"-comme vous le voyez, et contrairement aux autres armes de jet, la catapulte est munie de roulettes ce qui la classe dans la catégorie des armes
- A ROULETTES
- des armes mobiles
- à roulettes mobiles?
- mon oncle, doit on en conclure qu'elle ne rentre pas dans la catégorie des armes à roulettes fixes?"

Je viens de la réentendre.

Énorme, je vais m'en revisionner tiens !

Euh...Ouais?

Quel épisode déja ?

Dommage qu'ils sont parti dans de délire serious trip sur la fin

C'est pas faux

"On peut douter de tout, sauf de la necessité de se trouver du côté de celui qui a le pognon".
Kaamelott.
J'suis en train de me refaire la serie compléte, j'en suis au livre V. C'est juste énorme.

Arthur: Comment jmappelle ?
Cadoc:...Kaamelott...

Albert le vert : Ah non moi j'ai trouver ça très bon au contraire. Pas meilleur que le coté burlesque de la série originale mais pas moins bon !

Les acteurs sont capables des deux, belles prouesse.

De plus Méléagant, quelle voix, quel style !

Orphelin =/= Elephant

Arthour !… Couhillère !

Kaamelott, Livre II, 44 : Le Dialogue de paix

http://www.kaamelott-streaming.tv/livre-2/44-le-dialogue-de-paix.php

Un de mes préférés

Couillhère ! Avé césar !! PROUT !

tu en veux d'autres ? j'en ai des masses écrites par moi même...

Comment s'appelle l'épisode où Perceval et Caradoc disent "on en a gros !"

Les exploités je crois.

Leodagan (à dame Séli) : "Non mais c'est dingue cette histoire, c'est pas parce que vous faites des tartes pour des petits enfants qui n'existent pas que je dois les enmener à la pêche..."

Arthur : "De toute façon vous devrez vous y faire car à partir de maintenant on va s'appeler les chevaliers de la table ronde"
Leodagan : "encore heureux qu'on se soit pas fait construire un buffet à vaisselle !"

Grudu : "Avec tout le respect que je dois à une personne royale sir, si la reine essaie de vous toucher, je lui bousille sa gueule"

Le maitre d'arme : "Sir mon père est peut être uni-jambiste, mais ma femme à pas de moustache !"

Guenièvre : "Quel dommage qu'on ai perdu ces jolis marais"
Arthur : "Non mais on les as récupérés finalement"
Guenièvre : "Mais on les avais perdu quand ?"
Arthur : "Ce matin"
Guenièvre : "Et quand est-ce qu'on les as récupérés ?"
Arthur : "Cet après-midi"
Guenièvre : "Ouuuf, ça va un peu trop vite pour moi"
Arthur : "Y'a un paquet de trucs qui vont trop vite pour vous..."

Guenièvre : "Ha tiens aujourd'hui j'ai fait tailler le rosier de l'arrière-cour car il en avait drôlement besoin"
... (blanc)
Guenièvre : "Et vous ? vous me racontez pas votre petite journée ?"
Arthur : "Ha bah... faut le temps d'encaisser la votre déjà... pas toutes les émotions d'un coup"

Arthur : "Vous metez ce bout là dans un orifice"
Guenièvre : "Un orifice ?!"
Arthur : "Bon, oui c'est au choix, c'est vrai que classiquement c'est plus le... bref, vous prenez l'aiguille et vous piquez le cul du rat, le rat entre dans l'orifice et il bouffe tout !"
Guenièvre : "ohwww" *dégoût*
Arthur : "Oui, oui ça... hein pfiou... vous avez raison, cest plus sympa quand on se raconte nos journées !"

Demetra : "Bonjour"
Repurgateur : "Ne m'adresse pas la parole, hérétique démon !... excusez moi sir, pour moi les femmes j'aime pas ça, c'est de la saloperie"

Arthur : "C'est vrai ce qu'on dit, que vous êtes le fils d'un démon et d'une pucelle ?"
Merlin : "Oui, pourquoi ?"
Arthur : "Vous avez plus pris de la pucelle"

Merlin : "Helias, je vais te soumettre une énigme, si tu échoues tu retourneras d'où tu viens sans demander ton reste"
Helias : "J'accepte ton défi Merlin, énonce ton énigne"
Merlin : "Qu'est ce qui est petit et marron ?"
Helias : "Un marron !"
Merlin : "Putin il est fort ce con !"

Guenièvre : "Vous avez gagné votre bataille aujourd'hui ?"
Arthur : "Oui"
Guenièvre : "Ca a pas été trop dur ?"
Arthur : "Nouvelle technique, on passe pour des cons, les autres se marrent et on frappe"
Guenièvre : "Et c'est répendu comme technique"
Arthur : "Ha non, ça c'est que nous, parce qu'il faut être capable de passer pour des cons en un temps record... ha non, la-dessus on a une avance considérable"

Grudu : "Ho putain, j'ai rêvé qu'il y avait des scorpions qui voulait me piquer ! en plus il y en avait un qui était mi-ours, mi-scorpion et re mi-ours dérrière !"

Guenièvre : "J'y connais rien hein, mais à votre avis, le fait que vous me touchiez pratiquement jamais ça a une influence sur la fécondité ?"
Arthur : "hmm, ça joue, ça joue"

Leodagan (à dame Séli) : "Ma parole, des engins comme vous, ça devrait être fourni avec une notice !"

Leodagan : "Non mais y'a pas moyen, je pige jamais rien à ce que vous me dites"
Dame Séli : "Vous pouvez pas comprendre !"
Leodagan : "Ha, ben ça viens de là alors"

L'interprète : "Comment j'en suis arrivé à la culture burgonde ? je savais même pas qu'il y en avait une ! nan moi je voulais faire grec moderne mais il y avait plus de place... il restait que burgonde ou anglais, aaannglais... mais c'est encore moins répendu"

Angarade : "C'est vrai qu'en ce moment ça va pas fort, heureusement que vous êtes là pour me réconforter"
Perceval : "C'est bien normal"
... (blabla...)
Angarade : "Je sais pas ce qui m'arrive en ce moment, quand je me regarde dans le miroir j'ai l'impression d'être... insipide, mais alors..."
Perceval : "Ouai... c'est pas faux"

Perceval : "Les travers de porc c'est pas mauvais, mais ça vaut pas les côtelettes, côtelettes c'est plus savoureux"
Arthur : "Ouai c'est pas faux"
Perceval : "Sans blague, vous savez pas ce que ça veut dire savoureux ?!"
Arthur : "Mais bien sur que si !"
Perceval : "C'est côtelettes que vous comprenez pas ?!"

Leodagan : "Un plan d'attaque millimétré au poil de fion, le double des effectifs de ceux d'en face, manque de bol les seigneurs Perceval et Karadoc s'en mêlent et on rentre chez nous comme des clodos... avec la chiasse en prime... qu'est ce qu'ils sont cons !"
Dame Séli : "Pt'et pas"
Leodagan : "Ha bah je sais pas ce qu'il vous faut !"
Dame Séli : "pt'et qui bossent pour ceux d'en face"
Leodagan : "Non, je crois qu'ils sont justes cons"

Arthur (à Merlin) : "Je voulais vous demander, pour la prochain bataille contre les burgondes, vousle connaissez celui ou on fait un noeud sur une corde, on soufle et il y a plus de noeud ?"

Lancelot : "Seigneur Perceval, venez on a besoin de vous"
Perceval : "J'peux pas je surveille le stock de pain !"

Lancelot : "Dans certaines contrée lointaines, un homme choisi une femme, l'épouse et ne connait plus qu'elle jusqu'à ce que la mort les sépares"
Guenièvre : "Oui, mais nous ça n'a rien à voir, on est civilisés, on est pas des sauvages, vous les voyez vous les hommes d'ici avec une seule femme toute leur vie ? ils auraient l'air de quoi ? (rire)"

Lancelot : "Remarquez ça va... y'a Perceval qu'est resté la-bas pour monter la garde"
Arthur : "Putin faut vraiment qu'on se grouille !"

Perceval : "C'est quand même beau, comment vous dites que ça s'appel déjà ?"
Lancelot : "L'a-dou-be-ment"
Perceval : "Encore un nom à coucher dehors !"
Lancelot : "Comment voulez-vous que ça s'appel ?"
Perceval : "Ils auraient pu se creuser la tronche pour trouver un autre nom, chez pas moi... chevalierisation...
(silence)
Perceval : "Quoi, c'est déjà pris ?"

Arthur : "Vous pourriez nettoyer votre labo, y'a des merdes d'oiseau partout, c'est dégeulasse !"
Merlin : "Ha, ça c'est moi quand je me transforme en chouette"
Arthur : "Quoi ?!"
Merlin : "Bha ouai, la sensation de liberté, je vole dans la pièce je me sens plus et je fais pas gaffe"

Arthur (parlant de Merlin) : "En tout cas en chat ou pas en chat, on peut dire qu'il emmerde toujours autant le monde celui-là !"

Perceval : "Une fois à une exécution je m'approche d'une fille, pour rigoler je lui fait "vous êtes de la famille du pendu"... c'était sa soeur, bonjour l'approche !"

Perceval : "Excusez, c'est juste pour dire que je vais pas pouvoir rester aujourd'hui, il faut que je retourne à la ferme de mes vieux, y'a ma grand mère qui a glissée sur une bouse... c'est le vrai merdier !"

Azénor : "Et sinon y'a moyen de devenir reine ?"
Arthur : "Non, a priori non, sauf si la reine meurt quoi"
Azénor : "Et il faut qu'elle meurt de mort naturelle ou peut importe ?"
Arthur : "Heu, faudra que je regarde ça je sais plus comme ça. Pourquoi ?"
Azénor : "Non non on verra ça plus tard"

Guenièvre : "Elle est très jolie votre nouvelle maitresse"
Arthur : "Merci"Guenièvre : "Vous vous êtes toujours débrouillé pour être avec de belles femmes vous hein"
... (silence)
Guenièvre : "Vous avez un commentaire à faire ?"
Arthur : "Mais j'ai rien dit, 'tain ça va la parano !"

Guenièvre (à Arthur) : "C'est quand même gros que ce soit moi qui me tappe la ceinture alors que je suis la seule fille de bretagne de moins de trente ans que vous ne touchez pas !"

Karadoc : "Dites, quand il parlait de prestige tout à l'heure"
Perceval : "Hé ben ?"
Karadoc : "A votre avis, il était sérieux ou il se foutait de nous ?"
Perceval : "D'un autre coté il y a que des clodos dans sous bouiboui, c'est pas compliqué d'avoir du prestige"
Karadoc : "Moralité, pour notre prestige on devrait passer plus de temps au milieu des clodos"

Arthur : "Franchement moi je serais vous je me méfierais de la mode, un truc ou il faut rester trois semaines au plumard à chaque fois qu'on se coupe ça tiendra jamais la longueur"
Merlin : "Vous croyez ?"
Arthur : "Mais non... comment vous dites que ça s'appel déjà ?"
Merlin : "La médecine"
Arthur : "pff haha, ha nan mais qu'est ce qu'ils vont pas chercher pfiou"

Père Blaise : "Et est-ce qu'ils avaient des éléphants ?"
Ivain : "Non, non mais les chevaux étaient tout cheloux, des trucs énormes tout gris avec la queue plantée au milieu de la tête !"
Père Blaise : "Oui bha des éléphants oui..."

Leodagan : "Quand je dis un ours heu, c'était pour frimer, c'était dans le noir, j'ai pas bien vu"
Arthur : "C'est surement un lapin !"
Bohort : "Un lapin adulte ?"
Leodagan : "Je sais pas, en même temps il était pas bien grand... pt'être un ado"
Arthur : "Entre deux âges, voila"
Bohort : "C'était pas un faisan quand même ?"
Leodagan : "Meuh non, si j'étais tombé sur un faisan je serais pas en train de me la pêter comme ça !"

Arthur : "Putin ils font vraiment chier ces pécors !"

Arthur : "Ha parce que vous êtes du prestige vous maintenant ?!"
Perceval : "En tout cas nortre présence est bien appréciée. Tenez cette table, tout le monde l'appel la table des chevaliers"
Karadoc : "Une fois il y a un type qui l'a appellée la table des deux connards, mais je sais pas si il nous avais reconnus"

Karadoc : "Allé on se tire on a un destin"
Perceval : "On a pas le temps de passer la journée avec les pécors nous"
Karadoc : "On peut pas se permettre de passer pour des clodos"
Le tavernier : "Si vous voulez pas passer pour des clodos, commencez par éponger votre ardoise !"

Perceval : "Vous y connaissez quelque chose aux choses de l'amour vous ?"
Karadoc : "Ha non, chui une vrai bille"
Perceval : "Moi pareil, on est venu me parler d'amour ce matin, j'ai rien pigé"
Karadoc : "Vous savez hum, je pense que c'est comme tout hein, on l'a ou on l'a pas, moi par exemple bha... je l'ai pas"

Repurgateur (se réveil en sursaut) : "Hérétique au bucher !"
Arthur : "whooo, hooo, hoo ! ça va oui !"
Repuragateur : "Ha, oui, oui, je m'étais assoupi"

Perceval : "Non mais je me souviens pas l'avoir entendu parler de fuite"
Karadoc : "Il a dit "attention on y va", on y va ça veut dire on s'casse !"
Perceval : "C'est pas clair hein"
Karadoc : "On n'allait pas partir à trois contre dix gobelins de toute façon"
Perceval : "Ha bha non, non"
Karadoc : "Ben on a fait ce qu'il fallait c'est tout ! et voila, mission accomplie !"

Demetra : "Elle est rentrée votre femme ?"
Arthur : "Oui"
Demetra : "Elle était où déjà ?"
Arthur : "Rome"
Demetra : "Ca vous a fait plaisir de la revoir ?"
Arthur : "Hmmm... non, mais enfin là c'est spécial, elle m'a fait banquer 130 000 pièces d'or..."

Perceval : "Vous savez sir, j'aimerais bien qu'on commence à me considérer en tant que tel"
Arthur : "Comment ?"
Perceval : "Comment comment ?"
Arthur : "Vous considérer en tant que ? j'ai pas compris"
Perceval : "Bha, me considérer en tant que tel"
Arthur : "En tant que tel quoi ?"
Perceval : "Parce que je suis souvent victime des colifichets quand même, c'est pas normal"
Arthur : "Victime des ? putains la vache je comprend pas un mot de ce que vous me racontez, allez y, excusez moi, reprenez depuis le début, je vous écoute"
Perceval : "Je vous disais que j'étais victime des colifichets et qu'il faudrait qu'on commence à me considérer en tant que tel..."
... (blabla...)
Arthur : "Nan moi je crois qu'il faut que vous arrêtiez d'essayer de dire des trucs, ça vous fatigue déjà, et pour les autres vous vous rendez pas compte de ce que c'est. Moi quand vous faites ça ça me fout une angoisse, je pourrais vous tuer je crois, de chagrin hein. Je vous jure, c'est pas bien, il ne faut plus que vous parliez avec des gens"

Perceval : "Nan mais je me gourre de mot, c'est pas colibri ?"
Arthur : "Qu'est-ce qui est pas colibri ?"
Perceval : "Un type qui dit du mal d'un autre"
Arthur : "Un colibri c'est un oiseau"
Perceval : "Bha c'est peut être une expression à base d'oiseau, on dit bien une alouette pour une fille qui dépense et qui arrive pas à faire des économies"

Ivain : "C'est comme si on était menacés par une menace aveugle... non ! non c'est comme si nous on était aveugle et qu'on serait menacés... oui non..."

Karadoc : "Dans le cas d'une attaque horizontale venant de par le dessus"
Arthur : "Veticale donc..."

Guenièvre : "Je sais pas si c'est la pleine lune ou quoi, mais je me fait du soucis"
Arthur : "Du soucis par rapport à quoi ?"
Guenièvre : "Ce soir, je ne sens pas que vous m'aimez"
Arthur : "Parce que les autres soirs oui ?"
Guenièvre : "Ha non, pas vraiment"
Arthur : "Ben vous voyez, y'a pas de raison de vous en faire"

Galessin : "Si y'a l'autre la, celui avec une tête de con toujours en train de bouffer"
Karadoc : "Ben non, chui là moi"
Galessin : "Non mais encore un autre"

Leodagan : "En plus on est pile en face de Perceval"
Calogrenant : "Et de sa tête de gland"
Perceval : "Non non, mais c'est le casque qui fait ça, faites pas attention !"

Arthur : "Si y’a que ça pour vous faire plaisir hein, j’en ai rien à foutre il me va bien le miens"
(Arthur met son casque)… (silence général)
Arthur : "Bon allé, c’est bon enlevez les !"
Père Blaise : "Et pour la prière… heu ?"
Arthur : "Y’a rien à prier, on se souvient pas des mecs de toute façon !"

Perceval : "Par exemple celle-là, qu’est ce qu’on peut dire ?"
Karadoc : "Elle pue ?"
Perceval : "Voila et qu’est ce qu’il y a d’autre qui pue sinon ?"
Karadoc : "Comme fiole ?"
Perceval : "Non non non non, dans la vie ?"
Karadoc : "Les pieds ? "
Perceval :"Et les pieds, on peut dire que c’est plutôt une bonne chose ou une mauvaise chose ? "
Karadoc : "C’est plutôt une bonne chose pour marcher mais quand on marche trop ça fait mal aux pieds"
Perceval : "Exactement ! donc cette fiole, selon comme elle pue, on dit qu’elle est plutôt bonne, mais faut pas trop en mettre"

Arthur : "Interprète"
Le Roi Burgonde : "Interprète"
Arthur : "Interprète"
Le Roi Burgonde : "Interprèèète, cuiiillèère !"

Arthur : "Qu'est-ce que vous avez encore, pourquoi vous faites cette tête ?"
Guenièvre "Mais quel tête je fais, je fais pas de tête"
Arthur : "Bha vous êtes toute heu huuum..."
Guenièvre : "Toute quoi ?"
Arthur : "Vous faites pas la gueule là ?"
Guenièvre : Mais non"
Arthur : "oui peut être... oui"

Arthur : "Ha ça y'est, vous avez exactement le même sourire que votre père"
Guenièvre : "ha bon ?"
Arthur : "Ouai, affiché... d'ailleurs ça me fait même heu... ouai, non arrêtez, c'est hyper malsain"

Caius : "Ca y’est vous buttez des romains maintenant, c’est la révolte !"
Arthur : "Qu’est ce que vous racontez ?! c’est pas ça ! simplement on vous a vu de dos, alors que… on c’est dit qu’est ce que c’est ? tiens on dirait un viking !"
Caius : "Avec la jupe et les cheveux bruns ? vous vous foutez de moi là"
Lancelot : "Non, c’est ce que je me suis dis en approchant, tiens un viking tout brun avec une jupe c’est pas banal"
Leodagan : "Ha je pense bien nan nan, un viking tout seul dans la forêt à 150 bornes des côtes"
Arthur : "Heu, vous pourriez soutenir quand même ! non ?!"
…
Arthur : "Enfin par le passé on vous a jamais causé de soucis"
Caius : "Ben n’empêche qu’au camp il y en a deux, trois qui sont partis aux champignons… bah... on les as plus jamais" "revus"
Leodagan : "Ha ça, quand on connait pas, il faut se méfier avec les champignons !"

Merlin : "A ce moment là, la fée arrive près de la rivière, elle se regarde dans l’eau et elle dit reflet, beau reflet, dis moi qui est la plus belle ? alors la rivière répond, si tu le demande, c’est que t’as pas fini de t’en vanter !"

Lancelot : "Donc je vous retire la surveillance du stock de nourriture si vous tapez dedans !"
Perceval : "C’est pas moi c’est Karadoc !"
Karadoc : "Même pas vrai !"

Perceval : "Par contre aujourd’hui y’a du changement !"
Karadoc : "Tous les enfoirés d'en face on se les prends à deux si vous voulez"
Perceval : "Aujourd'hui c'est spécial"
Arthur : "Ouai... vous êtes devenus suicidaires en plus d'être cons"

Lancelot : "Quel est le motif de votre incarcération ?"
Le prisonnier : "Terrorisme et détention d’insectes"
Lancelot : "Détention d’insectes ?!"
Le prisonnier : "Ouai, à l’époque j’avais des poux, j’ai pris trois jours de cachot"

Lancelot : "Dites, on vous fait confiance, vous arrêtez de réveiller tout le monde en pleine nuit"
Le prisonnier : "Oui, non, je suis un peu sur les nefs en ce moment, excusez moi, je dors mal avec ma gangrène qui me bouffe le pied"

Leodagan : "Bon, alors je vais voir l'autre con et je leur dit que c'est une erreur"
Arthur : "J'm'en tape"
Dame Séli : "Vous confirmez ?"
Arthur : "Je confirme que j'm'en tape"

Perceval : "C’est vrai ce qu’on dit, vous êtes vraiment à cheval sur la politesse ?"
Les rois Maures : "A cheval ? ho, c’est quoi ? qu’est ce qu’il y a avec ces histoires de cheval là ? c’est une déclaration de guerre que vous voulez ou bien ?"
Arthur : "Non non non, pas du tout, c’était de l’humour"
Les rois Maures : "Personne ne rit là"
Arthur : "Oui mais parce que c’était mal dosé"
Perceval : "Il faut une dose de cheval ! "

Lancelot : "On va vérifier dans votre chambre ?"
Arthur : "Nan mais quand elle est là elle colle ses pieds gelés contre les miens dans le lit, j'ai horreur de ça, non là j'étais peinard je dormais bien, à tout les coups elle y était pas"

Arthur : "Ce que je n’arrive pas à comprendre c’est pourquoi vous êtes partis !"
Bohort : "Mais cet affreux soldat barbare m’a menacé de mort !"
Arthur : "Mais forcément, c’est un ennemi Bohort !"
Bohort : "Ennemi ou pas ennemi, je refuse d’être menacé ! imaginez que ça s’envenime et qu’on en vienne aux mains !"

Le maitre d’armes : "Allez en garde espèce de petite couille môle !"

Bohort : "Waaaaaaaaaagggghhh !! Mécrééééééaaaaaaaaaaaannnnnnnts !"

Merlin : "Vous en avez rien à foutre ?"
Arthur : "Enfin, j’en ai rien à foutre, je veux dire non, évidement ça me gêne pour vous si vous passez pour un connard"
Merlin : "Ha, parce que je passe pour un connard ?"
Arthur : "C’est pas ça que vous avez dit ?"
Merlin : "J’ai pas dis connard"
Arthur : "Non mais vous passez pour ce que vous voulez quoi, non mais qu’est ce que ça change…"

Leodagan : "Parfaitement, lui et l’autre tapette de Gauvin, allez hop, chez les horribles ! quand il reviendront ce seront des hommes !"
Dame Séli : "Vous les avez confiés à des magiciens"

Demetra : "Est-ce que je suis votre maitresse préférée ?"
Arthur : "C’est une vrai question ou c’est pour que je vous dise oui oui ?"
Demetra : "Qu’est ce que ça change ?"
Arthur : "Bha ça change que si c’est pour que je vous dise oui, oui, je vous dis oui, oui, mais si c’est une vrai question il faut que je réfléchisse deux minutes parce que des maitresses j’en ai deux ou trois quand même"

Perceval : "C’est bien, y’a un peu de clientèle ce soir"
Le tavernier : "Bah, pas bien plus que d’habitude"
Perceval : "Quand même, ils sont 11, j’ai calculé sur les 13 dernières années, dans les deux heures qui précèdent le couché du soleil vous avez une moyenne de 8,422"
Karadoc : "Il est fort le salop !"

Karadoc : "Par exemple vous prenez aujourd’hui, vous comptez sept jours, ça vous emmène dans une semaine, et ben on sera exactement le même jour qu’aujourd’hui"
Perceval : "Ha ouai !"
Karadoc : "A une vache près, c’est pas une science exacte !"

Karadoc : "On dit la politique de l’autruche, avant je comprenais pas, mais maintenant que j’en ai vu une d’autruche c’est bon ! une politique qui court vite ! une politique qui fait des gros œufs, c’est tout !"

Perceval : "Je voudrais pas faire ma raclette mais la soirée s’annonce pas super !"

Le tavernier : "Vous êtes au courant pour la peinture ?"
Karadoc : "Quel peinture ?"
Le tavernier : "Ben ils recherchent deux gars qui auraient écrit "mort au roi" sur un mur avec de la peinture, ils sont sur les dents ils interrogent tout le monde"
Perceval : "Non, mais nous ils nous emmerderont pas"
Le tavernier : "Et pourquoi pas ?"
Karadoc : "On sait pas écrire nous, on est peinards !"
Perceval : "Insoupçonnables !"

Le maitre d’armes : "Moi une fois, j’étais sous comme cochon, je me suis fait tatouer "j’aime le raisin de table" sur la miche droite ! et ça y’est toujours !"

Perceval : "Pays de Galles indépendaaaaaaaaaaannnnnt !"

Lancelot : "Il m’inquiète le roi aujourd’hui"
Leodagan : "Vous voulez dire plus que d’habitude ?"
Lancelot : "Non, mais sa santé, vous l’avez vu ce matin ? il a une tête à faire peur"
Leodagan : "Une tête à faire peur ?"
Lancelot : "Oui, une tête à faire peur, oui"
Leodagan : "Et on peut s’en servir pour coller les miquettes aux barbares ou pas ?"

Belt : "Sir, vous êtes quand même un sacré souverain, accueillir des pequenots qui sentent la bouse comme ça dans votre chapeau, bah je dis château !"
Guethenoc : "Oui et puis vous achetez tout notre vin, vu la merde que c’est, ben là y’a un beau geste"
Belt : "Château bas monsieur le prince, je lève le verre à notre souverain !"
Roparzh : "Notre souverain, rain rain !!"

• toc toc toc toc toc*

Perceval : "Sir !! Sir !!"
Karadoc : "C’est pas des conneries, il faut vraiment qu’on vous parle"
Perceval : "Faites pas le con sir ouvrez !"

• Arthur ouvre la porte *

Arthur : "Vous frappez encore une fois sur cette porte, vous prenez un pain chacun"
Perceval : "Moi je serais vous je vous écouterais… non, moi je serais nous je vous… si moi j’étais vous, je vous écouterais !"
Karadoc : "Non, c’est si moi je suis vous, nan ?"

Karadoc : "Vous nous utilisez bon gré mal gré pour arriver sur la fin !"
Yvain : "On vient vous rejoindre !"
Gauvain: "Et on vous apporte ce message !"
Arthur : "Ca me dit que vous arrivez dans deux jours"
Yvain : "Mais qu’est ce qu’on fait, on rentre à Kaamelott et on revient dans deux jours ?"
Arthur : "Bah non, vous rentrez pas à Kaamelott, vous restez là"
Gauvain : "Où ça mon oncle ?"
Arthur : "Bah là, vous vous asseyez là, moi j’avance et puis vous me rejoignez dans deux jours"

Kadoc : "Pour savoir s’il y a du vent, il faut mettre son doigt dans le cul du coq !"

La dame du Lac : "Arthur"
Arthur : "Quoi ?"
La dame du Lac : "J’ai une mission pour toi"
Arthur : "Et ben tu peux te la garder !"

Arthur : "Je suis désolé !"
Lancelot : "Ben quand même sir…"
Grudu : "Devant tout le monde en plus"
Arthur : "Ha non, mais j’en suis pas fier, enfin bon à ce moment là un mec qui passe devant moi avec un sceau de merde…"
Lancelot : "J’ai quand même que ce soit pas bien bon pour sa popularité"
Arthur : "Oui ! mais c’est bon pour mes nerfs, voila !"

Père Blaise : "On pisse pas contre les murs de la chapelle, c’est clair ?!"

Demetra : "Comment il s’appel ? "
Arthur : "Fermetagueule"

Demetra : "On se demande vraiment qui vous préférez"
Arthur : "Quel est la différence entre la chèvre et vous ?"
Demetra : "Je sais pas mais je sens que ça ne va pas me plaire"
Arthur : "La chèvre elle a bêlé cinq minutes, vous vous ralez depuis trois heures, pensez-y"
Demetra : "Rho, c’est mâlin"
Arthur : "Ferme ta gueule"
Demetra : "Rho et puis ce nom…"
Arthur : "Non non, c’était pour vous"

Leodagan : "Vous savez ce que c’est mon problème ? trop gentil !"

Arthur : "Quand vous discutez avec la reine, vous parlez de moi ou pas ?"
(silence)
Arthur : "Vous voulez pas me répondre ?"
Lancelot : "C'est-à-dire que j’essaie de m’imaginer ce qui vous mettrait le plus en rogne, qu’on parle de vous ou qu’on en parle pas"
Arthur : "Je crois que les deux me gonfleraient tout autant"
Lancelot : "Hum hum… et bah disons que ça dépend des fois"

Kadoc : "Pourquoi je peux pas avoir un chien moi ?"
Karadoc : "Tata a dit non c’est tout !"
Kadoc : "Mais c’est juste pour mettre des coups de pied dedans !"
Karadoc : "Non, on ne met pas des coups de pieds à des chiens quand on est gentil"
Kadoc : "Moi j’en ai marre de toujours donner des coups de pied aux poules !"

Arthur : "Mais vous êtes pas mort espèce de connard ?!"
Perceval : "Non mais comme j’étais hyper malade, j’ai dit à mon oncle "écrivez leur que je suis mort, ce sera fait" et finalement j’ai gerbé, gerbé, gerbé et là ça va mieux"

Guenièvre : "Et moi-même pour me dire qu’on m’aime j’aimerais pas recevoir des fleurs hein !"
Arthur : "Bah je vous en offre pas moi ! tout va bien !"
Arthur : "Fleur - unique – belle -vite, j’ai besoin d’exprimer mon transport "
Guethenoc : "Pour le transport vaut mieux la brouette !"

Le maitre d’armes : "En garde ma biquette ! je vais vous découper le gras du cul ça vous fera toujours ça de moins à trimballer !"

Arthur : "Est-ce-que vous croyez qu’on peut être complètement con et avoir quand même une belle vie ?"
Guenièvre : "C’est pour moi que vous dites ça ?!"
Arthur : "Mais non !"
Guenièvre : "Mouai… méfiez vous des cons, il y en qui vont beaucoup plus loin qu’on le pense !"

Arthur : "De quoi est-ce-que je vous ai traité l’autre jour au bord de la rivière ?"
Hervé : "De gros connard"
Arthur : "Voilà il est encore là, pourtant c’est un connard, ça change pas ça"
Hervé : "Un gros connard…"

Arthur : "Les plaques et le sol ça ce croise pas, c’est parallèle, si vous voulez du perpendiculaire il y a le sol et les tréteaux par exemple… et si je vous dit que vous êtes deux glands, là vous avez du péremptoire… c’est comme vous voulez"

Leodagan : "Ils ont tout saccagé ces salops ! et la garde a pas bougé un orteil !"
Arthur : "Mais qui c’est qu’était responsable de la garde hier soir ?"
Leodagan : "Ho dites hé, me demandez pas de balancer s’il vous plait"
Arthur : "C’était pas vous ?"
Leodagan : "Non monseigneur ! c’était Bohort !"

Kadoc : "Les pattes de
canaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrrrrrrr
rrddddd !"

Kadoc : "A Kadoc !"
Lancelot : "De quoi ?"
Kadoc : "De quoi ?"
Lancelot : "Qu’est-ce-que vous avez dit ?"
Kadoc : "Où elle est la poulette ?"
Lancelot : "Heu… vous jouez plus ?"
Kadoc : "A Kadoc !"
Lancelot : "Qu’est ce que vous chantez bon sang ?"
Karadoc : "Il dit que c’est à lui de jouer, c’est lui, il s’appel Kadoc"
Kadoc : "A Kadoc !"
Lancelot : "Ha bah mon vieux c’est pas simple !"
Karadoc : "Il faut pas essayer de parler quand je suis pas là, c’est un coup à piquer une crise de nerfs ! allez-jouez !"
(Ploc !)
Karadoc : "Très bien !"
Lancelot : "Il s’en sort pas mal hein !"
Karadoc : "Il a toujours été doué avec ses mains, chez ma tante il parait qu’il a fait une reproduction de la ferme tout en bouse et en petit bouts de bois !"

Kadoc : "Mordu, mordu, moooooordu, mordu, mordu, mordu, mordu, mordu, mordu, mordu, mordu moooooooooooooooooooorrrrduu !"

Père Blaise : "Ho, mais c’est pas vrai ! mais qu’est-ce-que c’est que ces cailloux de merde la !"
Lancelot : "C’est pas la peine de s’en prendre aux cailloux"
Arthur : "Bon allez ! à machin !"
Kadoc : "A Kadoc !"
(Ploc !)
Arthur, Lancelot et Père Blaise : "Ooooh !"
Karadoc : "Je sais il est chiant, il gagne à tous les coups !"

Arthur : "Je sens qu’elle pue les pieds la carte"
Karadoc : "Et ça ?"
Arthur : "Oui c’est vrai, ça aussi"
Karadoc : "Non mais c’est moi alors… je pue des pieds, ça englobe un peu"

Lancelot : "Ben ça va ? vous avez pas l’air dans votre assiette"
Bohort : "Qu’est-ce-que la bonne humeur seigneur Lancelot ? une illusion éphémère, un mirage de l’esprit qui bien vite s’évanouit"
Lancelot : "Mais heu… vous êtes dans votre assiette ou pas ?"

Bohort : "La neige, on l'enlève elle revient, toujours, encore et encore, et nous pauvres âmes chagrines nous perdons nos regards dans l'horizon blanc de notre solitude"

Perceval : "Vous vous rendez compte que le temps que la lumière met à atteindre notre œil, on ne voit que des choses passées"
Arthur : "Hein ?"
Perceval : "Bah oué, si ça se trouve, je regarde l’image de ce feu alors qu’il est déjà éteint"
Arthur : "Ouai, ben enfin remarquez c’est comme moi hein… parce que là j’ai l’air d’en avoir plein le cul mais si ça se trouve je suis déjà parti me coucher"

Perceval : "Vous savez qu’en fait la terre elle est ronde ? non mais sans déconner sir !"
Arthur : "Ouai, ouai, ouai, c’est bon, c’est bon…"
Perceval : "Et que si quelqu’un pouvait voyager à la vitesse de la lumière dans le sens inverse de sa rotation, il pourrait remonter le temps !"

Guethnoc : "Je suis un marteau moi, je crame tout moi, ma ferme, la sienne, celle des autres, le château… je fais flamber la moitié de la Bretagne !"

Galessin : "Moi à une époque je voulais faire vœux de pauvreté"
Arthur : "Et alors ?"
Galessin : "Bah avec le blé que je rentrais j’arrivais pas à concilier les deux"

Le maitre d’arme : "Je ne mange pas de graine !"

Karadoc : "Le gras, c’est la vie ! "

Leodagan : "Je me demande si c’est pas l’anniversaire de ma fille cette semaine"
Lancelot : "Après demain"
Leodagan : "Comment vous le savez ?"
Lancelot : "J’ai une bonne mémoire des dates"
Leodagan : "Ha bon ? alors c’est quand le mien ?"
Lancelot : "Par contre j’ai une mémoire sélective"

Le tavernier : "Entre les taxes, les routes enneigées, les postes frontière qui bloquent les livraisons, les bagarreurs qui viennent me dévaster la cabane deux fois par semaine, j’étais déjà colère mais là je crois que j’ai atteint le… le paroxysme !"
Perceval : "Ouai, c’est pas faux !"

Angharade : "Qu'est ce que je serais moi sans vous... un pauvre hère"
Perceval : "Ouai, c'est pas faux !"
Angharade : "Heu…vous savez je m’accroche pas à vous par désespoir"
Perceval : "Ha bon ?"
Angharade : "Je voudrais vous poser une question, ça va vous paraitre un peu osé mais il faut que je sache"
Perceval :"Allez-y"
Angharade "Je voudrais être certaine que vous ressentez la même chose que moi, seigneur Perceval est-ce-que oui ou non tout comme moi vous vivez une Idylle ?"
Perceval :"Je connais pas ce mot là"
Angharade "Vous voulez dire que nos sentiments divergent ?"
Perceval :"Ouai, c’est pas faux !"

Perceval : "C’est bien d’avoir affiné le truc, ça varie un peu"
Karadoc : "Vous en avez eu besoin ces derniers jours ?"
Perceval :"Non mais c’est dingue, ils se sont tous mis à me sortir des trucs de fou, j’avais l’impression de parler à des bouquins ! alors là boum, c’est pas faux, c’est pas faux, un coup de "je connais pas ce mot là", comme des cons il étaient !"
Karadoc : "Bien, bravo"
Perceval : "Moi dans la vie, j’avais deux ennemis, le vocabulaire et les épinards, maintenant j’ai la botte secrète et j’bouffe plus d’épinard, merci, de rien, au revoir messieurs dames !"

Arthur : "Les souterrains c’est souvent des petites pièces successives reliées par des couloirs"
Yvain : "Quand vous dites des petites pièces ça n’a rien à voir avec les…"
Arthur : "Avec les quoi ? "
Yvain : "C’est pas des pièces pour acheter, c’est des pièces comme un vestibule ?"

Arthur : "Alors ?"
Leodagan : "Alors y’a pas de quoi se payer un lait de chèvre"
Arthur : "Pff, hé merde !"
Leodagan : "Bah qu’est ce que vous voulez, à l’autre bout du marché il y a un type avec un chat qui marche sur les pattes de devant… les gars ils arrivent là, ils ont déjà donné"

Karadoc : "Sir enfin vous arrivez pour me sauver !"
Arthur : "Vous sauver de quoi ?"
Karadoc : "De l'hypolipémie !"
Arthur : "De ? la ?"
Karadoc : "J’ai plus d’gras dans le sang, j’vais mettre à peler, à perdre mes cheveux !"

Arthur : "Mais pourquoi vous êtes là ?"
Perceval : "Bah parce que vous m’avez invité"
Arthur : "Ha, et c’est la première fois ?"
Perceval : "Non"
Arthur : "Avec quels autres chevaliers je déjeune seul à seul ?"
Perceval : "Bha je sais plus"
Arthur : "Aucuns"
Perceval : "Aucuns ? "
Arthur : "Aucun, vous êtes le seul"
Perceval : "Ha, mais comment ça se fait ?"
Arthur : "Parce que j’ai envie, une heure avant je me dis toujours tiens je vais déjeuner avec Perceval, ça me fait plaisir… ça vous la coupe ça hein ?"
Perceval : "Un peu, oui"
Arthur : "Bon après, une fois que je bouffe avec vous je regrette hein, on est d’accord. Arrivé au milieu du repas j’ai toujours envie de vous éclater le crâne avec le tranchant de la coupe là vous voyez, pour vous faire fermer votre gueule une bonne fois pour toute… mais sinon, non, je vous aime"

Leodagan : "Non mais y’a trop de trucs, j’arrive pas à reconnaitre ce que je bouffe !"
Karadoc : "C’est pas normal, un casse-dalle à seize ingrédients, vous devez pouvoir discerner !"

Arthur : "Il parait que aujourd’hui vous étiez à deux doigts d’un indice capital sur l’emplacement du Graal"
Perceval "Ouai, c’est vrai !"
Arthur "Et il parait aussi que vous avez tout foiré et qu’on peut plus rien y faire"
Perceval : "Ouai, ouai, c’est vrai !"
Arthur : "Vous voulez m’en parler un peu ?"

Voila, premier post livre I, deuxième post livre II et ce post livre II (suite)