Genre le sacrifice que tu fais

si tu savait

Tu m'étonnes tiens, comme j'te comprend

re

Salut

alors ca raconte quoi ici ?

Re cid

Salut Kiel ca faisait longtemps ^^

Ben de rien

t'es pas a la piscine

Moi ? Nan, ça pèle un peu tout de suite

Ben ça raconte que j'en ai marre, parce-que je suis amoureux d'une fille qui s'en va dans 3 jours, et qui a un copain

Et vous, quoi de beau ?

Arf, faut que j'aille promener la chienne, je re

Quelqu'un ?

Y a de le vie ici?

Yep.

Faites pas gaffe au pseudo de merde que j'ai, javai zero idées.
Si ca intersse qqun, jen suis qu'au début, j'ai 16 ans mais le forum 15-18 craint trop:

Essai sur anarchie et objectivisme
Tacher de comprendre sur internet ce que sont ces deux notions. Qui a tort, qui a raison ? Deux termes opposés, individualisme et communisme. Chacune de ces notions, qui visent toutes à long terme, mais par des moyens différés, ce que l’on peut légitimement appeler la liberté m’ont un jour, interpellé. Ressentir le bonheur et la joie qui sont pour moi les sentiments indissociables de la vie (libre, bien entendue), et l’épanouissement personnel sont dus à la compréhension de ses propres désirs. L’objectivisme commet l’erreur, je pense (et cette pensée n’engage évidemment que moi), de mépriser le bonheur collectif. « Le bonheur, n’est vrai que partagé », comme l’a si justement écrit Christopher McCandless, étudiant ayant tout abandonné pour découvrir le vrai bonheur. Certes, la réussite de l’individu est primordial, cela va de soi, et sacrifier son bonheur au profit des autres est impensable, car tout simplement impossible.

La notion de sacrifice n’existe pas. Pourquoi mets-je en relation l’anarchisme (et non pas le chaos et la destruction qui sont symbole de ce l’Homme appelle à juste titre le Mal, et contre lequel il faut impérativement lutter) et l’objectivisme, aboutissement de l’individualisme et du libéralisme (non pas de l’égoïsme, mais la recherche de l’absolu épanouissement personnel) ? Parce qu’à travers ces deux notions contraires et pourtant si proches, que j’ai essayé d’illustrer malgré moi, j’ai pu observer des excès, des échecs, pas définitifs, plutôt de graves faux-pas commis par l’Homme : le communisme russe et chinois ou encore cubain, devenu dictatures et antithèse du rêve originel ; le capitalisme, culte du non-humanisme en fin de compte, où le bonheur d’un être, provoque le malheur de milliards d’autres. Le bonheur personnel est donc avant tout une recherche, et je ne demande pas à tous les humains de se satisfaire de ce qu’ils ont. Je ne souhaite que leur faire prendre conscience qu’un pauvre enfant africain en état de malnutrition avancée (épargnez-moi les conneries colonialistes qu’on me reprocherait, je ne fais que regarder les chiffres d’actualité) mérite bien mieux qu’une vie de misère et de crève-la-faim. Et le milliardaire occidentale peu importe qu’il soit un self-made man (littéralement « l’homme qui s’est fait tout seul » en anglais, incarnation du rêve américain et figure du capitalisme) ou non, n’a pas besoin de ses 3 limousines et de ses bague en or massif ? Je caricature ? Vous voyez déjà en moi un pro-communiste dangereux ? Sachez que rien n’est plus injuste que le communisme. Rien ne justifie que l’on sacrifie quoique ce soit et que l’on renonce au bonheur, pour satisfaire les besoins égoïstes de soi-disant nécessiteux. L’individualisme, et non pas l’égoïsme, est la clé du bonheur. C’est à nous de prendre en charge notre réussite personnelle et comme le clamait Terry Goodkind, pour moi le digne successeur d’Ayn Rand et un chantre moderne de l’objectivisme : « Votre vie vous appartient, levez-vous et vivez là pleinement». Autrement dit, le bonheur personnel devrait surpasser le bonheur commun, car seule une poignée d’individus pleinement épanouies pourrait vivre ensemble. Prétendre mettre tous les humains au même niveau (noble ambition que j’espère voir un jour réalité) comme l’on tenté plusieurs nations n’est possible qu’en prenant en compte le bien de chacun, non pas en sacrifiant l’individu au profit d’un tout insipide et sans âme. Une partie de ma génération est honteusement discriminée mais parfois malheureusement à titre justifié, suite aux exactions d’une minorité médiatique et dangereuse, qui amène à un amalgame entre enfant de parents immigrés (Ayant rendus service à leur terre d’accueil, et non-récompensés) et rebelle envers la société. Car tous ces jeunes qui se plaignent et qui protestent ne doivent pas agir comme ils le font, même si la rancœur de leurs parents s’est traduit par un chauvinisme voir nationalisme exacerbé envers le pays d’origine chez la génération suivante (3ème génération d’immigrés) et une conviction anti-française que l’on retrouve notamment par un désamour de la culture francophone : le cinéma français est « ringard » (trop intellectuel ?) et ennuyeux, ils jouent faux, boycotté par les jeunes ; le culte de l’Amérique, du superficiel et de l’information de masse, qui désinforme plus qu’elle n’enseigne, car elle nous détourne des vrais problèmes mondiaux, le français trop compliqué à écrire correctement, est massacré par les jeunes (ce n’est pas une tirade réactionnaire, c’est une constatation réaliste de ma génération), qui se taxent alors de scientifiques, donc qui jugent inutile de s’attarder sur un détail futile tel que l’orthographe et la syntaxe littéraire. Je caricature, c’est vrai. Le domaine scientifique est glorifié au possible, faisant-fi de la littérature « inutile et pour les rêveurs ». Le peu de mouvement pseudo-hippie qui subsiste chez les jeunes n’est que le reflet brisé d’un rêve désormais fini. J’essaie d’éviter le pessimisme ambiant qui noie ma génération, mais voir une bande de hippies déçus, nés 40 ans trop tard, qui retentent Woodstock… Ca fait mal. Mais peu de jeunes doués au lycée (« l’élite » va en S, bien sûr !) accorde du crédit à la réflexion sociale, encore moins politique, qui je pense, n’est possible qu’avec les outils nécessaires de pensée et de libre-arbitre intellectuel, c'est-à-dire la lecture d’œuvres forcément diverses (divertissement, philosophique ou didactique) et l’étude des mœurs contemporains ou modernes. Sans verser dans la propagande économique et sociale voir littéraire de bas-étage, je pense qu’une connaissance solide (fourni en Seconde par l’option SES, qui est amenée à disparaître) servant de base à l’esprit critique, et l’auto-réflexion est indispensable pour comprendre et vivre dans notre société ; et qui devrait d’ailleurs être enseigner bien plus tôt en obligation, afin de laisser les élèves choisirent de réelles options en Seconde, et pas des leçons de vie qui bouleversent les jeunes et leurs idées préconçus à 15-16 ans.

Quoique certains renoncent carrément à la qualité d’expression intellectuelle qu’essaie de transmettre l’école, et se réfugie dans une médiocrité verbale constante. Ce sont certes parfois des lâches, qui élèvent la violence au rang de porte-parole, profiteurs d’une société qui ne leur convient pas, mais combien d’autres sont victimes d’une société élitiste et adaptée à un si petit nombre ? Mais comment osons-nous les diaboliser, les classer, et décider de leur sort ; qui sommes-nous, élevés dans une société favorable à notre développement capitaliste et égoïste (quelques soient les difficultés encourues, nous sommes privilégiés) Messieurs LePen, Hortefeux et Sarkozy ? Je ne ressens que dégoût et mépris pour ceux qui méprisent mon droit d’exprimer mes idées, et ceux qui par la violence, masquant ainsi une profonde stupidité, n’écoute même pas ce que j’ai à leur dire, me taxant de « mec qui essaie de faire de la politique ». On m’a servi cette phrase des dizaines de fois, aussi bien des fils à papa bien français que mes idées dérangeaient, bien chauvins, votant Nicolas Sarkozy et catholiques convaincus, que l’adolescent d’origine maghrébine et musulman mais qui est, et que je considère comme français, discriminé et ne faisant rien pour changer cette étiquette de délinquant, qui n’écoutaient même pas ce que j’avais à lui dire . En fait, il semblait agacé d’avoir à réfléchir pour répondre au lieu de gonfler ses maigres biceps alors qu’un jeune de son âge (en l’occurrence moi, mais j’en ai vu des dizaines d’autres) argumentait calmement lors d’une dispute, au lieu de chercher la bagarre en lui sautant dessus pour qu’il puisse ramener ses 2 grands frères appelés Mohammed et Abdel, qui allaient me «faire la peau à la sortie» (je me demande encore à quoi ils ressemblent…). C’est une histoire ridicule, caricaturale ? Elle est en fait véridique (j’avais 14 ans alors) et quelque uns de ces jeunes, croyant être, je cite Abdoul, 16 ans (et encore au collège à l’heure qu’il est) « (je suis) un ouf, moi je connais un gars qu’a fait de la taule, moi ! ». Se prenant pour des marginaux de la société, rejetés, alors qu’ils se tirent eux-mêmes une balle dans le pied (nul besoin de flic raciste pour cela), influencés par l’effet de groupe, avec des « lascars » plus âgés, ils refusent une scolarité de base (le collège), bien-sûr difficile, mais seule voie de sortie pour réussir à sortir de cette grotesque comédie où les beurs et les noirs jouent les délinquants. A des kilomètres de cette ville pas très loin d’être qualifiée de « chic », se trouve dans une ville plus grande un vrai quartier défavorisé où là, au milieu d’activités et de boulots difficiles, parfois illégaux, d’autres tentent au contraire de sortir de ce statut de « racailles » instauré par l’Etat et renforcé par des délinquants suffisamment attardés pour rendre vrai les déclarations racistes et colonialistes (soyons honnêtes) des hommes de Droite et d’Extrême-Droite et de mettre un terme à cette distinction sociale que je qualifierai sans hésiter d’ethniques désormais. Mais je ressens encore plus de haine à l’encontre de ceux qui jugent, ceux qui condamnent, en se taxant d’Etat, et qui nés du bon côté de la barrière, combattent ceux qui veulent les rejoindre. On prend de haut ceux qui brûlent les voitures : c’est un acte puni par la loi (et heureusement), mais punit-on la discrimination qui est dans tous les esprits, le racisme insidieux que chaque jour, nous rabâche les médias ? Quand on vous refuse une centaine de fois un emploi parce que vous êtes né Mohammed Al-Khalifa, la colère est permise. Une colère qu’extériorisent ces jeunes par la violence, chose bien-sûr inacceptable. Voyons, ils devraient s’exprimer, se faire entendre ! Au lieu de trainer dans la rue à fumer, ils devraient faire quelque chose ! Mais oui ! Faire de la politique, avec Bac -4 c’est enfantin, voyons ! Quoi ? Ils n’avaient qu’à travailler à l’école ? Vous arriveriez à travailler vous, quand on sait que votre carrière est vouée à l’échec ? Que 70% des jeunes sont au chômage après le Bac ? Quand un de vos parents ne parle pas français et que l’autre trime toute la journée sur un chantier dans des conditions pourries ? Pour réussir, il faut se cultiver, c’est évident. Se cultiver, c’est se renseigner, être curieux, LIRE ! Vous aimez-lire vous ? Beaucoup de jeunes, non. Si oui, alors à moins d’avoir appris tout seul, ce qui reste possible, c’est grâce à vos parents ! C’est parce que chez vous, il y avait des livres ! Vous croyez qu’un ouvrier à 8 heures du soir, extenué après une journée crevante va lire Pommedapi à son gosse, jouer du piano et lire du Baudelaire ?

Moi, non. Nous sommes des privilégiés, vous qui me lisez et moi qui écris. Vous faites sûrement partie des 5% des hommes sur Terre qui se lève le matin dans un lit à matelas, peuvent s’acheter de quoi lire (aller à la bibliothèque de soi-même est un complexe d’infériorité que ne surmonte que ceux qui sont déjà habitués à lire et quand on a peu d’argent, on n’achète pas de livres, c’est loin d’être une priorité) faire du sport en club ou une activité extra-scolaire, avoir l’électricité et l’eau courante. La société nous bouffe, et nous suivons comme des moutons, satisfaits de notre petit monde d’adolescent ! Notre insouciance que j’ai vécu moi aussi nous cache combien le monde dans lequel nous évoluons à été crée pour et par « les puissants ». Quand on est jeune, on devrait aimer passionnément, pleurer nos séparations, nos douleurs, déprimer parfois. Et quand ils se révoltent contre la vie, personne ne les écoute, ces jeunes d’aujourd’hui ! Nous sommes trop inexpérimentés déclament les vieux « sages », on veut tous faire bouger le monde, on est juste, des idéaliste parmi tant d’autres. Nous sommes des délinquants, violents, incultes, qui passons nos journées sur l’ordinateur, n’est-ce pas ? Sans le dire, c’est la vision qui s’est imposée aux adultes des années 2000 et quelques. Mais elle n’est pas entièrement fausse, quand je vois des amis qui passent 5 heures par jours derrière un écran, vivant par procuration à travers la vie d’autrui, en écoutant une musique insipide, ou peut-être moins voyeur mais plus seul encore, dans des mondes virtuels, c’est parce que nous sommes blasés ! Rien n’est fait pour que nous pensions de nous-mêmes, nous sommes des moutons formatés par l’Etat ! Et la rébellion qui nous anime est refoulée au fond de notre être par ce qu’on appelle le politiquement correct, et l’ordre public. Je suis un élève certes travailleur et consciencieux mais j’ai la chance de réussir sans trop d’efforts au lycée et de regarder avec tout le recul dont je dispose (ce qui est bien peu, vu mon âge) et de critiquer ceux dont je fais partie, et j’éprouve un profond respect envers ces femmes et ces hommes dont la profession est de transmettre un savoir colossal et bien plus riche que n’importe quel autre trésor. Une connaissance ancestrale que ma génération se refuse à assimiler, parce qu’elle nous est administrée de force ! Rien n’est fait pour que notre vie soit réussie : des études trop longues et difficiles, qui ne conviennent qu’à 30% de la population MONDIAL !! (Pourcentage de ceux qui ont obtenu un bac général et continuent leurs études) .Je parle beaucoup, et agis peu. Hélas, à même pas 16 ans, je ne suis pas en mesure de faire grand-chose, si ce n’est constater les dégâts causés par mes congénères ? J’ai pourtant le sentiment horrible d’avoir vécu et expérimenté dans cette courte période d’existence, plus que ceux de ma génération. Beaucoup se moquent de ma manière de m’exprimer, me jugent ennuyeux et pourtant, je me sens si peu différent d’eux. A travers les gens extraordinaires que j’ai rencontré, des ouvrages de toutes sortes, écrits par des auteurs de génies que j’ai lu, j’ai simplement l’impression d’être en tête d’une file qui avance dans le noir. Je ne sais pas plus qu’eux ce qui se trouvent dans l’obscurité, mais je suis le premier à marcher sur les ossements de nos prédécesseurs, et avertis du danger ce qui sont derrière moi. Puis je me rends compte à quel point j’ai tort, quand je vois mes amis qui font des soirées, alors que je n’ai jamais tenté de toucher ni à la cigarette, ni à la drogue, et encore moins abusé de l’alcool, auquel je fais par ailleurs une allergie. Le courant de pensées de la jeunesse que j’incarne est passionné, romantique, tant littéraire que musicale ou sportif. C’est donc très restreint, comparé à la richesse, tant culturelle qu’ethnique de la génération à laquelle j’appartiens. Le savoir manuel et scientifique de haut-niveau (médecine, mécanique, physique et chimie avancées) est un domaine qui m’échappe totalement et pourtant indispensable. Je ne regrette pas de ne rien y comprendre, mais j’admire également ces gens qui travaillent dans un registre aussi compliqué. J’ai toujours préféré la voie de la facilité, à ma grande honte. J’ai préféré comprendre l’économie et la sociologie, la philosophie de base pour lutter pour l’égalité sociale humaine, (domaine qui me passionne, et dont j’assimile le contenu avec bonheur donc avec une relative aisance, le plaisir d’apprendre est la clé de la facilité) plutôt que de calculer le nombre abstrait de moles d’eau présentent dans un verre à pied, chose toute aussi importante me diront certains. Les physiciens érudits sont fascinants, de par leur profonde connaissance du monde, tellement plus proche et en même temps lointaine de mon approche pour comprendre ce qui m’entoure. Plusieurs d’entre eux (j’ignore le nombre qui n’a d’ailleurs jamais été publié, ne présentant aucun intérêt) sont croyants et pratiquants, de diverses religions et m’ont toujours passionné (j’en ai personnellement rencontré trois : deux filles et un garçon, à peine plus âgés que moi et de confessions catholiques), qui incarnent l’incroyable paradoxe de la recherche de la vérité à travers la science tout en se fiant à la Bible dont l‘Ancien Testament été entièrement infirmée et démontrée fausse : création de la Terre et de l’Homme, l’évolution… Ce qui m’amène sur un autre sujet, la religion, et l’influence de la foi sur le libre arbitre. Bien que je m’efforce de rester objectif, beaucoup verront dans les lignes suivantes une simple diatribe à vocation anti-religieuse, écrite par un athéiste convaincu… A vous de voir :

Bordel, j'étouffe, y'a pas assez d'air dans ces posts !

Bah ouais mais apres c trop gros... jai ecrit ca cette nuit.

Chaud les pavay