répon trois heures plus tard
euh ... vous en étiez ou :fou ? pasque j'ai besoin d'aide pour un dialogue ou je seche sévère
hapitre deux
Siris Beldrim (sainte nuit)
Les psaumes résonnaient avec une grâce et une puissance envoutante. L’encens du mirfendier embaumait l’air de son parfum ancien, dansant des encensoirs en de fine volutes de fumées. Il s’inclina trois fois, avant de s’agenouiller. Le prêtre s'approcha, vêtu de ses plus beaux habits de soi et d'or. Son diadème cérémonial brillait de mille feux à la lueur des lourds candélabres, éclairant la froide nuit hivernale.
- Qui est tu pour venir mander Elidin'h, Homme ?
La voix du prêtre raisonna sur les murs blancs de l'édifice. Sous la haute voute de pierre, la foule amassée se tût. Rare étaient les occasions pour les nobles comme les manants d'être ainsi regroupé. La Sainte Nuit était l'une d'entre elle.
Gaelanis déglutit discrètement. Il ne fallait pas faire d'erreur.
- Je suis le Fils du Maître de cette terre. Et c'est en son nom, et aux noms des êtres qui la peuple, que je viens demander Le Pardon.
Un long silence parcourut l'assemblé des laïcs comme des religieux. le prêtre se retourna un instant, pour prendre une étrange bassine cuivrée. Elle était ornée de deux dragons enroulés l'un dans l'autre, et dont les gueules dévoraient ou recrachaient un pâle disque d'argent. Il posa le récipient à ses pieds, et y plongea les mains. Il aspergea de quelques gouttes l'adolescent(, en lui demandant, d'une voix puissante que tous pouvaient entendre, même au fond du temple :
- Confesse tes fautes, car à présent Elidin'h t'écoutes.
- Pour les meurtres et tout les crimes, pour les morts et les blessés, je demande pardon.
Il saisit les cheveux du jeune homme et plongea d'un mouvement sec son visage dans la bassine, et le releva aussitôt. La scène, impressionnante, n'était que l'expiation imagé du duc envers les dieux. Elle n'avait lieu qu'une seule fois dans l'année, et à chaque fois, le duc devait s'y prêter.
- La Divine Miséricordieuse te pardonne, à toi et à ton peuple. Elle pleurera les disparus, et guérira les souffrants.
Le chœur des officiants entonna une courte prière, qui s'éleva vers le ciel avec une grâce divine. Puis ils se turent à nouveau.
- Pour la Colère, La Barbarie, le Mutisme et l'Egoïsme, je demande pardon.
Le prêtre lui plongea à nouveau le visage dans la bassine cuivrée. Et à nouveau, les chants lui succédèrent. Les Kardias Periag (Quatre Pardons) furent énoncés. Une fois le dernier prononcé, le prêtre aida Gaelanis à se relever, et se prosterna devant lui.
- Gloire au Fils du Maître. Gloire Éternelle à Elidin'h, car sa justice l'illumine de sagesse, s'écria le chœur des officiants.
- Gloire au Fils ! Gloire à La Sainte Mère ! Repris la foule.
Les chants s'élevèrent à nouveau sous la nef, et Gaelanis retourna s'assoir dans le confortable fauteuil disposé en l'honneur du Grand Expiant. Le prêtre bénit la foule en l'aspergeant d'eau en psalmodiant le nom de la Déesse de la Nuit. Cette nuit, la sagesse et la paix d'Elidin'h semblait bien descendre sur le cœur des hommes. Pour quelques jours, du moins quelques heures, les conflits seraient apaisés.
Kargwen, son père, se pencha vers lui.
- Tout s'est très bien passé, murmura-t-il. Je suis fier de toi, mon fils.
- Merci, père.
Et il se redressa. Un sourire à peine esquissé l'illumina un court instant, avant que le masque de son indifférence ne retombe sur son visage. Berem, assise en retrait de son époux, adressa un sourire à son fils. Il la regarda à son tour, avant de s'installer correctement.
Les chants raisonnèrent encore et encore. Et enfin au milieu de la nuit, la cérémonie se termina. Les fidèles se hâtèrent de regagner la chaleur de leurs foyers. Le froid s'était fait mordant une fois que la neige eût cessée de tomber. Le Grand Prêtre, monseigneur Alejas, discuta un peu avec les nobles de l'assemblée encore présent, avant de se diriger sans hâte vers le duc et sa famille. Il les salua poliment, s'enquit de la santé de Sa Seigneurie Berem, avant de les assurer de sa présence au banquet qui se préparait dans les murs du palais.
- Par les dieux, qu'il est charmant, fit remarquer la duchesse. La plupart de ses confrères ne sont que d'acariâtres bonshommes impolis ... Et Vous avez vu ce regard lorsqu'il parlait de toi, Gaelanis ? Il était vraiment heureux de ton service.
- Mais non, ce n'était rien, répondit le jeune homme. en rougissant.
oops
J'chui bien sur le sanglot là? oO
--> --crazymarty--
Pas mal mec, c'est de toi le texte bizaare?
Moi qui cherchais à parler tranquillement, y a des pavés. :/
je plussoie à 100 Mais là, j'ai vraiment une panne séche sur ce passage. La suite, ej l'ai en tête, manque juste quelques petits bouts (et la suite, je peux déja te dire que ça va roxxxer à mort )
Excellent! Puré je crois que j'ai trouvé un KeuM aussi gravE allumé que moi!!! cartoOoOnne!
skwat bah ouwé c'est de moi, pourquoi la question ?
Le split a bouleversé JV.
Pourtant je pensais que le "forum du sanglot" était approprié pour y cjier mon texte de malade mental depressif
me serais-je trompassionné?
out t'iras pas bien loin avec une page word
surtoutq ue j'en ai quelques dizaines en réserve
Si Max voyait ça (enfin il ne lirait que la première ligne) il se retournerait dans sa grotte.
non, vas-y, envoie nous tes textes de dépression, on est fait pour ça.
(faute de frappe, dit-on ;) )
Voici un de mes textes dépressif:
"Ma Vie..."
J'ai tout donné.
Sérieux, ça vous dérange pas que je me soulage les neurones ici? Enfin que je vide mojn cräne? enfin tu vois ce que je tente de significationner qwkwah? neuhon?
Re
Out ~> Non il est tout d'origine je l'ai déjà monté a 55
Lady ~> boulot
J'ai quelques petits problèmes d'expression orale par écrit, me semble t-il, mon très cher Wathsound.
re bailleul
Yosh Bailleul !
Out > Comment ça? Un point?
Skwat > Non pleure mon enfant, je te tends mon épaule...
Tend moi un plutôt un CôNe, sale RADIN!! Ouuuuiiin.....
Out ~> j'en ai pas l'intention mais je vais changer mon pot donc il est peut être