promis, je viendrais boter des culs dès que j'auerais un accès internet plus potable que celui de mon service, au boulot.
Et la suite d'AE est en approche.
"et on ne me fera plus troller sur la Littérature"
Tu t'es autofail
Montre moi en quoi.
-3-
Il fallait que je mette hors-circuit ce mec qui avait eu la prétention de vouloir courtiser ma Sandra, car oui vous l'aurez compris, cette fille il s'agissait de Sandra : ma futur conquête ; même si ca faisais quelques années que j'essayais d'établir une stratégie d'approche.
En y repensant, je me rend compte a présent a quel point j'étais naïf, innocent a l'époque. Je n'avais plus aucune maîtrise de mes émotions quand il s'agissait d'aller parler a une fille, qui plus est celle qui vous a touché le cœur. J'avais peu de confiance en moi, et seulement quelques notions de dragues, Youporn n'était pas là pour arranger les choses.
Le idées affluaient, plus tordues les unes que les autres. J'étais trop hypnotiser par la fille pour avoir un ordre d'idées logiques. Taper le mec ? Mauvaise idée, ca allais plomber la soirée, qui plus est que je mettais encore jamais battus. Il fallait donc utiliser une stratégie plus fine, plus maline.
Je fus stopper dans mes réflexions par une tape sur mon épaule.
- Alors Tom, tu cherches un moyen pour t'approcher de la fille ?
- Euh, vous êtes qui ? Attendez là, vous savez ce que je pense ?
- La cérémonie m'a permit d'accroitre mes capacités sensorielles.
Je le reconnus, c'était le mec louche que j'avais rencontré il y a peu dans le jardin, à cause de l'obscurité j'avais eu du mal a discerner ses traits, mais maintenant, il m'apparaissait à pleine lumière : il faisait une bonne tête de plus que moi, il avait la tête entièrement rasé, ou chauve ? Je n'aurais su dire. Sur son crâne il arborait un tatouage aux motifs sinueux. Son visage avait une expression pleine de compassion. Un vraie cinglé.
- Si tu étais resté jusqu'à la fin, poursuivit-il, tu aurais pus profiter de ces mêmes capacités. Cela risque d'être problématique pour la suite des événements.
- La suite des évènements
- Quel heure est-il sur ta montre ?
Je jeta a coup d'œil à celle-ci : 23h50.
- Tiens prend ca, il me tendit une fourchette.
- Attends là, tu veux que j'en fasse quoi de ta fourchette ?
- Prend là, c'est tout.
Ce mec se foutait de ma gueule. Mais mes parents m'avaient bien éduqué : toujours faire ce que vous disent les fous tant que cela reste dans la limite du raisonnable. Je pris sa fourchette.
- Sinon, comment tu t'appelles l'ami ?
- Gregorio, si tu as des problème vient me voir immédiatement.
Et il me laissa là, en plan, avec une fourchette dans la main. Je la fourra dans ma poche, tiens au faite ou était passé Sandra et le mec collant ? Je fis volte-face, ils avaient disparu … D'ailleurs il ne restait plus grand monde dans la pièce.
Je vis mon pote Marcus, il semblait chercher quelqu'un, il avait l'air d'aller mieux depuis la dernière fois.
- Tom ! Mais qu'es que tu fous là ? Allez viens dehors, on fais un super grand feu et en plus il y aura le décompte
Oui, Marcus était un grand enfant.
La majorité des gens étaient en effet dans le jardin, un immense feu brulait en son centre. On avait construit une estrade improvisé a base de buche de bois. Dessus si tenais un gars avec une tête de
Je suposais que c'était l'hôte de la soirée.
- May frayres, s'exclama t-il, dans 30 secondes ce sera la fiiinnn du monde
10.. 9.. 8..on se serait crus le jour de l'an. Pathétique.
.. ZERO
Un quoi déjà ?
très coronas
ah ke pomme
police privée http://www.youtube.com/watch?v=iIs4Kbmb1mo
algerien parle de le pen http://www.youtube.com/watch?v=xofA9d9JXRU
Marine Le Pen dans A vous de juger Jeudi 9 décembre 2010 sur France 2.
Retrouvez l'intégrale de l'émission
1ère partie : Marine Le Pen répond à Arlette Chabot
1/4 http://www.youtube.com/watch?v=b4lQ75ENGWg
2/4 http://www.youtube.com/watch?v=Bn4E11w2lmI
3/4 http://www.youtube.com/watch?v=A_em61E4wHM
4/4 http://www.youtube.com/watch?v=FOhxQtCW_VY
2ème partie : Marine Le Pen répond à Alain Duhamel
1/2 http://www.youtube.com/watch?v=XkbPXgpwCDI
2/2 http://www.youtube.com/watch?v=R3iOW8xesxA
3ème partie : Échanges avec Manuel Valls
http://www.youtube.com/watch?v=wpC-Bn9ZZZY
4ème partie : Débat avec Rachida Dati
1/2 http://www.youtube.com/watch?v=MqeK3wYl5cw
2/2 http://www.youtube.com/watch?v=OSuxnAt0jN8
faite tourner la vidéo sur facebook ou autre site
Sweet..
Alors, ça vient?
Dans la soirée si j'ai le courage ou demain
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Ce fut d'abord une parfaite cacophonie : les cris stridents des filles kikoos se mêlaient aux innombrables barrissements des petits comiques. Nous n'allions pas mourir cela j'en été sûr, pas de tremblement de terre, pas de lave en fusion, ni de météorite. Pas de grand « BOUM », pas de vide intersidéral, pas de trou noir. C'était l'avant première du Nouvel an, rien de plus.
Maintenant tout le monde dansaient autour du feu, certain chantaient, d'autres brayaient. Les couples s'embrassaient, les amis s'éreintaient avec une claque dans le dos. On amena trois cartons remplient jusqu'à ra-bord d'alcools en tous genres. La joie elle-même s'était emparer de l'assemblée.
Je regardais la scène avec des yeux ébahis, j'aurais du me joindre a eux, profiter de ce moment unique, la fin du monde on ne la vie qu'une fois. Mais non, je restais à l'écart, seul dans mon coin comme un con. J'avais comme une boule au ventre, pourtant je n'avais rien mangé depuis ce midi. Un malaise, une peur sourde, pesait sur mon cœur. Un peu comme lorsqu'on fait une gaffe en étant gosse, on a honte, on regrette ce qu'on a fait ; et on sait qu'on ne pourra s'en tirer que part une claque dans la gueule. J'aurais du avoir toutes les raisons du monde pour être heureux, mais non, impossible de se détacher de ce sentiment, impossible de s'en défaire. On a beau lutter, pour se donner du courage on fait quelques pas vers son pote Marcus, qui lui vous regarde d'un air incompréhensif, mais non, la peine reste, s'encrant plus profondément dans votre chair. Je les regardais, rire bêtement, c'est dans ces moments là qu'on se demande si on est bien dans notre tête. Non. Ce sont eux les fous, ils ne comprennent pas ce qu'il se passe, ils ne ressentent pas ce que je ressens.
- Mais qu'est ce qu'ils leur prend ?
Ce n'était pas moi qui avait parlé, ces mots exprimaient clairement le fond de mes pensées. Je fis volte face vers la personne les ayant prononcés : c'était Sandra. Ses jolies yeux verts étaient plein de désarrois, le pli sur son front et son air d'incompréhension me firent comprendre qu'elle ressentait ce même pressentiment inexplicable. Je devinais alors que je devais afficher le même visage incompréhensif.
- Toi aussi tu ne comprends pas ? Lui lançais-je.
- Je ne comprend pas quoi ? Bon sang, regarde les, il n'y a rien de drôle, dit elle en secouant la tête.
Apparemment elle était plus affecté que moi. La situations était peut être étrange mais au moins me permettait elle d'entrer en contact avec Sandra, un grand malheur fait un grand bonheur dit on.
- Tu devrais t'asseoir, dis-je en faisant quelques pas vers elle, tu verras ca ira mieux après.
A mon grand bonheur elle s'assit dans le gazon.
- Pourquoi suis je comme ca, dit elle en prenant sa tête entre ses mains, je n'ai pas bus une seule goutte d'alcool.
Quel menteuse, je l'avais vus plus tôt avec une manzana entre les mains.
- Je ne pense que tout ceci soit lié à l'alcool, moi même j'ai quasiment rien pris. J'avais jamais ressentis ca avant.
- Mais bordel ! C'est quoi alors ? Merde, il y a 5 minutes j'étais en train de m'éclater. Je crois que je vais disjoncter …
Je restais silencieux, moi même j'en avais absolument aucune idée. C'était peut être lié a ce qu'avait mis le mec louche dans sa chicha ? Grégorio il s'appelait. Il fallait que je le retrouve, il pourrait peut être nous aider.
- Dis moi, lui demandais-je tout en jetant des coups d'œil autour de nous, toi aussi tu aurais fumer la chicha d'un chauve tatoué ?
- Un ? Dit t'elle en me jetant un regard interloqué, qu'est ce que tu racontes ?
Je n'eus pas le temps de lui répondre, mon regard ce posa sur un homme, ce n'était pas Grégorio. Il s'agissait de l'organisateur, toujours debout sur son estrade. Il ne bougeait pas, ses bras pendaient lamentablement. Ses deux yeux, totalement blanches et sans pupille, étaient posés sur moi.
sweet please!
demain sweet
up de 14H
sweet
desolé du double post mais comment se fait t'il que tu était chez toi a 14h?
SWEET !
Poin de cours de l'apre-midi
Steak !
HapisteDuFutur, le seul, l'unique.
¯¯\/¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯
Sweet bientôt
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Personne ne semblait s'être rendus compte de l'attitude si spéciale de l'organisateur. Il avait les bras ballants, son visage affichait une parfaite neutralité, et il ne bougeait pas d'un poil. Ma première idée fut qu'il soit affecté par les mêmes symptômes étranges que Sandra et moi. Mais je fus vite déçu : ses deux yeux étaient désormais blanches et sans pupille. Plus inquiétant encore, elles me fixaient de toute leur attention. Ou plutôt, elles m'enveloppaient : je n'avais pas l'impression qu'elles suivaient mes mouvements, mais j'avais toujours la désagréable sensation qu'elles me scrutaient.
- Que regardes-tu ? Me dit Sandra.
Je ne lui répondis pas, j'étais trop absorbé par ce regard irréel.
Enfin quelqu'un s'était aperçu de l'étrange comportement de l'hôte, c'était sans doute un ami. Le jeune homme, interpellé, s'approcha de lui :
- Bah mec alors, qu'est ce qu'il t'arrive ? Ta un verre coincé dans le cul ?Lui lança-il en plaisantant.
L'hôte de la soirée fit un lent mouvement de la tête vers la voie qui l'appellait. Il ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose, mais aucun son ne sortit. L'hôte ou plutôt la chose maintenant, n'était en tout point aucunement comparable avec son ancienne personne. Toute ses traces en avait été effacé.
- Oulah toi, tu es sûr que tu vas bien ? Continua son ami en souriant.
La chose l'ignora, puis elle fit le truc le plus dégueulasse que j'avais jamais vu. Elle tendit sa main vers sa bouche qu'elle enfonça dedans comme pour se faire vomir. Je restais là, pantois, à la regarder s'astiquer ses glandes salivaires. Puis quelque chose sortit, je pensais qu'elle était en train de vomir, mais je réalisa qu'elle tenait comme un long tuyau sortant progressivement de sa gorge à la manière d'un avaleur de sabre. Elle tenait dès a présent un bâton d'un peu moins d'un mètre de long.
… Qu'elle s'empressa d'assener d'un mouvement vif sur le crâne de son vieil ami. Il avait regardé toute la scène avec des yeux ronds et n'avait pas vus le coup venir. Il s'effondra, et avant qu'il n'ait touché le sol, son corps se dématérialisa dans une gerbe d'étincelles.
Ce bâton n'était pas seulement une arme dissuasive, ayant pour but de briser des os avec des frappes contondantes. C'était une véritable arme meurtrière, qui plus est redoutablement efficace. Si je me faisais toucher une fois par ce truc je n'allais pas y réchapper.
Personne ne semblait avoir réalisé ce qu'il s'était passé. La plupart n'avait même pas vus la scène qui avait eu lieu. Autour de l'estrade on se posait quand même quelques questions. Moi même je n'avais pas totalement compris, normal : un coup bref, pas de sang, pas de cadavre, juste un type qui s'était littéralement évaporé. Les étincelles avaient néanmoins attiré l'attention et on commencait a se demander qu'est ce que faisais ce type bizarre avec un bâton dans la main. Mais les faits étaient là : je venais de voir pour la première fois de ma vie quelqu'un mourir.
L'ex-hôte, ou du moins la chose qui le possédait. Se dirigea vers le groupe de jeune le plus proche. Ils étaient assis en cercle dans l'herbe et profitaient de la fraicheur nocturne. Dans quelques instant il allait arriver sur eux. Ce mec était potentiellement très dangereux et j'avais comme une très bonne idée de ce qui allait se passer.
- CASSEZ VOUS ! Leur hurlais-je d'une voie pleine de terreur. CE MEC EST DANGEREUX ! En leur montrant du doigt le meurtrier.
Si quelqu'un m'avait interpellé de la sorte, je l'aurais pris pour un fou. Mais ma mine déconfitte eu l'air de les encourager. Ils jetèrent un regard dans la direction que j'indicais, mais c'était déjà trop tard : le bâton eut le temps de s'abattre par deux fois, et deux grandes gerbes d'étincelles illuminèrent la nuit.
Dès lors, une vague de panique commenca a s'emparer de la foule. Les cris de stupeurs, puis de détresses facent à l'effroyable phénomène s'emparèrent progressivement de l'assemblée. Un mouvement de fuite naquit de la zone de combat; ou plutôt d'éxécution. Plusieurs personnes me bousculèrent, l'endroit devenait dangereux. Sandra, elle, se tenait près de moi, elle s'était relevée et ne savait plus quoi faire.
- Il faut s'en aller d'ici ! Lui criais-je, tant bien que mal par dessus la cacophonie général. Je la prie par la main, pour ne pas me séparer d'elle. Cours le plus vite possible !
On fit à peine quelques enjambers vers la sortie. Il était déjà là, une dizaine de mètre devant nous. Mais comment a t'il pu se déplacer aussi vite ? Son bâton à la main, il avancait à une allure régulière vers notre position. Plus moyen de s'échapper, il allait falloir se battre ou périr.