sa droite et des banquettes entouraient la piste de danse au centre. Face à lui, il vit une banquette de libre et se dirigea vers celle-ci. Il avait facilement attiré l’attention de six demoiselles lorsqu’il atteint le fond de la salle. Au bout d’une heure que la soirée avait commencé, Peter vit enfin sa « proie » arriver. Il ne tarda pas à l’aborder et la séduire. Quelques heures plus tard, il concluait par un baisé à la fin d’un slow. Classique. Un regard vers l’Enfant Perdu et ce dernier sortit du bâtiment. Une heure après, Crochet débarquait, fou de rage, avec le reste de sa bande de pirates. Crochet était aussi charmant que Peter mais avait d’autres avantages pour lui. Son âge mûr, ses cheveux bruns longs et lissés ordonnaient sa silhouette. Un chapeau des plus classe couronnait ce soir encore sa tête, et une cape d’un rouge scintillant éblouissait l’assemblée. Les six demoiselles qui avaient admirées Peter en début de soirée n’avaient d’yeux que pour Crochet désormais. Quand le blondinet s’en rendit compte, la colère de se voir voler la vedette s’empara de lui.

Après une explication d’homme à homme, on en venait aux mains. La foule du bar formait un cercle et le combat commençait. Crochet, avec son élégance habituelle, distribuait des poings à son adversaire. Ce dernier, sentant le chaos approcher, attrapait un couteau qui traînait derrière le bar. Puis il enfermait le capitaine dans un coin de la salle bondée. D’un mouvement, le capitaine se découvrait en tentant une charge, mais Peter esquivait et ripostait, touchant Crochet. Conscient d’avoir évité le pire, le blondinet fuyait en laissant Crochet blessé, la main gauche coupée… »

Nabuchodonosor3 Nabuchodonosor3
MP
Niveau 10
11 juillet 2009 à 15:05:57

Voilà, je poste.
Bonne lecture à vous. :hap:

Peter Pan est une fumée.
Peter Pan est un artificier, il fait miroiter des rêves depuis longtemps inatteignable.
Peter Pan est un traître qui fait passer sa gentillesse pour de la générosité.
Peter Pan est un lâche accroché à des principes auxquels ils ne croient plus.
Peter Pan est un écran de fumée.
Peter Pan est un artificier qui fait croire possible l'impossible.
Peter Pan est un traître qui sert de refuge.
Peter Pan fut et est encore l'emblème de ceux qui regrettent.
Peter Pan regrette, Peter se pose des questions.
Peter est un lâche.

Une mère désabusée élève seul quatre enfants. Elle survit. Elle rêve aussi. Elle appelle Peter l'artificier pour améliorer sa vie. Alors Peter le menteur détale, non fier de pouvoir exercer ses talents de prestidigitateur. La mère sourit, acquiesce et ferme les yeux. Peter le lâche ne prend bien sûr pas la peine de lui signaler que le réveil sera un cauchemar. Elle acquiesce. Elle continue à vivre, aveuglée. Elle sourit. Puis vint un matin où elle ressent un manque. Celui-ci s'accroit au fur et à mesure que le temps passe. Elle prend ce qui lui reste de courage et comme une porte qui grince ouvre ses yeux. Et là elle comprend. Ces chères marmots ne sont plus là. Un tas d'enveloppes sur le seuil de la porte. Une plante qui meurt.
Le rêve se brise.
Peter Pan est un traitre, un lâche, un menteur et un escroc.

Peter Pan est une poudre.
Peter Pan est un magicien qui fait oublier les erreurs du passé.
Peter Pan est un être plein de courage qui protège les plus fragiles de la dure réalité.
Peter Pan croit à l'innocence et fait tout pour la conserver.
Peter Pan est une poudre d'or.
Peter Pan est un magicien qui donne la force de continuer.
Peter Pan est un héros qui console les plus tristes.
Peter Pan est l'icône de l'innocence.
Peter Pan n'a jamais douté, Peter est sûr de lui.
Peter est un héros.

Une mère désabusée élève seul quatre enfants. Elle survit. Elle rêve aussi. Elle appelle Peter le magicien pour améliorer sa vie. Alors Peter l'homme fort détale, toujours prêt à porter secours aux plus délaissés. La mère sourit. Peter lui signale qu'il la guidera durant cette léthargie. Alors elle vit, enfin. Elle profite. Le moment arrive pour Peter de partir. Il lui lâche le bras. Elle se sent seule mais elle est maintenant forte. Elle a appris à faire face. Elle serre ses enfants dans ses bras. Une plante fleurit.
Peter Pan est innocent.

davidgg93 davidgg93
MP
Niveau 6
11 juillet 2009 à 20:58:08

J-Casper: L'idée de transformer Peter Pan en macho est celon moi très très drôle ^.^. Je ne vais pas m'attarder sur la fin puisque tu dit toi même l'avoir négligé. Elle n'a pas de lien avec l'histoire et n'est pas non plus amusante.

Nabu: Idée originale, mais n'ayant plus grands souvenirs de Peter pan j'imagine que je n'ai pas pu capter l'essentiel de ton texte.

En générale j'ai trouvé les deux textes bons, mais pour le contenu de J-casper et puisqu'il m'a fait rire, il récolte mon vote.

Nabuchodonosor3 Nabuchodonosor3
MP
Niveau 10
12 juillet 2009 à 13:56:19

Je tiens à préciser que l'histoire sur la mère n'a aucun lien avec la vrai histoire de Peter Pan. J'imagine juste ce que peut tirer une personne, de positif ou négatif de l'image de Peter Pan et de sa légende.

Negatum- Negatum-
MP
Niveau 10
13 juillet 2009 à 15:34:14

Hmpf... J'ai aimé aucun des deux textes, en fait.

J-Casper, contrairement à l'autre, j'ai pas aimé le coté "macho italien" de peter pan. Je sais pas, il est quand même considéré comme le symbole absolu de l'enfance, le pays des rêves, tout ça, et c'est à des milliards de kilométres de cette histoire de sex-symbol à deux francs que tu nous as fait là. L'ennui, c'est que j'aurais pu dire SuperMan, ou l'Homme Invisible, tu aurais pu faire exactement la même histoire, ça n'aurait rien changé. T'a pas du tout utilisé l'univers de départ. POur le style, et bien, il est assez maladroit et lourd, surtout au niveau des dialogues. quand à la fin, en effet, c'est baclé.

Pour Nabu, et bien, je risquerai de répéter ce que j'ai dit la derniére fois. Trop prétentieux, trop conceptuel pour une idée somme toute pas extraordinaire. Même Nietzsche faisait des récits et pas des vers libres.

En l'occurence, j'arriv pas vraiment à me décider. je vote pas, donc :-)

Nabuchodonosor3 Nabuchodonosor3
MP
Niveau 10
13 juillet 2009 à 17:02:43

Je vois que mes mini pavés ne sont pas du tout du goût de ce forum qui apprécie tout particulièrement les R-E-C-I-T-S . Alors maintenant je ferais des récits des bons gros récits qui je l'espère seront à votre goût. :hap:

Gokaden Gokaden
MP
Niveau 6
14 juillet 2009 à 15:49:12

Ayant lu les deux récits , je dois dire , en les comparant , qu' ils sont très différents !
J-Casper mise sur l' humour , tandis que Nabu. sur le sérieux et la réflexion .
Désolé J-C , mais je suis d' accord avec le com. de Negatum [ Et il le dit si bien : La fin est capillo-tractée. ( Terme que j' ai repris à mon compte :honte: ) ]
Par contre , je trouve qu' il y a plus de profondeur dans le texte de Nabu.
Contrairement à Neg. je ne trouve pas ce texte prétentieux ! Conceptuel oui ; Mais sans orgueil .
Nabu. a tenté de nous offrir un aspect psychanalytique du syndrome de Peter-Pan . Je trouve louable cet effort même si je vomis la psychanalyse.

Je vote donc en faveur de M. Nabuchodonosor3 : :bravo:

Jedi-Wars Jedi-Wars
MP
Niveau 10
14 juillet 2009 à 21:37:43

Oui, bon. Pas de quoi casser trois pattes à un canard. Le texte de J-Casper se laisse lire, malgré des fautes un peu partout et un "style" pas très au point. La chute est pas si mal que cela, sauf que :
- pas de lien direct avec l'histoire
- c'est la main droite que Crochet se fait couper, me semble-t-il...
L'"histoire d'amour" d'amour entre Crochet et Lily la Tigresse est assez étrange, pour ce que je m'en souviens (c'est Disney ma référence, mes plus plates excuses si tu t'es inspiré du roman), Lily aime Peter et comme tous les Indiens du Pays Imaginaire qui se respectent, elle est sensée détester Cap'taine. Bref, je chipote un peu.

Nabu, maintenant. Je vais pas y aller par quatre chemins : je n'ai pas aimé. Du tout. Un poème, oui, pourquoi pas, ça se prête un peu à l'imaginaire, mais tu l'utilises assez mal. Et les passages en prose, j'ai pas trouvé ça terrible non plus, :desole: . Simple question de feeling personnel, rien de très développable, malheureusement.

Je vote donc J-Casper.

Nabuchodonosor3 Nabuchodonosor3
MP
Niveau 10
14 juillet 2009 à 23:25:08

Mon texte n'était pas une poésie.

Nabuchodonosor3 Nabuchodonosor3
MP
Niveau 10
14 juillet 2009 à 23:25:55

n'est*

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