Moi, c'est à peu pres pareil. Mais je pense que raconter un rêve vraiment tel qu'il est peut poser des problemes niveau écriture. Enfin, je demande a voir, de toute maniere^^. Pour me faire mon propre avis, lien vers ton blog ?
Bonsoir,
Quelqu'un a t il quelques conseil quant à la description d'une personne ?
Merci d'avance,
Ben
L'une des choses pour moi la plus importante quand on décrit quelqu'un que ce soit physiquement ou caractériellement c'est de donner des détails, pas forcément de tout détailler. L'important c'est de particulariser la description, car les descriptions générales n'ont que peu d'intérêt en règles général. Qu'une personne est belle, ca ne nous dit rien de vraiment fascinant sur la personne. Il faut vraiment décrire la beauté.
Qu'elle est blonde chatain, brune, pareillement, ca donne peu d'indication, ce n'est pas très intéressant la plupart du temps.
Qu'est ce qui fait que la coiffure de cette personne est celle de cette personne et pas des milliers d'autres.
Bon après ca compte principalement pour les personnages important, disons qu'une personnage totalement sans intérêt, ou dirons nous très secondaire parfois, on peut le décrire de manière cliché, générale basique, pour justement dans cescas là montrer qu'il n'est pas représentatif d'une personne en particulier mais d'un "type". mais alors dans ce cas là, faut vraiment que ce soit clairement défini.
Si vous voulez mettre en lumière un personnage et le fait qu'ils de distingue des autres, au contraire, là vous ne pouvez presque toujours pas vous permettre de ne pas rentrer dans des détails, des faits.
On peut faire une description par analogie métaphore ou une description réaliste pointilleuse, ou bien même (et c'est personnellement l'une de mes méthodes préférés) parler de l'impression qu'elle fait dans telle ou telle situation précise aux autres, ou à une personne en particulier.
Ca a l'air évident, mais c'est pas facile du tout de particulariser vraiment quelqu'un on a trop tendance à généraliser les traits.
Bien sûr aucune règle d'écriture n'est inévitable, et on petu faire parfois de très bonnes descriptions en évitant tous ces conseils, mais ils vous facilitent quand même vachement la vie. Et pas dans le mauvais sens du terme, ce n'est pas beau des facilités d'écriture bateaux si je puis dire.
Faire un portrait? Un portrait élogieux ou négatif?
Pour décrire une fille (même si ça peut être cliché):
_parler des lèvres
_des yeux (y associer une émotion ça fait plus poétique, pas juste dire 'beaux' ou 'profonds')
_les cheveux
Ce sont les 3 principaux éléments que l'on décrit en général. Ce qui peut faire original c'est justement de s'intéresser a tout autre chose, comme ses pommettes, son menton ou son nez. Ou bien ne pas décrire une beauté fatale, mais une autre forme de beauté (simplicité, tristesse/timidité touchante, le bonheur qui se voit sur son visage) qui d'après les yeux du narrateur surpasse la beauté pure.
Décrire une fille (plutôt sous forme de blâme)
Voilà ce qui peut faire d'une fille qu'elle est moche et pas attirante, au delà de la mocheté pure et simple :
_Trop banale/ ennuyante/ fade
_Trop sûre d'elle/ une peste
_Expression faciale étouffante (les gens trop tristes ou trop heureux sont parfois désagréable de vue)
_Mal maquillée
_Trop "fausse" (lifting, maquillage, sourire hypocrite etc a outrance).
Ce ne sont que des idées, a toi de les mettre en forme selon ce que tu veux.
Pour les mecs... c'est pas trop mon domaine. Moi j'écris a la première personne, étant un mec, mon personnage s'attarde plus sur le physique des filles que celui des mecs.
Je plussoie Zech. Mais pour moi, la description, c'est différent pour chaque auteur, mais il y a surtout des trucs à éviter absolument. Déja, priorité :
- Le syndrome de la carte d'identité. La terreur de la descrition. Ce truc consiste à décrire une tonne de personnages de tonnes de détails inutiles en début de texte. C'est absolument horrible et ça fait décrocher. Genre :
Mathis, notre héros, a 12 ans, des cheveux blonds coupés courts et de beaux yeux bleus. Il aime travailler à l'école, car sait qu'il le fait pour avoir un bel avenir. Sur le divan, son père, 55 ans, passe sa main dans ses cheveux chatains. Il a les yeux marrons de son coté, contrairement à son fils, qui tient ses yeux de sa mère Mathilde, 47 ans, qui travaille à coté de la maison dans une usine de dressage pour chats.
C'est chaint, on s'en fout et rien ne passe. C'est pas vivant.
Deuxieme point, plus personnel, donc je n'affirme rien, mais je le dis :
-Il ne faut pas que le lecteur voit à 50 km ce qu'on veut lui faire ressentir. Et donc je suis pas du tout d'accord avec toi, PPP, parce que ton truc est, déja, cliché, et en plus, méga prévisible. Pour moi, l'auteur doit décrire les personnages de façon à ce qu'ils soient aimés, ou haï, mais pas artificiellement. Pas avec des trucs comme "ses levres pulpeuses" ou "ses profonds yeux bleus"...
Avec des trucs plus subtils. Et Zech résume bien la situation :
"parler de l'impression qu'elle fait dans telle ou telle situation précise aux autres, ou à une personne en particulier."
Donc, ne pas faire cliché, et ne pas faire carte d'identité. C'est les deux trucs que je conseille d'éviter.
Une règle que je considère comme universelle pour décrire les personnages, c'est de ne pas faire concorder apparence et caractère.
"Ses yeux brillait d'intelligence" ou "Il avait des mains propres à ce genre de personnes stupides et sans pensées évoluées" sont des contre-exemples à ne jamais reproduire.
Après, des détails certes, mais des détails utiles et surtout le moins de précisions chiffrées possible.
Déjà, si tu arrives à t'en tenir à ça, ça devrait aller.
C'est ce que j'ai dit justement, j'ai précisé que je trouvais ça cliché. Mais après, si on détail bien ça peu sortir du cliché...
La description physique que j'ai fait de ma meilleure amie fait 2 pages word
Alors, ouai mais justement si on détails bien, or t'as donnes les clichés, sans donner les détails, donc je suis pas sûr que ca soit de bons conseils.
Et puis la taille de la description n'est pas forcément importante justement je pense, deux pages word d'un coup, je suis d'accord avec say c'est important aussi de bien les placer pour leur donner du sens les description au moment où on les donne.
Pareil pour ostra, on est là encore dans le cliché, d'une pseudo règle universelle des physique qui ne correspondent pas au caractère. L'important c'est la particularité du physique et du caractère qu'ils correspondent c'est pas forcément mauvais. Il est pas forcément bête de croire que le caractère d'un certains nombre de personnes correspondent à ce que leur physique dégage.
Tous les connards n'ont pas des allures de boyscoot. Tous les mecs qui semblent esthétiquement réussi, qui semblent intelligent, sociable et marrant, ne sont pas forcément des cruches vides et prétentieux. Et les mecs qui en apparences sont moches et ont l'air bonné, n'ont pas forcément une grandeur d'âme et une intelligence hors du commun.
Bref je trouve ce conseil très mal formulé, les exemples données j'en conviens sont mauvais mais pour d'autrse raisons.
"Ses yeux brillait d'intelligence" Celui là c'est là encore parce que c'est cliché et pas particularisé. C'est trop vague. Qu'il soit intelligent et que ca se voit dans ses yeux c'est possible, et à l'opposé le regard bovin de certains gens va bien avec leurs pensées peu subtils dirons nous. Mais un regard bovin déjà c'est un peu plus concrêt, mais ca reste cliché. Il faut décrire en quoi ses yeux brillent d'intelligences si c'est le cas.
genre "On percevait dans son regard une intelligence en plein action, ses pupiles régulièrement s'ingéniait à décortiquer tous les éléments qui se trouvaient dans son champ de vision. Mais surtout ses yeux suggéraient une capacité de concentration assez impressionnante lorsque par hasard ses pupilles se rétrécissait en posant fixement sur l'objet de son attention."
Bref, on essaye d'expliqué cette intelligence qui brille dans le regard, ici par exemple la méthode que j'ai utilisé c'est de mettre ses yeux en situations et en mouvement. IL n'est pas idiot de refuser une description statique d'un personnage, puisqu'à part un cadavre (et encore dirait certains) une position totalement immobile est contraire à la réalité.
POur le deuxième exemple c'est là encore le problème de la particularité, dès qu'on dit "ce genre de personne" c'est assez mauvais signe. Tu coupes la description en parlant d'un genre. Maintenant toute utilisation de l'expression "ce genre de" n'est pas à bannir il permet des généralités qui peuvent être très intéressant, surtout si développés, d'un point de vue de la vision sociale ou "anthropologique", mais c'est vrai qu'elle casse là encore le but d'une description qui essaye de mettre en valeur un personnage en particulier.
Et d'ailleurs même souvent quand on veut faire une critique sociale et qu'on veut critiquer "un genre" c'est à dire une tendance en réalité, je pense qu'il est bien de particulariser la personne surtout s'il est important, parce que jne pense que ca le rend plus intéressant pour le lecteur. Dans un essai philosophique, on s'attend pas à voir des cas particuliers spécialement, même symboles de principes, donc ca passe. Dans un roman, on s'y attend beaucoup plus.
Tu sais Zech, si tu n'es pas d'accord avec moi, ce n'est pas un problème, et je peux le comprendre fort volontiers, mais c'est inutile d'employer un ton aussi moqueur et péremptoire.
Je livre une opinion qui me semble une bonne méthode. Libre à l'auteur de la partager ou non, mais ce n'est pas la peine de tenter de démontrer par A+B que le moindre mot que j'ai pu dire n'a aucun sens.
Il s'agit là d'aider quelqu'un, non de s'écharper à la moindre phrase.
Tu vois le mal partout enfin surtout dans mes postes, j'ai tout fait pour ne pas me moquer de ton message. ( Ceux qui me connaissent se doutent que face ce conseils, je n'en ai pas pensé moins, mais bon, ca c'est mon esprit sarcastique)
Le seul but de mon message est de conseiller, ce qui dans le cas présent consistait à conseiller de ne pas prendre en compter un conseil de toi ou d'un autre. Bien que j'avoue que j'ai toujours préféré démontrer par A et B le nonsens de quelque chose plutôt que de me contenter de le proclamer.
Pas besoin, de se sentir tout de suite victime d'un écharpement (oui ca n'existe pas, en tout cas pas dans ce sens, comme mot mais on aura compris).
Bien que ce soit à la mode ces derniers temps, un certain égocentrisme cherchant le pathétisme en se proclamant subtilement (ou pas tant que ça) victime dès que quelqu'un puisse ne pas nous soutenir.
OK là je me moque vraiment. Ce ne sont aps des phrases justes là pour expliquer ce que je dis. Mais je crois qu'on (après dépend qui on y place dans ce "on") me pardonnera assez facilement cette petite moquerie face à ton dernier poste vexé.
"d'une pseudo règle"
"Et les mecs qui en apparences sont moches et ont l'air bonné, n'ont pas forcément une grandeur d'âme et une intelligence hors du commun"
Je vois le mal partout, bien sûr. Je ne suis ni véxé ni constitué victime, c'est donner plus d'importance que tu ne le penses à ton pouvoir de nuisance. Tu auras remarqué que je suis neutre et courtois, tenons-en nous là.
Je me permets de dire que je trouve du moins inutile, sinon stupide, de décortiquer mes exemples alors que ceux-ci étaient évidemment des raccourcis pour illustrer plus rapidement ma pensée.
Revenons-en au fond de la discussion. Tu as mal compris ce que j'ai dit, qui était pourtant d'une simplicité absolue, à savoir que je parlais d'apparence. Toi, tu prétends que cela ne fonctionne pas en te servant de l'argument de l'exception qui peut briser cette règle (pour la forme), mais surtout, tu avances que l'apparence d'une personne en fonction de ses agissements peut au contraire traduire la personnalité (pour le fond). En somme, tu parles de l'attitude.
Attitude et apparence sont deux choses très distinctes. L'apparence est une chose statique, une image qui émane d'une personne de manière immédiate. L'attitude traduit du mouvement du corps. A titre de comparaison, l'apparence serait l'image, l'attitude le film. Je maintiens donc que l'apparence décrite par l'auteur ne doit pas être le reflet de la personnalité. L'attitude en revanche, sur ce point-ci, je suis d'accord, peut tout à fait révéler une personnalité. Des bras qui se croisent, des mains qui se tordent, un frond suant, une manière de tenir un stylo, peuvent constituer des indicateurs très précis sur la psyché d'un protagoniste et aiguiller/tromper le lecteur.
Je conseillerais pour cela le lecture de Misery de Stephen King. Annie est une femme obèse d'apparence joviale et serviable, sauf qu'elle est complètement cinglée, et que cela se manifeste par des absences, des regards vides, de la bave et cetera... Personnellement, ce livre fut pour moi une leçon de description.
Toi, tu prétends que cela ne fonctionne pas en te servant de l'argument de l'exception qui peut briser cette règle (pour la forme)
Mais pas du tout, l'exemple que je prends est le plus extrême, pour montrer la mesure de son poids de manière flagrantes, mais ce n'est pas une exception, il y a toutes les nuances entre les deux. Et qu'il y a très probablement quelque chose dans le physique de similaire au caractère. Et que l'exception serait que rien dans le physique ne soit cohérent avec le carac tère, ou qu'au contraire que tout soit cohérent. (ce qui me semblerait malgré tout dans le dernier cas malgré tout plus probable, car on peut plus facile laisser transparaitre toute sa nature involontairement, que la cacher "totalement" mais peu importe)
POur ta différence, entre attitude et apparenece, premièrement je pense déjà l'avoir expliquer, vu précédemment. Je vais me permettre de me citer, ca évite une éternelle répétition "Bref, on essaye d'expliqué cette intelligence qui brille dans le regard, ici par exemple la méthode que j'ai utilisé c'est de mettre ses yeux en situations et en mouvement. IL n'est pas idiot de refuser une description statique d'un personnage, puisqu'à part un cadavre (et encore dirait certains) une position totalement immobile est contraire à la réalité. "
Bien sûr à la part description d'une photo (et encore la plupart révèlent d'autre chose qu'une simple apparence, c'est d'ailleurs leur but quand c'est de l'art) alors on rentre dans l'art de l'ekphrasis, mais moins d'une personne. Et c'est justement ce qui rend trop de descriptions si mauvaises, c'est qu'ils oublient que c'est un air vivant. ET si tu as raison attitude et apparences sont deux choses différents, sauf que les apparences d'une personnes ne sont jamais perçu qu'en mouvement et donc qu'habillées d'attitudes.
La faiblesse de ce genre de description (en général, bien sûr, parce que nous savons bien que les règles n'aident jamais qu'en général et sont loin d'être absolu.)
Mais dans tous les cas mêm ed'un point de vue statique comme l'apparences révèle énormément d'une personne, tu me cites Stephen King cool. Mais là c'est toi qui fait d'un exemple un argument dissimulé en conseil. Bien sûr que y a des cas comme ça, mais dcombien d'anthropologiste ont montré entre autre que le physique en disant beaucoup sur la vie de la personne, et que la vie n'est pas totalement et toujours décalé du caractère de la personne. ET encore moins forcément opposé. Et puis si on conseillait par un concours de citation, ca serait vite terminé, et j'aurai cité dorian gray d'Oscar qui est Autrement meilleur écrivain que Stephen King (Une réalité d'autant plus intéressante que stephen King est loin d'être un mauvais écrivain).
Les mains d'une personne révèlent énormément de choses
des cales sur les mains peuvent correspondre à un coté travailleur, la personnalité travaille le corps, de manière parfois subtils de manière moins.
Les gens nerveux ont souvent un corps sec, car le stress l'activité permante favorise un tel corps.
ET là ce sont même des hors réalités statiques, je voulais dire réalités statiques, mais certains risque d'oublier la nuance que j'ai faite précédemment.
Bref ce n'est pas que l'attitude, les apparences certes dans une moindre mesure, concordent très régulièrement avec le caractère. ET c'est rarement par hasard d'ailleurs, mais souvent par logique consécutive. Les attitudes elles par contres c'est presque systématiquement de manière plus ou moins subtiles.
Et en plus, les apparences on ne les perçoit qu'avec les attitudes qui les accompagnent.
ET je rajouterai une chose, pour la description à la première personne, que je n'avais pas vraiment parlé, mais qui reste dans le sujet et qui me vient en parlant de ça.
Quand on écrit à la première personne, on doit assumer une certaine subjectivité, et si on change un certain réalisme psychologique du personnage narrateur, il faut savoir que l'homme a tendance à marcher par préjugé et par lien.
Ce qui justifie d'autant plus de lié, dans ce cas précis du personnage narrateur, de lié caractère et apparence.
Par préjugé dans le sens, où bien sûr on aura tendance à croire ce qu'on voit et à faire des associations hatives. Saviez vous que vous avez 20 pour cent de chance de plus qu'on vous fasse confiance si vous parlez en levant les sourcils en l'air ? Et les personnes qui les ont naturellement en forme arrondis et un peu plus au dessus des yeux que la moyenne vont attirer la confiance.
Alors dans ce cas là c'est par préjugé, parce que c'est pas le fait qu'hausser les sourcils va faire de vous quelqu'un de plus honnête (lu enfantin, car il semblerait que des scientifique relie ça au fait que c'est l'instinct qui l'associe ç une mimique enfantine, donc moins sujette à la méfiance). Pour autant, ca n'es tpas forcément stupide, de faire du narrateur un personnage biaisé, si c'est écrit à la première personne.
J'apporterai d'ailleurs aussi la nuance avec même exemple (mais qui peut se décliner en milliers d'autres exemples) qu'avoir les sourcils totalement détendus est parfois consécutifs d'une certaine honnêteté. Car en effet, il est une des microexpression de l'étonnement voire de l'ébahissement et d'une rupture de la pensée, donc une absence de recul. Une personne qui va s'étonner beaucoup de cette manière et qui va être rarement dans le recul, qui va être honnête, aura moins appris que d'autre à masquer toutes ces expression et qui réfléchira moins sera plus sujet à cet étonnement et donc à ses sourcils relaché qui n'auront pas pris l'habitude de se figer d'une autre manière. POUr ça que l'attitude va figer des traits en parties, car on est jamais totalement relaché, même de manière hypothétiquement absolument statique.
Bref, j'ai parlé de cette association par préjugé, qui est l'une qu'on peut refuser, si o nveut un narrateur plus idéal, et donc une association plus raisonnée et justifiée.
Et c'est l'association par lien, faire un lien entre le physique et le caractère associé la limpidité d'une couleur d'yeux à la pureté d'un caractère. C'est parfois pas par préjugés, mais quand on apprend le caracètre d'une personne, et que finalement on le connaiut, quand on voit des yeux qui peuvent s'y assimiler qu'il y ait lien de cause conséquence ou non l'association se fait.
C'est un des mouvements de l'esprit les plus répandus, un poitn psychologique qu'on retrouve très fréquemment dans la vie courante, dans la littérature et les descriptions, mais aussi dans la réflexion. Si certains d'entre vous sont des chercheurs, ils peuvent se remémorer avec un certain amusement, le fait qu'ils ont une tendance à voir partout leur sujet. ET à tout lié à leur sujet.
ET QUE C'EST TRES LOIN, d'être stupide, au contraire c'est souvent pertinent, intéressant. Quelques fois c'est juste le coté obsessionnel qui nous fait parler. Mais souvent c'est une perspective réelle, extrêmement justifiée et raisonnée. ET SI elle est pertinente, elle est rarement LA plus pertinente,mais peu importe.
Je terminerai par une citation de Wilde que j'avais mentionné plus haut.^^
Il n'y que les esprits légers pour ne pas juger sur les apparences, le vrai mystère du monde est le visible et non l'invible.
Je n'ai même pas lu. J'ai assez perdu de temps comme ça. Bravo tu as raison. A la prochaine vieille branche.
Une chose à part. J’ignore si Benji_98 est toujours dans les parages (ohé ?), mais je t’invite à zieuter cette page http://www.actusf.com/spip/article-8084.html notamment les sections « Présenter un personnage » et « Les descriptions ».
Ca te sera certainement plus utile que nos galimatias. Fait simple et fait toujours en sorte que ça reste du plaisir.
Et bien, avec une question, j'ai réussi à réveiller le forum, on a battu un record de messages là...
Tout d'abord, merci pour vos conseils, c'est assez sympa cette sorte de mini-débat qui s'est créé.
Ostra', j'ai survolé le lien que tu m'as donné, plutôt intéressant, je m'y pencherais un peu plus tard.
Merci merci ;)
Bonjour,
Je veux commencer à écrire une histoire j'ai eu une idée en flash y a quelques jours, elle me plaît beaucoup mais voilà mon problème: L'histoire se passerait quelques années dans le futur (2013-2014 je dirais mais rien de précis pour le moment). J'aimerais vos conseils pour introduire la situation historique dedans donc. Quand et comment dois-je faire comprendre au lecteur le contexte temporel?
D'avance merci
Ah ben ça...je sais que c'est pas explicite mais c'est vraiment à toi de voir. J'imagine que tu hésite entre annoncer net la date au départ, afin de mettre le lecteur au courant d'une façon brutale et efficace, ou alors de manière plus subtile, en glissant quelques petits détails qui pourraient lui laisser deviner le contexte historique.
Personnelement, je préfere la seconde solution. Et à la rigueur, je la préfere même poussée à l'extreme, c'est à dire que tu ne donne aucun indice, que tu ne cherche pas à montrer l'époque en fait, et tu écris ton histoire sans chercher particulierement a indiquer au lecteur de date.
Parce que au fond, pourquoi lui indiquer ? Je veux dire ça lui donne quoi. De mon côté, j'ai toujours préféré les histoires sans date, que tu situe "en gros". Ca donne une certaine crédibilité, je trouve. Je sais pas pourquoi.
Enfin bref, déja, c'est quel genre ton histoire ? Parce que ce genre de détails dépend de pas mal de choses, quand même. Donc, dis m'en plus.
En fait ce serait sur un contexte politique "inimaginable" à l'heure actuelle, qui s'est produit dans le passé mais que je ne peux pas utiliser car il n'y aurait plus de cohérence avec mon idée. Mon histoire repose sur ça donc je suis obligé de la faire dans le passer et je tiens à ce qu'elle s'incrive dans un registre réaliste du moins au début.
Ah...attends. Tu veux dire que tu veux réutiliser un régime politique du passé. Qui aujourd'hui serait inimaginable. Mais tu ne peux pas l'utiliser. Ben, je te suis pas. Si tu peux pas l'utiliser, comment tu compte faire ?
Je te MP