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Sujet : Conseils d'Ecriture en tous genres

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maxlamenace33 maxlamenace33
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 17:37:10

Parce que dans ton guide, tu semble dire qu'il y a un seul personnage principal. ^^

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 26
04 juillet 2008 à 17:41:45

Pourquoi poser la question si tu connais déjà la réponse ? Sinon de quel livre s'agit-il ?

Si tu lis les commentaires tu apprendras que ce guide n'est pas de ma totale création. C'est plus un pot pourri d'autres guides que je n'ai fais que rassembler et structuré. De plus, ce guide n'a pas valeur de loi, tu peux très bien faire l'opposé de ce qui est préconisé.

maxlamenace33 maxlamenace33
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 17:48:18

C'est vrai que après ta réponse, je me rends compte que ma question était stupide. :x
Le Livre est "L'or Bleu". Science-Fiction, j'adore ce genre de livre. ^^

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 26
04 juillet 2008 à 17:50:40

Il est cité dans le guide ?

Negatum Negatum
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 18:25:12

La définition de personnage principal varie selon les auteurs.
Persos, je classe les personnages en plusieurs groupes distincts:
-Héros: Rarement plus de deux: Ce sont les personnages-clés, ceux qui sont le centre véritable de l'histoire, ceux sans qui rien ne serait arrivé, et rien n'arriverait. Le héros n'est pas forcément le gentil pour moi, c'est seulement le personnage par lequel tout passe. Quand ils sont deux, ils sont pour moi ou quasi-fusionnels (le cas des frères elrics dans FMA par exemple: Dans l'histoire, à part à de rares occasions, ils agissent ensemble) ou en opposition (Kira et L dans Death Note). Ils doivent avoir pour moi, d'une part un charisme d'enfer, d'autre part une psychologie fouillé, et, si possible, originale (on évite l'ado rebelle, l'enfant timide, la belle conne, si ces adjectifs ne sont que l'unique trait saillant de leur personnalité)
-Persos principaux: Entre trois et dix, quinze quand c'est une intrigue extrêmement compliqué, trente quand c'est une saga en douze tomes qui se finira jamais. LA définition est pour moi assez simple: C'est un personnage 1/ qui intervient ou est mentionné, ou est derriére au moins la moitié de l'histoire et 2/qui a un role essentiel, qui bouleverse son déroulement. Une exception à cette derniére régle est quand il s'agit du narrateur de l'histoire, au cas où il ne serait pas le héros, et qui, si ça se trouve, n'a aucun rôle (je parle pas de narrateur omniscient, hein, c'est pas la peine de mettre Dieu dans les crédits). Pour prendre l'exemple d'Eragon (je spoile, mais tout le monde s'osef d'Eragon), le mentor/tonton/papa poule d'Eragon, au début, a un rôle prépondérant. Mais, pas de chance, il créve au premiers tiers. Il était bien parti pour finir PP, mais il s'est fait buter par les Krosnibak (je m'en rappelle plus leur nom, mais c'était aussi nul que celui-ci), pas de chance. En revanche, le méchant, la belle elfe, le copain douteux, le vieux conteur, le dragon, bref, tout ces beaux clichés à la Shrek sont bel et bien des persos principaux. Un cas interessant pourrait être, dans FMA par exemple, le cas de Gluttony et de la mére des héros, Trisha Elric: Le premier est un personnage qu'on voit du second épisode au cinquante-et-uniéme. Mais, la vérité est que de toute l'histoire, il n'a pratiquement aucun rôle, à part un mineure à la fin. Ce n'est que le « robot de combat » de Lust, son faire-valoir elle s'en sert pour bastonner tout le monde, et, à part dire « hihihi », il ne fait pas grand chose. Il n'a pas de but, d'objectif, d'idéaux, les autres personnages l'ignorent, c'est juste un con qui pense qu'à bouffer. Au contraire, Trisha et Honeiheim Elric sont présent dans toute la série, et pourtant, ils n'interviennent presque pas. Mais l'influence de leurs actes planent toujours sur Al et Ed, notemment par les scénes de flash-back, ect... si bien qu'ils sont très importants. J'hésitent à les classer dans les persos principaux, mais je pense qu'ils le méritent. Un autre cas interessant pourrait être de savoir si les inspecteurs de la police dans Death Note en font partie, ou bien l'équipe Cobra dans MGS3: SE, et si oui, lesquels. Un persos principal à aussi une psychologie un tat soit peu étudié, qui peut se dévelloper en un peu plus d'un adjectif, et, sauf si c'est l'équipe principal du héros, un but particulier à atteindre que n'ont pas les autres.
Cette catégorie contient en gros Le faire-valoir du héros, l'équipe du héros, le méchant, à la rigueur le second du méchant si celui-ci à un rôle et un but différent du premier, le tuteur du héros si il vit assez longtemps, le chef ou le persos principal d'une faction particuliére, le savant fou/magicien de génie, le multi-traitre, les héros des intrigues secondaires, ect... Ne contient pas: Les faire valoirs des précédents, les personnages occasionnels.
-Persos occasionnels: En gros, ceux qui ne font pas partie des précédents: Leur nombre peut-être très variable selon le schéma de l'histoire. Il s'agit souvent de personnages qui n'apparaissent qu'une fois dans le récit. L'exemple parfait qui me viens en tête est celui de Ray Penbar, toujours dans Death Note: il arrive. Il meurt. Fini. Pendant un épisode, on a parlé que de lui, mais il disparaît de la situation. J'ai pas grand chose à dire sur eux, car c'est un peu le groupe poubelle: Si vous voulez des clichés, mettez-les là. Merci.

Vala ^^

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 18:34:24

D'un côté, ce forum est la preuve que non, on écrit pas que pour soi^^

_Azerty777 _Azerty777
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 19:35:05

Ok Os', on est d'accord finalement^^ (mais nos pavés convaincront peut-être d'autres personnes^^)

Sinon, +1 pour Neg', ses catégories me semblent relativement bien foutues. Même si on est pas obligé de suivre un schéma aussi simple. (dans une intrigue très complexe, on peut avoir beaucoup de personnages trop importants pour être occasionnels mais pas assez pour être "principaux", par exemple, et j'ai lu une mini-fiction sur un aut' site où il n'y avait AUCUN "héros")
En fait, ce sont des catégories qui marchent bien pour l'heroic-fantasy, le policier et la science-fiction orientée action, je dirais. Dans des intrigues politiques, du steampunk ou du post/pré-apocalyptique bien compliqué, ça se complexifie je pense^^

[Minimus] [Minimus]
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:07:58

Je passe vite fait sur ce topic, j'ai pas lu votre conversation donc ça risque d'être HS, mais je voudrais savoir :

D'après un célèbre auteur (dont j'ai oublié le nom), il serait "déconseillé" d'utiliser des adverbes (tous les -ment) dans un écrit. ( :gne: ) Est-ce pour une question "d'esthétique", ou est-ce que c'est juste pas adapté au récit ? Ou bien cet auteur raconte n'importe quoi ? :question:

_Azerty777 _Azerty777
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:14:29

Il est en effet fréquemment admis que les termes en "-ment" alourdissent le récit et il est donc déconseillé d'en mettre trop.
Ceci dit, ils ne faut pas non plus tomber dans l'excès inverse et faire uniquement des phrases hyper-simples. Enfin on peut, mais y'a pas que ça non plus^^
Je soupçonne ton auteur d'être Werber, parce que ce mec a un style over-simple (en fait, avec du recul, je me demande si on peut dire qu'il en a un...) et il cherche toujours à faire éviter aux gens les trucs bien compliqués, perdant par là-même selon moi une bonne part de bons écrits.

Faut toujours garder une chose à l'esprit quand on lit des conseils : y'a JAMAIS une seule "école", une seule "possibilité".

[Minimus] [Minimus]
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:19:59

Ok, merci Azerty.
Werber ? Ouais, peut-être, bien que d'après ma mémoire un peu défaillante, il s'agissait de Stephen King, m'enfin j'suis pas sûr.

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 26
04 juillet 2008 à 23:28:16

King en effet.

_Azerty777 _Azerty777
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:34:52

Schlunk? King il écrit en Anglais, non? Et en Anglais, les adverbes sont pas aussi lourds qu'en Français à ma connaissance. Donc comment il aurait pu donner un conseil d'écriture aux Français?
Moi paumé, là. ><

[Minimus] [Minimus]
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:36:56

Ben c'est peut-être un conseil "anglo-français" ^^ Il a dû déconseillé l'usage (dans sa langue) des mots en -ly. Et puis ce conseil est venu jusque chez nous :question:

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 26
04 juillet 2008 à 23:42:59

Si tu veux Az, j'ai le livre où il explique en détail le pourquoi du comment. Laisse moi un peu de temps et je vais poster pour vous montrer.

_Azerty777 _Azerty777
MP
Niveau 10
04 juillet 2008 à 23:52:09

Ok, j'lirai ça d'main ceci dit^^

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 26
05 juillet 2008 à 00:10:09

Voici donc ledit passage :

"L'adverbe n'est pas un ami.
Les adverbes, vous vous en souvenez sans doute car ça traîne dans tous les livres de grammaire, sont des mots qui modifient les verbes, les adjectifs ou les autres adverbes. Des mots qui se terminent en général en -ment (-ly en anglais). Comme la voix passive, ils donnent l'impression d'avoir été créés pour le bonheur des écrivains timides. Lorsqu'il utilise la voix passive, l'écrivain trahit en général sa peur de ne pas être pris au sérieux ; elle est la voix des petites garçons à a moustache dessinée au cirage et des petites filles clopinant dans les talons hauts de maman. Avec l'adverbe, l'écrivain trahit le fait qu'il craint de ne pas s'être exprimé avec clarté, d'être passé à côté de ce qu'il voulait souligner ou du tableau qu'il voulait esquisser.
Prenons la phrase : Il referma brutalement la porte. Phrase qui n'a rien de bien terrible (mis à part qu'elle emploie la voix active), mais demandons-nous si brutalement a bien sa place ici. On peut faire remarquer qu'il exprime une différence de degré entre : il referma la porte, et ; Il claqua la porte. Je veux bien. Mais ... et le contexte ? Que faites-vous de toute la prose qui précède et éclaire les choses (pour ne pas dire qu'elle nous a peut-être aussi émus) avant qu'on en arrive à : Il referma brutalement la porte ? Ne devrait-on pas déjà savoir comment notre héros va refermer la porte ? Si ce qui précède nous éclaire, brutalement n'est-il pas de trop ? N'est-ce pas redondant ?
J'ai quelqu'un, dans mon dos, qui m'accuse d'être assommant et de faire de la rétention anale. Que nenni. J'estime que la route menant en enfer est pavée d'adverbes et je le crierai sur les toits. Pour le dire autrement, les adverbes sont comme le pissenlits. Un seul et uniques sur votre pelouse, c'est ravissant. Oubliez de l'arracher et, quelques jours plus tard, vous en aurez cinq, puis cinquante le lendemain et, mes chers frères et soeurs, votre pelouse sera recouverte totalement, complètement et superlativement de pissenlits. Et lorsque vous comprendrez que ce sont des mauvaises herbes, aïe ! il sera trop tard.
Je peux jouer franc-jeu avec les adverbes, cependant. Bien sûr que si. A une exception près : quand ils accompagnent des verbes déclaratifs. N'utilisez les adverbes, dans ces cas-là, qu'avec la plus extrême parcimonie, que dans les circonstances les plus rares et les plus particulières - j'insiste. Et même là, on peut encore les éviter. Pour être certain que nous nous comprenons bien, examinons ces trois phrases :

"Pose-le !" cria-t-elle.
"Rend-le-moi, supplia-t-il, il m'appartient."
"Ne soyez pas idiot, Jekyll", dit Utterson.

Dans ces phrases, cria, supplia, sit sont des verbes qui permettent de savoir qui parle. Et à présent, examinons ces variantes douteuses :

"Pose-le !" cria-t-elle agressivement.
"Rend-le-moi, supplia-t-il abjectement, il m'appartient."
"Ne soyez pas idiot, Jekyll", dit Utterson dédaigneusement.

Ces trois dernières phrases sont toutes plus faibles que les trois premières, ce que verront tout de suite la plupart des lecteurs. La dernière est la meilleure du lot, car elle est un simple cliché, tandis que les deux autres sont d'emblée ridicules. Ces verbes déclaratifs sont connus en Amérique sout le nom de "swifties" à cause de Ton Swift, courageux inventeur-héros dans une série de romans pour jeunes garçons écrits par Victor Appleton. Quand j'étais adolescent, on jouait à un jeu consistant à inventer des swifties plus ou moins humoristiques "Vous êtes très adroit, dit-il maladroitement", et l'une de celles dont je me souviens; une autre était : "Je suis le plombier, dit-il avec aplomb." (Dans ce cas, le modificateur est une locution adverbiales). Lorsque vous vous demandez si, dans un dialogue, il faut ou non qu'un pissenlit-adverbe accompagne le verbe déclaratif, je vous suggère de vous poser aussi la question de savoir si vous aimeriez que votre prose serve à amuser la galerie dans des charades.
Certains écrivains tentent de contourner la règle pas-d'adverbe en shootant le verbe déclaratif aux stéroïdes anabolisants. Le résultat est bien connu de tous les lecteurs de littérature de gare :

"Pose ce revolver, Utterson" grinça Jekyll.
"Continue de m'embrasser !" hoqueta Shayna.
"Espère de sale allumeuse !" éructa Bill.

N'écriez pas comme ça... s'il vous plaît !
Le verbe déclaratif le plusc ourant est dit, comme dans dit-il, dit Bill, dit Monica. Si vous avez envie de lire des textes où cett règles est mise sans faille en pratique, lisez ou relisez un roman de Larry McMurry, l'ayatollah des verbes déclaratifs? Voilà qui doit vous paraître fichtrement faux-cul de ma part, mais je suis tout à fait sincère. McMurry n'a pas laissé pousser beaucoup de pissenlits sur sa pelouse. Il se fie au procédé du dit-il/dit-elle dans les passages de crise émotionnelle. Allez en paix et faites de même."

Après, on est ou on est pas d'accord avec lui.

[Minimus] [Minimus]
MP
Niveau 10
05 juillet 2008 à 00:23:40

Intéressant tout ça. Je pense que je vais suivre son conseil sur les adverbes, finalement c'est vrai qu'en éclairant le contexte préalablement, on peut omettre les adverbes et ainsi alléger le tout. Mais j'ai peur de ne pas avoir bien compris la fin, sur le verbe déclaratif. Est-ce que King préconise ici d'utiliser uniquement le verbe "dire", quelle que soit la manière dont est dite la parole ?

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
05 juillet 2008 à 09:36:33

Disons que certains verbes par lesquels on serait tenté de remplacer "dire" sont largement facultatifs, et peuvent alourdir le texte. Pour King, c'est inutile parce que si on écrit bien, le lecteur voit très bien comment un personnage dit quelque chose.
Après, sur ce point-là, je suis pas aussi d'accord que pour les adverbes. Je préfère éviter la répétition du verbe "dire'. Cela dit faut savoir qu'en anglais/américain, la répétition de "he said/she said" en fin de dialogue fait moins tâche que chez nous.
Mais bon, c'est une question de contexte dans lequel s'insère le dialogue. Si les précisions autour sont suffisantes pour qu'on puisse facilement imaginer le ton des personnages, rajouter un verbe de ce genre (de même qu'un adverbe d'ailleurs), ça ne ferait qu'alourdir.

De toute façon, comme le dit King lui-même dans le bouquin qu'a cité Ostra, ce ne sont que des conseils, en aucun cas des règles universelles.

_Azerty777 _Azerty777
MP
Niveau 10
05 juillet 2008 à 11:44:43

Ouais, enfin la manière dont il le dit fait bien doctrine universelle quand même. :/
Et je suis pas du tout d'accord personnellement, mais je suppose que j'aurai du mal à faire une argumentation plus convaincante que la sienne donc je vais me la fermer. :/
Merci Os' d'avoir recopié tout ça, quand même. :p)

Negatum Negatum
MP
Niveau 10
05 juillet 2008 à 22:26:15

Quand vous écrivez, vous êtes plutôt du genre à vous lancer direct sur votre idée, ou à réfléchir à tout ce qui va se passer avant d'écrire ? :d) Reflechir a tout ce qui va se passer pour moi. Je vais pas argumenter, mais j'ai remarqué que ces derniers temps, je suis dans l'incapacité d'écrire sas "filet", c'quiest dommage :-(

Quand vous avez votre histoire tout bien définie et réfléchie et que vous vous lancez enfin dans la phase de rédaction, combien de temps mettez vous à tout écrire ? (pour une nouvelle moyenne, soit une vingtaine de pages) :d) Ouhla, c'est trés variable. Quand je suis au max de ma forme et de mon inspiration, je peu écrire jusqu'à trois pages par jour tout les jours. Mais, si en théorie c'est possible, en pratique ça n'arrive quasiment jamais. J'approche donc le ryhtme 3/4 de page, 1 page par jour, mais c'est souvent par saccade, et par cycle.

Est ce que vous êtes satisfait de votre 1er jet en général ? :d) Ca dépend lesquels. Quand je suis inspiré et que j'écris, généralement, je trouve d'emblée mon premier jet super, et je ne le retravaille qu'assez peu. Sinon, c'est le contraire, je le deteste déja, et soit je le fous en l'air, soit je le reforme complétement lors de la relecture. Non mais!
Vala :-)

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