L'histoire commence la nuit, dans une petite maison de campagne.
La veille de la Toussaint.
Un soir d'automne tout à fait normal.
Dehors, la lune s'élève lentement dans le ciel. Ses faisceaux lumineux se reflètent sur les carreaux d'une fenêtre donnant sur une petite kitchenette des années 60. Plongée dans la quasi obscurité, celle-ci jongle sur le noir et le blanc, le carrelage représente un damier couleur ocre qui scintille dans le noir. Là, tapis dans l'ombre, se dessinent les contours d'une femme d'âge mûr, la quarantaine probablement, peut être plus. Celle-ci est allongée sur la table et croise les jambes sensuellement. N'ayant pour seul vêtement qu'un linceul de couleur sombre qui se confond parfaitement avec l'obscurité.
Soudain, quelqu'un sonne à la porte, un petit garçon tout innocent. Candide, celui-ci attend devant la porte et finit par s'impatienter. Aucune réponse. Il ouvre lentement la porte et pénètre dans la maison. Quelque chose l'oppresse, il sait qu'il n'a pas la permission, que c'est illégal. D'un pas hésitant, il s'aventure dans la cuisine.
Soudain, il effleure la cheville nue de la femme. Ce geste bien qu'involontaire lui procure un spasme de plaisir. Il se recule de deux pas, effrayé. La femme pousse une petit ricanement. Le garçon meurt d'envie de recommencer mais préfère laisser s'écouler quelques secondes.
A présent les deux individus s'observent dans le noir, s'appréhendent. Le garçon ressent une sensation étrange, mélange d'excitation et de peur qui lui descend dans le pantalon. Ca remue dans sa culotte. Prémice d'une légère érection.
Le garçon se met à suer. La femme décide de prendre le contrôle.
"-Approche", lui dit-elle.
Il s'exécute.
Tout à coup, un bruit de verre brisé résonne dans la maison, une main furtive rentre dans la cuisine et agrappe le sein gauche de la femme et le tire vers lui.
La femme pousse un cri d'étranglement et le garçon reste immobile, choqué.
Myers s'introduit alors complètement dans la pièce et lui enfourne sa grosse bite dans la bouche tout en lui arrachant le dernier rempart qui camouflait son intimité. Il lui saisit violemment la nuque et la force à lui faire une gorge profonde. Le geste est si soudain, que la milf se met à vomir. Malgré les grumeaux, Myers garde son sexe enfoncé dans sa gorge. la femme se met à étouffer. Pendant ce temps, le garçon est toujours en état de choc, il ne sait pas quoi faire. Myers contraint la milf à lui râper la bite avec ses dents. Il grogne de plaisir. Complètement soumise, elle ne peut strictement pas s'aider de ses mains qui pataugent dans le vide. Il décide alors de l'empoigner par les seins et la fait basculer brutalement sur le bar. S'ensuit alors une série intense de va et vient. A chaque claquement de bite, sa tête se met à cogner contre le marbre du bar glacial. Elle hurle, du sang apparait sur le blanc immaculé du meuble. Myers lui donne alors une grosse baffe dans la gueule pour qu'elle se taise. Il redouble d'effort et lui écarte sauvagement les jambes. Le garçon s'agrippe à la jambe de myers et lui assène des petits coups de poing. Myers le choppe par le crâne et le projette dans la moule de la milf. Il lui visse carrément la tête dedans, de droite à gauche. La femme se met à hurler comme une dinde. Coup de pied facial en plein dans le nez. Deux dents en moins. La nuque heurte violemment le bar, plus de réponse. De petits cris étouffés résonnent dans l'entre jambe de la brutalisée. Myers décide de lui broyer un poignet. Les cris deviennent plus intenses. Quand soudain, l'envie de plus rien. Myers contemple la scène, le garçon continue de s'agiter comme un poulet à qui l'on aurait coupé la tête. Il décide alors de lui baisser le pantalon et de lui curer l'anus avec une pomme grannysmith qui trainait là, sur le bar, dans une corbeille de fruit.
Puis il sort un appareil photo et immortalise la scène à tout jamais. De l'art, ça, ça allait probablement plaire à papi Jacko. Peut être qu'il allait même le féliciter et qu'après la poignée de mains, il allait la placer dans son album favoris, celui réservé à l'élite. Là où étaient entreposés les clichets de la famille McHewitt. Myers n'était pas si nul finalement, il avait passé le test. Le test de papi Jacko, le test du grotesque.
Le scénario complexe du crocodile rose.
C'etait un crocodile rose ! Sa couleur n'a pas plus a sa tribu alors on le chassa , mais le crocodile avait du mal à se nourrir... ( Bah oui , comment chasser en etant aussi visible ).
Un jour il rencontra un oiseau qui ne pouvait pas voler , leur differences envers leurs tribus respective les rapprochèrent. Ils passerent 1 semaine à s'entraider à survivre mais au bout d'un moment le crocodile avait tellement faim qu'il finit par manger l'oiseau.
Fin.
Tu sais que en ce mont rentrer par effraction c'est deux coups de fusils ? Scenar pas viable en France en tt cas personne va croire ça enfin ...
rien que le titre du topic était chiant mais a la vue de ce pavé : retour liste des sujets
Ah cool je croyais que le topic avait été effacé.
Bah alors!
Oui le dinde et la pomme sont extras
J'aime bien mon remix. A quand la réalisation?
Tu bides Bar_ry, tu n'as pas mon talent
Les gars lisez, faites pas votre feignasse
ps89 tu fais le petit garçon candide, d'accord?
Si tu veux
wray c'est la femme mûre et moi je fais Myers.
Oui oui si tu veux...
Wray a dit ok, ça marche on va tout mettre en place.
Nan j'ai pas donné mon accord
Donc comme je l'ai dit, wray à dit qu'il est d'accord.
On commence direct par la scène de pénétration.
Ah ok le gars qui a des pulsions sexuelles refoulées qui refont surface
Faut dire que le titre du script n'est pas en accord, vous auriez mis quoi?
Une pomme et un cul. C'est simple, minimaliste. Ca aurait donné comme tire.
J'ai l'impression que tu te prends pas pour rien, il est à chier ton texte, laisse-le couler
Couler comme un étron. C'est juste un délire hein, désolé si c'est écrit sans faute d'orthographe.
La simple absence de faute d'orthographe ne suffit pas à rendre un texte intéressant