Bonsoir.
Voilà j'écris beaucoup de poèmes, et je tenais à vous presenter celui-ci:
L’Homosexualité
Un enfant, d’un air surpris désigne un homme
Celui qui meurs, par refus du condom
De son doigt accusateur, il le blâme haut
Et appelant ses parents, il ne pèse ses mots
Oppressé, l’homme lâche les bras de son ami
Et, comme sous une capuche, il fuit
La larme à l’œil, sous les huées indécentes
Il se savait entouré d’une foule peu clémente
Lui, préférant vivre dans l’antiquité
Est aujourd’hui injustement jugé
O doux siècle de la civilité
N’acceptes tu donc pas la diversité ?
Mère Nature est Mère Nature
Car personne est pleinement pure
Et aucun de nous peux décider de la norme
De la sexualité d’autrui, sur toute ses formes
Owned le gay.
Nonban, humour.
Noban*
Je ne suis pas gay
Je parlais du mec dans ton poème.
Ah, bah ouais c'est assez clair
Allez un autre (je suis Le_Clown_Ca)
L’utopie damnante
Sommes nous donc parti sur de tristes impostures ?
Toi et moi rêvant tout les deux d’azur
Exprime comme tu peux ta déception
Nous, qui haissons les fanfarons
Nos visions ne sont que des flaques océanes
Qui jamais ne s’étendront comme s’étendent les platanes
Des pensées peuplées de civilisations désertiques
Qui resteront toutefois comme ces terres arctiques
Notre lucidité est un miasme irrespirable
Une faible fumée totalement impalpable
L’or est décidément les quatre pieds
D’un royaume de tristes damnés
Des flammes dorées brûlent nos cerveaux
De bouillants tridents nous transpercent la peau
Affreux antres caverneux où nous survivons
Tous, maladifs et couverts de bubons
Pestiférés par une peine grandiose
Ne pensant plus qu’à une seule chose :
La douleur d’avoir pensé meilleur
C'est pas très beau... enfin ça manque de poésie dans le sens. Mais au moins tu défends une cause, que moi même je défends, et c'est bien.
Punk_In_Love merci
Mais je sais que celui là n'a rien de poétique, c'est plutot engagé
Le deuxième est mieux.
Merci
L’abandon
Oh ma douce
Partons vers le méridional
Là où poussent
Les herbes provençales.
Au Nord je tousse
Allons au canal
D’eau de source
De l’amont vers l’aval.
On fait la course
Sur les rails
Dans la brousse
Et dans les mottes de pailles.
Le soir la frousse
Nous rend pâles
Mais la grande ourse
De ses étoiles, éclaire le val.
Sans la bourse
Tout est ripaille
Sans ressources
Rien n’est mal.
On se mousse
On se lave d’ail
Corps et frimousse
De l’urbain qui nous rends sales.
Fais un tour sur le forum écriture de JVC si tu écris des textes et d'autres poèmes C'est pas très visité, mais la communauté y est plus agréable et compréhensive que sur le 15-18 !!
https://www.jeuxvideo.com/forums/0-58-0-1-0-1-0-ecriture.htm
Ok merci punk_in_love
Le deuxième est bien, mais tu fais exprès de ne pas utiliser le même mètre sur chaque vers ?
iFoune, garder le même mètre est extrêmement difficile. En plus de ça il arrive souvent que ça alourdisse le texte au lieu de le rendre plus beau.
Perso quand j'écrit des poèmes je garde jamais le même mètre sinon ça casse tout le rythme que je donne a mes textes !
Ca c'est du vrai Baudelaire
Punk_in_love: j'ai posté quelques uns de mes poèmes su le forum écriure merci
Allez, un dernier
RIGA
Je marche dans les rues de Riga.
Sur les vieux pavés, sur les nouveaux toits.
Les pieds dans la neige
Au gré du cortège.
Je m’assois sur les bancs de Riga.
A la grande place, et je te regarde, toi.
Les cheveux blonds.
A l’abandon.
Je me baigne dans les bassins de Riga.
Dans l’eau chaude, dans l’air froid.
Tu rentres à ton tour.
Dans ta veste de velours.
Je me perd dans tes yeux, ma Riga.
Dans tes seins, c’est l’émois.
Tu m’emportes d’ici à Cracovie.
De Russie en Moravie.
Je m’accole à ton corps, Ksenia.
Puisque c’est ton nom, et dans tes bras.
Je m’imagine avec toi vers les pays chauds.
Vers de nouveaux joyaux.
j'ai pas lu, rien que de voir le mot ça me dégoute