Bon Marion va me rincé le masque, je pense que je reuh après.
(corey si tu peux être connecté un peu sur MSN quand tu es sur JV stp. )
Je reuh dans 5 minutes ! A++
Puce c´est clair
J´ai les souvenirs qui sont revenus et je chagrinne mnt
dans la plupart de mes rêves, soit je retourne dans mon ancien collège revoir mes potes, soit y´en a 2-3 qui viennent d´emmenager pres de chez moi, et je leur presente le bahut et le bled !
sinon un autre rêve, je suis dans la cour de mon ecole primaire, t´as 50 000 personnes autour de moi, je cours sur l´allée, tout le monde m´attrape les jambes et je m´envole... en fait j´arrive à m´envoler qu´au bout de 3-4 fois car avant ils m´en empechent... puis apres je me réveille une fois que je suis en l´air
http://82.233.203.205/SFeFerConfig/config.php?section=3
Max´, c´est quoi ?
Chocobodor Posté le 08 octobre 2006 à 12:22:49 Bon Marion va me rincé le masque, je pense que je reuh après.
(corey si tu peux être connecté un peu sur MSN quand tu es sur JV stp. )
Je reuh dans 5 minutes ! A++
Ok !
PTDR BOSSINOU
C´est quoi "# Présence dans les classements
@tte Puce !
Le dernier rêve de Bossinou
Saoulant !
Je n´ai pas encore rêvé du débann de Gogoteman , bon ou mauvais signe?
Un peu des deux...
Big up gogo :oui
boss
Rêvons
samedi Lyon 0-2 Asse
Lyon va gagné.
Le rêve, cette activité cérébrale incontrôlée à laquelle l´homme passe près de 10 % de sa vie, n´a pas cessé de l´intriguer depuis les temps les plus reculés. Toutefois, l´auréole quasi mystique qui entourait ce phénomène psychique devait le maintenir longtemps hors de toute tentative d´approche expérimentale.
Il n´y a guère plus de vingt ans en effet que l´étude du rêve préoccupe les neurophysiologistes. Mais si le sujet avait attendu longtemps, du moins les techniques étaient-elles mûres, ou presque.
Nous disposons aujourd´hui d´une théorie biochimique unitaire du cycle veille-sommeil dans lequel s´inscrit le rêve. Elle repose sur des fondements expérimentaux chaque jour mieux étayés. C´est la fonction de l´activité onirique qui préoccupe aujourd´hui les neurophysiologistes du rêve.
A soixante ans, un homme a passé près de cinq ans de son existence dans l´univers prodigieusement riche du rêve. Ces cinq années de vie imaginaire se sont écoulées par petites séquences serties au coeur de quinze années de sommeil sans rêve. Ainsi, soixante ans d´existence peuvent-ils se résumer en quarante ans d´activité physique et mentale passés en état d´éveil et vingt ans de sommeil: quarante ans consacrés à la réception et au traitement des informations en provenance du milieu extérieur, à la réalisation de comportements nécessaires à la conservation de l´individu et de l´espèce; vingt ans sans contact conscient avec l´univers ambiant, entrecoupés de plusieurs dizaines de milliers d´épisodes au cours desquels le dormeur assiste ou participe presque paralysé au déroulement du spectacle onirique.
Dès l´aube de l´humanité, les dormeurs se sont étonnés du contenu de leurs rêves: comment un homme pouvait-il s´expliquer qu´il était en train de courir ou de voler au cours d´un rêve alors que tous les témoins lui assuraient que son corps endormi reposait immobile ? Jusqu´au XVllle siècle, on admit que le corps matériel subissait la "mort périodique " du sommeil, tandis que l´âme immatérielle lui échappait. Son état d´éveil et d´activité permanente se manifestait alors au cours du rêve, qui devait être un phénomène continu.
Avec les débuts du matérialisme, la conception idéaliste selon laquelle l´âme serait responsable de l´activité onirique devait subir un premier assaut expérimental. De nombreuses observations montrèrent que lorsqu´on éveille un dormeur, il se souvient rarement avoir rêvé. Le rêve n´était donc probablement pas un phénomène continu mais bien plutôt un événement épisodique survenant au cours du sommeil. C´est Alfred Maury qui, vers 1850, proposa une première interprétation non métaphysique de l´apparition du rêve. Pour lui, l´activité onirique ne survient que lorsque le sommeil est léger : nous rêvons lorsque nous nous endormons (hallucinations hypnagogique ou au contraire lorsque le sommeil profond est allégé par un bruit, une douleur ou toute autre stimulation interne ou externe. Le sommeil se rapproche alors de l´éveil, ouvrant ainsi la porte au rêve. Pour Maury, le rêve était donc un accident épisodique représenté par une phase de sommeil intermédiaire entre le sommeil profond et l´éveil.
Il falllut attendre 1953 et le début travaux d´Eugen Aserinski et de Nathaniel Kleitman pour que l´étude du rêve fasse son entrée dans le domaine de la neurophysiologie. Entre 1954 et 1958, les développements considérables de la polygraphie (enregistrements simultanés de l´activité nerveuse, du tonus musculaire, des mouvements oculaires, des rythmes respiratoire, cardiaque, etc.) devaient permettre à Kleitman, Aserinski et William Dement, à Chicago, de déterminer les frontières du rêve au cours du sommeil nocturne.
Z´êtes en deuil avec moi ?