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Sujet : Condensé bordélique de ma pensée

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Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 15:26:45

:salut:

Je vais essayer de dépeindre, sans écrire un livre et humblement, les problèmes que je vois poindre au 21ème siècle.
Il s'agit de quelques copier/coller de mes posts et d'une réorganisation générale. C'est fouillis, brouillon et incomplet. Mais on pourra en discuter.

Voilà ma problématique :
La croissance économique que le système sacralise en ce moment est basée non pas sur l'augmentation mais sur l'augmentation de l'augmentation du profit, du crédit, des dettes. Le problème ? On assiste à une courbe exponentielle de la croissance. Comment faire miroiter une croissance illimité dans un monde limité ? Ce n'est pas -durable-. Pouvoir créer indéfiniment du crédit revient à pouvoir créer indéfiniment de l'endettement, or aucun des trois grands acteurs économiques ne peut s'endetter indéfiniment. Et la terre ne pourra pas non plus le supporter.

Alors voyons un peu plus précisément où ce problème fondamental nous mène et nous fera rejoindre l'écologie.

Pour comprendre la fuite en avant des capitaux, il faut d'abord reprendre quelques bases. Le Modèle de Harrod-Domar a identifié clairement le problème de fond.

"Harrod et Domar vont chercher à comprendre les conditions dans lesquelles une phase d'expansion peut être durable. Ainsi, s'il ne propose pas à proprement parler une théorie de la croissance (expliquant son origine sur une longue période), le modèle de Harrod-Domar permet, néanmoins, de faire ressortir le caractère fortement instable de tout processus d'expansion.

En particulier, il montre que pour qu'une croissance soit équilibrée (c'est-à-dire que l'offre de production augmente ni moins (sous-production) ni plus (surproduction) que la demande), il faut qu'elle respecte un taux précis, fonction de l'épargne et du coefficient de capital (quantité de capital utilisée pour produire une unité) de l'économie. Or, il n'y a aucune raison que la croissance, qui dépend de décisions individuelles (en particulier des projets d'investissement des entrepreneurs), respecte ce taux. De plus, si la croissance est inférieure à ce taux, elle va avoir tendance non pas à le rejoindre, mais à s'en éloigner davantage, diminuant progressivement. La croissance est donc, selon une expression d'Harrod, toujours « sur le fil du rasoir »."

La conclusion de ce texte, pour vulgariser c'est qu'une économie totalement libre et mondialisée, sans règles précises, s'égare. Prenons une ile que l'on contrôle, toi, lecteur et moi. On la partage, tu prends le lagon, je prend les arbres. Je coupe tous les arbres, on crève tous les deux.
C'est une fable simplette qui rappelle qui si nous ne sommes pas sur les lieux et mal informés : nous pouvons faire absolument n'importe quoi. Nous aurons eu de la croissance, certes, mais nous mourrons. C'est pourquoi il conviendra toujours distinguer croissance et progrès.

Alors j'en viens de parler de la science de l'écologie, pas du business qui en deviendra certainement un. Que dit-elle ? Que la terre se réchauffe. La cause anthropique atteint une probabilité de 90% selon toutes les académies des science, et tous les grands instituts internationaux, GIEC compris bien entendu. Voilà ce qui se passe, pour résumer ce point :
http://www.youtube.com/watch?v=UBW2xHIMc38
http://en.wikipedia.org/wiki/Global_warming_controversy

En France, il est d'ailleurs saisissant que TOUS les sites libéraux soientt climatosceptiques. Envers et contre tous. Ce n'est même plus du libéralisme, c'est un dogme, le dogme du profit. Le néolibéralisme dans toute sa splendeur : réchauffer la planète, ça rapporte aux puissants. Claude Allègre lui-même a retourné sa veste après avoir affirmé des énormités dans son livre. Je partirais donc du fait que la science dit vrai, et qu'il faut ce méfier de là où on va. Le réchauffement n'étant pas non plus le seul à découler de notre impact environnemental, il y a aussi la biodiversité ou l'acidification océanique...Bref.

Que pensez-vous de sortir de l'urgence ? Voilà le sujet.

Nous sommes donc plongés dans le temps de l'urgence. Les phénomènes que nous décrivons avec une relative exactitude sont profonds et rapides. L'écologie politique n'existe souvent qu'en terme de délai, d'imminence, d'échéance, dans l'esprit des gens mais c'est en réalité très en dehors de ce dont traite la véritable écologie. Sans tomber dans l'extrémisme qu'on pourra appeler "le Khmer vert", l'intéressé par le business ou la décroissance, le développement durable, lui, propose simplement de sortir de l'urgence. Le temps de la politique et de l'économie néo-libérale qui épuisent la planète du fait de cette croissance exponentielle est lui-même temps de l'urgence, temps de l'immédiateté et du court terme. L'urgence écologique n'est donc pas le résultat de l'inertie ou de l'immobilisme des politiques actuelles, mais plutôt la conséquence d'un temps trop court toujours plus contracté pour répondre à la frénésie du productivisme et du consumérisme. Nous produisons mieux, mais aussi plus et parfois mal, nous consommons aussi, beaucoup.

Alors a quoi cela sert il ? A qui cela sert-il ? Certainement pas au peuple en tout cas. Regardons nos objets. Ne sont ils pas bien plus "remplaçables" qu'avant ? Demandez à vos parents combien de temps vivait une machine à laver, une voiture, une télé, une gazinière ? Et voyez comme aujourd'hui tout se casse comme par magie. Comme le dernier frigo Américain que vous avez acheté ne passera pas 10 ans, comme nos portables que l'on change tous les 6 mois, comme tout est devenu fragile, renouvelable. L'abonnement, on nous abonne à tout, partout, on fidélise le crédit, on le systématise. Les Américains ont 3 cartes de crédits, l'Amérique elle-même est une chimère de crédit. C'est le système qui se contortionne pour repousser toujours plus loin la quête du profit exponentiel dont il a besoin, inlassablement, inévitablement, pour exister. Nous ne pourrons -jamais- rembourser nos dettes nationales. C'est un cancer qui gangrène l'humanité. C'est le triomphe de la cupidité où état et banques, sociétés, tous convergent vers une seule chose : le profit immédiat et exponentiel.

Si nous voulons changer et nous préoccuper de notre écosystème qui est à un stade critique, mais aussi de notre structure sociale ce ne sera pas une énième taxe qu'il faudra inventer, c'est le système de fuite en avant infinie des capitaux, du crédit et de la totale liberté des entreprises qu'il faudra réinventer. Dans ce système absurde, l'impossibilité de la croissance illimitée de l'endettement rend impossible la croissance illimitée du crédit, ce qui ne peut alors conduire qu'à une rupture systémique, dont la crise issue des crédits subprimes n'est qu'un élément avant-coureur. Ca a détruit le social et l'économie, mais ces abus se retrouvent aussi lorsque BP fore si profond qu'il sait pertinemment qu'il ne pourra pas intervenir s'il y a un problème, et que l'état volera à son secours, comme il l'a fait pour les banques. Tout pour le profit. Il est paradoxal et presque tristement amusant que l'écologie, dans ce système, fomentera j'en suis certain, la prochaine bulle spéculative du crédit, inéluctablement. Et comme toutes les bulles, elle éclatera, causant des ravages de tout ordres.

Face à ce constat, et assez récemment, une équipe d'économistes de -tous bords- ont été désignés pour envisager de nouvelles théories :

"La principale [des] conclusions [de ces nouvelles théories] est qu'alors même qu'[elles] donnent un poids important aux mécanismes de marché, elles en indiquent nettement les -limites-.

Ainsi il y a souvent nécessité de créer des arrangements en dehors du marché concurrentiel, ce qui peut impliquer une intervention active de l'État dans la sphère économique ». En particulier ce « retour de l'État » (ce dont je ne veux pas forcément, mais pluttôt des instances internationales) se traduit par le fait qu'il est investi d'un triple rôle : encourager les innovations en créant un cadre apte à coordonner les externalités qui découlent de toute innovation (par exemple grâce à la protection qu'offre aux innovateurs les brevets) ; susciter celles-ci en investissant dans la recherche (notamment fondamentale) et les infrastructures dont les externalités dépassent le profit que peuvent en attendre les acteurs privés ; améliorer le capital humain en investissant dans le système éducatif. D'une manière générale, c'est le rôle des politiques structurelles de l'État, en particulier les investissements dans le capital public, qui est ainsi souligné."

Le développement durable oblige dans un premier temps à SEPARER CROISSANCE ET PROGRES, cette notion est fondamentale (source wiki) dans ce qu'il représente. Il propose une politique du temps long et du long terme en intégrant la satisfaction des besoins des générations futures dans sa réflexion. il met en avant une vision qui je pense, est fondamentalement, comme j'ai essayé de l'expliquer, contraire au système mondial néo-libéral tel qu'il est.
http://www.partimontarvillois.org/local/cache-vignettes/L420xH400/Schma_developpement_durable-1686f.png

msyl15 msyl15
MP
Niveau 4
28 décembre 2010 à 16:59:17

J'ai pas tout lu mai je suis d'accord dans le principe.

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 17:14:21

J'ai pas tout lu (je lirai le reste plus tard) mais :
1. La Terre se porte mieux au fur et à mesure que les pays deviennent développés.
2. Le réchauffement climatique causé par l'Homme, c'est du bullshit.
3. La croissance est illimitée parce que n'est une ressource que ce qui est considéré comme telle.
4. Tu as raison pour la multiplication des crédits (et donc des dettes).

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 17:33:42

1.

a/ Ca n'a pas grand chose à voir avec le problème écologique et social.
b/ C'est parfaitement discutable, les Etats-Unis font partie des plus gros pollueurs de la planète.
http://www.populationdata.net/index2.php?option=article&aid=70&article=-Les-15-plus-gros-pollueurs-du-monde

2.

Ce n'est pas du Bullshit si tu consultes autre chose que les cites libéraux, et autre chose que les sites écolos. Ce n'est pas du Bullshit si tu t'intéresse à la science et non pas à l'économie. J'en ai marre de sortir ce lien que tu ne daignes apparemment pas lire :
http://en.wikipedia.org/wiki/Global_warming_controversy
Tu veux que je te traduise ?

3. J'ai pas compris ta phrase.

oot_winona oot_winona
MP
Niveau 7
28 décembre 2010 à 18:40:56

Les gens qui croient et font la promotion de la crise écologique le font seulement dans un but politique.

Il n'y a pas que des libéraux qui soient climato-sceptiques, loin de là, des scientifiques de renommée international ont clairement pris position contre le réchauffement climatique et ses supposées causes humaines. Le réchauffement climatique tant un autre débat, je ne m'y attarderai pas dessus plus longtemps.

Je suis d'accord pour le crédit/dette néanmoins :-)))

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 18:46:04

"a/ Ca n'a pas grand chose à voir avec le problème écologique et social. "

Ah, donc le fait que la Terre se porte de mieux en mieux n'a rien à voir avec le problème écologique et social.

ok

"b/ C'est parfaitement discutable, les Etats-Unis font partie des plus gros pollueurs de la planète. "

Oui. Quand la croissance augmente dans un pays pauvre, la pollution augmente et l'environnement en souffre. Mais lorsque la prospérité atteint un certain niveau, les indicateurs environnementaux indiquent une amélioration ; les villes où l'on trouve les pires situations de pollution ne sont pas New York ou Paris, mais Mexico, Pékin et New Dehli. Dans une économie moderne, les industries lourdes et polluantes sont remplacées par des entreprises de services.

"Ce n'est pas du Bullshit si tu consultes autre chose que les cites libéraux, et autre chose que les sites écolos. Ce n'est pas du Bullshit si tu t'intéresse à la science et non pas à l'économie. J'en ai marre de sortir ce lien que tu ne daignes apparemment pas lire : "

Bon je vais ignorer ça sinon on va totalement dévié le fil et il y a déjà un sujet pour le réchauffement climatique, mais je trouve toujours tes arguments parfaitement ridicules. (pas que j'argumente hein, moi je prends de la distance par rapport à tout ça).

"3. J'ai pas compris ta phrase."

Un homme de l'âge de pierre déclarerait que si tout le monde atteignait son niveau de consommation, il n'y aurait pas assez de pierres, de sel et de fourrure pour les satisfaire tous. Ca te paraît stupide ? C'est pourtant ce que tu dis tout le temps en ce qui concerne nos ressources. :)

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 18:46:51

Il y aura un business de l'écologie, certes. Normal. Par contre les climatosceptiques sont une légende populaire, désolé.

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 18:53:35

"Bon je vais ignorer ça sinon on va totalement dévié le fil et il y a déjà un sujet pour le réchauffement climatique, mais je trouve toujours tes arguments parfaitement ridicules. (pas que j'argumente hein, moi je prends de la distance par rapport à tout ça). "

:d) Tu ne comprend donc pas que ce ne sont pas mes arguments ? J'ai proposé des dizaines de sources de tous les grands instituts internationaux. Ont m'y oppose le pauvre abruti de Phil Johns et presque Allègre, sinon, que des sites de néolibéraux pouris jusqu'à l'os. Ce sont tes arguments qui sont proprement ridicule, il faudrait peut-être que tu t'en rendes compte.

"Un homme de l'âge de pierre déclarerait que si tout le monde atteignait son niveau de consommation, il n'y aurait pas assez de pierres, de sel et de fourrure pour les satisfaire tous. Ca te paraît stupide ? C'est pourtant ce que tu dis tout le temps en ce qui concerne nos ressources."

:d) Voilà un sujet intéressant. Cela rejoint la recherche fondamentale citée dans mon premier post. Sans elle, nous avons très peu de chances de changer notre mode de consommation d'énergie. Le privé cherche à exploiter mieux et plus. D'autre part, il est tout à fait irréaliste d'estimer que tout est énergie. Notre système est limité. L'univers lui-même est limité. Et sans recherche fondamentale, donc sans investissement dénué d'intérêt économique, nous nous bridons, mais nous risquons aussi énormément de se heurter à la limite actuelle de notre système.

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:02:59

Il me semble que ce n'est pas la recherche fondamentale qui a découvert le pétrole. Il me semble que ce n'est pas la recherche fondamentale qui a dit aux entreprises fabriquant des ordinateurs que le sable (sous la forme du silicium) sert à fabriquer une composante essentielle de l'un des plus puissants moyens de production de notre ère, l'ordinateur.
Dans un monde où la technologie ne cesse de se développer, les extrapolations statiques sont généralement fausses et ne présentent aucun intérêt.
Tiens, un exemple :
Il n'y quelques temps, tout le monde était convaincu qu'il serait impossible de fournir un accès téléphonique a toute la population, parce qu'on considérait que tout le cuivre de la planète ne suffirait pas à construire les fils nécessaires pour relier tous les foyers. Rareté des ressources, monde fini, toussa, tout le monde ne pourrait pas avoir de téléphone.. :snif:
Eh ben non. La technologie a évolué, et la fibre optique a remplacé les fils de cuivre. Résultat, on pensait que le cuivre allait disparaître, pourtant son prix ne cesse de baisser.

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:03:20

Regarde d'où viennent le % de climatosceptiques scientifiques :
Embauchés par ça :
http://en.wikipedia.org/wiki/American_Association_of_Petroleum_Geologists
Tiens tiens, étonnant ce consortium... du pétrole, comme par hasard.

La majorité ont abandonné devant l'évidence du réchuffement.

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:04:58

Cela rejoins l'exemple de l'ile et le modèle Harrod-Domar cité plus haut. Le privés ne peut prendre en compte toutes les externalités du système. Il est normal qu'il cherche le profit.

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:16:11

J'ai l'impression que tu n'as pas lu mon dernier post. :snif:

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:22:36

Si ! J'y ai répondu.

1/ Le privé cherche le profit.

2/ Il ne se pose pas la question des externalités de son exploitation. Comme la catastrophe de BP aux U.S qui est magnifiquement représentative du néolibéralisme : Les mecs ont foré si profond qu'ils savaient pertinemment qu'ils ne pourraient pas intervenir en cas de problème. Et que l'état à la botte du profit, viendrait les sauver. Ils se sont tout permi. Et tout est comme ça. Le système trop privatisé rapporte énormément, trop pour que les états ne les suivent pas dans leur folie.

Récemment, je deviendrais presque libéral quand je vois que l'EUROPE crée un fond monétaire pour sauver de futures banques. Comment ? Dans ce putain de système, comment ils s'imaginent que les banques ne vont pas abuser ?

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:27:28

Tu me dis que c'est la recherche fondamentale qui nous fait trouver les nouvelles énergies, je te prouve que non.

" Comme la catastrophe de BP aux U.S qui est magnifiquement représentative du néolibéralisme : Les mecs ont foré si profond qu'ils savaient pertinemment qu'ils ne pourraient pas intervenir en cas de problème. Et que l'état à la botte du profit, viendrait les sauver. Ils se sont tout permi. Et tout est comme ça. Le système trop privatisé rapporte énormément, trop pour que les états ne les suivent pas dans leur folie. "

1. Si tu veux être crédible, ne parle pas de néolibéralisme.
2. C'est vrai que ce genre de catastrophes est dommageable, mais la Terre s'en remet très vite. Une quantité monstrueuse de pétrole a été rejetée lors de la 1ère guerre du Golfe, en 1991. En 3 ans, c'était bouclé.

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:30:27

Je parle de néolibéralisme si je veux. J'en connais parfaitement la définition.

"Tu me dis que c'est la recherche fondamentale qui nous fait trouver les nouvelles énergies, je te prouve que non. "

:d) Ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit, j'ai dit :

"Et sans recherche fondamentale, donc sans investissement dénué d'intérêt économique, nous nous bridons, mais nous risquons aussi énormément de se heurter à la limite actuelle de notre système. "

Hors nous nous heurtons à la limite. Sociale et environnementale.

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:33:24

"Je parle de néolibéralisme si je veux. J'en connais parfaitement la définition. "

Je t'ai pas empêché d'en parler, je te dis juste que ce serait mieux pour ta crédibilité.

"Ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit"

Ah ? Tu as pourtant dit ça :
"Cela rejoint la recherche fondamentale citée dans mon premier post. Sans elle, nous avons très peu de chances de changer notre mode de consommation d'énergie. "

...

"Hors nous nous heurtons à la limite. Sociale et environnementale."

Quelle limite ? A part ton soi disant réchauffement ?

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:37:08

"Je t'ai pas empêché d'en parler, je te dis juste que ce serait mieux pour ta crédibilité."

Je me fiche de ma supposée crédibilité, mais alors à un point que tu ne peux pas imaginer. Le néolibéralisme, c'est ce premier post.

"Quelle limite ? A part ton soi disant réchauffement ? "

La démographie, et les changements climatiques qui vont causer de très forte migrations d'ici 30 ans. La biodiversité, la déforestation, le réchauffement, les subprimes, les marrées noires, tout ça est lié. Lié au profit qu'on a sacralisé. Ce qu'on appèle la cupidité, le néolibéralisme l'appelle la vertu. C'est comme ça aux U.S. C'est ça le dogme.

Apachoid Apachoid
MP
Niveau 10
28 décembre 2010 à 19:37:48

"Cela rejoint la recherche fondamentale citée dans mon premier post. Sans elle, nous avons très peu de chances de changer notre mode de consommation d'énergie."

Tout à fait. Elle est absolument indispensable.

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:38:29

"La démographie"

Tu sais, Malthus a été réfuté depuis des décennies..

". La biodiversité, la déforestation, le réchauffement, les subprimes, les marrées noires, tout ça est lié. "

Ouais, donc l'interventionnisme et tes fantasmes. ok

bon je laisse tomber, je te laisse dans ton dogme écologique. ^^

C67 C67
MP
Niveau 9
28 décembre 2010 à 19:38:55

Apachoid
Posté le 28 décembre 2010 à 19:37:48
"Cela rejoint la recherche fondamentale citée dans mon premier post. Sans elle, nous avons très peu de chances de changer notre mode de consommation d'énergie."

Tout à fait. Elle est absolument indispensable.

Tu te réponds à toi-même là.

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